T2 | 15 | Décision 🏟🔞

Antoine Griezmann,
11h08.

Je me lève à la fin de la conférence de presse. Je sors pour rejoindre Maëva à l'extérieur.

Quand je la retrouve dehors avec les autres. Elle ne porte pas ses lunettes de soleil et ne sourit pas.

J'ai une petite idée sur pourquoi elle est si fâchée. Je souris.

Je me rapproche à peine d'elle, qu'elle me donne un coup de poing à l'épaule durement.

— Ah mais c'était pour quoi ? ai-je demander en me frottant l'épaule.

— Pour m'avoir réveiller pour rien, répond-elle calmement.

Je la regarde simplement. Son nez s'est froncé et c'est trop mignon. Cependant, ses beaux yeux bruns me lancent des éclairs. Agacés.

— Je suis venue parce que tu m'a dis que tu voulais que je vois ce que tu dis, mais tout ça je connais déjà ça et en plus les journalistes n'ont fait que se répétés. À croire qu'ils sont sourds ces gens ! dit Maëva en fronçant les sourcils.

Je penche la tête en accord.

— Je faisais un beau rêve ce matin et tu m'a réveillée juste pour que je n'entende parler que de l'Uruguay et des matchs précédents que vous avez perdus, j'avais juste envie de les tuer ! s'exclame finalement Maëva.

Je la regarde simplement.

Toujours perplexe à sa capacité à parler vite et sans avoir besoin de respirer entre chaque mot.

Elle agite les bras en l'air pour montrer son exaspération.

Si je ne savais pas qu'elle avait perdu la voix hier durant un match, je m'en serais pas douté.

Je regarde brièvement autour de nous pour voir s'il y a des journalistes assistant à la scène.

— Non mais sérieux ils t'ont juste demander à propos de la Ligue des Champions, de l'Euro 2016 et de la Coupe du Monde 2014, sinon tout va bien ! Séri… continue-t-elle.

Je pose mes lèvres sur les siennes pour interrompre son discours. Elle passe ses bras autour de mon cou et répond à mon baiser.

Quand on s'éloignent à bout de souffle. Maëva me regarde avec des yeux légèrement plissés.

Je souris simplement en la regardant avec innocence. Elle lève les yeux au ciel, je frotte mon nez contre le sien pour la faire sourire.

Elle finit par sourire.

— T'es chiant j'arrive pas à rester énervée contre toi pour me couper avec un baiser, dit Maëva.

— Tant mieux pour moi alors ! me suis-je exclamé en souriant.

Je lui prends la main pour retourner à notre camp de base. Elle me regarde simplement.

— Ne crois pas que j'ai oublié ce que tu as dit à propos du club, dit-elle en me pointant du doigt.

J'aurais dû savoir qu'elle allait comprendre ce que je ne dis pas.

— Dis-moi maintenant Antoine, dit-elle en s'arrêtant en chemin.

Je regarde autour de nous, les autres sont déjà plus loin que nous et il n'y a aucun journaliste.

— Lionel Messi m'a parlé après le match d'hier, ai-je déclaré.

Pendant qu'on reprend notre route jusqu'au camp. Maëva me regarde avec étonnement.

— Il t'a dit quoi ?

Je hausse les épaules.

— Il voulait que je vienne cette été à Barcelone, ai-je répondu.

Elle hausse les sourcils et me regarde avec incompréhension.

— Donc… Lionel Messi veut le gars qui a réussi à passer à travers trois de ses défenseurs l'an dernier… dans son équipe cette année et toi… toi… lui as dis non je ne veux pas ? demande Maëva.

Je hoche la tête. Elle me donne aussitôt une tape derrière la tête.

— Aïe ! me suis-je plains.

Je me frotte la tête.

— Et tu n'as pas trouver important de me le dire avant de l'annoncer aux gens ?! Quand je t'ai dis que j'étais enceinte je ne te l'ai pas dit lors d'une interview que tout le monde verra ! s'écrit-elle.

