T2 | 7 | 🇫🇷 vs 🇵🇪 (🥵🔞)

Russie,
Omniscient,
21.06.18, 20h50.

C'est la mi-temps et le score est de 1-0 en faveur de l'équipe de France.

Maëva regarde le terrain distraitement en attendant la reprise.

— Alors j'avais raison ? déclare Ludivine en souriant fièrement.

Maëva se contente de la regarder sans répondre à sa déclaration. Ce n'est pas dans ses habitudes d'accepter d'avoir tord à voix haute.

Ludivine le sait parfaitement et aime la taquiner à ce sujet. Maëva frisonne malgré son pull col roulé et l'une des vestes d'entrainement que son fiancé lui a donner. Après avoir bien essayer de le récupérer.

C'est sans succès, bien sûr.

Les joueurs reviennent sur le terrain pour la seconde période.

FRANCE | PÉROU

• 1 LLORIS ©| GALLESE 1 •
• 2 PAVARD | ADVINCULA 17 •
• 4 VARANE | C.RAMOS 15 •
• 5 UMTITI | A.RODRIGUEZ 2 •
• 21 HERNANDEZ | TRAUCO 6 •
• 6 POGBA | AQUINO 23 •
• 13 KANTÉ | YOTUN 19 •
• 14 MATUIDI | CARRILLO 18 •
• 8 PAYET | CUEVA 8 •
• 7 GRIEZMANN | FLORES 2 •
• 10 MBAPPÉ| GUERRERO 9 © •

Pov Maëva

Le match reprend quand M. Mohamed Abdullah siffle le coup d'envoi de la seconde période. Les péruviens, les incas, engagent.

À peine le jeu engagé sur la pelouse que le Pérou entame déjà un double changement.

46" Yotun est remplacé par Farfan et Rodriguez cède sa place à Santamaria.

47" Je regarde, avec inquiétude, Samuel qui reste au sol après une grosse béquille de Farfan dans un duel aérien. Je regarde le staff courir vers lui sur la pelouse.

48" Djibril et Presnel sont partis à l'échauffement. Je grimace en voyant Samuel boiter encore.

50" Quand Aquino décoche une frappe puissante du pied droit, je reste figée en espérant qu'elle ne rentre pas dans les buts de Hugo.

Un soupire de soulagement me traverse ainsi que les supporters français quand elle s'échoue sur l'équerre gauche du but de Hugo.

52" Lucas obtient un excellent coup franc à vingt mètres à gauche du but de Gallese. Je me lève de mon siège en voyant mon frère s'approcher du ballon.

— Aller Dimitri ! ai-je crié en frappant dans mes mains.

53" BUT DE GRIEZMANN
Le coup franc de Dimitri se pose avec précision sur la tête d'Antoine qui n'a juste qu'à le fouetter pour l'envoyer dans les filets !

55" Après une tentative infructueuse du gardien pour dégager le ballon loin de sa surface. Toute l'équipe, excepté les défenseurs, campent dans le camp péruvien. On obtient même un corner grâce à Paul, N'golo et Lucas ! Aller faut pousser encore !

56" Les péruviens arrivent à éloigné le danger avec difficultés.

58" Le Pérou lance leur première offensive depuis dix minutes. Sur le côté droit, Carrillo parvient à centrer à ras de terre au deuxième poteau. Benjamin Pavard, sous la menace, réussi à dégager proprement.

59" Je souffle soulagée quand l'arbitre ne siffle pas de penalty.

65" N'golo et Paul récupère un nombre incalculable de ballon depuis le début du match. Je souris fièrement à leur prestation.

75" Après plusieurs grands frissons, Didier procède à un premier changement de joueur. Il fait sortir Kylian, qu'on ovationne, pour le remplacer par Ousmane.

80" Il remplace Antoine par Thauvin.

21 : 40

Après plusieurs occasions des deux côtés, le match s'achève sur un score de 2-0 en notre faveur. Le Pérou est ainsi éliminé.

Quand l'arbitre siffle la fin de la rencontre, je vais les attendre devant leur vestiaire afin de les féliciter avant qu'ils se changent.

Je tape dans leur mains joyeusement. J'embrasse Antoine brièvement avant de leur sourire.

— Très bon match les gars ! NG et Paul vous étiez des machines pour récupérer les ballons ! Alors Hugo tu es centenaire, tu vas dépasser Didier et Zizou avant la fin de la compétition ! me suis-je exclamée.

Ils sourient tous largement à mes compliments. Didier se racle la gorge pour me couper la parole.

Je le regarde en souriant toujours.

— Oh aller Didier ! Sourit un peu ça te fera du bien tu sais ! ai-je dis.

