T2 | 2-2 | Visite
Istra, Russie,
Antoine Griezmann,
11.06.18, 16h10.
On se prend une bonne douche. On se lave mutuellement et on s'embrassent. L'eau coule abondamment sur nos deux corps.
Je lui mordille le cou avec un sourire.
J'ai encore envie d'elle, ai-je pensé.
Je la hisse dans mes bras pour la plaquer contre le mur de la douche. Le sourire contre mes lèvres indique qu'elle a compris mon intention.
On refait l'amour cette fois-ci sous la douche en oubliant l'heure à laquelle nous devions rejoindre les autres.
17h10.
Je regarde l'amour de ma vie mettre son haut rouge à manches longues. Sa beauté naturelle me coupe encore le souffle. J'allais mettre ma veste de survêtement quand je remarque quelque chose qui me fait sourire.
Pendant qu'elle mets ses boucles d'oreilles, j'observe les suçons présents sur la totalité de son cou.
Je mets ma veste de survêtement sur ses épaules en l'enlaçant par derrière.
— Je pense qu'aujourd'hui tu devrais laisser tes cheveux détachés, ai-je murmurer dans son oreille.
— Quoi ? Pourquoi ? demande-t-elle, troublée par ma soudaine proximité.
Je repose mon visage dans le creux ee son cou pour respirer profondément l'odeur du bain qui persiste contre sa peau. Je pose un baiser contre son cou.
— Parce que tu as pleins de suçons sur ton cou, ai-je murmurer contre son cou.
Je sens les frissons que ça lui procure. Je souris heureux de pouvoir la perturber assez pour qu'elle perde sa lucidité.
— Hein ? dit-elle vaguement.
— TOK TOK TOK !!
On sursaute au bruit soudain qui provient de la porte.
— C'est qui ? ai-je demander.
— C'est Dimitri ! Bon on vous attend depuis dix minutes en bas pour visiter, vous faites quoi là ? demande-t-il, d'un ton agacé.
On se regardent en panique. Je pense que j'ai blanchi. Je mets de la distance entre nous pendant qu'elle enfile rapidement ma veste de survêtement.
Maëva coiffe ses cheveux légèrement humides pour qu'il protège intégralement son cou. Ça fonctionne.
Je regarde mon pantalon pour voir si il y a rien qui cloche et c'est bon également. Je déverrouille la porte et ouvre la porte pour tomber nez à nez avec mon futur beau-frère, Dimitri.
Beau-frère qui abord un air renfrogné avec les bras croisés sur son torse.
— Que faisiez vous depuis tout ce temps ? Pourquoi la porte était-elle fermés ? demande Dimitri d'un ton lent en me regardant fixement.
On dirait qu'il est suspect de quelque chose, j'espère qu'on a été suffisamment silencieux et puis... attend on va se marier, pourtant on ressemble à des adolescents pris en flagrant délit de faire l'amour par ses parents ! ai-je pensé.
— On s'est pris une douche, ai-je dis avec un sourire que j'espère convainquant.
J'espère qu'il ne sait pas qu'on a fait plus que prendre une douche, ai-je pensé.
Il ne me sourit pas en retour. Ses yeux se contente de se diriger vers sa sœur. Ils s'adoucissent à sa vue. Maëva va lui faire un câlin.
J'essaie de ne pas paraître stressé et je garde un sourire sur le visage.
Putain j'espère qu'il ne verra pas les marques, ai-je pensé anxieux.
Ils s'éloignent après de longues secondes interminable. Maëva revient ensuite dans mes bras.
— Tu sais que je ne prend jamais la douche sans fermer la porte à clefs Dimitri, répond Maëva à son frère.
Dimitri relâche légèrement son air renfrogné en regardant sa sœur.
— Il y a qu'une salle de bain, nous devons partager et tu sais à quel point je peux prendre du temps à l'intérieur, continue Maëva en souriant tranquillement.
Dimitri sourit et rigole au souvenir.
— Je me rappelle qu'une fois tu avais pris deux heures dans la salle de bain, rigole Dimitri.
