Chapitre 8

Je me réveillé doucement, j'avais encore un peu mal à la tête mais rien de bien inquiétant. Ce fus encore quand mes pieds touchèrent le sol que la porte de ma chambre s'ouvrit, sur Carlisle et Alice Cullen. Tout comme hier, Carlisle alla directement voir le bloc au pied de mon lit, tandis qu' Alice, qui me donnait l'impression d'être aussi légère qu'un plume, dansait jusqu'à moi.

- Bonjour Morgane, me sourit-elle. Quand mon père aura fini de faire c'est chose de médecin, il faut absolument que tu viennes dans ma chambre pour que je t'habille. Tu ne peux décidément pas rentrer avec t'es vêtement d'hier, finit-elle quand elle vue que j'ouvrais la bouche pour protesté.
- Merci, soufflais-je pour la remercier.

Elle sortie de la chambre toujours en dansant, je suis sur que toute les ballerines du monde doivent l'envié pour sa grâce. La porte s'ouvrit de nouveau.

- Bonjour ma puce, j'ai pensée que tu aurais faim alors je t'es préparer un plateau, me sourit-elle.

Elle avait une allure de maman, je me sentais en sécurité avec elle.

- Oh, je ne me suis pas présentée. Je suis Esmée Cullen, la femme de Carlisle, continua-t-elle de sourire mais en regardant Carlisle qui la regarder amoureusement.

Une fois le plateau déposé, elle me fit un dernier sourire avant de partir me laissant seule avec son mari de médecin. Il me donna une boite de médicament contre le mal de tête, m'enleva le bandeaux et me dit de passer dans la semaine à l'hôpital pour qu'il regarde si tout vas bien.

Il me dit de manger tranquillement avant d'aller rejoindre Alice, puis il sortie à son tour. Je mangeais tranquillement, cette famille bien qu'étrange était vraiment adorable. Quand je finis le plateau, je sortie de ma chambre avec pour le déposé à la cuisine, mais à peine sortie que je tombais sur Rosalie Hale.

Elle me toisa du regard un instant avant de me demandé ce que je voulais.

- Je voulais juste ramener le plateau à la cuisine... Et allez voir Alice, lui expliquais-je un peu intimidé par sa présence.

Emmet Cullen sortie en trombe de la pièce où quelques minutes plus tôt Rosalie voulait entrée. Il me regarda un moment avant de sourire et de me prendre dans ces bras dans une étreinte. Quand il me reposa par terre il me prit le plateau des mains embrassa amoureusement Rosalie avant de lui dire de me montrer le chemin de la chambre d'Alice avant que celle-ci débarque.

Rosalie sans un mot m'intima de la suivre. Nous montâmes un étage dans le silence des plus complets. Puis elle m'indiqua que c'était la porte au fond du couloir.

Je toquais à celle-ci, une Alice survolter flanqua à la porte son petit copain Jasper Hale le frère de Rosalie et me fis rentrer, j'entendis juste Jasper me dit un petit salue avec qu'Alice ne referme la porte sur nous.

Pendant ce qui me parut une éternité, en faite seulement deux heures et demies, nous avions parcourus toute sa penderie à la recherche de ma tenue, bien que j'avais tenue à avoir une tenue simple elle avait insisté pour m'habiller pour ce soir le repas de chez Émily.

Elle me fit enfilais un tee-shirt une robe rose-beige, avec des talon noir et une veste noir. Elle décida ensuite de me coiffé. Elle me fis un chignon et me maquilla légèrement, elle me disait que je n'avais pas besoin de beaucoup de maquillage, vue que j'étais jolie au naturelle bien sur à cette phrase j'étais devenue aussi rouge qu'une tomate mure.

Je dus ressortir de chez les Cullen, vers cinq heures de l'après-midi. J'allais donc chez moi, mon père tout comme ma mère ce trouvais sur le canapé. Je leur dit bonjour, mais mon père me demanda de venir avec lui dans la cuisine laissant ma mère devant la télévision.

- Les résultats de ta mère ce sont aggravée... Ils pensent qu'elle n'en à plus pour longtemps. Au maximum... Un mois. Mais il était plutôt pessimiste... Alors... je...

Il éclata en sanglot dans mes bras. Je n'avais jamais vue mon père pleurait. Entendue juste quelque rare fois. Je le pris dans mes bras. Ma mère allait mourir... Je devais rattraper deux années un moins d'un mois... J'essayais de ne pas pleurais. J'essayais d'être forte pour mon père, je le devais, il avait besoin de moi, pas que je pleure avec lui. Je restais donc là, un moment mon père dans mes bras.