Les gars éclatent de rire. On sait tous ce que je sous-entend avec ça.

— Merci beaucoup Maëva, mais il serait temps pour toi de sortir du vestiaire, dit-il, d'un air amusé.

Je rigole en sortant.

Je retourne, d'un pas nonchalant, dans le bus afin de les attendre pour qu'on puisse retourner à Istra dans notre camp de base.

À peine installer à la place que j'avais à l'aller que mon portable vibre dans la poche de mon jean.

Mes joues deviennent très rouges, quand je vois qu'il s'agit d'un message érotique de mon fiancé.

Je lis : « J'ai hâte de sentir ta peau frissonner sous mes doigts ».

Un gémissement s'échappe de mes lèvres en visualisant l'image. Je décide de répondre à son message.

Je lui écris : « J'ai mis ta culotte préférée aujourd'hui ». Sa réponse ne tarde pas à se faire connaître.

Je lis : « J'ai envie de déchirer tes vêtements tout de suite pour voir ».

Une bouffée de chaleur envahit mon bas-ventre alors que je deviens très excitée par ses phrases.

Je lui écris : « Qu'est-ce que tu attends pour le faire alors ?».

Sa réponse prend un peu plus de temps à arriver que le précédent.

Je lis : « Je vais te punir pour me rendre les choses aussi difficiles ».

Je déglutit, me sentant mouiller.

J'enlève ma veste parce que j'ai maintenant beaucoup trop chaud. Il m'envoie un nouveau message.

Je lis : « J'ai une surprise pour toi ».

Je me mord la lèvre inférieure pour m'empêcher de gémir à la surprise qui m'attend. Je bouge légèrement sur mon siège, dans le but évident de me mettre plus à l'aise.

J'allume la climatisation.

Je n'aurais peut-être pas dû mettre ce pull en laine… j'ai beaucoup trop chaud avec maintenant, ai-je pensé.

Les gars rentrent dans le bus. Quand mon regard croise celui d'Antoine je suis encore excitée.

Un rapide coup d'œil à son érection, qu'il a sans doute eu toute la peine du monde à caché aux autres garçons, m'informe qu'il est tout aussi excité que moi.

Quand il s'assoit à côté de moi, on pourrait couper la tension sexuelle entre nous avec un couteau aiguisé.

Derrière nous se trouve que Samuel qui s'est rapidement endormi dès qu'il s'y est installé. Sur les sièges à côté il y a Kylian et Ousmane qui dorment dès le départ du bus.

Antoine remonte l'accoudoir qui se trouve entre nous. Je prends les devants en posant mes lèvres contre son cou, frôlant juste légèrement son pouls. Son rythme cardiaque s'accélère au contact et il essaie de contrôler sa respiration saccadée.

— Antoine tu veux jouer avec nous ? demande soudainement Hugo depuis l'arrière du bus.

— Non ! répond Antoine aussitôt, d'une voix légèrement tremblante.

Je souris en embrassant doucement l'angle de sa mâchoire. Il se mordille la lèvre inférieure pour retenir un gémissement.

Je pose mes jambes sur ses cuisses, après l'avoir taquiner un peu avec mes pieds sur son érection.

Il pose sa main sur ma cuisse et l'autre se faufile sous ma jupe. Il embrasse delicatement mon cou en mordillant légèrement la chair.

— Tu es trop sexy dans cette tenue, murmure t-il doucement dans le creux de mon oreille en espagnol.

Son souffle chaud chatouille agréablement mon oreille. Mon corps est parcouru de frissons. Sa main caresse légèrement mon intimité à travers ma culotte humide.

Je me mord la lèvre inférieure pour retenir mon gémissement.

Je tends la main pour caresser doucement son membre dur à travers son pantalon de jogging.

Il mordille le lobe de mon oreille en gémissant doucement dedans. Je bouge légèrement contre sa main en le regardant intensément.

— J'ai demandé à insonorisé notre chambre ce matin, murmure t-il doucement contre mon cou.

Un sourire séducteur apparaît sur mes lèvres en entendant cela.

Il regarde mes lèvres avec des yeux remplis de désir. Il capture mes lèvres entre les siennes dans un baiser fougueux et impatient.

Ses mains viennent se poser sur mes hanches pour me rapprocher de lui. Je finis même par m'asseoir sur ses cuisses pendant le baiser.

On se séparent essoufflés, sous les sifflements et les rires des gars.

— Prenez une chambre ! crit Paul.

— C'est bien ce que… j'ai l'intention de faire, murmure Antoine contre mon oreille, parlant en espagnol.

