T2 | 16 | Entraînement intensif 😏🔞

Âmes sensibles s'abstenir de lire le chapitre, j'ai oublier de le rappeler au chapitre précédent. ⚠

Maëva Payet,
01.07.2018, 17h10.

Je souffle de soulagement. Je ferme mon ordinateur après avoir fini d'actualiser le site.

Je me lève du lit en gémissant encore des derniers rapports.

Il n'a pas menti en disant que j'allais boiter, ai-je pensé, amusée.

Je mordille la lèvre inférieure en me souvenant de l'intensité de ses mouvements de hanches en moi.

Après manger, j'ai eu le temps de prendre une douche pour me rafraichir un peu et me laver les cheveux entretemps, ils me grattaient depuis un moment.

Antoine et Ousmane on fait une sieste ensemble dans le jardin.

Ousmane m'avait demandé s'il pouvait "l'emprunter" pour faire la sieste, c'est drôle comment il a fait maintenant que j'y pense.

À ce qu'il paraît Paul a filmer Antoine en le taquinant en lui disant de dormir dans son lit la nuit. Paul et Kylian on fait le "L" de sa célébration en référence au lit, pendant qu'il dormait.

Mais bon revenant dans le présent. Je cherche… une idée.

Une idée de comment m'habiller.

La porte de la chambre et Antoine rentre en souriant joyeusement.

Au pire j'attendais quelques minutes pour y réfléchir, ai-je pensé.

Antoine ferme la porte à clé pendant que j'entends le rire de Kylian résonné dans le couloir.

Je souris.

— Qu'est-ce que Kylian a fait cette fois ? ai-je demander, amusée.

Il hausse un sourcil, curieux.

— Cette fois ?

— Dimitri m'a dit que Kylian et Paul t'ont filmer pendant que tu faisait la sieste avant la séance de récupération, ai-je répondu.

Antoine lève les yeux au ciel en retirant ses crampons de ses pieds. Antoine les rangent aussitôt.

Je vois que je l'ai traumatisé à propos d'eux, ai-je pensé, amusée.

Je n'aime pas les chaussures sales ou propres qui trainent partout. Surtout que j'aime beaucoup de tant en temps marcher pieds nus.

J'avoue je suis un peu maniaque au sujet de la propreté du sol, de la chambre… et même de la maison.

— Pourquoi ils n'ont pas filmer Ousmane ? Il dormait juste à côté sur le transat opposé ! s'écrit-il.

— Parce que c'est Paul ! ai-je dis, comme si c'était une évidence.

C'est le cas : Paul est l'un de ses meilleurs amis. Pas Ousmane.

Antoine se contente de sourire. Il a dû penser la même chose.

— Je vais prendre une douche je pue la transpiration, dit-il.

Il renifle ses aisselles et grimace.

En passant pour aller à la salle de bain, il m'embrasse sur le front.

Une idée me vient à l'esprit.

Je vais mettre une lingerie qui ne me fera pas mal au cœur s'il vient à le déchirer avec son impatience.

Comme mon string bleu, ai-je pensé. J'aurais pensé qu'avec le bleu il serait plus… calme. Bah c'est raté ! Après… il ne l'a pas vu !

Je regarde ma table de chevet où j'ai ranger mes sous-vêtements. Je prends un assortiment bleu roi.

Je l'ai en double exemplaire donc il peut être… sacrifier. Je rigole.

Je l'enfile tranquillement sur moi.

Je me couche sur le lit et je regarde mon compte instagram en attendant qu'il termine sa douche. Je reste un peu choquée, mais je m'y attendais déjà.

La photo avec la musique que j'ai posté hier soir à déjà passer la barre des 2 millions de "LIKES". Avec plus de 4 210 commentaires.

Positif… comme négatif.

Je m'en fou des avis négatif. Ces rageux envient ce que tout le monde possède de plus qu'eux, que ce soit en terme de richesse, de pouvoir, ton physique ou ton caractère. Même ton intelligence.

Cependant, les avis positifs font chaud au cœur, donc je les "LIKE".

Je souris en les lisant.

Je mets mon portable sur le mode silencieux quand j'entends l'eau s'arrêter. Je prends une pose un peu nonchalante sur le lit.