— Mais c'est pas pareil !

— Comment ça c'est pas pareil !? Si je l'avais dis au monde avant de te le dire tu l'aurais pris comment ? Dis moi ?! s'écrit-elle.

J'ouvre la bouche mais je la referme vite. Je lâche sa main et je commence à m'éloigner d'elle.

— En plus c'est toi qui t'énerve ?! C'est une blague j'espère !? Tu t'énerve parce que tu n'as même pas de réponse à me donner pour justifier que tu ne me l'ai pas dit ? s'exclame Maëva en me suivant.

Je me retourne brusquement pour la regarder.

— Je fais ce que je veux ! Je décide de ce que je veux faire dans ma vie et j'ai pas besoin de ta permission ! ai-je déclaré, furieux.

Ses yeux se remplissent brièvement de choc et de douleur. Je regrette aussitôt ce que j'ai dis.

— Maëva …

Je tend la main vers elle, mais elle recule immédiatement.

— Si tu n'as pas besoin de mon avis sur ta vie… je n'ai pas non plus besoin d'en faire partie, dit-elle.

Quand elle commence à toucher sa bague, je panique aussitôt.

Maëva Payet,
11h12.

Il me prend la main gauche pour m'empêcher de retirer la bague.

Je détourne les yeux au sol pour éviter de le regarder.

— Non… s'il te plaît, dit Antoine. Ne fais pas ça s'il te plaît…

— Pourquoi ? Toi tu fais ce que tu veux et moi je fais ce que je veux, ai-je déclaré en clignant des yeux.

J'essaie de retenir mes larmes.

Antoine prend mon visage en coupe dans sa main pour me forcer à le regarder dans les yeux.

J'évite quand même ses yeux.

— Je ne pensais pas ce que j'ai dis et je n'aurais pas dû te dire ça. Je suis désolé, pardonne moi s'il te plaît, dit Antoine, doucement.

Finalement, je regarde dans ses yeux. Ses yeux me regardent avec tristesse, regret et avec espoir.

— Ne me redis plus jamais ça.

— Je te le promets, répond-il aussitôt en me regardant encore.

Je souris légèrement avant de marcher seule jusqu'au château.

Je me souviens maintenant à quel point je déteste ses crises de colère, ai-je pensé. Ça faisait longtemps.

Antoine me suit juste derrière.

Les portes automatiques de l'hôtel où on séjourne s'ouvre pour nous.

Je vois Dimitri assis dans le salon concentré sur son portable.

Je pèse le pour et le contre de soit aller le voir, soit aller dans la chambre mettre mon casque sur les oreilles pour travailler.

Le pour ce serait de parler avec lui de sa conférence que je n'ai pas vu, je dormais encore. De discuter pour savoir si sa blessure est guéri et qu'il peut jouer le prochain match contre l'Uruguay.

Normalement il avait rendez-vous cette après-midi pour l'examiner.

En plus ça me changerait les idées par rapport à ce qu'Antoine m'a dit tout à l'heure. Ça m'a beaucoup blessée qu'il me dise ça, même s'il le pensait pas du tout.

Mais le contre … Dimitri va remarquer tout ça rien qu'en me regardant et en voyant la distance entre Antoine et moi. Alors qu'hier on était collés ensemble.

Il va disputer Antoine, ils vont s'engueuler et sur le terrain ça se verra sur leur manière de jouer… comme l'année dernière quand ils étaient toujours en désaccords.

En plus j'ai besoin d'actualiser le site … Guillaume m'a donner de nouvelles vidéos et photos pour le mettre sur le site de l'équipe.

Je m'approche pour lui dire bonjour, sinon il va se plaindre.

Je mets un sourire sur mon visage et je mets mes lunettes de soleil.

— Salut Dimi ! Tu as l'air plus réveillé que moi ce matin !

