Chapitre 5
Je tourne la tête légèrement vers la bevitrer. Les quelques rayons de soleil filtre la pièce et lui donne un petit coter chaleureux, malgré la peinture delaver qui arpente les murs du salon.
Je soupir, a la fois fatiguer et déborder par mes émotions furtives, qui va et vienne occuper mes penser.
Voilà maintenant 6jours que j'occupe le canapé de Timother, a attendre à contre cœur ses soins et ses petites attention qui me mettent en rogne.
On a beau vivre sous le même toit, jamais il ne vient m'adresser la paroles, sauf si ce n'est que pour m'aporter ses remèdes. Mais j'apprécie ce silence, sa m'évite d'envoyer des piques froid quand je suis exaspérée.
Ses médicaments sont fades et limpides, de plus, il faut attendre 48h avant qu'il ne fasse effet. J'ai beau me plaindre, ses remède son du moin très efficaces, comme à présent j'arrive à me déplacer toute seule.
Avant, il mettais très difficile d'exécuter le moindre pas. Sa me demander un effort monstre, que je devait arrêter en plein milieux de mon chemin, rien que pour reprendre mon souffle et essayer d'oublier (ou du moin écarter) la douleur.
Certaine fois, je m'asseyais par terre et je pleurée telement j'étais frustrer de ne pas pouvoir aller au toilette toute seule.
Donc, Timother avait voulu m'aider. Il me porter comme une princesse pour le moindre de mes déplacement, sinon, il me servait. Mais je détester ses genres de petites attention, si bien que je me debattais quand il voulais me soulever. Je tomber lourdement sur le sol, et il s'en voulait à mort, ou dans le cas contraire il m'engueuler car je bouger.
Quand il a enfin compris que je refuser à la loyal qu'on s'occupe de moi comme une gamine de 4ans, il m'a ramener, un beau matin mon meilleur ami. Un fauteuil roulant.
Depuis, je ne peux plus m'en passer.
Mais quand je me déplace pas dans toute la maison en essayant de faire du deux roue, je dors. Après tous, je n'est pas grand chose à faire si ce n'est que de lire ou de regarder la télé.
Depuis quelques temps, Timother ne cesse de me rapeller qu'il veut que je sorte pour prendre l'air, et qu'il a un endroit idéal pour sa.
Comme ma jambe est en voie de guérison, il a estimer hier soir, que j'étais apte à marcher. Chose qu'il n'aurait jamais dû me dire si il voulais me garder au chaud sur le canapé.
Car depuis que j'ai cette merveilleuse idée en tête, mon seule but est de partir. Mais pour sa il faut que je trouve un moment ou, ni lui, ni sa mère occupe la maison.
À l'heure actuelle, Timother est parti faire les courses, et sa mère dort à l'étage. Mais comme son sommeil est léger, elle entendrait la porte se refermer et, si elle me vois pas en bas, elle apelerais Timother. Je peut retirer l'idée de fuite à ce moment précis.
Mais le moment viendra, j'en suis plus que certaine.
Pendant que je me retourne sur le canapé, j'entend la porte se refermer délicatement. Puis, en relevant la tête par dessus le dossier du canapé, je vis Timother rentrée sur le seuil de la porte, les bras charger par des sacs de courses.
Il alla déposer son fardeau sur le comptoir de la cuisine, et revien vers moi, un verre remplis a moitier du même liquide verdâtre que je bois depuis une semaine.
Je deglutie difficilement en repensant à l'atroce goût âcre que porte ce remède.
Il me tendis le verre, sans me regarder, ses yeux focaliser sur ma jambe.
Je bus à contre cœur le liquide, qui traversa ma tracher, et, qd je posa le verre sur la petit table, je me retint de justesse de vomir.
J'aurais du m'habituer à ce goûts indescriptible, mais j'ai beau me le dire et redire, me refaire passer en boucle le goûts que sa a pour ne pas être étonner, jamais je n'arriverais à m'habituer à ce goût.
Timother se redressa, les yeux remplis de bonheur, il me déclara
- Sa y'est, tu est officiellement guérit ! Je vais pouvoir t'emmener la ou je veut !
- Figure toi que je ne suis pas un chien et que je vais la ou je veut quand je veut. Et je n'est aucune envie d'aller avec toi
- s'il te plaît ! Seulement cinq petite minutes !
Ses yeux de chien battue ne perce même pas une seule seconde mon cœur. Comme il remarqua rapidement que sa ne marcher pas, il s'agenouilla au pied du canapé en remettant d'une voix supliante
- S'il te plaît
Je me mis à rire, et il rigola lui aussi.