Je me souviens qu'il a oublié de prendre des vêtements. Et ça m'étonnerait qu'il remette sur lui sa tenue d'entraînement pleine de transpiration et de terre sécher.

Quand il sort de la salle de bain avec rien d'autre qu'une serviette mouillée autour de la taille, je ne peux que le dévorer des yeux, pendant qu'il fait pareil avec moi.

En plus la manière qu'il rejette ses cheveux mouillée en arrière est beaucoup trop sexy. Je souris.

Je suis la seule qui peut le voir aussi déshabillé, comme il est le seul qui peut me voir, ai-je pensé.

Je relève les yeux de son torse musclé pour le regarder. Il a un sourire narquois aux lèvres.

Je l'ai sûrement trop longuement admiré pour son égo, ai-je pensé.

— Tu aimes ce que tu vois ? demande-t-il en souriant.

— Totalement et toi ? ai-je demander en retour, en souriant.

Antoine me regarde longuement et s'avance lentement jusqu'à moi.

À chaque pas qu'il fait, je vois quelques gouttes d'eau coulés encore de ses cheveux. Mon pouls s'accélère quand il s'approche.

Antoine caresse mon visage avec sa main avec un sourire niais.

— Totalement, répond-il.

Je me redresse sur le lit. Je mets mes jambes de chaque côté de lui et je m'approche devant lui.

Je caresse son torse du bout des doigts en descendant lentement à sa taille et de sa serviette de bain.

Ses muscles se contractent sous mes doigts et la serviette bouge. Je souris en sachant qu'il est excité.

Je viens embrasser ses hanches délicatement et son corps frissonne pendant qu'il gémit.

— Tu es sûre… que c'est une bonne idée ? Tu peux à peine marcher déjà, dit-il doucement.

Antoine me caresse les cheveux doucement. Je frotte légèrement son membre à travers la serviette de bain qu'il porte et il grogne.

— T'auras… qu'à me porter pour aller manger… ai-je chuchoter en embrassant son bas-ventre.

Il gémit. Je le regarde intensément et ses yeux pleins de désir se plongent dans les miens.

— Si c'est ce que madame veut… madame l'aura, dit Antoine.

Un sourire en coin étire mes lèvres. Je le regarde faire tomber la serviette de bain de sa taille.

Je tombe nez à nez avec son membre dressé fièrement.

Je souris malicieusement en voyant l'effet que j'ai sur lui, alors que je l'ai à peine touché sa peau.

Je caresse du doigt son membre et il gémit doucement à mon touché.

Je caresse plus son membre dur en le taquinant toujours. Il gémit avec force et ses mains agrippent doucement mes cheveux.

Je regarde sa réaction quand je le prends dans le creux de la main. Il rejette la tête en arrière et gémit doucement à mon touché.

— Maëva… gémit Antoine.

Je souris. Je le caresse lentement de haut en bas et il grogne en me regardant dans les yeux.

Sous ses yeux, je pose des baisers du bout des lèvres le long de son membre par des petites touches.

Ses yeux roulent dans sa tête, sa tête bascule en arrière une nouvelle fois et ses lèvres s'entrouvrent un peu en gémissant.

— Maëva, gémit t-il bruyamment, sa voix dans un grondement bas.

Encouragée par ses gémissements de plaisir, je sors légèrement ma langue à travers mes lèvres pour déposer des baisers légers et humides le long de son membre.

Je m'arrête toujours au sommet et la frustration d'Antoine augmentent un peu à chaque fois.

Antoine ne fait que gémir de plaisir. Il semble être, comme, transporter au paradis. Sa peau est déjà devenue rouge. Il devient encore plus dur dans ma main.

Mon souffle chaud caressent son membre sensible le fait gémir.

Ses lèvres sont entrouvertes et mon prénom sort toujours en gémissant de sa bouche. Ses sourcils sont toujours froncés.

En le voyant prendre du plaisir, je deviens encore plus excitée. Je sens que mon string est humide.

Ses yeux noirs de désir me fait gémir. Mon gémissement fait vibrer son membre et il grogne.

Avec un élan d'audace, en soutenant ses yeux, je caresse d'une main ses bijoux de famille et je caresse son érection encore plus tendu de l'autre main.

J'embrasse l'intérieur de ses cuisses. Le tout lentement.

