Chapitre 20 : Dylan Deschamps 👶
Main 1996
Je suis actuellement à mon huitième mois de grossesse et je suis seule à cette gare de Gimganp. Oui vous allez me dire ce que je fous ? Et ben je vais voir mon mari jouer en Angleterre mais il n'est pas au courant. C'est une surprise.
En attendant mon train pour Calais est en retards et ça commence sérieusement à m'énerver. Ok elsa reste zen pour toi et le bébé. Je pose ma main sur mon ventre et sourit.
Je sens une présence derrière moi. Je me retourne et voit Tiana est Véronique.
Moi : quesque vous faite la ?
Tiana : et bien disons que ton mari a eu une sorte de petite révélation comme quoi t'allais le rejoindre en Angleterre pour le voir jouer alors que tu est à ton 8 ème mois.
Véronique : il nous a demandé de te rejoindre et de t'accompagner au cas où.
Moi : comment il as su ?
Tiana : tu est sa femme il te connaît par cœur.
Moi : c'est vrai. Bon on doit attendre le train pour... Hum.
Véronique : ça va elsa??
Moi : oui c'est juste une petite contraction.
Je vois ma meilleure amie me regarder les yeux grand ouvert.
Tiana : je crois pas ! Elsa tu viens de perdre les os !
Quoi ?!! Je regarde vers le bas de mon corps et vois un liquide sortir de mon intimité. Oh non ! Il as un mois d'avance !
Véronique : on doit t'emmener à l'hôpital tout de suite !!
Tiana : taxi !!!
Un taxi s'arrête et mes deux amies m'aident à monter à l'intérieur.
Tiana : souffle bien voilà.
Véronique : à l'hôpital de tout urgence !!
Moi : Didier... Prévenez le je vous en supllie.
Véronique : je l'appel de suite.
Je souffle comme Tiana me l'indique alors que Vero s'occupe de prévenir mon mari. Je sais qu'il n'arrivera pas à temps pour l'accouchement. A moin que.
Véronique : il saute dans le premier train pour venir te rejoindre.
Tiana : elle aura déjà accoucher.
Moi : il vera pas son enfant naître.
Tiana : mais il le vera dans tes bras ma chérie. Aller continue à souffler on n'y est presque.
On n'arrive à l'hôpital et des infirmière viennent me chercher pour me mettre dans un fauteuil roulant. Elles l'examine et me mettent dans une chambre. Je souffle car c'est très douleureux.
Tiana : alors ?
Infirmière : l'accouchement est imminent nous devons l'emmener. Le père n'est pas là ?
Moi : non.... Il doit être dans le train.
Tiana : je peux l'accompagner à la place du mari ?
Infirmière : oui. Mais nous devons y aller maintenant.
Véronique : je vais tenir Didier au courant ne t'en fais pas.
Les infirmière memenne dans une salle avec plein de machine. Je prend la main de Tiana et la sert fort.
Tiana : je suis la d'accord respire fort.
Moi : mes pouvoirs j'espère pouvoir les contenirs.
Tiana : n'y pense pas et pense à Didier.
Infirmière : des que je vous dit poussez vous poussez d'accord ?
Moi : ou... Oui.
Infirmière : poussez !
Je m'exécute avec du mal. Tiana m'encourage à chaque poussez. Ça doit durer au moin des heures et elles deviennent de plus en plus fortes et douloureuse.
Ah un moment je commence à pleurer de douleur et je vois tiana me lâcher la main et partir. Mais quesqu'elle fait ?!
Je m'apprête à lui hurler de rester mais une autre main vient me serre les miennes et je la reconnaîtrai entre mille. Didier.
Didier : je suis la mon amour.
Moi : ta reussi a venir ?
Didier : oui depuis la gare jusqu'ici j'ai taper un grand sprint mais je n'aurai rater ça pour rien au monde.
Infirmière : je vois la tête. Poussez madame.
Je sers fort la main de mon mari et pousse le plus fort possible sous ses encouragement. Je continue comme ça in bon moment jusqu'à entendre des pleurs de bébé.
