Union à la Terre


Si la brise pouvait rejoindre

Nos rangs embrasés, incandescents,

Si les oliviers se dressant,

Pouvaient en couronnes, nos fronts, ceindre.


La Terre, se fondant à nous,

Maintenant tendus nos genoux,

Nous offrirait ses typhons,

Eurytides, peurs des griffons.


Ses flammes bleues et ses éclats

S'ajouteraient à la bâtisse

Que notre cœur révéla

Et que notre espoir concrétise.


Or, la Terre appelle, entends la.

Ressens. Son souffle te héla.

Ouvre lui cœur. Ouvre lui bras.

En ton corps, ton âme vibra.

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