Sa voix rauque couverte de désir me donne des frissons de plaisir, je regarde dans ses yeux avec intensité.

Durant tout le trajet en bus, on a fait que se taquiner. Pendant le voyage en avion je me suis assise à côté de Samuel qui ne fait que dormir depuis le début du trajet.

Juste pour éviter qu'on ne finisse par faire l'amour dans l'avion.

Avec juste un peu trop de témoins.

02 : 15

Quand on rentre à Istra on est accueilli par toute l'équipe dans le hall d'entrée, avec les applaudissements qu'ils méritent.

On rentre en premier dans l'hôtel rapidement suivis des autres. On attend impatiemment qu'ils rentrent tous, que Didier fasse son discours trop long pour dire à tout le monde qu'on part "dormir".

Bien sûr ils n'y ont pas crû. Mais, à ce moment là, j'étais trop excitée pour être embarassée par eux.

Arrivés dans l'ascenseur… à peine ai-je finis d'appuyer sur le bouton de notre étage et que les portes de l'ascenseur se soient refermés, Antoine me soulève dans ses bras.

Mes jambes viennent instinctivement autour de sa taille. Ses lèvres viennent dévorer les miennes avec un baiser enflammé. Je gémis doucement contre ses lèvres, les mains agrippant fermement ses cheveux.

Mon dos est repoussé contre la paroi de l'ascenseur. Antoine bouge légèrement contre moi, frottant de façon très subjective son érection contre mon intimité.

Quand l'ascenseur s'ouvre, je passe mon badge tant bien que mal pour ouvrir la porte. Faire quelque chose d'aussi simple qu'ouvrir la porte pendant qu'il embrasse mon cou, devient vite compliqué à réaliser. Surtout quand je suis autant excitée.

Je réussi à fermer la porte à clef quand on entre dans la chambre.

Mon dos est de nouveau plaqué contre la porte de la chambre. Ses lèvres embrassent chaque parcelles de ma mâchoire et tout ce qu'il peut de mon cou. Il grogne complètement frustré par ce pull.

— Je veux que tu sois nue Maëva, murmure t-il contre mon oreille.

Je frissonne de plaisir.

— Déshabille moi alors, dis-je.

Je retire mes jambes à contrecœur de sa taille pour être debout devant lui. Je me mords la lèvre inférieure en le regardant.

Il passe ses mains lentement sous mon pull. Je frissonne sous ses doigts. Un sourire séduisant apparaît sur ses lèvres à la réaction de mon corps à son contact.

Ses mains remontent doucement jusqu'aux dessous de mes seins.

— Tu n'a pas mis de soutien-gorge petite coquine, murmure t-il.

Il caresse délicatement le dessous de mes seins. Je plaque mon bassin contre le sien pour exprimer mon impatience et mon désir pour lui.

Un gémissement profond s'échappe de ses lèvres à mon geste. Je me frotte contre son membre pour l'inciter à accélérer.

Il agrippe mon pull, je lève les bras pour l'aider à me l'enlever.

Ses yeux s'attardent longuement sur mon corps et mes seins avant de me regarder avec intensité.

Mon bas-ventre s'enflamme en voyant ses yeux pleins de désir plongés dans les miens. Je gémis.

Mon gémissement l'envoie dans une frénésie sans nom. Il retire rapidement ma jupe et ma culotte rouge trempée, avant d'enlever ses vêtements avec empressement.

Il pose ses mains sous mes fesses pour me soulever. Je remets mes jambes autour de sa taille. Je noue mes bras autour de son cou.

Il embrasse chaque parcelles de mon corps disponible à sa portée. Je passe mes mains dans ses cheveux maintenant ébouriffés.

Je gémis avec force quand d'un mouvement de hanches, il me pénètre lentement. Il m'embrasse en gémissant contre nos lèvres.

Je repose ma tête contre son cou, je dévore son cou avec des baisers possessifs et passionnés. Il grogne.

Il entame de légers mouvements de hanches, sans entrer entièrement, le temps que je m'adapte à la longueur de son membre en moi.

— Antoine, ai-je gémis avec force.

Je m'abaisse sur son membre. Je gémis bruyamment en le sentant profondément entrer en moi. Je rejette la tête en arrière de pur plaisir en gémissant son prénom.

— Maëva, gémit t-il bruyamment.

Il embrasse mon cou tendrement, alors que je me contracte autour de lui. Mes jambes tremblent déjà.

Je sens mon dos se décollé doucement du mur pendant qu'il nous emmène rapidement au lit. Je gémis avec force à chaque pas et mouvements qui coïncide avec.

Je me retrouve le dos allongée contre le matelas moelleux et chaud, ce qui contraste avec le mur glacial.