Maëva lui tire la langue et j'essaie de ne pas avoir de réaction autre que rigoler.
— Aller venez on va visiter, dit-il en partant devant nous.
On se regardent brièvement en souriant avant de sortir après Dimitri.
On ferme la porte à clefs et on rejoint Dimitri dans l'ascenseur pour descendre.
Le silence est extrêmement gênant. Après tout qu'est-ce qu'on est censé dire à son futur beau-frère après avoir fait l'amour à sa sœur pendant deux heures ?
Salut mec, il y a dix minutes j'étais en elle, je lui ai procurer trois orgasmes en l'espace d'une heure aujourd'hui, et toi de ton côté qu'as-tu fais ? ai-je pensé.
Un immense sourire apparaît sur mes lèvres et je regarde Maëva amoureusement.
— On est arrivé mec, annonce Dimitri.
Je détourne les yeux de ma princesse pour regarder autour de nous. La porte de l'ascenseur est ouvert et Dimitri nous regarde en attendant que l'on sortent.
On sort rapidement quand Paul fait une remarque inattendu.
— Bah Maëva pourquoi tu boites ? demande-t-il avec un regard inquiet.
Oh mierda, ai-je pensé.
Tout le monde nous regarde. Enfin ils regardent tous Maëva.
J'imagine qu'ils pensent qu'elle est tombée dans les escaliers et je ne sais pas quelle supposition est pire.
Qu'ils pensent qu'elle est tombée à nouveau ou que l'on est fait l'amour ?
— Je me suis cogner le genoux mais ce n'est que passager, répond-elle calmement avec un sourire serein.
Pourtant je sens sa main trembler dans la mienne et je reste admiratif de sa capacité à démontrer son stress aux autres.
— Tu es sûre ? demande aussitôt Dimitri avec un regard inquiet, prêt à me botter le cul rapidement si c'est de ma faute.
Eh bien oui mais pas comme il semble imaginer... il ne manque plus qu'il pense que je l'ai frappé ou poussé !
Je l'ai poussé mais à l'intérieur ... euh oublie Antoine ou tu es foutu, ai-je pensé.
— Oui je suis sûre, ne t'en fais pas, ça ira mieux demain ! s'exclame-t-elle.
— D'accord mais j'insiste pour que tu te fasse examiner le genoux. Kylian a dit qu'il t'a entendu gémir dix minutes plus tôt dans la pièce d'à côté, dit Dimitri.
Je cligne des yeux à l'extérieur, mais à l'intérieur de ma tête je me tape le front.
— Si tu veux, répond Maëva en haussant les épaules avec un soupir.
Je vais prendre des notes sur elle. Oui.
Dix minutes plus tard...
— Tu vois je te l'avais dis, crit-elle d'un ton suffisant à son grand frère.
— Pas besoin de hurler, répond brusquement Dimitri d'un air grognon.
Maëva se contente de rire.
— Aller fait pas la tête tu sais que j'avais raison mais tu as essayer. Viens faire la visite de l'hôtel ça va te dérider, fit-elle.
Dimitri lui tire la langue d'un air enfantin, nous faisant tous éclater de rire.
— Si vous voulez bien me suivre madame et messieurs, nous commenceront la visite guidée par l'extérieur, nous indique respectueusement le maître d'hôtel.
— Voici la piscine de l'hôtel, ici se tri l'endroit disponible pour faire un barbecue en plein air, nous montre le gentil monsieur avec son fort accent.
Il nous laisse le temps de voir et reconnaître notre chemin avant de continuer vers d'autres lieux.
— Voici le terrain de basket, dit-il avant de se faire interrompre.
— Un terrain de basket ?! Mais c'est... commence Paul avant que je ne le coupe.
— Trop cool ! ai-je finis pour lui.
Le maître d'hôtel russe sourit à notre enthousiasme. Maëva secoue la tête en riant avec les autres joueurs et Didier.
— Je suis sûr que le président à installer le terrain rien que pour vous deux, plaisante Didier en souriant.
— Vraiment ? fit Paul.
