Chapitre 3

Un bruit de cuillère me réveilla, me tirant de mon rêve lugubre avec ma mère. Un odeur médicinal flottait dans l'air, inhabituel et absolument pas semblable à l'odeur des déchet que j'ai l'habitude de sentir à mon reveil.

Cette odeur est plus aceuillante, plus chaleureuse. Elle donne envie de la respirer sans s'arrêter.

En ouvrant les yeux, même si l'odeur m'avais déjà donner l'idée que je n'étais pas dans une poubelle, je mis du temps à le réaliser.

Je m'assis difficilement. Ma jambe me l'ancer et repander en moi une affreuse douleur, insupportable qui m'obligea à me r'alonger.

Je décida de regarder les alentour.

Je me trouver sur un canapé vert pale, plutôt confortable avec une couverture sur mes jambes. Les murs de la pièce étais delaver, devenus jaunâtre à cause de la vieillerie. Des plantes, soigneusement choisie pour l'éclairage de la pièces étais poster par si par la et emmener une odeur réconfortante. Une petite télé se trouver à ma droite, juste derrière une table basse, pourvue d'une sorte de draps, rappelant les rayon du soleil. Juste derrière moi se trouver la cuisine, et, derrière le dossier du canapé, un grande table naper d'un chouette couverture verte et entourer de chaise en bois. Un couloir se tenais dans le fond, sûrement amenant à la porte d'entrée. Un long escalier se trouver non loin de moi. Les marche en boulot monter.

Les bevitrait éclairant la pièce donner un coter aceuillant et chaleureux. Mais les rayons qui filtrait par les grande fenêtre ne mis pas longtemps avant de m'ebloir. Depuis  longtemps que je n'avais pas vue le soleil !

Il devait être midi passer. Mon ventre commença à criais famine, se qui me fit tordre er recroquevillé sur moi même.

Un bruit de pas précipiter me fit relever la tête.

Un homme, plutôt grand, touillant un liquide verdâtre dans un verre s'approcha de moi. Son visage étais aceuilant et tous sourire.

Il sassis sur l'accoudoir qui se trouver à mes pied.

- Tient, la marmotte c'est réveiller. Me lança t'il.

Malgres sa remarque déplaisante, aucune onse de mechanceter animer son regard. Seule de la sympathie et de la légèreté y étais present.

Je gromela, sans pour autant le regarder. Je l'ignora et détourna la tête pour éviter de croiser son regard questionneur.

- Fait pas cette tête ! Dit il. Il faut bien que quelqu'un s'occupe de toi ! Et puis je rigoler quand je disais sa, faut pas le prendre mal.

- Je n'est pas besoin d'aide, et surtout pas d'un inconnu.

Ma réponse étais sèche, même peu être un peu trop... Après tous il m'avais tirer de mes ennuies. Même si je n'est pas vue son visage quand il étais cagouler, sa voix étais celle que javai entendus.

- très bien ! Si tu ne veut pas de mon aide, soigne ta jambe toute seule ! Et tu auras qu'à repartir en cavalcade si tel est ta vie !

Je le regarde, ébranlé. Comment est il au courant de mon identité ? Personne n'a jamais étais au courant ! Comment peut il le savoir ? Ais-je dit quelque chose que je ne me souvien pas ?

- Escuse moi...

Ce n'est pas en mon habitude de m'excuser, j'espère qu'il ne vas pas s'y habituer !

- Bon, on va dire que rien ne sais passer...

Il laissa sa phrase divaguer. Ses yeux fixais le sol, perdus dans les nuages. Puis il me tendis le verre qu'il avais fi alement fini de touiller avec la petite cuillère.

- Non ! M'ecriaije. Je ne boirer pas ce truc !

- Alors tu va devoir te démerder toute seule pour soigner ta jambe infecter  ! Ce n'est pas mon genre d'empoisonner les gens, ce n'est pas maintenant que je vais commencer ! Bois le ! Mordonat'il.

- Je ne ressois d' ordre de personne ! Et je ne fait confiance à personne !