Il me regarde brusquement, ne m'ayant certainement pas entendue rentrer avec Antoine.

Il me fait un grand sourire, pendant je lui embrasse les joues.

— Salut p'tite sœur, bah j'ai eu une conférence ce matin donc ouais je suis réveillé, dit-il en riant.

— Je suis tellement fatiguée que j'ai des poches sous les yeux et pour qu'on les voit pas j'ai mis des lunettes de soleil ! ai-je dis.

— Fait voir ? demande Dimitri en essayant de retirer mes lunettes.

— Non ! ai-je crier en le repoussant de mon visage.

Antoine rigole un peu en montant dans l'ascenseur, pendant que le personnel secoue simplement la tête à nos chamailleries.

— Pourquoi ?

— Guillaume nous filme et j'ai certainement pas envie que mes poches se retrouve en première page dans l'heure ! ai-je répliqué.

Il éclate de rire, pendant que je le tape sur l'épaule pour se moquer.

— Je monte bosser maintenant, ai-je dis. Dis-moi ce qu'il te dis pour ta cuisse cette après-midi !

Je commence à aller vers l'ascenseur, quand il me dit :

— Le déjeuner c'est à 13h !

— Je sais ! ai-je crier en entrant dans l'ascenseur déjà vide.

11h18.

Je regarde l'heure sur mon portable en attendant d'arriver.

Quand je sors de l'ascenseur, je croise Benjamin Pavard. Il a l'air confus en sortant de sa chambre.

— Ça va Benjamin ?

Il me regarde, surpris de me voir. Je le regarde avec inquiétude.

— Je ne sais pas …

Je le regarde avec confusion maintenant. Je me gratte la tête.

Je devrais peut-être les laver aujourd'hui, ai-je pensé, très irritée.

— C'est Rachel elle me paraissait bizarre aujourd'hui, explique-t-il.

Je comprends mieux.

Je hausse les sourcils. Je baisse légèrement mes lunettes juste assez pour couvrir mes poches.

— Comment ça ? ai-je demander.

Il regarde dans le couloir.

Je pense au début que c'est pour s'assurer que personne n'écoute notre conversation, mais enfaite Benjamin le fixe distraitement.

— Je crois qu'elle m'aime plus …

Je le regarde tristement.

Je me rapproche de lui pour lui faire un petit câlin rapide. Je lui tapote l'épaule en lui souriant.

— Je suis sûre que tout va s'arranger Ben, il faut que vous parlez ensemble c'est tout, ai-je dis.

— Tu crois ? demande-t-il.

— J'en suis sûre, aller va l'appeler ! ai-je dis en souriant.

Il me sourit et retourne en vitesse dans sa chambre. Je laisse aussitôt tomber mon sourire.

Rachel m'énerve à un point… ai-je pensé. Et il n'est que 11h23 du mat.

Je me masse les tempes et je me dirige lentement vers la chambre que je partage avec Antoine.

Je rentre doucement dans la chambre en fermant la porte à clé. Je m'arrête sur le seuil, quand j'entends Antoine parler au téléphone assis de dos sur le lit.

En espagnol. Peut-être Godín ?

— J'ai l'impression de faire une bêtise … Tu ne m'aide pas du tout là … je ne sais pas où aller et si rester est une bonne idée, dit-il.

Il parle du club ? ai-je pensé.

— Non je … D'accord… merci mec on se parle après le match. Ciao, répond Antoine en raccrochant.

Il prend sa tête dans ses mains avec un long soupir. Je le regarde en me sentant coupable de l'avoir stressé plus qu'il n'avait besoin.

Je m'avance jusqu'à lui.

Je m'assois sur le lit.

Je sais qu'il est déjà au courant de ma présence quand il tourne légèrement la tête, sans me regarder. Je m'assois derrière lui sur le lit, en position accroupie.