Il couvre doucement mon corps avec le sien. Il appuie la majorité de son poids sur ses avant-bras. Je remonte mes jambes sur ses hanches avec désinvolture.

Il reste un instant immobile, les yeux plongés intensément dans les miens. Il plonge sa tête dans le creux de mon cou pour venir y déposer des baisers passionnés.

Je gémis quand il reprend ses mouvements lents et profond. Ses mains viennent caresser mes seins pendant que ses lèvres s'occupent activement de mon cou.

Mon corps se relâche presque complètement, pendant que je gémis bruyamment au plaisir que me procure ses caresses.

Il accélère et approfondie la pénétration. Ma peau est parcouru de frissons quand il embrasse la peau en-dessous de mon oreille. Je me resserre à nouveau autour de lui, le faisant grogner.

Je noue mes bras derrière son cou pour attirer son corps un peu plus près du mien. La sensation de son corps ferme appuyer contre le mien me fait gémir bruyamment.

Nos rythmes cardiaques s'affolent. Il embrasse mes épaules avant d'embrasser ma mâchoire délicatement. Il effleure le coin de ma bouche avec ses lèvres.

Je fronce légèrement les sourcils, je capture ses lèvres pour l'embrasser avec passion.

Il accélère encore plus ses mouvements de hanches en moi, je crie son prénom sans retenue. Il grogne contre mon cou quand je me resserre autour de lui.

Il embrasse mon point sensible derrière mon oreille. Mes yeux roulent dans ma tête. Ma peau est parcouru de frissons, alors que mes jambes tremblent follement.

Une sensation indescriptible s'élève de mon bas-ventre. Mon corps lui indique que je me rapproche de ma jouissance.

Antoine continue de me pénétrer avec beaucoup plus de fougue.

Mes orteils se recoubent sous son assaut implacable. Je gémis doucement contre son cou.

— Antoine ... ai-je gémis.

Je mordille le lobe de son oreille et je le taquine avec ma langue. Il grogne bruyamment mon prénom et ses yeux roulent dans sa tête. Je caresse doucement ses fesses.

— Maëva… grogne t-il bruyamment.

Ma respiration se coupe à l'approche de mon apogée. Mon corps se détend complètement avant de trembler violemment.

— Antoine ! ai-je crier.

Mon corps tremblent contre le sien, fermement encré en moi. Mes parois se referment étroitement autour de lui ce qui l'oblige à ralentir considérablement.

Mon corps tremblent encore faiblement quand il reprend ses mouvements langoureux en moi.

Je sens son souffle devenir saccadé et irrégulier contre mon cou, son corps commencer à devenir rigide de plus d'une façon. Sa peau se couvre de frissons : je sais qu'il va bientôt jouir.

Je pose des baisers enflammés contre sa mâchoire avant de l'embrasser sur les lèvres. Il grogne doucement contre ma bouche, déversant tout son désir et son amour pour moi dans le baiser.

Il enfouit sa tête dans le creux de mon épaule, embrassant la peau. Son corps se met à trembler contre le mien, je gémis en me resserrant instinctivement autour de lui.

Son membre palpite délicieusement en moi, il grogne bruyamment. Je le sers étroitement contre moi quand un nouvel orgasme me submerge en même temps que le sien.

On gémit le prénom de l'autre en atteignant l'apogée ensemble. Son corps retombe lourdement sur moi alors que les muscles de son corps l'abandonne pour l'instant.

Je caresse tendrement ses cheveux, appréciant la chaleur de son corps allongé contre le mien.

Notre respiration saccadée prend un peu de temps à se régulariser un moment. Antoine se redresse sur ses avant-bras pour me regarder.

Je le regarde en retour avec amour, les yeux encore embrumés. Il me caresse du regard en souriant d'un air taquin.

— Je suis désolé maintenant je t'ai rendu très sale, murmure t-il avec sa voix encore essoufflé et rauque.

Le temps que je comprenne ce qu'il veut dire par là… il procède déjà à la descente de mon corps.

Il embrasse mon cou, mes seins en y attardent longuement ses mains, ses lèvres embrassant mon ventre tendrement avant de descendre toujours plus bas.

Je saisis à nouveau ses cheveux dans une prise de la mort.

Il embrasse mon bas-ventre en me regardant droit dans les yeux. Sa main effleure à peine mes lèvres intimes que je gémis.

Sans me quitter des yeux, il embrasse délicatement l'intérieur de ma cuisse. Je frissonne de pur plaisir. Je me mordille la lèvre.

En me regardant d'un air taquin, les yeux toujours pleins de désir, il lèche l'intérieur de ma cuisse.