Après tous, si je vais à cette endroits qu'il veut que je vienne, il suffira d'une petite seconde d'inattention de sa part pour que je puisse m'échapper et mettre mon plan à exécution !
Finalement, je fini par répondre :
- D'accord, d'accord je vien avec toi
Il me tendis la main pour que je prenne appuis. Une fois sur mes deux pattes et stabiliser, je maprocha vers le porte menteau.
- Sa a une sensation bizard de marcher
- Tu t'y r'abituera, ce n'est qu'une question de temps
Il me tendis une veste à lui devenu trop petite.
Je l'enfila sans quitter mes pied du regard.
Tous en maprochant de la porte de sortie, je fixa mes pied qui se suivais, l'un devant l'autre, puis qui s'échanger les rôles, celui de devant passe derrière, et celui de derrière qui passe devant.
Focaliser sur ma marche, je ne vis pas la porte qui se rapprocher devant moi. Mon frond percuta la lourde porte de bois et une vive douleur se rependis sur le haut de mon crâne
- Mais aïe
Voilà ce que je répondis face à ce coup, ce qui fis rigoler de bon cœur Timother.
Je marmona, puis, tous en râlant j'ouvris la porte et sortie.
L'air qui balayer la petite cour fouetta mon visage, et balaya sur son passage mes cheveux décolorer.
Même si il y avais un soleil radieux qui flotais au dessus de nos tête, le vent étais frais, si bien que je me mis à tremblotter.
Je maprocha de la voiture, et quand Timother l'ouvri d'un tour de main, je me précipita à l'intérieur, coter passager.
Je frotta mes mains l'une contre l'autre pour tenter de me réchauffer.
Quand l'homme pris place au volant, il me lança un regard taquineur tout en disant :
- Sa vas la tête ?
Mon regard lui lance des éclairs.
- oui sa vas, merci
M'a voix étais froide. Je n'aime pas qu'on se moque de moi !
Il rigola et demara la voiture, avant d'enclencher la marche arrière pour sortir de la petite cour.
- Le temps qu'on y arrive, sa prendra une dixaine de minutes. J'aurez bien voulu t'y emmener à pied, mais ta jambe n'est pas apte à marcher autant de minutes sans faire de pause.
- D'accord
Je suis plutôt contente de ne pas marcher sous se froid mordant, merci ma jambe !
Pendant que nous roulons, je me passe en boucle la suite de mon plan.
Tous sera simple, aussi simple qu'une salutation. Il ne me suffira que de m'écarter de lui quand il aura le dos tourner, ou du moin le regard. Quand je serais à bonne distance de lui, je détacherais sa veste que je porte pour l'induire dans une mauvaise piste. Il faut tous simplement que j'arrive à me fondre dans le décors. J'espère que la chance tournera de mon coter, je n'en peut plus d'attendre de pouvoir venger toute ses femmes et enfants !
Ensuite, il ne me faudra que prendre la première voiture venus pour me diriger vers l'aéroport le plus proche. Pendant le trajet, je n'aurais qu'à payer mon billet avec mon téléphone pré payer que je garde toujours sur moi. Ensuite, je me faufilerais dans l'avion, direction New York.
Quand j'arriverais à l'aéroport de New York, il faut environ 1h de route pour me rendre à Azuria Crops ou dois sûrement attendre mon abominable de père. Je n'aurez qu'à me fondre dans la masse des transports en communs, ou de prendre une voiture. Mais prendre une voiture serais comme jouer avec le diable. Le propriétaire ne mettrais pas longtemps avant de prévenir les autorités, qui, retrouveront la voiture rapidement grâce à la plaque d'immatriculation. Ou encore plus rapidement si le conducteur a laisser son portable à l'intérieur du véhicule !
Non, je vais rester sur les transports en communs. Même si c'est risquer, sa l'ai moin qu'un cambriolage de voiture.
Il faut juste prier tous les dieux qui puisse exister pour que la chance me sourit... Ce qui n'est pas vraiment le cas avec moi...
J'apuya ma tête contre la vitre, laissant mon regards divaguer et les arbres défiler.
- On arrive dans cinq minutes
J'acquiesse d'un simple mouvement de la tête, sans quitter les arbres de mon champs de vision.
Je fini par regarder Timother du coin de l'œil. Ses yeux bleu turquoise fixant la route, sans détourner le regard.
On avait pas pris la Lamborghini. Comme l'itinéraire, d'après le chauffeur, étais de passer dans des route de campagne, il avais pas voulu prendre de risque, de peur de la casser ou de l'abîmer. Vue le pris, je veux bien le comprendre.