Je pose mes mains sur ses épaules pour le détendre et lui faire savoir, silencieusement, que je m'excuse aussi pour ma réaction excessive d'un peu plus tôt.

Je masse ses épaules doucement pour le sortir de ses pensées.

— J'ai fais une connerie n'est-ce pas ? demande-t-il soudainement.

Je reste immobile un moment. Je déménage du lit pour me mettre devant lui pour le regarder.

— La question que tu devrais te poser est… est-ce que tu penses que c'est la bonne décision ? ai-je demander calmement en réponse.

Antoine met sa tête dans sa main et me regarde. Avec un air perdu.

Sans réponse de sa part, je le prends dans mes bras pour lui faire un câlin maternelle. Il pose son oreille contre mon ventre et met ses bras autour de ma taille.

Je lui caresses doucement les cheveux pour le réconforter. Il me serre plus fort dans ses bras.

— Je ne veux pas te perdre, murmure t-il contre mon ventre.

Je regarde sa tête avec culpabilité.

Même si mes hormones de grossesse ont amplifiés mes émotions… déjà suffisamment compliquées, c'est de ma faute.

J'ai menacé de le quitter alors que je lui ai promis qu'on passerait le restant de nos jours ensemble.

Fichus hormones, ai-je pensé.

Je caresse légèrement sa nuque en même temps que ses cheveux.

— Tu me perdras pas, ai-je dis. Je suis désolée pour tout à l'heure…

— Moi aussi je suis désolé j'aurais … dû t'en parler avant eux, dit-il.

Je souris légèrement. Je masse son cuir chevelu légèrement avec mes ongles, parce que je sais qu'il aime beaucoup quand je le fais.

Il se détend contre moi. Je l'entend soupirer de contentement.

Mon ventre gargouille et il rigole aux gargouillis qu'il entend.

— Tu as faim ? demande-t-il.

J'ai du mal à savoir si il parle à notre bébé ou si c'est à moi.

— Qui ? ai-je demander.

— Notre petit bébé, répond-il.

Ça répond à ma question.

Il s'éloigne de mon ventre pour descendre la fermeture de la veste. Je hausse les sourcils, surprise.

Pour l'instant, je reste silencieuse et j'attends de voir ce qu'il va faire.

Aujourd'hui j'ai mis une chemise beige qui dégage le ventre.

Il sourit et embrasse mon ventre tendrement. Je souris largement.

— Ma petite princesse j'ai hâte de pouvoir t'entendre, murmure t-il.

— Tu penses que c'est une fille ? ai-je demander, un peu surprise.

Antoine lève les yeux vers moi pour me regarder en souriant.

— Oui je voudrais bien que ce soit une fille, répond-il en souriant.

Je hausse un sourcil.

— Pourquoi ?

Il embrasse encore mon ventre.

—  Parce qu'avec toi comme mère notre fille ne peut qu'être belle, dit Antoine en me regardant.

Je rougis au compliment. Il sourit.

— Bah avec toi aussi, ai-je dis.

Il sourit largement et embrasse plusieurs fois mon ventre. Je rigole parce qu'il me chatouille avec ses milliers de bisous légers.

Antoine m'entraîne doucement sur lui pendant je rigole. Mes mains sont dans ses cheveux et ses mains sont sur mes hanches.

J'arrête de rigoler quand nos yeux se croisent. Antoine me sourit tendrement et je l'imite aussi.

Je caresse ses cheveux en le regardant silencieusement. Il regarde mes lèvres un instant.

Antoine regarde ensuite mes yeux plus sérieusement. Je vois dans ses yeux qu'il a vraiment envie de me faire l'amour. Maintenant.

En le regardant malicieusement, je bouge légèrement contre lui. Je suis récompensée par son profond gémissement et son érection.

J'embrasse sa mâchoire en effleurant le coin de ses lèvres. Il gémit doucement. Ses mains soulèvent ma longue jupe pour attraper fermement mes fesses.

