Chapitre 4

Le souffle court et la respiration sacader par ma blessure, je tente désespérément de me délivrer des mains puissante de l'homme. Mon seul but maintenant est de partir ! Peu importe si je suis coincer par la voix qui me parle derrière moi, je foncerais dans le tas et partirais. Qu'es ce que j'ai eu tort de faire confiance à cette homme !

Je fouilla mon esprit pour trouver ma seule possibiliter et ma seule chance de m'échapper... Quite a improviser comme je sais si bien le faire... Après tous, je ne vois pas comment je pourrais faire à par improviser.

Pas d'arme à ma porter. Pas de vêtement que je pourrais arrachez. Rien. Les objet sont sois or d'atteinte, sois inexistant...

Qu'es ce que je suis sencer faire à présent ?

Alors que tous espoir s'était échapper, une seule idée, qui me fut la meilleur, me vint enfin en memmoir. Cette seule lumiere appris comme un éclair tranchant le ciel noir.

J'attrapa les hanche de mon agresseur et y enfoncans mes ongles dans sa chair. Il hurla de douleur en se retournant vivement vers la blessure que je venais de lui infliger.

Il détourna d'instinct son attention vers moi. Une erreur que tu aurais jamais dû faire ! De ma seule jambe valide, j'assena un grand coup de genoux dans les parties intimes de l'homme anonyme.

Un crie de stupeur meller à l'attroce douleur que sa pouvais lui faire transperca la pièce, couvrant les autres bruit environnant. Il se recroquevilla sur lui même, les mains sous ses fesses.

Je me releva vaillamment et fière d'avoir gagner cette bataille. Vive comme l'éclair (ou du moin comme je l'espérer) je me releva du canapé.

Mon cœur loupa un battement quand je me rendis compte qu'un autre gros problème m'attendait.

Devant moi, une toute petite dame trapus, un canne à la main me faisais face. Les sourcil froncer et la mine amuser, elle releva sa canne et me l'enfonça juste en dessous des côtes, juste un peu plus haut que le ventre. La force étais tel que, je dus me rasoir sur le canapé, queue par dessus tête.

Je me recroquevilla sur moi même, identique a l'homme à terre. Mes mains maintenant mon ventre, jessaya de respirer comme je le pus. Ma bouche avais doubler de volume, et je sufoquer encore une fois face à la douleur.

Ma jambe noublia pas de me rappeler qu'elle me faisais aussi souffrir.

Quand ma respiration redevint a peu près normal, je me rasseya sur le canapé, signe que je n'étais pas vaincue.

Mon regards lancer des éclairs de tous part. A la Fois à l'homme qui étais toujours sur le sol, et à la Fois à la vielle dame qui me regarder, visiblement tous aussi fière que moi les 5minutes précédente.

Ma jambe me faisais un mal de chien et je dis me retenir de pleurer, à la foi de rage mais aussi de douleur.

La dame se pencha sur moi, et je sentie avec dégoût que sa bouche empester l'ail.

- Et ben vous les jeunes, vous êtes bien trop douiller. Fini t'elle par lancer après quelques minute de cilence.

- Maman.... Articula avec peine le jeune homme. Veut... Tu.... Retourner te coucher sil te plaît ?.... Je... Je vais t'apporter tes médicaments...

Elle se retourna vivement vers son fils et dit d'une voix qui trahissais son exaspération :

- Je n'est pas besoin de tes produit chimique mon p'tit ! J'ai encore de la réserve sous ma carcasse et je ne ressois d'ordre de personne figure toi ! Entre toi et moi, c'est moi qui commande.

L'homme braqua ses yeux qu'il voulais autoritaire sur sa mère. Je remarqua qu'il etais rouge sang, et qu'un filet de larmes dégouliner sur ses joue. J'ai dus sacrément lui faire mal !

La dame sasseya sur un fauteuil auquel je n'avais pas prêter attention. Le fauteuil étais vert kaki. Il m'avais l'air confortable et cetais une sacrer bonne place pour regarder la télé.

Malheureusement, elle retourna son fauteuil en ma direction, et me devisagea.

- Quoi? Fit elle. Tu veux ma photo ? C'est bien comme sa que vous dites, vous, les jeunes ?

Elle m'impressiona. Sans peur, je la regarda de haut en bas pour avoir une image net dans mon esprit quand on prononcera son prénom.