— Je ne sais pas, qui sait, dit Didier en regardant son collègue Guy Stefan.
Il hausse les épaules en riant.
Paul fait la moue. On éclate de rire.
Pendant les deux heures qui ont suivis, nous avons découvert que l'hôtel possède un beau restaurant à l'ambiance chaleureuse, une belle terrasse avec barbecue, une grande salle de réception.
Une salle pour discuter de la tactique de jeu avec l'équipe, un jaccuzi juste à côté d'une grande piscine intérieure avec des transats en perte de vue, une piscine extérieure grandiose, un sauna, une salle de sport, un institut de beauté, une super salle de cinéma et le grand hall où on est arrivé composer de plusieurs canapés qui semblent confortables.
À 19h, nous nous sommes détendus dans les fauteuils de l'entrée en attendant que le repas soit prêt.
Maëva s'est installée dans mes bras, la tête sur mon épaule avec mon bras autour de son épaule. Son frère est assis juste à côté d'elle à l'opposé de moi.
Je joue avec les cheveux de ma princesse pendant que je parle à Paul qui s'est affalé juste à côté de moi.
Une fois le dîner annoncé quelques minutes plus tard, nous allons nous installer comme nous voulons.
Maëva est assise à côté de moi comme d'habitude et son frère est assis encore une fois à côté d'elle de l'autre côté.
Paul est assis en face de moi et fait des blagues. Le dîner se passe dans la bonne humeur avec les blagues de Paul.
On a gouter à une spécialité russe.
Ça s'appelle un Golubsty.
C'est une sorte de rouleau de printemps à la russe. La farce se compose de viande hachée et de riz, ensuite enveloppés dans des feuilles de chou.
Au premier abord, de loin, ça ressemble à des nems. De près, à des saucisses de Strasbourg un peu trop cuites.
Mais contre toutes attentes, c'était bon ! Donc...
On s'est dit bonne nuit après ça, parce que demain il faudra qu'on se fasse examiner par le staff médical, qu'on s'entraînent pour le premier match de ce mondial.
Donc là, il n'est que 20 heures et je n'ai pas encore sommeil.
Donc avec Maëva, Paul et Kylian on joue au monopoly que Paul a emmener avec lui dans sa valise.
Pourquoi il a décidé d'emmener ce jeu parmis tout ce qu'il a, m'est encore inconnu pour l'instant.
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antogriezmann On s'immerge dans les traditions russes le temps d'un repas 😁 #golubsty #pasmal #même #silyaduchoux
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maepayet Moi aussi je suis étonnée 😂
psyché_2004 Beurk des feuilles de chou 😂🤢
IL Y A 3 HEURES
23h45.
— Eh bam tu me dois 20 000 francs Paul ! s'exclame Maëva en tendant la main dans sa direction.
Paul fait la moue mais lui tend à contrecœur les billets demander.
— C'est ce qui arrive quand tu la laisse acheter toutes les gares du jeu, ai-je dis en riant des autres.
— Toi ne fais pas le malin parce que tu n'es pas loin de la Rue de la Paix, me réplique aussitôt Paul.
Je regarde le jeu et constate que si je fais 6 cases de plus je devrais payer la maudite somme de 40 000 francs parce qu'il a les deux cartes. Il n'en est pas question !
Puisque c'est mon tour, je prends les dés et les envoie sur le plateau en espérant que ça ne fait pas 6.
7 !
Je tire la langue à Paul en avançant joyeusement mon pion à la case départ où la banque, Kylian, me crédite 20 000 francs.
Paul se contente de bouder pendant que Maëva rigole de nous.
— Maintenant c'est toi qui doit faire la gaffe Paul tu n'est pas loin de mes propriétés vertes ! ai-je dis en le narguant avec un sourire.
— Attend une minute Grizou c'est à mon tour de jouer, dit Kylian.
Il lance les dés et récole un double 5. Il avance jusqu'à la case Avenue Henri Martin, je regarde mes cartes et je souris largement.
— 30 000 francs, ai-je dis en tendant la main joyeusement.
— QUOI ? crit Kylian en me regardant avec incrédulité.