Je siéger dans un 4x4 bleu-nuit, sali par la rouille et la boue qui s'accrocher au roues.
- On est bientôt arriver, me dit il
- Sa fait cinq minutes que tu dis qu'on est bientôt arriver
- Tu râle ?
Je leva les yeux au ciel, exaspérée. Il me donna un coup de coude amical en me déclarant qu'il rigole.
Encore heureux !
On fini enfin par arriver sur un tous petit parking de terre, au fin fond des bois.
Je descend rapidement de la voiture. Bizarrement, l'air y est plus chaud.
Mes chaussures s'enfoncent petit à petit dans la boue, si bien que toute la semelle est tâcher de la mixture entre la terre et l'eau.
- C'est humide. Dis-je, legerement étonner.
- C'est normal, tu vas vite comprendre.
Il se dirigea vers un petit sentier de terre battue, tous juste asser etrois pour laisser passer une personne. Le sentier descend en pente douce avant de bifeurker légèrement vers la droite, et de ce perdre complètement dans les sous bois.
Le petit chemin est comme enveloper par plusieur sorte de fougère, qui forme une sorte de menteau chaud.
Petit veinard vas !
Plus on s'enfonce sur ce sentier, plus un bruit sourd se fait entendre. Un bruit de chute sans arret.
- Qu'es ce que c'est ce bruit ? Demandai-je, curieuse
- Tu le sera bien assez tôt !
Ce n'est pas une réponse !
Le bruit devint de plus en plus fort à mesure qu'on avancer.
Quand nous arrivont enfin à ce petit virage, il ecarta de notre passage un large et long buisson qui se mettais en traver de notre chemin, comme une longue porte blinder qu'on ne peut franchir.
Le bruit venais de derrière. La peur ainsi que la curiosité se debatter au fin fond de mon être.
Il m'invita à le suivre, ce que je fis sans protester.
Une fois le buisson passer, quand je ous enfin lever les yeux vers le ciel, je découvris ce que je penser inimaginable.
Une énorme façade de pierre se former devant nous, ou du haut tomber d'énorme et d'énorme trombe d'eau, pour former à son pied un large bassin d'eau clair et turquoise. Border d'une immense plage de galet, succéder par la forêt.
Ce qui m'ettoner le plus, cetais que l'eau ne s'arrêter pas de tomber, on aurais dit qu'elle glisser le long de cette énorme paroie, comme si les gouttes se disputer pour arriver les premières dans le bassin.
Timother me devisageais, il ne prenais même pas le temps de regarder toute cette eau, comme si pour lui cetais normal.
- C'est beau n'est pas ? Me demande t'il.
- Je... Je ne savais pas que les contes de fée étaient réelles...
- Mais ce n'est pas un conte de fée, dit il en rigolant, sa s'appelle une cascade.
Je resta planter la, bouche pendante dans le vide. Jamais je n'avais vue des choses comme tel. Avrais dire, la vie, avant sa, se résumer en deux mots. Horreur et survi. Jamais je n'avais penser qu'une tel chose existais.
- Vien, me dit il, c'est encore plus impressionnant vue d'en haut!
Il me pris la main, sans esiter, et m'emmena vers la cascade.
Le bruit étais devenus comme normal et apaisant. Il n'étais plus du tous dérangeant ou comme présent comme une menace.
Près de la cascade, sur la paroie, plusieur pierres se détacher netement de la surface lisse.
- Il va falloir grimper, m'indique t'il, tu t'en sens capable ?
- oui
- tu n'a pas mal à ta jambe ?
- Non
Je répondais bêtement à ses questions, trop absorber par la beauter surnaturel de l'eau.
- D'accord, alors c'est parti. Mes des pied et tes mains là où je met les miennes
- Si tu veux
Il commença l'assention, moi à ses talon.
Je le suivais comme un chaton qui suit sa mère. Marche après marche.
Même si il a réussi à me faire baisser les armes, je n'oublie pas mon but qui est inscrit noir sur blanc dans ma memoir. Quand il a le dos tourner, je fil ventre à terre.
Je continue de grimper. A mi chemin, je lance un regard pas serein vers le bas. J'avais l'impression que le sol de galets m'appeler.
- Ne regarde pas en bas !
Sa voix ative me fit sursauter. Il avais même pas pris la peine de se retourner, comment pouvait il savoir que je regarder le sol ?
Quand j'arriva enfin en haut, mon pied droit voulu jouer des siennes et je glissa. Prise de panique, j'hurla en essayant de me rattraper à ce que je pus.