Elle avais la peau rider et coler à ses os qui saillissaient sous sa chair. Sa canne étais tenus fermermant dans sa main droite, fidèle arme, et elle porter une sorte de montre sur un de ses poigner. Elle étais vêtus d'une chemisette de nuit fleuris avec des chaussure légère, semblable à des tongue de plage. Malgré son vieil âge, elle ne portais pas de lunette et marcher avec confiance, même avec ses pattes flageolante.

L'homme, qui avais repris des couleur se releva tranquillement et toissa sa mère d'un regard dur, peu être un peu trop.

- Je t'avais dit de rester dans ta chambre ! Hurla t'il. Je t'ai même fermer les escalier ! Comment a tu pus les ouvrir ?

Sa dernière phrase étais comme pour lui même.

Sa mère le regarda avec des yeux rond. Je remarqua qu'ils étais tous aussi beau que se de son fils.

- Eh ben mon ptit, apprend que t'a vielle mère n'est pas née de la dernière pluie ! Et loin de la ! Et qu'elle t'a élever par le passer. Je n'est pas 2 de QI, je sais ouvrir une barrière pour enfant !

Sa voix étais limite effrayante, et face à elle j'aurais sûrement reculer. Toutefois, sa n'avais pas l'air d'effrayer le jeune homme. Il toissa sa mère avec difficulté.

- Va m'chercher d'leau veut tu? Lui demanda t'elle.

Il retourna les talons sans rien lui dire, claudiquant vers la cuisine. Je me retint de rire fasse à sa démarche de pingouin. Il me fit presque pitier !

La petite dame, toujours assise sur son fauteuil ne perda pas de temps. Elle me regarda de haut en bah, comme pour me défier.

- Et ben ma jeune ? Tu as donner ta langue au chat ?

Outrée, je lui fit non de la tête. Elle elargissa un long sourire jusqu'à ses oreilles avant de dire :

- Tu n'est pas très bavarde ma foie. Que fait tu la ? Tu est la petite amie de timother ?

- Timother ? Repris-je, curieuse.

- Fais pas ta timide ! Je vous ai bien vue sur le canapé tous les deux ! Tu va pas me la faire a l'envers ?

Je rougis comme une tomate tous en sortant ses belle paroles du : " c'est pas ce que vous croyez"

Mais même avec ma voix la plus convainquante possible, elle avais pas l'air de le prendre au sérieux. Pourtant c'est la vériter ! Je ne ressens rien pour lui. Mon but est de partir ! Pas de rester ! A l'heure qu'il est mon Daron dois déjà faire ses valise pour partir dans sa villa de New York ! Je perd mon temps !

La grand mère rigola. C'est alors que je remarqua qu'il ne lui rester qu'à peine ses deux canine et quelque dents du fond.

J'eus soudain très chaud.

Voyant qu'elle avais détourner la tête de moi, je pris sa pour ma seule chance de m'échapper.

Alors que jessaya de me lever, le fameux timother revins, un verre d'eau à la main qu'il tendis vers sa mère avec un "tien" exaspérée.

Elle s'empara du verre avec un "c'est pas trop tôt" insolant.

L'homme s'asseya sur l'accoudoir à mes pieds.

Il me regarda, l'air désoler. Je détourna la tête vivement, frustrer par ce qu' il avais fait. Je ne voulais pas rester une seconde de plus dans cette baraque, mon paternel m'attend.

Une question ou j'en avais oublier l'existence me revien en memoir, comme ma frappe inattendus de toute à l'heure.

- Ou somme nous ? Les question ai-je.

Ils me regardèrent tous deux, leurs grandes billes ouvertes comme si la questions paresser évidente.

- Suis-je bête ! Fini par secriait timother.

Tu ne crois pas si bien dire !

-On est en plein milieux de la forêt qui borde le lac bruge

Mon cœur loupa un battement en me rendant compte que j'étais complètement à l'opposer de ma destination final.

Comment je peux être aussi loin de ma destination ? Comment a t'il fait pour m'emmener la en si peu de temps ? Ai-je dormie plus d'une nuit ?

Ces questions, ainsi que ma haine pour timother me bouillonner le cerveaux.

Je regarda timother d'un regard lugubre et mauvais, un regard qu'il n'est pas près d'oublier, tous comme la blessure.

-OU TU M'A EMMENER?!

-mais... Je...voulais juste t'aider moi ?

