T2 | 21 | Réflexion 🔞

Âmes sensibles s'abstenir de lire le chapitre, surtout si vous êtes mineur (bien que je pense qu'il soit trop tard).

Istra, Russie,
Antoine Griezmann,
07.07.2018, 10h30.

Le son familier d'une alarme irritante me sort de mon sommeil réparateur. Je tente de m'attraper le coupable sans ouvrir les yeux. J'y parviens dans un temps trop long pour mon confort.

Surtout que Maëva commençait à se réveiller avec ce bruit incessant et mes gestes lents et incertains. Elle se réinstalle confortablement sur mon corps avec un soupire de contentement.

Avec un sourire amusé, je tente de me rendormir. Mais soudainement je me souviens que dans moins d'une heure, il faudra qu'on descendent manger.

Avec un visage renfrogné, j'ouvre les yeux à contrecœur. Je suis remercier par le soleil qui illumine la chambre, parce qu'évidemment, les rideaux sont blancs et donc le soleil passe mieux.

Je referme les yeux par réflexe avant de retenter en clignant des yeux comme si j'avais perdu mes lunettes de vue.

Je veux manger mais je veux aussi dormir ! Ah..., ai-je pensé, agacé.

Plus je me réveille et plus je veux retrouver le rêve de la nuit précédente. Surtout quand je me souviens que cette après-midi à 16 heures précise, il y a l'entraînement de foot avec les gars.

J'aime le football, mais je suis actuellement trop bien installé pour vouloir sortir ne serait ce qu'un seul orteil du drap dans lequel je suis.

En plus d'avoir un corps chaud allongée confortablement sur moi, ai-je pensé.

Mes doigts s'enroule autour des mèches indisciplinés de ma belle endormie. Je regarde un sourire apparaître sur son visage pendant que je joue avec eux. Elle enfouit son nez contre mon cou, confortant mon idée que me sortir du lit devra vraiment être déterminé !

Je contemple silencieusement son visage paisible dormir profondément. Je caresse ses omoplates avec une main libre qui se faufile sous mon t-shirt volé. Cela attire un mouvement de sa part, elle remonte son bras gauche sur ma poitrine inconsciemment.

Mes yeux se posent sur son coude gauche par réflexe, puis la vidéo de sa blessure revient dans mon esprit.

Je soupire doucement au souvenir. J'ai regardé la vidéo avec son accord, ou presque, il y a plus de deux jours et le souvenir me dérange toujours.

Maëva s'est blessée il y a déjà plusieurs années, mais la douleur de son coude revient encore la faire souffrir. Ce qui m'inquiète davantage est surtout qu'elle s'en souvient vivement, d'une manière que j'imagine plus que désagréable, depuis plusieurs jours maintenant.

Lorsque Maëva passera la première échographie, je pourrais demander au médecin de jeter un œil à son coude par précaution, ai-je pensé, soucieux.

Ses mots sur le judo me fait réfléchir.

Je sais que quelque soit sa décision, elle aura tout mon soutien et mon inquiétude, de la même façon dont elle me soutient lors de mes matchs. Si elle décide définitivement de s'éloigner du judo, je vais la soutenir de la même façon sur sa décision de reprendre le judo compétitif. Et je serais également son premier et plus fervent supporter.

Mais j'espère surtout qu'elle n'a pas de séquelle lié à son ancienne blessure.

J'embrasse tendrement son front, pendant qu'elle dort paisiblement. Je laisse tomber ma tête doucement sur l'oreiller moelleux. Je continue de la regarder quand je remarque qu'un nouveau sourire étire ses belles lèvres.

Un de mes sourcils se lèvent avec curiosité, pendant que je la regarde.

De quoi elle rêve cette fois ? ai-je pensé.

Je décide d'attraper mon téléphone, qui est devenu muet depuis le moment où j'avais coupé la sonnerie agaçante, pour apercevoir l'heure qu'il est actuellement. Il affiche seulement 10h45.

Étant donné que je suis réveillé et moins endormi que quelques minutes plis tôt. Je pense donc que prendre une douche n'est pas une mauvaise idée.

Ça me réveillera mieux, ai-je pensé.

11h01.