Je ne voulais plus allait chez Émily, mais mon père insista tellement qu'il me mis presque à la porte. Je décidais de marchais jusqu'à chez Sam et Émily, j'avais besoin de prendre un bol d'air frais avant de les rejoindre alors marchait me ferait le plus grand bien.

Par contre, je pris grand soin à ne pas allait dans la forêt une fois ma totalement suffit, il n'y en aura pas deux. Du moins, je l'espérais.

J'arrivais chez Sam quarante minutes à l'avance. Je n'avais pas vraiment regarder l'heure depuis que je suis partie de chez les Cullen. Je frappais à la porte.

Elle s'ouvrit à la volet, je n'eus pas le temps de voir qui avait ouvert, car elle me poussa sur le coter pour passer et s'enfuir dans la forêt. Leah. Je voulus essayer de la rattraper, mais Sam me retint par le bras et fit un signe de la tête à Jacob pour que ce dernier puis retrouvait Leah.

Jacob me fit un signe de tête en guise d'excuse avant de partir rejoindre Leah dans la forêt. Sam me fit rentrer et partie lui aussi à la suite de Leah et Jacob. Je restais dans l'entrer quelque seconde et fini par me diriger vers le bruit.

J'atterrie dans la salle à manger. Toute les place sauf quatre était prise autour de cette table, quand Émily me vis, elle me servit un sourire des plus chaleureux, ce leva et me pris dans cet bras.

- Viens, je vais te présenté les garçons, je sais pas si tu les connais, me sourit-elle.

Effectivement quelque tête me disait quelque chose mais je ne me rappelais plus quoi, elle fut donc obliger de me présenté à tous le monde.

- Alors il y a Paul, Jared, Embry, Quil, Colins et Brady, m'apprit-elle. Ils avaient tous l'air gentil et me souriait. Les gars voici... Morgane, souffle-t-elle aux garçons, comme si j'étais un sujet tabou ou que quelqu'un pourrait entendre mon prénom et rentrer dans une démence fou.

Certain perdirent le sourire d'autres me regardèrent méchamment seule, Brady continuait à me sourire jusqu'à ce que Colins lui chuchote quelque chose à l'oreille qui lui fit perdre le sourire et baissé la tête.

Je me sentais soudainement de trop. Pourquoi en connaissant mon prénom, avaient-ils une réaction si négative à mon égare ?

Émily racla sa gorge et dit qu'elle allait servir l'entrer et elle me demanda si je pouvais l'aider. J'acquiesce avant de la suivre surement vers la cuisine.

- Ne leurs en veux pas de leurs réaction vis-à-vis de toi. Ils ont trop longtemps était en contact avec Leah et son humeur envers toi, m'expliqua calment Émily.

Alors c'était pour çà. Leah me détesté à ce point. J'essayais tant bien que mal de sourire à Émily, mais une larme m'échappa et Émily la vue. Elle me prit toute suite dans ces bras. Je me reculais aussi tôt.

- Excuse-moi, c'est juste... Que çà fait trop en une soirée. Ma mère, elle a moins d'un mois avant... Elle vas mourir et la seule chose à laquelle je pense en ce moment, c'est Leah et Seth, pleurais-je. Je suis tellement minable, j'essaye de tout faire bien, mais c'est la catastrophe à chaque fois que je dis une parole. J'ai trahis ma meilleure amie et j'ai blessé celui... Seth. Tu sais depuis que je suis à New York il ne ce passe pas une journée sans que je pense à eux. Même quand j'ai tournée ma série ou encore mon film, je ne pouvais m'empêcher de pensé à eux. Et là, je suis ici pour ma mère et m'occupé d'elle. Seulement, j'y arrive pas, Leah me manque tellement tout comme Seth.

Je m'appuyais sur la table de la cuisine, avant de reprendre.

- Tu sais pendant ces deux ans, j'ai voulus les oubliés, vous oubliez, oubliez la Push et tout ceux qui en font partie. J'ai essayais durement, je te promet. Mais je n'est pas réussis. Je croyais l'avoir fait, je pensé que plus rien ne pouvait m'atteindre... Mais je me rend compte que, j'ai rien oublier et que tout et en moi. Et, je me sens si minable quand Sam me fait la morale comme quoi je ferais mieux d'évité Leah et Seth, soufflais-je en essuyant mes larmes. Excuse-moi, je dois t'ennuyée. J-je ferais mieux de rentrer chez moi.

Alors que je sortais de la cuisine, me préparant à courir à toute jambe jusqu'à chez moi, je me cognais contre un mur. Non, c'était chaud. Je relevais la tête pour voir qui j'avais bousculais et...

Oh. Mon. Dieu.

Seth.

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