Je dépose des baisers délicats dans le creux de son cou. Je gémis doucement quand il caresse mes fesses à travers mon string bleu.

Il éloigne son cou de mes lèvres pour embrasser le mien. Il laisse des baisers brûlants après son passage. Je frissonne de plaisir.

Je le sens sourire contre mon cou avant de grogner quand je me remue légèrement contre lui.

— Je veux… te faire l'amour partout … murmure t-il en ponctuant sa phrase de baisers.

Je gémis avec force quand il embrasse mon oreille et me le mordille doucement. Je perds, presque… toute ma lucidité.

— Ah oui ? ai-je murmurer.

Il marmonne son accord en embrassant ma mâchoire.

— Dans toutes les positions, dit-il doucement contre mon oreille.

Je frissonne de plaisir.

Je gémis bruyamment et je me tord frénétiquement contre son érection grandissante. Il grogne.

— Fait le… ai-je dis avec envie.

Il me regarde avec avidité et il se mordille la lèvre inférieure.

— Tu vas boiter si je fais ça, dit-il en rapprochant lentement son visage de mes lèvres. Surtout avant de déjeuner avec les autres.

Je regarde ses lèvres avec envie.

— Je m'en fiche, ai-je dis.

Un sourire narquois apparaît sur ses lèvres à ma réponse rapide.

Antoine capture mes lèvres avec avidité. Je gémis profondément contre sa bouche. Il m'embrasse avec passion et amour.

Il me mordille la lèvre inférieure pour que nos langues dansent langoureusement ensemble.

Pendant ce temps, il essaie d'abaisser son jogging. Je l'aide un peu en mettant mes jambes sur le lit pour me surélevée un peu.

Antoine arrête le baiser pour abaisser ses vêtements, pantalon et boxer, d'un seul mouvement. Il déchire mon string au passage, je souris à son impatience.

Je me rassois sur lui. Antoine reprend mes lèvres en otage.

Je gémis bruyamment contre ses lèvres quand il rentre en moi doucement. Il gémit contre mes lèvres à la sensation de fusion.

J'attrape ses cheveux fermement dans mes mains en gémissant. Mon corps est traversé de frissons. J'enlève ma veste.

Je me soulève légèrement sur lui en faisant des mouvements. Je rejette la tête en arrière en gémissant avec force. Il grogne quand je me resserre autour de lui.

Antoine embrasse mon cou en accompagnant mes mouvements.

Je dévore son cou avec des baisers passionnés. Il gémit bruyamment.

Il approfondie la pénétration avec mouvements rapides et profonds.

— Antoine, ai-je gémis avec force.

Je gémis bruyamment en le sentant profondément entrer en moi. Mes jambes tremblent.

— Maëva, grogne t-il avec force.

Il embrasse mon cou passionnément, pendant que je me contracte autour de lui.

Il gémit en embrassant la naissance de ma poitrine jusqu'au point où intervient ma chemise.

Il me regarde avec impatience. Je viens effleuré son pouls avec mes lèvres. Je gémis bruyamment quand il devient plus dur en moi.

Je fonds sur lui en l'encrant plus profondément en moi. Il grogne fort et rejette la tête en arrière.

— Putain … grogne t-il.

Je passe ma chemise oversize beige au-dessus de ma taille, un peu difficilement, pendant qu'il continue de me pénétrer.

Antoine vient embrasser mes seins lentement, chacun son tour. Je passe mes mains dans ses cheveux en les agrippant fort.

Je caresse sa nuque et son dos encore vêtu de son t-shirt. Je tire dessus quand j'arrive en bas.

Antoine s'éloigne à contrecœur de mes seins sensibles et durs, pour enlever rapidement son t-shirt.

Maintenant sa peau libre, j'embrasse son torse en caressant son dos du bout des doigts.

— Maëva … grogne t-il plus fort.

