Stade de France

Je suis au côtés de mon mari et l'on donne les directives à nos joueurs qui vont se placés. Le matchs contre le pays de galles va commencer.

L'on s'assoit sur le banc alors que le coups de sifflets et donner. L'on les observe sans rien dire pendant une dizaine de minutes.

Jusqu'au premier but d'Antoine Griezmann. Comme à chaque fois j'explose de joie maus redeviens très vite professionnel. Mon mari rigole légèrement.

Didier : tu me fais rire avec ton air sérieux.

Moi : je suis professionnelle chéri.

Il s'approche de mon oreille et me chuchote.

Didier : même au lit tu est professionnelle mon amour.

Je me tourne vers lui et le regarde en mode choquer puis rigole.

Moi : tu n'est pas possible toi. Je me demande parfois comment j'ai fait pour t'épouser.

Didier : parce que tu m'aime.

Moi : oh ça oui que je t'aime.

Je l'embrasse chaste lent avant de me reconcentrer sur le match. Il faut qu'on reste quand même professionnelle même si c'est difficile. Le deuxième but pour et signer Olivier Giroud.

C'est pas mal pour mon deuxième match au coter de mon mari. La fin du match et sifflet. Nous rentrons dans les vestiaires après le coup de sifflet final.

Je remarque que ma fille boîte et je me rappelle que durant le match un joueurs gallois la tacle un peu forts. Elle s'assoit à sa place et je m'agenouille pour regarder son genoux.

Moi : tu devrais aller demander de la pommade au kine pour l'inflammation.

Chloé : je peu mettre de la glace aussi.

Moi : ça ne calmera la douleur que pendant quelque temps. Un pommade sera plus efficace.

Chloé : ok. Bb tu peux m'emmener près des kines s'il te plaît ?

Kylian : pas de soucis mon cœur.

Il s' approche d'elle et la porte en princesse jusqu'au kine. Ils passent devant Didier qui les regardent bizarrement. Il snaporetre même à les suivirent.

Moi : Didier Deschamps vient ici tout de suite.

Il se stop et certains joueurs ricannent légèrement. Ça les fait sourire de voir que je suis entrain de mener à la baguette leurs coach. Il s'approche de moi avec un petit sourire.

Moi : tu n'aller pas les suivre ?

Didier : hein... Heu... Ben non... Je... Bixente m'a dit qu'il voulait me voir et je viens de m'en rappeler.

Moi : chéri tu mens très mais alors très mal.

Didier : bon d'accord mais je voulais juste voir s'ils aller bien au kine.

Moi : tu n'est pas possible franchement. Mon cœur elle est grande maintenant.

Didier : je sais ça mais...

Moi : plus tu vieilli plus tu deviens têtu. Je dois te rappeler l'âge que tu avez quand l'on c'est rencontré ?

Didier : 18.

Moi : tu aller avec 18 ans. Chéri ils s'aiment comme nous on s'aiment. Alors maintenant tu la laisse gérer d'accord ?

Didier : d'accord mais je te préviens que si il lui brise le cœur il goûtera à la lame d'Azael.

Moi : et moi a mon pouvoir.

Paul : et nous a notre poigns.

L'on regarde les joueurs avant de rigoler. Didier m'embrasse tendrement.

Quelque jours plus tard. Munich.

Moi : Anna c'est quoi se maillot ???

Anna : ben c'est celui de l'équipe de ton mari. C'est olaf qui me l'a donner.

Je me tape le front avec ma main. Il lui a donner un maillot du psg de Kylian. Il a surement du foullier dans les affaires de Chloé.

Mon fils et sa petite amie rigolent et moi aussi. Le bonhomme de neige arrive avec de la nourriture et des boissons.

Olaf : et voilà j'espère qu'il y en aura assez pour tout le monde hein courant d'air.

L'esprit du vent nous tourne autour. Je sourit.

Moi : oh ça va être l'heure on se revoit après le match.

Anna : pas de soucis. Oh et tu diras à Didier que j'ai ramener se qu'il m'avait demandé.

Kristoff: Anna...

Anna : oups...

Le fiance de ma sœur se tape le front.

Moi : tu lui a ramener quoi ?

Anna : oh... Euh des gâteaux.

Bizarre. Bon je descend rejoindre les joueurs qui sont déjà en file indienne. J'embrasse le front de ma fille pour l'encourager. Je me place au coter de mon mari et le regarde.

Moi : ma sœur ma dit de te dire qu'elle avait ramener ce que tu avais demandé.

Didier : ah...

Moi : elle a gaffe sur un truc c'est ça ?

Didier : c'est ça. Mais ne cherche pas je ne te dirais rien.

Moi : oui ça je sais. C'est pour mon anniversaire ? Ou pour mon Noël ?

Didier : Elsa.

Moi : bon d'accord.

Les équipes rentrent sur le terrain et nous nous allons sur le banc. Les hymnes sont chanter puis les équipes se placent pour le début du match.

Je reste près de mon mari pour essayer de lui tirer les vers du nez à propos de cette histoire de chose que ma petite sœur lui a ramener et qui et visiblement pour moi.

Moi : tu me prépare une fête surprise ?

Didier : mon dieu qu'elle et têtu.

Moi : je tiens ça de mon mari.

Didier : je ne sais pas si c'est une bonne chose.

Moi : bon alors c'est une fête surprise ? Hein ?

Didier : j'te dirais rien et n'insiste pas. Et aussi pas de chantage.

Moi : tes pas drôle des fois.

Didier : et toi tu est presque aussi têtu qu'un Basque quand tu t'y met.

Je croise mes bras sur ma pointribe et le boude. Je regarde le match concentré. Pour une fois. Notre équipe met deus buts grâce à Antony Martial et Alexandre Lacazette.

Le match reprend après une pause de 15 minutes et les allemands nous en mettent deux. La fin du match arrive et je boude toujours mon mari qui essaie d'attirer mon attention.

Je prend ma fille dans mes bras et les félicitent elle est son petit ami. Ils ont tout les deux fait un très bon match malgré le nul concède.

Ensuite l'on monte dans les tribunes sauf qui qu'une main me retien et qu'une paire de lèvres vien se poser sur les miennes. Didier qui veut se faire pardonner avec un baiser. Et bien sûr je fond.

Je repond et passe mes bras autour de sa nuque pour le prolonger. L'on se sépare à bout de souffle et tout rouge. Ça fessait longtemps qu'il ne m'avait pas embrasser comme ça.

Didier : je suis pardonner.

Moi : bien sur puis c'est aussi moi qui est en tort. Aller on oublie et on monte rejoindre notre famille.

Didier : je te suis.

L'on se prend la main et l'on monte rejoindre notre petite famille.

A suivre...