Pdv Elsa

Aujourd'hui on emménage dans l'appartement. Je me sens beaucoup mieux. Didier a été très gentil envers moi. D'ailleurs c'est lui qui me change mon pansement. Je prend le dernier carton dans la voiture et le monte .

Marcel : hop hop hop. Tu dois reposer ton bras jeune demoiselle.

Moi : tu sais il va beaucoup mieux.

Marcel : je sais mais Didier nous as dit qu'on ne devait pas te faire faire trop d'effort sinon il nous mettrai sur la touche. Et puis moi j'ai envi de jouer au foot.

Foot ? Didier n'arrête pas de me parler de ça. Je me demande c'est quoi ? On rentre dans l'appartement. Marcel pose le dernier carton et Didier arrive.

Didier : j'ai une mauvaise nouvelle.

Moi : laquelle ?

Didier : il n'y a qu'un lit double.

Marcel : ah vous allez devoir dormir ensemble.

Didier : non. Je vais te laisser le lit Elsa ne t'en fais.

Moi : mais....tu est déjà assez gentil de m'héberger...

Didier : j'insiste Elsa.

Moi : et bien je n'est pas le choix.

Marcel : oh mec on va être en retard pour l'entraînement.

Moi : allez y je vais finir de ranger.

Didier : tu ne fais pas trop d'efforts d'accord ?

Moi : oui je t'en fais pas.

Tout les deux sortent. Je finis de ranger les affaires. Je m'assois sur le rebord de la fenêtre et observe la ville. Je me rend compte que j'avais la même position quand je regardai Arendelle de la fenêtre de ma chambre. Je me retire se mauvais souvenir de ma tête. Je dois m'occuper l'esprit. Je vais fouiller un peu. J'adore fouiller. J'ouvre les placard de la cuisine est voit du chocolat. J'adore ça. Mais j'y pense on n'a rien à manger pour se soir. Bon ben je vais essayer de cuisiner. Je dis bien essayer car même si ma mère m'a appris deux trois trucs je suis nul en cuisine à part pour les gâteaux au chocolat. Je vais en faire un tien.

Je sors les ustensiles est commencé à cuisiner. Je termine au bout d'une heure et demi j'enfourne le gâteau. Ouf j'ai eu du mal mais j'ai réussi par contre la cuisine est dans un sacré état. J'entends la porte d'entrée s'ouvrir et se refermé.

Didier : Elsa je suis rent...

Il arrive dans la cuisine eh me regarde surpris. Je lui souris gêner.

Didier : Elsa.. Mais...

Moi : pour te remercier j'ai voulu faire un gâteau au chocolat mais disons que j'ai un peu mis le bazars.

Didier : ce n'est rien je vais t'aider à ranger et nettoyer.

Il m'aide à ranger la cuisine et à la nettoyer surtout. J'ai mis du chocolat et de la farine partout.

Didier : et ben tu cuisine toujours comme ça ?

Moi : cela fait des années que je n'est pas cuisiner.

Didier : mais tu étais bien obligé de te faire à manger vu que tu vivais seule ?

Je m'arrête et le regarde.

Moi : c'est à dire que l'on cuisiner pour moi... La ou je viens c'est un pays magnifique avec notre royaume Arendelle qui se trouve au pied des montagnes et au bord du fjord.

Didier : Arendelle ?

Moi : c'est la ou je suis né et où j'ai grandi.

Didier : attend deux secondes tu as bien dit royaume ? Donc dans ton pays il y a un roi et une reine.

Je baisse un peu les yeux. De douloureux souvenirs remonte à la surface. L'annonce de la mort de mes parents, l'enterrement enfin plutôt l' élévation de pierre commémorative en hommage à mes parents, ou je n'y suis pas aller et la détresse d'Anna

Didier : Elsa? Houhou tu est la?

Moi : hein... Heu oui...

Didier : ça va? Parce que quand je t'es parler de toi et de reine tu te renferme.

Moi : enfaite non ça ne va pas. Tu as raison il y avait bien un roi et une reine qui veiller sur Arendelle.

Didier : avait ? Ils sont mort ?

Moi : hélas oui... Dans... Dans le naufrage de leur navire il y a 3 ans...

Didier : tu avais l'air de les connaître très viens pour être autant affecté de leur disparition.

Moi : Didier... C'était mes parents...

Didier : quoi??

Moi :  Agnarr et Iduna d'Arendelle était mes parents.

Didier : mais alors s'ils sont mort toi tu est la...

Moi : reine d'Arendelle oui.