Des grognements sortent librement se sa bouche. Je sens un frétillement à sa jambe remonter des milliers de frissons sur sa peau. Je souris, satisfaite.

Antoine attrape mes mains soudainement en grognant.

Je fais la moue en le regardant. Il me regarde intensément avec ses yeux pleins de désir pour moi. Mon ventre se contracte de désir.

— À ton tour … murmure t-il avec sa voix rauque de désir.

Il me pousse doucement sur le lit, je me retrouve allongée sur le dos avec lui entre mes jambes.

Comme escompté, il déchire le string avec indifférence. Je souris en me léchant un peu les lèvres.

Antoine regarde attentivement les mouvements de ma langue sur mes lèvres avec un regard captivé.

Il embrasse mon front doucement. Il embrasse chaque parcelles de ma peau lentement, jusqu'à arriver à mon bas-ventre.

Au sourire taquin sur ses lèvres, je devine qu'il va peut-être me faire rembourser la taquinerie sur lui d'il y a quelques minutes.

Je retire mon soutien-gorge, il irrite mes seins sensibles et durs.

Antoine sourit d'un air taquin. En me gardant captive de ses yeux, il embrasse l'intérieur de ma cuisse. Il caresse mon intimité frémissante du bout des doigts.

Je gémis doucement de plaisir. J'attrape ses cheveux dans mes mains. Je me mordille la lèvre inférieure légèrement en frissonnant de pur plaisir.

Sans me quitter des yeux, Antoine lèche légèrement l'intérieur de ma cuisse. J'attrape plus vigoureusement ses cheveux.

Il s'arrête un moment. Me regarde intensément avec ses yeux noirs.

Il vient titiller mon clitoris avec ses longs doigts. Mes yeux se révulses dans ma tête de plaisir et je gémis bruyamment de plaisir.

— Putain… ai-je gémis avec force.

Antoine sourit. Il remonte sa main libre vers ma poitrine pour me caresser un sein. Ses doigts titille mon mamelon lentement.

— Antoine… ai-je gémis.

Je remue mes hanches contre ses doigts taquins. Il me satisfait, enfin, en plongeant ses doigts profondément dans mon intimité.

— Bon sang ! me suis-je exclamée.

Il se lèche les lèvres en me regardant dans les yeux. Je me mouille encore plus, excitée. Il sourit en sentant mon humidité contre ses doigts. Il fait des mouvements langoureux.

Mon corps est en feu et parcouru par des milliers de frissons. Je me tortille encore contre ses doigts.

— Antoine … ai-je grogner.

Il me sourit, d'un air satisfait. Sa main caresse une fois de plus mes lèvres intimes. Il enfonce encore plus profondément ses doigts en moi. Mon corps est alors pris de frissons incontrôlable.

Je grogne bruyamment en fermant les yeux au plaisir incroyable.

Je saisis les draps fermement dans mes mains pendant que je gémis. Quand sa main libre vient titiller mon clitoris sensible, mon monde bascule immédiatement.

Mes yeux roulent dans ma tête et un orgasme déferle en moi.

— ANTOINE ! ai-je crié avec force.

Mes jambes se resserrent autour de sa main, mais il réussit à les maintenir fermement d'une main.

Il vient ensuite me léché, buvant ainsi mon nectar joyeusement.

Je le regarde impatiemment. Quand il remonte à mes lèvres, je le pousse immédiatement sur le dos pour chevaucher ses hanches.

Je l'embrasse avec passion, qu'il me retourne sans réserve. Il caresse mon dos des mains.

Je me frotte frénétiquement contre son membre. Il grogne bruyamment contre mes lèvres.

Antoine soulève mes hanches au-dessus de lui et me redescend brusquement sur son membre.

Je gémis bruyamment en le sentant dur au fond de moi. Il grogne avec force à la sensation de mon intimité se renfermant autour de son membre dur.

Je viens embrasser ses lèvres avec passion et amour. Antoine gémit doucement contre mes lèvres, pendant que j'entame le premier mouvement de hanches.

Antoine caresse mes fesses langoureusement et il fait des mouvements de hanches pour rejoindre les miens. Je gémis bruyamment à la sensation.

Je me sépare de ses lèvres pour reprendre mon souffle. Je dévore son cou avec des baisers enflammés, il gémit bruyamment. Il frissonne quand je mordille le dessous de son lobe d'oreille.