Je jette la serviette de bain dans le panier à linge après avoir sécher soigneusement mes cheveux avec elle. J'ouvre la porte de la salle de bain et je sors aussi silencieusement que possible.

Je regarde attentivement Maëva et constate qu'elle dort toujours profondément, cependant elle s'est accaparé mon côté de lit en mon absence.

Maintenant allongée sur le ventre, le nez enfouit dans l'oreiller que j'ai laissé et le drap qui couvre que le bas de son corps avec son changement de place. Son t-shirt, ou plutôt mon t-shirt, est remonter jusqu'en haut de son dos, laissant ses fesses rebondis à l'air libre.

Un sourire narquois étire mes lèvres à la vue qui m'accueille. Je m'approche lentement du lit pour m'y asseoir doucement, dans son dos près d'elle.

Je suis plus que disposé de continuer à la regarder profiter d'un sommeil qu'elle n'a pas eu la nuit dernière, mais je ne veux pas qu'elle rate le petit déjeuner qui ne va plus trop tarder.

Surtout le temps qu'elle prend pour se préparer, j'ose à peine imaginer ce qui arrivera à Paul s'il a le malheur de frapper à la porte comme un malade, au moment où elle se fait un... un ...

Je réfléchis au mot qu'elle m'avait dit pour décrire ce truc, mais je ne me souviens pas de son nom. Mais si j'ai bien compris c'est pour faire un trait destiné à allonger son regard de sirène.

Quoique ça veuille dire, ce trait lui va à merveille ! Même si je la préfère au naturel cependant, ai-je pensé, amusé.

Je caresse tendrement ses cheveux soyeux. Je n'ai aucune réaction d'elle. Un sourire narquois se dessine sur mes lèvres à ce petit défi matinal. J'embrasse sa joue doucement, pendant que je caresse le creux de son dos dénudé par le t-shirt relevé, du bout des doigts.

Maëva bouge un peu en gémissant doucement et son dos se recouvre de frissons involontaire. Je souris.

Elle ouvre ses yeux encore embrumées et me regarde avec ses beaux yeux bruns. Elle se retourne sur le dos et me regarde tranquillement. Un sourire amusé joue légèrement sur mes lèvres en la regardant.

Ses cheveux de jais sont ébouriffés de notre activité nocturne. Du coup, elle n'a pas pu faire ses tresses protectrices.

Cependant, ses cheveux ébourrifée lui donne l'apparence d'une déesse sauvage. Maëva est vêtue uniquement de mon t-shirt blanc trop grand pour elle et d'une simple culotte.

Maëva me regarde avec curiosité avant qu'un bâillement, lui fasse couvrir sa bouche. Je l'embrasse tendrement sur le front pendant qu'elle se frotte les yeux.

— Bonjour chérie, ai-je dis.

Elle me regarde avec des yeux embrumés de sommeil.

— Bonjour chéri, marmonne t-elle.

Elle cligne des yeux, son regard balaye mon corps avec curiosité. Je regarde ses yeux fixement me regarder et je décele dans ses yeux bruns de l'amour, de l'excitation et beaucoup de fierté.

Aujourd'hui, je me suis habillé avec un simple polo bleu marine et un jean gris foncé. Plus tard avant de sortir, je vais mettre des chaussettes noirs et des baskets noirs avant de sortir.

Pour l'instant je suis pied nu.

— Quel beau gosse mon fiancé, murmure t-elle en souriant.

Un sourire lumineux étire mes lèvres et je remue mes sourcils exagérément.

Maëva rigole joyeusement de mon expression. Elle se lève du lit, toujours vêtue de mon t-shirt blanc trop large pour elle et d'une simple culotte noire.

Elle s'approche de moi avec un sourire doux aux lèvres. Je regarde son beau visage lumineux, quoiqu'un peu fatigué.

Je mets mon bras droit autour de sa taille, je l'attire dans mes bras sans rencontrer beaucoup de résistance.

J'embrasse son sourire amusé. Ses mains viennent s'accrocher à mes cheveux, tout en rapprochant ma tête de la sienne. Je presse son corps fermement contre le mien.

Je pose ma main gauche sur sa joue pour rapprocher son visage du mien. On s'embrassent langoureusement.

Je décolle mes lèvres de ses lèvres gonflés pour respirer normalement. Je la regarde ouvrir les yeux en souriant.