Je m'écroule de fatigue alors que mon mari regarde l'infirmière et se tourne ensuite vers moi les larmes aux yeux.
Didier : ça y est Elsa il est là !!
Je pleure alors tout les larmes qu'il me reste. Je vous l'infirmière s'approcher de nous avec une petit crevette dans ses bras.
Infirmière : félicitations. C'est un très beau garçon.
Elke le pose contre moi et avec Didier nous le regardons. Mon mari m'embrasse fort le front avant de pleurer de joie.
Didier : merci ma chérie. Je suis si fier de toi.
Moi : je t'aime et je suis heureuse que tu est pus le voir naître.
Infirmière : comment allez vous l'appelez ?
Didier : euh... Et bien on n'a pas du tout réussi à ce mètre d'accord et...
Moi : Dylan. Dylan Deschamps.
Mon homme se tourne vers moi surpris puis sourit. L'infirmière nous reprend notre fils pour lui faire quelque examen puis ils m'emmène à mon tour faire des examens. Mais avant mon mari m'a embrasser longuement.
Pdv Didier
Je sors de la salle encore les larmes aux yeux. Je suis papa. Je me dirige vers les 2 femmes et mon coéquipiers qui a voulu m'accompagner.
Zinedine : alors ?
Moi : alors je suis papa d'un petit garçon Dylan.
Les deux femmes hurlent de joie et me saute dessus. Zizou me fait une accolade puis s'écarte pour que je vois mes parents. Tiana à du les prévenir.
Tout deux me prennent dans leur bras et la mère pleure comme moi.
Pierre : alors comment va ma belle fille et mon petit fils ?
Moi : ils les ont emmener faire quelque examen mais sinon elsa est crevé.
Ginette : je la comprend. Et toi mon bébé comment tu te sens ?
Moi : arrête de m'appeler comme ça et très bien je suis papa.
Infirmier : messieurs deschamps votre femme vous attend avec votre fils dans la chambre 290.
Moi : merci. Venez.
Nous nous dirigeons vers la chambre. Je toque et entre doucement. Ma femme et allknfe avec notre fils dans ses bras.
Moi : ma chérie. Il y a des personnes qui voudrait rencontré notre fils.
Je m'écarte et laisse apparaître mes parents et nous amis. Ma mère lâche encore quelque larmes avant d'aller prendre elsa dans ses bras.
Ginette : comment te sens tu ma chérie ?
Elsa : fatiguer mais heureuse.
Zinedine : et dites Dylan Deschamps cans fait DD encore. C'est fait exprès ?
Elsa : un peu. Je voulais encore un deuxième DD dans la famille.
Moi : il a pas fini de se faire chambrer le gamin.
Pierre : bon on ne va pas vous déranger plus longtemps on va laisser nos jeunes parents se reposer et nous repasserons demain.
Ils sortent et je viens m'allonger à coter de ma femme et passe mes bras derrière ses épaules. Je regarde notre fils qui nous regarde tout les deux avec son sourire de bébé.
Elsa : il n'y a personne ?
Moi : euh... Non pourquoi ?
Elle lève un de ses bras au dessus de Dylan et agité sa main des petits flocons apparaissent et viennent se poser sur le nez de notre fils qui rigole.
Il agité aussi ses mains pour essayer de les attraper. Ce qui nous fait rire tout les deux. Mais d'un seul coup elsa perd son sourire et se tourne vers moi.
Elsa : Didier... Il est aussi en danger maintenant ?
Moi : Elsa je t'es promis de te protéger et je le ferai et maintenant je protégerai notre fils ne t'en fais pas. Personne ne lui fera du mal.
Je la sers un peu plus contre moi pour la rassurer du mieux que je peux. Mais ai fond de moi j'ai aussi cette peur que ces deux mecs s'en prennent à notre fils.
Je soupire. J'ai jure de protéger elsa quand elle est arrivé ici mainte je jure non seulement de la protéger elke mais aussi notre fils.
A suivre...
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