Chapitre 6
Le long de la vitre, je regarde une nouvelle fois les arbres qui défilent, la tête pleines à craquer de souvenir. Bon, comme mauvais.
Notre conversation sur la plage de galets à le malheur de repasser en boucle dans ma memoir. Mais je ne peut pas, je n'arrive pas à l'écarter une bonne fois pour toute.
J'étais alonger sur ses genoux pendant que ses doigt me carreser gentiment les épaules. Ce n'étais guerre confortable, mais j'aimer bien.
Au début, notre discutions étais peupler de tous et de rien. Puis, il m'a poser cette question. La question à la quel jamais je n'ai répondu.
- Qu'es ce qui c'est passer pour que tu en arrive là ?
Avant je détourner le regard, ou je parter quand on en vener à cette question. Mais j'avais envie de lui dire. J'avais envie de lui faire confiance. C'est ce que j'ai fait.
Je lui est tous dit sans même retirer un seul passage. Je lui est parler de mon enfance rude, de ma mère, mon père... De mes cambriolages, mes debandades. D'absolument tous qui a pus peupler ma petite vie de minable.
Il n'a pas prononcer un seul mots. Pas une seule silabe tous le long du récit. Seul le bruit incessant de la cascade parler avec moi.
Certaines fois il étais pensif. D'autre il essayer de s'imaginer ce que j'avais vécus.
Mais il m'a écouter. Jamais une personne n'avais bue mes paroles comme il l'a fait. Et sa ma remis du baume au cœur. Croyez moi, quand une personne prend la peine d'écouter ce que vous lui dites, sa fait du bien.
Puis, il c'est décider à parler.
- Tu n'a pas eu la vie facil
Avais t'il déclarer.
- C'est le moin qu'on puisse dire.
- Mais maintenant, comment tu va faire pour aller tuer ton père ? Tu es rechercher par les autorités, et tu est à des kilomètres de son entreprise
Alors je lui est décris mon plan dans les moindre détails. A l'aide d'un bâton, j'avais tracer des sortes de formes arrondis pour schématiser un peu tous sa, et pour que se sois clair dans son esprits.
Les galets revenaient toujours à leurs place, ce qui m'agacer. Mais j'ai continuer à lui dessiner mes sorte de ronds.
Il avait suivi du regard mon bâton et avait tous compris. Enfin, je crois.
Il n'a pas mal pris quand j'ai évoquer le fait de partir en douce. Il avait trouver sa normal. Il avais acquiesser légèrement, le regard perdu dans les vagues.
- Mais tu pourrais venir avec moi ! Qu'importe si je ne venge pas toutes ses femmes, on pourrais partir à l'étranger et vivre notre relation comme bon nous semble !
- Non, c'est une mauvaise idée...
- Mais pourquoi pas ?
- Car tu ne comprend pas ! Ma mère est victime d'un cancer du foie ! Ses jours son compter comme on peut compter ses yeux ! Je veus êtres à ses coter quand elle soupirera une dernière fois...
Suite à sa je mettais rassise. Il avait déclarer qu'on devait partir, car sa génitrice devais prendre son traitement.
Même si il était conscient qu'elle allais mourir, qu'il n'y avais pas d'autre solution, il continuer à espérer qu'elle allais guerrir.
On étais remonter par le sentier et monter en voiture, en silence.
Depuis qu'on roule, personne n'avait parler. Il était focaliser sur la route et je n'avais pas envie de dire quelque chose.
Bien que le silence devien pesant, je l'apprécie. Il me permet de divaguer librement dans mon esprit, sans être déranger par des regards interrogateur, ou une intention de ma part sur une certaine réflexion ou idée.
Si je pouvais être muette ou sourde, je pense que je prierais pour le devenir.
La radio continue de cracher ses boyaux.
Timother commence à perdre pascience, et il a pas l'air d'aimer comme moi j'aime le silence.
Il tapa le haut de la radio pour qu'elle parle normalement.
Quand on commence à entendre quelque chose, il arrête et monte le volume.
La radio étais entrain de passer black in black d'acdc. Une chanson que j'apprécie beaucoup.
- C'est ma chanson préférée ! Dit il
Timother avais un long sourire au lèvres après m'avoir avouer qu'il aimer cette musique.
Il augmenta le volume et commença à chanter tous en faisant des zigzag sur la route.
Au début je trouver sa bizard son changement d'humeur soudain. Puis je me dit que ce n'étais pas si mal.
Je me pris au jeu, et me mis à chanter et à bouger les bras en rythme avec la musique.
Timother rigoler de bon cœur, et ensemble nous chantions. Même si ce n'étais que la fin des phrases, on chanter en cœur et en riant.
Personne ne pouvais m'arracher de ce bhoneur, de se pur plaisir. Personne.
Jamais je n'avais ressentie une tel joie. Et j'aimer être joyeuse. Sa libère, sa aide. Sa éloigne tous ses soucis et sa nous met le sourire aux lèvres.
Mais je n'avais jamais aussi ressentie sa. Mon cœur qui se sépare en deux. Une partie veut venger toute ses femme et détrôner mon Daron. Mais l'autre veut rester dans les bras de mon bien aimer.
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