Satisfaite, je caresse ses épaules en le regardant intensément. Ses yeux se révulsent en gémissant.

Antoine embrasse mon front et vient ensuite embrasser délicatement mon cou. Il laisse des baisers brûlants sur son passage. Je frissonne de plaisir.

Je le sens sourire contre mon cou avant de grogner quand je me resserre autour de son membre.

J'attrape ses cheveux fermement dans mes mains en gémissant. Mon corps est traversé de frissons. Il accélère ses mouvements de hanches. Il plaque mon corps fermement contre le sien en agrippant mes hanches.

Ses mouvements sont plus puissants et profonds. Je crie de plaisir et Antoine grogne quand je me resserre autour de lui.

— Antoine ! ai-je crier.

Mes yeux roulent dans ma tête au plaisir en le sentant entrer profondément en moi.

Mon bas-ventre s'enflamme, mon cœur s'emballe et mon corps frissonne de plaisir contre le sien.

Mes jambes tremblent et mon corps se détend complètement sur lui. Antoine embrasse mon point sensible en-dessous de mon oreille. Il gémit quand je me contracte autour de son membre.

Son souffle chaud contre mon oreille me fait gémir de plaisir.

— Maëva, grogne t-il avec force.

Il embrasse mon cou passionnément, pendant que je me contracte encore autour de lui.

Il embrasse la naissance de ma poitrine et prend mes tétons chacun leur tour dans sa bouche.

Je viens effleurer son pouls avec mes lèvres. Je gémis bruyamment quand il devient plus dur en moi.

Je mordille légèrement le lobe de son oreille en regardant son visage. Il grogne bruyamment et rejette la tête en arrière.

— Putain … grogne t-il..

Ma bouche s'ouvre légèrement, quand il continue ses mouvements de hanches brutaux et énergiques au profond de moi.

Antoine dévore mon cou avec des baisers brûlants et possessifs. Mes yeux se révulsent à nouveau et mes jambes tremblent follement.

— Antoine ! ai-je crier encore.

Je me contracte autour de lui, le faisant grogner contre ma peau. J'attrape ses cheveux dans mes mains pendant que les siennes sont fermement sur mes fesses.

Mon corps tremble violemment et ma peau est parcouru par des frissons. Je hurle son prénom.

— ANTOINE ! ai-je hurler.

Mes parois qui se referment étroitement autour de lui, le ralentisse pour le moment.

Il me mordille le lobe d'oreille en grognant doucement à l'intérieur. Je me resserre autour de lui, pendant que mon humidité coule sur lui lentement. Je gémis.

Il me mordille le cou en grognant contre ma peau. Son corps frissonne quand je caresse l'arrière de son cou doucement.

Mon souffle est saccadée et mon esprit est embrumée de plaisir.

Quand il s'arrête, je gémis et je reprend les rênes en recommençant les vas et vient.

Antoine se redresse brusquement. Il m'empale profondément sur lui. Je renverse la tête en arrière en pur plaisir.

Il repose sa tête sur mon épaule en gémissant bruyamment.

Antoine nous fait basculer rapidement sur le lit pour que je sois allongée sur le dos, je gémis doucement à ses mouvements.

Je passe mes jambes autour de son dos. Il se retire de mon corps pour revenir dans mon petit trou.

Il me pénètre profondément d'un coup, sans me prévenir. Je hurle son prénom sans retenue et je renverse la tête en arrière au plaisir renversant qui me traverse le corps. Je frissonne.

— Oh putain … grogne Antoine.

Je le regarde dans les yeux en gémissant doucement. Antoine me regarde intensément en restant un instant immobile.

— Tu vas plus pouvoir marcher, grogne t-il d'une voix rauque.

Je frissonne de plaisir à son avertissement à peine voilée.

Je frissonne avec anticipation. Il serre mes fesses dans ses mains et entame des mouvements brutaux et profond en moi.

Je crie au plaisir qui me traverse. Mon corps se recouvre de milliers de frissons. Antoine embrasse le creux de mon cou en accélérant.

— Oh mon dieu ! ai-je hurler.

Je cambre le dos de plaisir en criant son prénom à pleins poumons, mes orteils se courbent sous son assaut implacable.