— Bah quoi j'ai deux maisons sur cette case tu n'as pas vu ? ai-je demander en lui souriant.
Il souffle avant de me donner l'argent à contrecœur. Je prends les billets mais il ne les lâche pas.
— Euh donne les ? ai-je ris.
Il me lâche les billets, tandis que je compte joyeusement la totalité de mon argent. J'ai 320 000 francs.
Je souris en regardant Kylian relancer les dés sur le plateau. Il fait un 6 et il tombe sur la case...
Prison !
Je ne peux pas m'empêcher d'éclater de rire à sa mine abattu. Maëva est aussi morte de rire que moi et ça me rassure forcément !
— Je trouve pas ça drôle Antoine ! dit-il en fronçant les sourcils.
Il met à contrecœur sa botte sur la case prison et croise les bras.
— Si tu voyais ta tête ! ai-je ris.
Maëva lance les dés en essayant de réprimée son fou rire. Elle récolte le chiffre 9 pour atterrir à la case Compagnie des distribution des Eaux où elle doit payer quand même 15 000 francs.
Je ne rigole pas parce que j'ai pas envie de dormir sur la canapé cette nuit. Je la connais ma chérie.
Elle les dépose à contrecœur au centre du plateau en boudant.
Ses lèvres pulpeuses me distrait momentanément avant que Paul lance un gros mot quand il voit le chiffre qu'affiche les dés jetés.
Le numéro 6. La case verte Avenue de Breteuil. Ma propriété qui possède déjà une maison !
Je lis joyeusement le prix qui se trouve sur ma carte et tends la main.
— 13 000 francs mon cher Paul, me suis-je exclamé d'un ton enjoué.
— QUOI ? s'écrit-il en me regardant.
Je lui montre la carte pour qu'il puisse voir bien en évidence le montant qu'il doit me payer.
Il donne un billet de 20 000 à Kylian pour faire la monnaie.
Il ne lui reste sans doute que 5 000 francs avec tout ses petits billets rouges et violets devant lui. Je rigole quand il me rend la monnaie, ou plutôt qu'il me les jette d'un air grognon dans ma direction.
— Oh ne sois pas si mauvais perdant Paul, tu auras peut-être ta revanche une prochaine fois... si tu as de la chance ! ai-je ris.
— Obligé que vous tricher Maëva et toi ! ronchonne Paul pas content.
— Ouais ! approuve Kylian.
Je lève les yeux au ciel avant de regarder Maëva avec amusement.
— T'entends ces mauvais perdant ? Ils nous soupçonnent de tricherie ! ai-je dis en souriant.
— Ils n'acceptent pas qu'on soit plus talentueux à ce jeu qu'eux, laisse les rager, répond-elle en riant.
— On n'est pas des mauvais perdant ! s'écrient ils, synchronisés.
— Mais bien sûr, avons nous dit Maëva et moi simultanément.
Je récupère les dés et les lance au milieu du plateau. Je récolte un double 4, j'avance mon pion bateau jusqu'à la case Rue de Courcelles.
— Ah ! La chance tourne enfin pour moi ! s'exclame Kylian.
Il regarde ses cartes de propriété.
— Tu me dois 2 400 francs, dit-il.
Je hausse les sourcils, surpris.
— Quoi c'est tout ? ai-je dis.
Sa bouche s'ouvre alors qu'il me regarde avec indignation.
Je lui tend les billets avec des yeux rieurs, après tout je suis le plus riche dans le jeu avec Maëva.
— Désolé si je n'ai pas encore acheté de maison, s'indigne Kylian.
Je lui souris simplement. Je relance les dés et récolte un 8. J'avance mon pion jusqu'à la gare de Lyon où je paie les 20 000 francs à ma princesse qui sourit.
Kylian lance les dés en espérant faire un chiffre double pour sortir de prison, mais il ne fait que quatre.
Maëva récupère les dés et les mélange avant de les lancer.
Ça fait 4 ! Elle tombe chez moi avec son pion de voiture.
La case de Foch. Sans maison.