Il s'allonge sur le dos et m'entraîne avec lui. Il passe ses bras autour de mon dos pour plaquer mon corps contre le sien.

Ma bouche s'ouvre, sans voix, quand il repend des mouvements rapides et profond en moi.

Il dévore mon cou avec des baisers brûlants et possessifs. Mes yeux roulent dans ma tête et mes jambes tremblent follement.

— Antoine ! ai-je crier finalement.

Je me contracte autour de lui, le faisant grogner contre ma peau. J'attrape ses cheveux dans mes mains pendant que les siennes sont fermement sur mes fesses.

Mon corps s'affaissent sur lui et mon corps est parcouru par des frissons. Je crie son prénom.

Mon corps tremblent violemment sur lui, pendant qu'il continue ses mouvements profonds et rapides.

— ANTOINE ! ai-je hurler.

Mes parois qui se referment étroitement autour de lui, ne le ralentisse pas dans son objectif.

Il me mordille le lobe d'oreille en grognant doucement à l'intérieur.

— Tu veux… essayer une nouvelle position ? me demande-t-il.

Mon souffle est saccadée et mon esprit est embrumée de plaisir.

Je gémis juste, mon cerveau hors fonction pour former une phrase.

Il s'immobilise après un moment et je gémis de frustration. Il se redresse en me faisant un sourire en coin, les yeux noirs de désir.

Antoine se retire de mon corps et me pose à côté de lui sur le lit, je gémis doucement à la perte.

— Agenouille toi dans l'autre sens, dit-il d'une voix rauque.

Je frissonne de plaisir à son ordre à peine voilée. Je fais ce qu'il dit.

Je frissonne avec anticipation. Je tourne la tête pour le regarder. Antoine me dévore des yeux en se mordillant la lèvre inférieure.

— Magnifique, dit-il doucement en caressant mon corps.

Je frissonne et je gémis quand il caresse mon intimité frémissante et sensible avec le bout des doigts.

Antoine me taquine avec son membre en glissant contre mon intimité. Je gémis d'irritation.

— Arrête de me taquiner et… ai-je commencer doucement à lui dire.

Il me pénètre d'un coup, sans prévenir. Ma bouche s'ouvre et je renverse la tête en arrière au plaisir fulgurant qui me traverse.

— Oh putain … grogne Antoine.

Il serre mes fesses dans ses mains et entame de légers mouvements de hanches pour commencer.

Je crie au plaisir qui me traverse. Mon corps se recouvre de frissons. Antoine embrasse le haut de mon dos en accélérant.

— Oh mon dieu ! ai-je hurler.

Ses mouvements sont puissants et passionnés. On laisse notre désir libéré notre attirance animale.

Je cambre le dos de plaisir en criant son prénom à plein poumons. Il grogne bruyamment en saisissant un de mes seins.

Je hurle de plaisir quand il titille mon mamelon avec son pouce.

Je me laisse tomber en avant en gémissant de plaisir. Il grogne en continuant de me martelé. Mes jambes tremblent violemment et mes yeux roulent dans ma tête.

Un second orgasme m'envahit et bouleverse mon monde de sa force bouleversante. Je hurle son prénom de pur plaisir.

Il grogne bruyamment quand je me contracte autour de lui et il ralentit considérablement le rythme en attendant la fin de mon orgasme. Je gémis le souffle court.

Antoine réussi à sortir de mon corps et je grogne de frustration.

Mais il revient rapidement en moi en entrant dans mon petit trou, après avoir enlevé les vêtements restant de nos corps en sueur.

Mes yeux s'ouvrent largement sous le choc et ma bouche s'ouvre aussi, pendant qu'il rentre lentement une petite partie de lui pour m'habituer à son membre.

— Antoine … ai-je gémis.

— Maëva … grogne t-il, en retour.

Mon corps m'abandonne au pur plaisir qui me traverse. Mon corps frissonne pendant qu'il s'enfonce plus profondément, petit à petit, en reprenant ses vas et vient rapides dans mon corps.