Antoine grogne bruyamment en saisissant un de mes seins dans sa bouche et l'autre dans sa main.

Je hurle de plaisir quand il titille mon mamelon avec son pouce. J'attrape fermement ses fesses et je griffe légèrement le haut de ses fesses. Son corps s'alourdit un instant contre le mien avant de se rétablir rapidement.

Il grogne en continuant de me martelé. Mes jambes tremblent violemment autour de sa taille et mes yeux roulent dans ma tête.

Un second orgasme m'envahit et bouleverse mon monde par sa force bouleversante. Ma bouche s'ouvre et je hurle son prénom.

Il grogne bruyamment quand je me contracte autour de lui, il continue de me marteler. Je griffe son dos en tremblant violemment contre son corps inébranlable.

— Antoine ! ai-je hurler de plaisir.

— Maëva … grogne t-il, en retour.

Antoine me mordille la lèvre inférieure pour que nos langues dansent langoureusement ensemble. J'attrape fermement ses cheveux dans mes mains.

Je viens lécher sa lèvre inférieure et le dessous. Son expression de plaisir me fait mouillée. Il grogne contre mon cou en embrassant ma peau avec des baisers avides.

Mon corps m'abandonne au plaisir qui me traverse. Mon corps frissonne, pendant qu'il s'enfonce profondément en moi.

Il libère mon mamelon pour venir masser lentement mon clitoris avec ses doigts agiles.

Mes yeux roulent dans ma tête et ma bouche reste ouverte. Je serre fort ses cheveux dans mes mains.

Mon bas-ventre s'enflamme. pendant qu'il continue à masser mon clitoris avec ses doigts. Ses mouvements de hanches rendent mes jambes fébriles et mon orgasme monte rapidement.

Il embrasse mon cou tendrement et mordille légèrement mon cou.

Quand il embrasse mon point sensible derrière mon oreille, je me contracte autour de lui et mes jambes tremblent violemment dans tout les sens. J'essaie de me libérer de son martellement incessant, pendant que je hurle.

Je caresse le creux de ses hanches du bout des doigts. Il grogne.

— Putain de merde… grogne t-il bruyamment contre mon cou.

Ma respiration se coupe pendant que mon corps est envahi par un orgasme sismique. Son corps est traversé par des frissons et il devient très rigide contre mon corps. Son souffle irrégulier contre mon cou m'informe rapidement de son orgasme imminent.

Ma bouche s'ouvre largement et je hurle son prénom. Je me resserre fermement autour de lui.

Il embrasse mon cou en grognant contre ma peau, son corps se met à trembler contre le mien, je grogne en me resserrant instinctivement autour de lui.

Son membre palpite délicieusement en moi. Il grogne bruyamment, avant de hurler mon prénom de plaisir pendant que je tremble toujours.

Son corps s'affaisse contre moi, son corps l'abandonne au plaisir. Pendant que sa jouissance va profondément au fond de moi.

J'essaie de respirer normalement en descendant du septieme ciel. Je caresse tendrement ses cheveux humides, appréciant la chaleur de son corps allongé contre le mien.

Mes jambes se détendent de son dos. Son souffle est saccadée et irrégulier. Je souris rêveusement.

Il embrasse ma mâchoire tendrement avant de me regarder légèrement dans les yeux.

— Je t'aime… tu sais ? s'enquit-il en me souriant bêtement.

Je marmonne quelque chose d'incohérent en baîllant.

Il pose sa tête contre ma poitrine en soupirant de contentement.

Mon ventre gargouille, mais je suis trop fatiguée pour bouger.

Je m'endors avec mes mains enfouit dans ses cheveux, pendant qu'il dort profondément avec sa tête contre ma poitrine.

//3330 mots//
❀❀

SALUT MES LADYBUGS 🍀🐞

J'espère que ce chapitre vous aura plu les filles et… les gars s'ils y en a qui sont entrain de lire 😂😂😂 manifestez vous je vous vois jamais dans les commentaires !!!

La suite du livre je ne sais pas encore quand je vais la poster et même ce qu'il aurait là-dedans.

Bon j'arrête d'écrire que des trucs matures… pour l'instant 😂😂😂

PS : N'oubliez pas de mettre votre avis dans les commentaires. 😉

Passez un bon mardi 😘

भारतीय वंशज

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