— Tu me dois 2 600 francs, ai-je dis.
J'attends qu'elle pose l'argent sur la pile puisqu'elle est juste à côté de moi. Elle fronce les sourcils en déposant l'argent à contrecœur.
— C'est pas juste pourquoi toi tu pas déjà 5 maisons et moi que 2 ? demande-t-elle avec curiosité.
— Parce que je tombe de temps en temps chez moi ? ai-je répliqué.
Elle penche la tête sur le côté en faisant une moue, comme si elle concédait mon point valable.
Paul me regarde comme s'il me défendait de se moquer de lui. Comme si c'était ce qui allait m'empêcher de rire de lui. Il lance les dés et avance de 2 cases.
Il récupère une carte de la caisse de communauté et lis la carte.
— Recevez votre revenu annuel de 10 000 francs, dit-il en souriant.
Kylian lui donne le billet, billet qu'il met devant lui avec joie.
Je lance les dés à mon tour et je tombe sur le chiffre numéro 5.
Je souris largement en posant mon pion sur la case Parc gratuit.
Je récupère tout l'argent joyeusement, tandis qu'ils me regardent tous méchamment.
Je compte l'argent total et je me retrouve avec 543 800 francs !
— 543 800 francs ! Je suis plus riche que vous ! me suis-je exclamé.
Je me trépigne de ma place sur le canapé en agitant mes mains comme ma célébration avec le téléphone quand je marque un but.
Maëva secoue la tête devant mon bonheur tandis que Paul et Kylian me regardent agacés et jaloux.
— TOK TOK TOK !!!
On se figent tous quand quelqu'un frappe à la porte de la chambre.
— Bon les gars il faut aller dormir, on se lève à 7 heures demain ! nous gronde Didier, sa voix est étouffée à travers la porte en bois.
On se regardent en silence jusqu'à ce qu'on entendent ses pas s'éloigner jusqu'à sa chambre plus loin. On entend sa porte qui se ferme résonner dans le couloir.
Je regarde l'horloge mural qui annonce qu'il est déjà 00 : 10.
— On compte tous notre argent ? Même si on sait déjà que Antoine est le plus riche d'entre nous, demande Maëva en souriant.
Je souris victorieusement.
— Ouais vas y, dit Kylian.
— Moi de toute façon j'ai que 15 000 francs, dit Paul en boudant.
Kylian compte ses billets et Maëva en fait de même avec les siens.
— J'ai 175 500 francs, dit Kylian.
Je regarde Maëva continuer de compter ses cartes en souriant.
Je regarde la façon dont elle fronce les sourcils et qu'elle se mord la lèvre inférieure dans sa concentration.
— Moi j'ai ... 452 400 francs, finit t-elle par annoncer en souriant.
Je souris en l'embrassant sur la joue.
— On est les deux meilleurs chérie ! me suis-je exclamé.
Elle sourit largement avec mon enthousiasme contagieux.
On finit par se hâter de ranger le jeu dans sa boîte pour que les gars puisque rentrer dans leur chambre pour éviter de se faire, un peu plus, engueuler par Didier.
On se souhaite une bonne nuit, avant que Maëva et moi on ne rangent les bouteilles de soda vide dans la poubelle ainsi que les paquets de chips vides sur la table.
Si Didier les voyait, il nous donnerait une de ses conférences hyper ennuyeuses et longues.
— On s'est bien amusé aujourd'hui hein ? dis-je en souriant.
Maëva s'approche de moi avec un sourire aux lèvres qui répond déjà à ma question. Elle pose ses bras autour de mon cou, je passe mes bras autour de sa taille.
— Absolument, dit-elle en souriant.
Et elle s'empare de mes lèvres.
// 3208 mots //
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Voilà j'ai réussi à poster deux chapitres ce mois-ci 🤗
J'espère que vous allez bien psychologiquement et physiquement 🙂
J'espère que ce chapitre vous aura, n'oubliez pas de me donner votre avis dans les commentaires
On se donne rendez-vous au prochain chapitre, bonne soirée 😎😘
भारतीय वंशज
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