— Bien dormi ? ai-je demander.

Un sourire lumineux me répond.

— Très bien et toi ? demande Maëva.

Je lui embrasse le front tendrement.

— Très bien aussi, dis-je en souriant.

Je rapproche doucement mon visage de son oreille. Je mordille le lobe de son oreille. Maëva se détend contre moi avec un gémissement presque inaudible.

— Petit coquin, dit Maëva.

Elle libère son oreille de mes dents taquines d'un léger mouvement de tête. Elle relève la tête pour me regarder.

Dans une faible tentative pour me reprimander. Sauf qu'avec ses joues rouges et ses yeux un peu vitreux, disons qu'elle n'est pas convaincante.

Je réprime à peine un sourire amusé face à sa réaction. Je décide de la taquiner en retirant mes bras de sa taille.

Maëva fronce les sourcils. Avant même de pouvoir esquisser un mouvement, elle remet mes bras autour de sa taille avec une autorité amusante et sexy.

Elle esquisse un sourire mutin, les yeux brillant de malice. Elle enroule ses bras autour de mon cou. Je souris, amusé.

— Je n'ai pas dis que je voulais que tu arrêtes, précise-t-elle en me souriant.

Un rire m'échappe à sa réponse vague.

— Tu veux dire quoi alors ?

En réponse, Maëva me lance un sourire mutin en me lançant un regard sexy. Et avant que je ne fasse quoi que ce soit à ce sujet, elle s'extirpe de mes bras.

Ses cheveux noirs ondules quand elle tourne sa tête en arrière pour me regarder. Ses yeux me regardent avec une lueur malicieuse et un brin taquine.

Je promène mon regard sur son magnifique corps. Maëva me sourit de façon séduisante, les paupières baissés.

Elle veut ma mort. J'ai chaud alors que je sors d'une douche froide, ai-je pensé.

— Je vais me préparer, déclare-t-elle.

Je cligne des yeux, après avoir passé un long moment sans le faire. Maëva me fait un grand sourire malicieux, son sourire fait apparaître ses fossettes.

Je la regarde, hypnotisé par sa beauté. Quand je laisse mon regard glisser sur son corps, je reste bouche bée.

Pendant que je ne pouvais pas décrocher mon regard de son beau visage, elle a retirer sa culotte et ma chemise blanche ne tient que sur son épaule gauche. Ce qui me laisse tout le loisir de l'orner sa poitrine généreuse.

Mon regard s'accroche inévitablement sur son intimité mis à nu devant moi. À la vue, je me sens très rapidement à l'étroit dans mon jean. Un rire cristallin vient me titiller les oreilles.

Je lève les yeux, à contrecœur, pour croiser son regard amusé et taquin.

— Tu attends quoi d'autre pour venir me faire l'amour ? me taquine Maëva en levant un sourcil, amusée.

Elle se retourne en soulevant le bas de la chemise. J'inspire brusquement de l'air à la vue de ses fesses galbées.

— Peut-être que je devrais faire un strip-tease ? propose-t-elle. Ou bien…

Sa proposition s'estompe en l'honneur d'un gémissement de plaisir, quand je me plaque fermement contre elle après avoir rapidement traversé la chambre.

Mes mains s'agrippent doucement à sa poitrine, mon érection visible est fermement appuyé contre ses fesses.

Je mordille doucement son oreille droite et je caresse son sein gauche qui est délaissé par la chemise trop grande.

Elle gémit quand mes lèvres déposent de doux baisers sur son cou, je sens les frissons incontrôlable qui traversent son corps dû à son excitation.

— Tu es sûre de toi ? ai-je demander.

Ma voix est devenue rauque et grave avec sa provocation séduisante. Elle incline inconsciemment la tête pour que je puisse plus facilement y accéder. Un sourire narquois étire mes lèvres pendant que je mordille doucement la chair tendre de son cou en réponse.

Un gémissement de plaisir lui échappe. Mon sourire s'agrandit, avant qu'un gémissement rauque ne m'échappe, quand elle remue sensuellement ses hanches contre mon érection.

Mon gémissement de plair semble l'avoir excitée, vu les frissons qui l'ont traversée au même moment.

— Qu'est-ce que tu en penses ? demande-t-elle en retour.