Et mon cul c'est du poulet ?

-TU APPELÉ SA DE L'AIDE ? ME PRIVER DE MES RÊVES, DE MES DESIRES, DE MES VENGEANCE ! C'EST SA POUR TOI LA DÉFINITION DU MOT AIDER ?!

Il me regarde d'un air ébranler, ne sachant quoi faire, quoi dire...

Tous ce que j'avais fait jusque là, toute ses vies retirer pour atteindre mon père, toute ses débandade, ses gens hurlant de peur devant leurs télé en voyant que je mettais échapper... Tous sa pour rien ? Tous sa pour qu'un petit attarder m'emmène à des kilomètre de ma seule reson de vivre ?

Je m'alongea sur le canapé, hurlant de rage quand ma jambe me fit mal. Mes larmes ne cessaire de couler, trempant le canapé matelater.

Une petite main frêle vint se poser sur mon épaule, la tapotant deux fois.

- Voix tu m'a chère, mon fils tient cette débilité et cette age mental de son père... Je ne comprendrais jamais mes goûts d'autrefois...

Même en étant au bord complet du gouffre, elle réussi à me ramener loin du précipice. Elle réussie à me faire rire, à me faire rugir ce sentiment d'amusement que je n'avais pas sentie depuis bien des années...

Je releva ma tête, elle souriais légèrement, comme le vent au sommet d'une montagne. Sa legereter étais simple, sans soucis.

- Tu vois ma belle ! S'écria telle. Tu est plus belle avec un sourire au lèvres, croit moi !

Voilà bien longtemps que je n'avais pas entendus d'aussi belle paroles.

Je me rassis, essuyant d'un revert de manche mes larmes chaudes.

Je regarda à mes pieds. L'homme y étais toujours, la tête dans les nuages.

Voyant que je l'observer avec mépris, il dit :

- je m'escuse... Ce n'étais pas volontaire et...

- Encore heureux !

Je ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase telement ma haine étais puissante.

- Veut tu quelque chose à manger ?

La voie douce de sa mère me tira de mes penser les plus sombres. J'aqciessa, d'un mouvement de tête. Après tous sa, j'en avais presque oublier ma faim !

Elle se retourna en direction de la cuisine, me laissant seule avec mon ennemie.

Il esita un instant avant de poursuivre :

- Si je te soigne ta jambe, pourras tu me pardonner ?

Voilà une bien belle proposition ! Tu sort la volail des dents du renard ma Foix...

- Sa pourrais se tenir... Declaraije, un peu pensive.

Il se releva, satisfait. Il repart en direction d'une pièce dans le fond de la maison, tous sourire.

Il me faisais penser à un gamin qui ouvrais ses cadeau de Noël. Il étais légèrement bizard... Mais bon, après tous, je lui est juste fait mal et ignorer pratiquement pendant 1h...

Son bonheur pouvais être qu'il n'avais peu être pas d'amis... Et qu'il voulais simplement s'en faire une...

Il le pris par la pitier... On étais dans le même sac, sans personne, sans rien... Sauf que lui, il a un membre de sa famille comme soutient, et moi, je n'ai rien...

Le voyant repartir en canard, je ne me retint pas de rire !

Jalluma la télé, tombant directement sur ma dernière escarmouche avec la police... 15blesser

Sa vas encore, j'ai fait pire

Voilà la phrase que je me répète souvent pour me rassurer.

Et maintenant, que vais-je faire ?

Je n'ai plus dechapatoire, plus de suite a mon histoire... Qu'allaisje faire? Qu'es ce que j'allais devenir ? Ma promesse est à des millier de kilomètre de la, comment je peux encore faire pour la tenir ?

L'espace d'un instant, je me sentie démunis, impuissante... La mort étais proche, je ne pouvais le nier. Tôt ou tard, timother aller finir par parler, et je deviendrais que de la charpie...

Une lueur, un toute petite lumière m'aparus soudain en coin de tête.

Oui, je n'aurais qu'à faire sa ! Quand ma jambe sera guéris, oui parfait ! De toute façon, je n'est plus d'autre carte en poche...

Cette seule et unique idée venais de tous  changer. Il ne me reste que sa, et je n'est pas intérêt à foirer ! Tôt ou tard, ma vengeance seras à exécution.

Je tiendrais ma promesse ! Bientôt je pourrais venger toute ses filles qui on souffert à cause de lui !

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