- Dans ce cas là. Me répondis t'il temps pis pour toi.

Il se releva et se dirigea vers la cuisine d'un pas déterminer.

- Ou tu vas ? Le question-ai je

- Vider mon remède dans l'évier figure toi !

Je déteste son caractère. Il est tenace comme mec.

- Mais... Si je ne bois pas ton remède, je peux mourir ? Demandai je.

Il ricana fasse a ma question. Même si je ne pouvais pas le voir, j'imagine sans mal son air makiavelique et moqueur.

- OH oui tu va mourir ! Me dit il. Et dans d'atroces souffrance même !

Je deglutie difficilement. Un long silence s'installa avant qu'il ne reprenne :

- Mais non! Je deconne !

Je poussa un long soupire de soulagement. Je ne veut pas mourir d'une infection ! Et surtout pas avant d'avoir vaincue mon père et avant d'avoir tenus ma promesse !

Il revins, le verre avec le liquide toujours dans la main.

- Me dit pas que tu m'a crus ?

- Non, pas du tous

Oui, je sais, je suis de mauvaise foi. Mais je n'aime pas perdre!

Il rigola, un long sourire animais son visage. Il me retendis le verre.

Je le pris tous en gromelant.

Tous en buvant le liquide, je mattarda sur les détail de ce jeune inconnu.

Il avais les cheveux boucler, brun avec des reflets dorer par si par la, qui lui retomber sur le frond. Ses yeux étais vert émeraude, pourvus de bleu intense. Il étais grand, pas très muscler, plutôt fluet. Son visage étais fin et son teint plutôt pâle mais sans trop l'être. Il n'a pas de barbe et a un nez fin. Son regard est craquant et ressort avec une beauter effroyable.

Quand javala la dernière gorger du liquide, un dégoût me remonta et je crus vomir.

- C'est... Pas... Bon... Balbutaije.

- Je sais. Me répondit il. Mais c'est la seul façon de te guerrir. L'infection de ta jambe se repend dans ton corps et sa atteint presque ta cheville ! Si on ne fait rien d'ici là...

Il laissa sa phrase en suspen.

- D'ici la ? L'encouraije.

- Tu peut perdre l'usage de ta jambe !

Son air étais inquiet, plus du tous joueur. Sa voix étais briser, et son regard emplis de panique. Il ressentait de la pitier pour moi ?

En voyant mon air déstabiliser il repris :

- Mais non! Tu va pas mourir ! Mais comme j'ai dit tu va perdre ta jambe, tu va te faire emputer, et, bye bye la cavalcade! Bye bye la panthère tueuse! Tu vas finir en chair à corbeau comme il le dise au média !

À présent, il avais un air sadique. Je pouffa de rire, même si je savais qu'il essayer de me faire peur, c étais absolument pas credible !

Il baissa la tête, frustrer.

- Sa vas ! Je rigole ! Lui dit-je

- Oui j'avais bien vue !

Son ton étais acerbe. Alors s'il aime bien se moquer des autres mais quand on se moque de lui !

Alors que je poser mon verre sur la table basse, un bruit de canne précipiter s'approcha de nous.

Cette sentation d'être pris au piège se rependis dans tous mon corps, et joublia mon mal de jambe et ma faim grandissante.

Jessaya de me relever mais il en empêcha, il me murmura des "sa vas aller" et des "tu ne risque absolument rien ici"

Je ne l'écouter pas, trop absorber par ses bruit de pas. Il m'avais pris au piège ! Comment ai-je pus lui faire confiance une seule seconde ?

Je me debatie, folle de rage. Il plaça ses mains sur mes épaules, essayant de m'imobiliset

- Lâche moi salle traître ! Hurlais-je

- mais calme toi ! Tu est en sécurité ici

- C'est sa ! Mon cul oui !

Jessaya de le repousser de ma seule jambe valide, en vain.

Les pas se raprocherent pour être presque à mon oreille. La canne marteler le sol.

Une voix, fatiguer et ternie par l'âge répondis :

- Qui es ?

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top