Maëva Payet,
11h26.

Je sens ses lèvres s'étirer avec une satisfaction flagrante contre la peau de mon cou. Ses lèvres malicieuse laisse une trainée de baisers le long de mon cou, ma peau devient au fil des secondes de plus en plus bouillante. Je gémis, mon excitation s'accroît encore.

Ses mains fermes caressent langoureusement mes mamelons, mon souffle s'accélère et mon cœur s'emballe. Mes jambes tremblent quand une de ses mains vient caresser mon intimité en même temps que mes seins.

— Antoine… ai-je gémis doucement.

Mon intimité s'imbibe de mon excitation. Mes lèvres s'entrouvre doucement quand ses doigts se frayent un chemin entre mes lèvres intimes.

Un long gémissement de plaisir sort de ma bouche à la sensation. Mon souffle est irrégulier dû à la délicieuse torture à laquelle je suis soumise à présent.

— Tu aimes ce que je te fais ? demande-t-il au creux de mon oreille.

Sa voix rauque et son souffle chaud contre le creux de mon oreille m'envoie des frissons de plaisir à travers le corps. Mes cuisses se resserrent instantanément sur sa main droite pour palier à l'excitation importante que je ressens, cependant Antoine bouge langoureusement ses doigts en moi.

Mes jambes flanchent sous le poids écrasant de mon excitation. Antoine délaisse mon sein gauche, engourdie par la chaleur qui y persiste, pour agripper fermement ma taille pour empêcher mon corps de tomber.

Mes yeux papillonne quand ses doigts agiles titillent délicatement mon clitoris. Un gémissement m'échappe une nouvelle fois, mon corps est engourdie par cette délicieuse torture.

Mais je n'en ai pas assez. Ce n'est pas suffisant pour satisfaire le feu qui brûle actuellement dans mes entrailles.

Je remue une nouvelle fois mes hanches contre le renflement présent presser étroitement contre mes fesses. Je suis récompensée par un grognement rauque contre le creux de mon oreille. Son souffle chaud m'envoie des frissons le long de ma colonne vertébrale. Une longue caresse sur mon clitoris me provoque un orgasme.

Mon corps se déchaîne contre son corps, tandis que son prénom s'échappe de ma bouche avec un cri perçant. Mes jambes tremblent et manquent de m'entraîner au sol, mais ses bras autour de ma taille me maintiennent debout.

Mon corps tremble toujours légèrement, les frissons me traversent toujours après plusieurs minutes et ma respiration est irrégulière. Mon cœur semble vouloir sortir de ma poitrine.

Je gémis doucement, ma tête bascule contre son torse. Je sens le sourire en coin contre la peau douce de mon cou pendant qu'il y dépose des baisers.

— Vantard, ai-je murmurer en souriant.

Il rigole doucement de mes mots. Son rire se transforme en grognement profond quand je me presse étroitement contre son érection. Un gémissement presque inaudible m'échappe à la sensation de dureté.

Brusquement, mes pieds ne touchent plus le sol et mes jambes sont en suspension dans les airs. Un cri m'échappe au mouvement soudain.

Je cligne des yeux en le regardant avec surprise. Antoine me porte comme une mariée jusqu'à la salle de bain.

J'ouvre la bouche et tout ce que je comptais lui dire disparaît quand ses lèvres autoritaire viennent réclamer mes lèvres dans un baiser langoureux.

Un gémissement de plaisir m'échappe involontairement au baiser. Je passe ma main vers l'arrière de sa tête pour le rapprocher plus de la mienne. Nos langues se caressent passionnément.

On s'éloignent à bout de souffle du baiser, Antoine en profite pour me poser délicatement sur le rebord de la baignoire. Cet même baignoire où nous avons repris une activité sexuelle.

Dès qu'il me pose sur la baignoire, mes doigts agrippent le bouton de son jean gris impatiente de le libérer. Bien sûr, je ne peux pas m'empêcher de le taquiner avant d'y parvenir à mes fins.

Avec un petit sourire en coin et des yeux provocateur, je laisse ma main s'attarder sur son renflement.

— Maëva, grogne t-il de plaisir.

Sa main s'attarde sur mon mamelon en représailles, je gémis doucement. Il en profite pour m'enlever sa chemise. Ne pouvant plus attendre, j'arrache littéralement le bouton de son jean.