Un blanc s'installe je laisse une larme rouler sur ma joue. Il s'approche de moi et me sert contre lui. Je laisse mes larmes couler. J'ai besoin de pleurer et de parler.

Didier : chut Elsa. Je suis sincèrement désolé pour tes parents. Ils étaient au courant pour ton pouvoir ?

Moi : oui... C'est... C'est mon père le roi qui m'a cacher aux yeux du monde pour que j'apprenne à les contrôler. Mais je n'y suis jamais arrivé jusqu'à se que je vous rencontre toi Marcel et Xavier.

Didier : et c'est à cause de sa si tu est parti de ton royaume ? Et que ses garde on voulu te tuer ?

Moi : oui. A leur yeux j'étais une sorcière, un monstre. Et ses gardes étaient des gardes à la soldes du Duc de Weselton qui ne pense qu'à pillé les richesses du royaume (nda: vous êtes d'accord avec moi il était venu pour ça).

Didier : mais... Si tu est ici le royaume n'a plus de reine et donc à la merci de beaucoup d'ennemis !!

Moi : non... Anna sera là pour veiller sur Arendelle.

Didier : Anna ???

Moi : ma....

J'ai du mal à prononcer un mot que d'autre larmes arrivent. Il ressers son étreinte.

Didier : chut Elsa ce n'est pas grave si tu ne veux rien dire. D'accord ?

Il passe sa main sur ma joue pour chasser mes larmes alors que je lui souris. Je me sens tellement bien avec lui.

D'un coup une sonnerie me fait rappeler que le gâteau et près. J'ouvre la porte du four et met un peu de glace dans la paume de mes mains. Je me saisi du moule et le pose sur le plan de travail sous les yeux stupéfait de messieurs Didier. Je ne peut m'empêcher de rire.

Moi : tu verrai ta tête.

Didier : non mais je sais que tu possède un pouvoir extraordinaire mais la ouah.

Moi : je sais ça impressionné hein.

Didier : carrément. Bon vu qu'il se fait tard et qu'il n'y a rien dans le frigo je t'invite au restaurant.

Moi : ah non je serai gêner.

Didier : j'insiste votre majesté.

Moi : tu viens de m'appeler majesté la ?

Didier : ben oui vu que tu est une reine.

Moi : ok je veux bien venir si tu arrête de m'appeler majesté.

Didier : d'accord princesse. Je tien à préciser que dans notre monde princesse et un signe affectif.

Moi : bon allons-y.

Didier : euh... Tu devrais te changer parce que je crois pas que ta robe et ta traîne passe inaperçu.

Moi : tu as raison.

J'agite mes mains au dessus de moi est en quelque seconde je change de tenu.

Moi : ça te va comme ça ?

Didier : euh... Oui oui... Tu... Tu est magnifique.

Je rêve ou il rougit et semble gêner. Moi aussi d'ailleurs. L'on sort, il ferme à clé et m'invite à le suivre. L'on marche plusieurs dizaines de minutes avant d'arriver dans un restaurant près du fleuve. Un homme vient à notre rencontre et nous indique un table à l'extérieur sur la terrasse. L'on s'assoit et il nous donne les menus.

Didier : ta choisi ?

Moi : non... C'est quoi de l'escalope de bœuf ?

Didier : ah ouai vous n'avez pas de bœuf dans votre royaume ?

Moi : je crois pas non. Bon ben je vais y goûter.

Didier : euh....d'accord je vais prendre comme toi.

Un serveur prend notre commande.

Didier : parle moi de toi.

Moi : et bien je m'appelle Elsa d'Arendelle. J'ai 19 ans. J'étais la nouvelle reine jusqu'à se qu'on découvre mon... Don. Et toi ?

Didier : moi alors je m'appelle Didier Deschamps. J'ai 18 ans et je suis footballeur professionnel au FC Nantes.

Moi : dit c'est quoi football ?

Didier : euh... Comment t'expliquer... Hum c'est un sport très populaire ou il y a deux équipes de onze qui s'oppose avec un ballon au pieds. Et ils doivent mettre le ballon dans des filet pour marquer des buts et l'équipe qui met le plus de but gagne le match.

Moi : euh.. D'accord et toi tu joue dans l'une des deux équipes.

Didier : euh... C'est plus compliqué en faite il existe plusieurs équipe. Se serait trop long à t'expliquer.

Moi : mais tu m'expliquera un jour hein ?

Didier : oui promis a voilà nos plats.

Le serveur nous emmène nos plats. L' on mange tout les deux et on rigole beaucoup. On nous apporte les desserts des glaces.