Je presse plus fort ses cheveux pour l'obliger à arrêter de me taquiner. Pour toute réponse, il arrête ses caresses et me regarde avec un sourire narquois.

Je grogne de frustration.

— Je n'ai pas bien compris ce que tu voulais faire, murmure t-il.

Il remonte une main vers ma poitrine pour me caresser un sein. Ses doigts titille mon mamelon lentement. Je gémis.

— Qu'est-ce que tu veux que je fasse ? demande-t-il en souriant.

Je pose mes jambes sur ses épaules lui offrant une vue de première classe sur mon intimité.

— Je veux que tu me fasse jouir bon sang ! me suis-je exclamée.

Il me sourit d'un air satisfait. Sa main caresse une fois de plus mes lèvres intimes. Il enfonce son index en moi. Mon corps est alors pris de frissons incontrôlable.

Je gémis bruyamment en le regardant intensément dans ses yeux. Ses yeux brillant d'envie.

Sa main caresse doucement le reste de mon corps frissonnant de plaisir, tandis qu'il enfonce un second doigt dans mes profondeurs.

Je saisis les draps fermement dans mes mains pendant que je gémis. Mes yeux se ferment à la douce torture qui se forme en moi.

Mes hanches bougent involontairement contre ses doigts. Quand sa langue touche mon point sensible, mon monde bascule irrémédiablement.

Sa langue taquine mon clitoris pendant que ses doigts font des vas et viens dans mes profondeurs.

Mon corps commence à trembler de mon orgasme imminent.

Il mordille légèrement mon point sensible avec ses dents, mes yeux roulent dans ma tête et mon orgasme puissant déferle en moi.

— ANTOINE ! ai-je crié avec force, du sommet de mes poumons.

Mes jambes se resserre autour de sa tête, il les maintient fermement en tenant mes cuisses tremblantes dans ses mains.

Il continue de léché mon intimité, buvant mon nectar joyeusement.

Quand mon esprit revient dans mon corps, je le regarde avec des yeux encore étourdie. Sans jamais me quitter des yeux, il passe sa langue sur ses lèvres avant d'avoir un sourire séducteur.

— Délicieuse, dit-il en souriant.

Il embrasse mes chevilles et remonte mes jambes en embrassant lentement avec douceur chaques centimètres d'eux.

Je pose mes mains dans son dos avant de le griffer en gémissant.

Il grogne doucement en embrassant mon ventre tendrement. Il le caresse doucement avec ses mains, ce qui me fait sourire à son attention.

Je gémis quand il vient embrasser langoureusement mes seins. Je passe frénétiquement mes mains dans ses cheveux soyeux.

— Antoine… ai-je gémis.

Il se recouche sur moi doucement avec mes jambes toujours remonter sur ses épaules.

Je gémis doucement quand je sens sa virilité pleinement réveillée appuyé contre mes plis.

Il embrasse délicatement mon cou et ma mâchoire. Il s'éloigne un peu pour me regarder dans les yeux.

Il tend la main derrière son dos pour venir prendre ma main gauche dans la sienne. Il la sert légèrement en caressant le dos de ma main avec son pouce en mouvement circulaire.

Touchant partiellement ma bague, comme pour s'assurer que je suis réelle et que j'ai vraiment accepter de l'aimer pour toujours.

Il caresse mon nez avec le sien en me souriant doucement. Je le regarde en souriant avec amour.

Mon coeur semble prêt à exploser dans ma poitrine avec tout l'amour que je ressens pour lui. Son cœur qui tambourine fortement contre mes seins me prouve qu'il ressent le même amour pour moi.

Il n'y a pas de mot pour nous dire ce qu'on ressent l'un pour l'autre.

Je caresse ses cheveux tendrement en lui souriant.

Quand nos corps s'épousent à nouveau, nos âmes se relient.

// 3541 mots //

❀❀


SALUT LES LADYBUGS 🐞🌿

Je ne pouvais quand même pas poster un chapitre de ce livre cette semaine, alors même que j'ai eu une "légère panne d'inspiration" !

La meuf qui dit ça alors que le chapitre fait quand 3550 mots 😂

Par contre j'ai vraiment pas d'idée en ce moment pour Corazón. Un chapitre pourtant bien entamée… mais impossible pour l'instant de finaliser et de publier 😣

Dur dur la vie d'artiste.

☆★❤★☆

Comment avez-vous trouvé ce chapitre … érotique ? 🥵😏

— Génial ?
— Moyen ?
— Pas bon ?
(PS : Si vous dîtes ça je vais vous mordre dans les commentaires !)

Je plaisante … peut-être. 😏🤣

भारतीय वंशज

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