Mes yeux roulent dans ma tête et ma bouche reste ouverte. Je serre fort les oreillers dans les mains.

Il garde une main sur mes fesses pour garder mon dos courber et il vient titiller mon clitoris de son autre main. Tout en continuant à me pénétrer puissamment.

Mes orteils sont recourbés sous son assaut implacable depuis le début et mon bas-ventre est en feu, préparant un autre orgasme.

Antoine s'allonge finalement sur moi, approfondissant l'angle de la pénétration. Mon bas-ventre s'enflamme pendant qu'il continue à titiller mon clitoris.

Il embrasse mon cou tendrement et mordille légèrement mon cou.

Quand il embrasse mon point sensible derrière mon oreille, je me contracte autour de lui et mes jambes tremblent violemment dans tout les sens. J'essaie de me libérer de son emprise pendant que je gémis bruyamment.

Mes jambes se posent sur ses fesses dans leur évasion. Je les caresse brièvement des orteils.

— Putain … grogne t-il bruyamment contre mon cou.

Ma respiration se coupe pendant que mon corps est envahi par un orgasme dévastateur. Son corps est traversé par des frissons et il devient rigide contre mon corps.

Ma bouche s'ouvre et je hurle avant que ma voix se coupe. Je me resserre encore autour de lui.

Il enfouit sa tête dans le creux de mon cou, embrassant la peau. Son corps se met à trembler contre le mien, je gémis en me resserrant instinctivement autour de lui.

Son membre palpite délicieusement en moi. Il grogne bruyamment, avant de hurler mon prénom pendant que je gémis en tremblant toujours.

Son corps s'affaisse sur moi alors que les muscles de son corps l'abandonne pour le moment.

J'essaie de respirer normalement en descendant du septieme ciel. Je passe mes mains derrière mon dos pour caresser tendrement ses cheveux, appréciant la chaleur de son corps allongé sur le mien.

Antoine Griezmann,
13h05.

— Ah enfin vous descendez manger ! s'exclame Paul, irrité. Ça fait cinq minutes qu'on attend !

Je souris simplement à son impatience pour manger. On se sert à manger et on part s'assoir tranquillement près de lui à table.

— Il manque Sam de toute façon Paul ! s'exclame Kylian, amusé.

Paul bouillonne d'agacement. Tandis que Maëva et moi on est complètement détendus.

Je souris en la regardant, pendant qu'elle parle avec Ousmane.

— ENFIN TU TE POINTE !! s'exclame bruyamment Paul.

Je regarde calmement Samuel sortir rapidement de l'ascenseur.

— Désolé du retard, dit Samuel. J'étais au phone avec ma mère.

Je hausse les sourcils en mangeant mes pâtes rissolés avec du poulet bien croustillant.

Maëva caresse le dos de ma main gauche avec sa main droite, avant de s'en servir pour manger son assiette. Je la regarde curieusement avant de diriger mon attention vers Lucas, qui me demande de lui passer le piment.

Je le lui donne en mangeant tranquillement mon assiette.

Paul… maintenant que tout le monde est à table. Et qu'il est entrain de manger à sa faim… il reprend son humeur jovial qui met une bonne ambiance à table.

Je bâille un peu.

Une petite sieste avant la séance de récupération de cette après-midi ne serait pas de refus, ai-je pensé.

//4214 mots//
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HELLO MES LADYBUGS 🍀🐞

On peut dire que pour ce chapitre j'étais particulièrement… inspirée 😏 J'ai eu des idées depuis hier il manquait juste les grandes lignes.

J'espère qu'il vous aura plu … 🥰 parce que j'ai encore des réserves d'idées à écrire sur le sujet 😏

Affaire à suivre …

PS : N'oubliez de me donner votre avis dans les commentaires 😉😉

Passez un agréable lundi 😘

भारतीय वंशज

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