Didier : oh non elles sont presque fondu.

Moi : attend.

Je me relève un peu de ma chaise et discrètement agite mes mains. La boule se reforme mais en bonhomme de neige.

Didier : oh il est trop mignon.

Moi : il s'appelle Olaf et il adore les gros câlin.

A ces mots de douloureux souvenirs remonte à la surface. Je les chasses vite de ma tête.

Didier : il est vraiment chou. Et c'est toi qui l'a créé ?

Moi : oui pour Anna.

Je baisse la tête. Je vois qu'il remarque mon malaise.

Didier : je sais que tu ne veux pas en parler mais...

Moi : pas maintenant s'il te plaît.

Didier : ok mais sache que je serai toujours là pour toi.

Moi : merci. Merci beaucoup.

Didier : dit pour te montrer un peu Nantes cela te dis que je te montre la ville éclairé ?

Moi : oh oui je veux bien.

L'on se lève et Didier va payer l'adition. Ensuite il m'emmène vers le fleuve et je découvre alors les bâtiments éclairé d'une lumière jaune lumineuse. J'en suis bouche bée. Il m'entraîne vers l'église où l'on se sent tout petit.

Moi : c'est vraiment magnifique.

Didier : oui mais le plus beau c'est la tour Eiffel la nuit c'est splendide. Et les autre monuments de Paris aussi.

Moi : c'est quoi tour Eiffel et Paris ?

Didier : c'est un une grande tour qui se situe à Paris, la capital de la France notre pays. Il y a plein de monuments historiques la bas. D'ailleurs il y a aussi un grand club de football le Paris Saint Germain.

Moi : waouh la France doit être très très grande.

Didier : je te montrerai une carte tu pourra te faire une idée.

Moi : et paris ?

Didier : oui c'est très grand. Si tu veux un jour je t'y emmènerai et on n'ira visiter la tour Eiffel et les autres monuments.

Moi : c'est d'accord.

L'on se sourit et il me conduit vers les berges du fleuve ou il y a beaucoup de couplé qui se promène. Je les observe un peu.

Didier : dis tu n'a pas froid ? Parce que ta une robe sans bretelle ni manche.

Moi : je suis la reine des neiges et je n'est jamais froid.

Didier : tu veux que l'on s'assoit un peu ?

Moi : je veux bien.

L'on s'assoit près de la rive et je continue à regarder les couples qui se câline en silence.

Didier : ils sont mignons hein ?

Moi : oui beaucoup.

Didier : je n'est jamais connu trop ça.

Moi : de quoi ? L'amour ?

Didier : oui. J'ai eu quelques petite amie mais c'était juste des amour de gosses.

Moi : tu n'a jamais eu de relation sérieuse ?

Didier : non. Puis a mes 13 ans je suis parti de Bayonne au pays Basque pour venir ici à Nantes. Dans le club qui m'a acheté. Et toi tu as déjà eu des amoureux ?

Moi : jamais. Je resté constamment enfermer dans ma chambre. Je ne sortait que pour les repas et mes cours. Je devais rester le plus loin possible de tout le monde et protéger mon secret.

Didier : mais... Tu n'a jamais connu d'autre amour ? À part celui de tes parents bien sûr. Genre fraternel...

Moi : un peu.

Didier : de quoi ? De l'amour fraternel ?

Moi : oui mais c'était il y a longtemps. On peut rentré s'il te plaît ?

Didier : heu oui. Viens.

Nous rentrons en silence à l'appartement. Je pars dans ma chambre et me met en pyjama. Je pars me brosser les dents et reviens dans ma chambre quand Didier rentre et me vois en nuisette est short cours au dessus des cuisses. Un blanc gênant s'installe ou nous rougissons tout les deux.

Didier : je... Heu... Je venais te souhaiter une bonne nuit.

Moi : oh euh... Merci toi aussi. Enfin euh.. Si tu ne te sens pas bien sur le canapé je peux te céder le lit.

Didier : non ça ira ne t'en fais pas.

L'on se sourit mutuellement, je m'approche de lui et lui fait un câlin. Il passe ses mains autour de ma taille se qui me fait frissonner. Pas de peur mais d'un autre sentiment que je ne serai décrire.

Moi : bonne nuit Didier.

Didier : bonne nuit Elsa.

L'on se sépare, il m'embrasse le front et moi la joue puis il quitte la chambre. Je souris bêtement et pars m'allonger dans le lit tout en continuent à sourire bêtement. Je m'endors.