Un rire amusé s'échappe de ses lèvres, tandis que mes joues rougissent. Mais un sourire malicieux étire mes lèvres pendant qu'il retire son polo bleu.

Je laisse mon regard dérivé sur son torse musclé à ma guise, sans esquisser le moindre geste… hormis respirer.

Antoine s'impatiente devant mon inaction. Il finit de se libérer de son jean et de son boxer tout seul. À la vue de son membre gorgé de sang, un gémissement de plaisir m'échappe et mes parois intimes humides se contractent en signe d'anticipation.

Avant que mes jambes n'obéissent plus à mes ordres, je lui saute dans les bras. Antoine passe instantanément ses mains sous mes fesses pour me réceptionné. J'enroule mes bras autour de son cou avant de l'embrasser.

Un gémissement de plaisir nous échappent simultanément quand nos membres se frottent l'un contre l'autre.

Antoine délaisse mes lèvres pour embrasser mes épaules dénudées. Ses lèvres douces embrase ma peau de ses baisers passionnés. Je frémit et gémis.

Quand il s'insère en moi, mon souffle se coupe et mon cœur menace de s'échapper de ma cage thoracique. Un long gémissement de plaisir glisse de mes lèvres alors que mon corps frémit.

Chaque centimètres de son membre s'enfonce profondément en moi, son membre me remplit entièrement de sa présence et rien que la sensation peut suffire à me provoquer un orgasme.

Le gémissement rauque qui résonne contre mon oreille m'excite également. Une fois qu'il est entièrement en moi, ma tête bascule en arrière alors qu'un long gémissement quitte ma bouche.

— Ah… ai-je laisser échappé.

Mes parois intimes se resserrent involontairement autour de son membre. Antoine laisse glisser un long gémissement rauque contre mon oreille en réponse à cette sensation intense.

Mon corps est couvert de chair de poule, mon intimité le travaille en se resserrant autour de son membre avant de se relâcher une nouvelle fois.

Il commence à s'insinuer langoureusement en moi. Mes paupières papillonne à chacun de ses mouvements, un gémissement de plaisir quitte continuellement ma gorge. Mon corps se détend, ma peau est couverte de frissons et frémit.

Quand son membre dur se contracte profondément dans mon corps, mon intimité imbibe mes parois intimes de mon excitation. Mes mains sont agrippés fermement à son dos musclé.

Son gémissement rauque contre mon cou me fait gémir de plaisir en réponse.

— Antoine…

13h30.

— Tu peux me passer le sel s'il te plaît ?

Antoine me fait langoureusement l'amour contre le mur de la salle de bain, mon corps est en feu et mon intimité es…

Un claquement de doigt juste devant mes yeux, me fait sursauter de surprise.

— Maëva tu m'écoutes ? s'enquit Kylian.

Je cligne des yeux, quittant mon train de pensée. Je regarde autour de moi, et je suis étonnée de constater que tout le monde me regarde avec inquiétude. Tout le monde, sauf Antoine qui est apparemment amusé de la situation embarrassante dans lequel je suis.

— Hein ? ai-je souffler, interloquée.

— Ça fait plusieurs minutes que tu remue ce morceau de viande dans ton assiette, tu es sûre que ça va Maë ? demande Kylian avec inquiétude.

Je regarde mon assiette et constate qu'effectivement je maltraite un morceau de boeuf dans mon assiette. J'ai pas remarqué que je n'avais encore rien mangé depuis que je suis assise ici.

Un grand sourire étire mes lèvres.

— Je vais bien, j'étais juste entrain de réfléchir à quelque chose, ai-je déclaré.

J'espère pouvoir en rester là, mais malheureusement ils sont aussi curieux aux potins que nous les femmes. Ah…

—  À quoi ? s'enquit Paul, sans me laisser le temps de souffler une minute.

Les rouages de mon cerveau jusque-là embrouillé tourne à plein régime pour trouver une quelconque échappatoire.

— Je pensais… aux prénoms pour notre bébé avec Antoine, ai-je déclarer.

— Oh… disent-ils à l'unisson.

Antoine sourit avec amusement, il se retient visiblement de rire car il sait que je mens et c'est le seul qui le sait. Je souris en retour en plissant les yeux.