Sans esiter, Timother mattrapa par le col et le hissa sur le sol de pierre.
- Merci... Dis-je d'une voix presque inaudible, absorber par la peur.
- Y'a pas de quoi
Trambleante comme une feuille, je me remis sur mes deux pattes. Tous en regardant en bas, j'essaya de m'imaginer la chute. Aucune survis possible à mon avis, si jaterie sur les galet.
Je repris difficilement mon souffle en me remémorant le fait que je pouvais y laisser la vie.
Timother étais déjà à coter de l'eau qui tomber en masse, fixant le bassin en contre bas. Le soleil refléter sur lui, et donner à ses cheuveux boucler des petit reufler dorer, comme si le soleil deteigner sur ses bouclettes.
Je regarda à mon tour le bassin.
- Tu as vue comme ses beau? Me dit il
- Oui c'est magnifique.
Il est focaliser sur l'eau, je peux partir.
Discrètement, je détourna mon intention de l'eau, et, aussi furtile que cela puisse paraître, je commence à partir comme on étais venus.
Mais le destin en a décider autrement.
Mon pied glissa et, tous mon poid se bascula dans mon dos, je me retrouva en chute libre.
J'hurla t'en mes corde vocal pouvais me le permettre.
Battans des bras pour me rapprocher de la paroie, jessaya avec mes jambe de me propulser au plus loin pour atterrir dans l'eau. Mais au lieu de quoi, mes pieds glisse le long du roc, empêchant ma seule chance de survis.
Mes larmes monte plus le sol se rapproche.
Puis, contre toute attente, de puissante main me repoussa en direction du bassin.
Timother avais sauter lui aussi à ma suite, mais l'élan qu'il avais pris pour me sauver le propulsa au dessus de la plage de galet
- Non ! Criai-je.
Je ne vis plus rien. L'eau agiter m'emporta avec elle dans le bassin. Je sentis une puissante douleur se rependre dans mon dos, comme si on m'arracher la colonne vertébral d'une seule poignée de main.
Le fond m'englouti de plus en plus, et je ne pris même pas la peine d'agiter mes membres encore vivant pour me sortir de la.
Plus le fond se rapproche, plus l'air s'éloigne. La lumière du soleil me paraît bien loin, et l'air que j'ai stoquer dans mes poumons commence à bloquer.
J'essaya de criais, mais ce n'est que l'eau qui se bouscula dans mes poumon qui le répondis.
L'eau se mis à virevolter devant mon regard. Puis, des mains me sesire par la taille.
Au lieu de m'emmener encore plus dans le fond, elle me tiraire vers l'air.
Quand je sentie le froid en moi, je le ramollie complètement, me laissant porter par mon sauveur.
On me déposa lentement et délicatement sur le dos.
Quelqu'un prononça plusieur fois mon nom, et quand je fus apte à répondre, je vomi des litre et des litre d'eau qui c'étais stoquer dans mes poumons.
À quatre pattes par terre, j'ejecta tous le liquide.
Après un bon quart d'heure à me débattre avec mon estomac, je releva la tête pour parler à Timother qui me retenais les cheveux.
- Pourquoi....
- Non, ne parle pas tu va te fatiguer.
Non je dois parler, il le faut ! Pourquoi m'a t'il sauver ? Comment est il vivant alors que je l'ai vue tomber et s'écraser sur les galets !
- Pourquoi tu m'a sauver ?
Je me rassis mollement, et messuya d'un rêver de manche, le reste des goutelette qui se cramponner à mes lèvres.
Une can de tous me fis revomir en trombe.
Il me caressa gentiment le dos pour me rassurer.
- Tu n'a toujours pas compris ?
Réfléchissant au sens de sa phrase, je me resuya la bouche.
- Non ?
Il baissa la tête, comme si il avais honte. Il inspira profondément et il plongea ses lèvres sur les miennes.
Étonner, je ne pris même pas le temps et la force pour le repousser.
Comme il remarqua que je ne fis rien, il passa sa main à l'arrière de ma tête, comme pour profiter de cette instant.
Sa langue força l'entrée à ma bouche, et je lui laissa le passage libre.
Jamais je n'aurez penser une seule seconde que j'allais embrasser un jour un garçon. Jamais je n'avais penser que cette journée aller exister.
Je repoussa toute idée dans mon cerveau, je laissa juste mes émotions prendre le dessus, un mélange entre l'amour, le plaizir, la peur et la tendresse. Tous réunis en un seule.
Je pris ses joue dans mes mains et profita de mon tous premier baiser.
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