— Quel prénom ? s'enquit Dimitri.

Il me regarde avec curiosité, apparemment il n'a pas remarqué mon contact visuel avec Antoine.

— Je pensais à Zahra, ai-je dis.

— Zara le magasin ? s'enquit Ousmane.

Des rires fusent en réponse à sa remarque. Je tends le bras pour le frapper sur la tête, mais il esquive le coup.

— Eh bien la grossesse te ralentit ? demande-t-il d'un ton provocateur.

Je plisse les yeux vers lui en réponse. Je me lève lentement de mon siège, Ousmane n'attends pas son reste. Il s'enfuit, sans même remarquer que je me suis juste rassise à ma place.

Tout le monde rigole devant sa course en retrait et de mon visage suffisant.

Enceinte ou non, je ne compte pas laisser les gens penser que je suis faible.

Parce que donner la vie à un autre être humain, supporter à la pire douleur qui existe au monde et continuer de vivre…

Est la chose la plus incroyable que nous les femmes pouvons faire et qu'aucun ne peut espérer comprendre et réaliser.

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😱 OH ......... MY ......... GOD !!! 😳
Je viens juste de relire les chapitres précédents et je réalise que... bon sang ça me pique les yeux, alors je veux même pas imaginer pour vous !! 🙈🤣
C'est moi... moi j'ai écris ça ?! 😱
Je pense qu'une réécriture s'impose ! Si non au fil de la lecture, les nouveaux vont penser que c'est 2 personnes qui écrivent alors que non 🤣🤣

Bon plus sérieusement, je tiens à remercier mes fidèles lecteurs qui lisent toujours mon livre. J'espère que ma longue période blanche, vaut la chandelle avec ce nouveau chapitre 😎

Je ne promets pas d'être régulière, mais je vais essayer d'aboutir la fin de ce tome au mois de février maximum, après si c'est plus tôt c'est mieux 😉

Restez connecter je vais revenir avec d'autres chapitres plus intéressants, il faut juste que je relise mon livre et voir où j'en suis (oui oui même moi je ne sais plus ce que j'ai écris 🤣🤣🤣)

_______________🌟🌟_______________

PS : Tout ce que j'ai écris en fin de chapitre était avant la finale qu'on a malheureusement perdu… je suis toujours triste, mais je suis fière d'eux d'avoir défendu leur titre de champion du monde jusqu'à la dernière seconde possible. J'aurais aimé qu'il y ait une meilleure fin à cette finale incroyable en émotions et en rebondissements, mais c'est comme ça 💔

PSS : Durant toute la communion lundi, Kylian n'a pas sourit une seule fois, il est dégouté et je le suis aussi pour lui. Il a tout donné, il nous a redonner de l'espoir. Il nous a transporté de son talent et de son leadership au moment où on en avait le plus besoin. Kylian Mbappé n'est plus notre joyau français, il est devenu notre goat, il reviendra, les Bleus reviendrons et nous serons tous là pour les encourager 🇫🇷💪🏾

La troisième étoile et notre trophée on la ramènera à la maison grâce à Kylian Mbappé, Antoine Griezmann, Ousmane Dembelé, Randal Kolo Muani, Dayot Upamecano, Ibrahim Konaté, Aurélien Tchouaméni et tous ceux qui viendront remplacer nos cadres actuels. 🌟🌟

Les argentins ont gagner, peu importe combien c'est douloureux, peu importe combien cette phrase me dérange, on n'y peut rien. C'est trop tard … 😭

Il faut se servir de cette défaite, comme d'une leçon à ne pas reproduire dans le futur (comme s'entraîner sérieusement aux tirs aux buts pour commencer !)

On gagne ensemble, on perd ensemble et ensemble on reviendra reprendre notre trône de champion 🇫🇷🇫🇷🇫🇷

La paix sur vous, on reste respectueux malgré la défaite surtout envers les joueurs qui représentent notre pays, peu importe leurs origines ils ont grandit, ils ont vécu sur le sol français. Ce sont pas leurs parents qui jouent, ils sont libres de jouer où bon leur semble.

On reste unis !!!
👑 🇫🇷 🌟 💪 🔥

भारतीय वंशज

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