Décembre 1987

Je souffle en terminant de ranger la vaisselle. Ce soir c'est le vacance de Noël et comme l'année dernière nous le fêtons au pays Basque.

Depuis notre première fois nous nous sommes encore plus rapproche. Il me considère comme ça femme et moi comme mon homme. Pour mes pouvoirs et bien je ne les utilise que très peu. Même pour quand Didier s'entraîne avec Azael quil arrive maintenant à manier à la perfection exactement comme mon père.

Je pose mon tablier et regarde Tiana qui feuillete un magazine de robe de marié. Pourquoi ? Marcel la demander en mariage cette été et elle m'a choisi comme demoiselle d'honneur et Didier est le témoin de Marcel. Il se marie le 30 décembre à Paris. La ville de l'amour comme le répète Didier.

Je commence à éteindre les lumières quand le téléphone sonne et que ma meilleure amie décroche.

Tiana : allo ?... Marcel quasquil y a ta l'air paniquer ?.... Attend attend répète plis doucement s'il te plaît?... Elsa... Attend Didier a un problème ?!..

Quand je tend cette phrase je crousvers elle en panique. Je l'interroge du regard et elle me fait signe d'attendre.

Tiana : ok on arrive.

Elle raccroche et je m'empresse de poser la question.

Moi : Didier a un problème ?! Il est blessé ?

Tiana : oui il a un problème mais je n'en sais pas plus. On doit aller au centre d'entraînement du FC Nantes tout de suite.

Moi : j'arrive.

Nous prenons nos affaires, tiana ferme le restaurant et nous sautons dans la voiture pour nous rendre au centre d'entraînement ou un an plus tôt Didier ma recueilli.

Nous arrivons 20 minutes plus tard et je cours directe à l'intérieur. La tout le staff, les joueurs et le coach sont réuni et se tourne vers moi. Je cours vers Marcel.

Moi : ou est Didier???

Marcel : a l'infirmerie.

Moi  : quesquil c'est passez ??

Marcel regarde le coach de l'équipe qui baisse la tête. Il pose sa main sur mon épaule et me regarde droit dans les yeux.

Marcel : Philippe est mort.

Quoi ??? C'est une blague. Je regarde le coach ou dans son regard je vous bien que non.

Après Noël dernier le grand frère de mon chéri est parti vivre en Belgique, un pays à côté delà France, à Bruxelles. Et il devait prendre l'avion, un moyen de transport qui vole pour rejoindre Pierre est ginette au pays Basque. Cela fessai 10 mois que Didier n'avait pas vu son frère.

Marcel : l'avion c'est écrasé à 10 km de l'aéroport il n'y a aucun survivant.

Je regarde de nouveau Marcel les larmes aux.

Moi : vous lui avait dit ?

Xav : oui... Il c'est effondré. Il nous a fait une crise et on n'a pas arriver à le calmer.

Marcel : alors j'ai appeler Tiana pour que tu vienne. Tu réussira peut être à le calmer.

Moi : je vais essayer. Ou et l'infirmerie ?

Xav : c'est la dernière porte à gauche.

Je le remercie d'un signe de tête et me précipité jusqu'à cette porte. Arriver devant je toque et entre doucement. Je vois le médecin de l'équipe assis sur un lit avec mon homme en face de lui les genoux replier contre son torse et la tête dedans.

Cette image me revois à moi après la mort de mes parents. Le médecin se lève et se dirige vers moi.

Lui : il n'a pas décrocher un seul mot depuis qu'il et la. Je vais vous laisser seul.

Moi : merci.

Il sort et je m'assois près de Didier qui relève à peine la tête vers moi. Je lui fait un faible sourire et lui prend une de ses mains. Je vois encore des larmes couler sur ses joues. Je lui essuie d'un geste tendre.

Didier : ils te l'ont dit ?

Moi : oui je suis mon amour.

Didier : c'est de ma faute...

Moi : hein ?? Tu plaisent la Didier j'espère ? Comment tu pouvais savoir ce qui aller se produire ??! C'est.. c'est le destin qui... Qui...

Didier : elsa! Elsa chérie calme toi!!

Ma respiration à commencer à s'accélèrer. Mon copain me prend dans ses bras et prend une de mes mains sur son cœur .

Didier : suis mon rythme ma chérie.. Voilà reprend doucement ta respiration.

Ma respiration revient à la normal et je lâche quelque larmes en m'excusant.

Moi : je... Je suis désolée... Je sais pas se qu'il m'est arrivé...

Didier : chut tu a fait un crise de nerfs mon cœur.

Je continue de lâcher quelque larmes comme Didier. Je passe mes bras autour de sa taille et le sers contre moi. On reste comme ça longtemps puis Marcel et tiana viennent nous voir.

Tiana : toute mes condoléances Didier.

Didier : merci Tiana.

Marcel : tes parents viennent d'arriver. Avec ti' on n'a était chercher des affaires pour vous.

Moi : merci.

Marcel : et ne vous inquiétez pas pour notre mariage on comprendra si vous ne venez pas.

Didier : si on viendra je t'en fais la promesse mon Marcel.

Mon copain se lève et prend Marcel dans ses bras. Tiana me rend le sac d'affaire puis nous nous dirigeons vers le hall où ginette et Pierre nous attendent.

Didier court dans leur bras et je reste un peu à l'écart les larmes me montent de nouveau aux yeux. Je vois la mère de mon homme m'ouvrir ses bras et j'y vais m'y réfugier.

Nous saluons tout le monde puis nous partons pour le pays Basque. Personne ne parle dans la voiture he prend main de Didier qu'il sert aussi fort qu'il peut puis il pose sa tête sur mon épaules. Je l'inspire un peu à se reposer.

Nous arrivons vers 20h. Didier descend nos affaires et monte direct dans sa chambre. Je soupire et me tourne vers les parents de mon copain

Ginette : il n'a pas très faim. C'est normal mais il devrait mangé.

Moi : je vais lui emmener un peu quelque chose. Vous devriez aller vous reposer.

Pierre : impossible. Ils doivent nous appeler quand le corps de Philippe sera rapatrié.

Ginette : mais toi va te reposer ma petite elsa. Cela ra tout aussi secouer que nous.

Moi : d'accord.

Je prend des gâteaux dans le placard et monte dans la chambre de Didier. J'entre doucement et le voit allongé sur le dos qui regarde le plafond les larmes aux yeux.

Moi : je t'es amener des gâteaux pour que tu mange un peu.

Didier : j'ai pas faim elsa....

Moi : je sais mais tu dois te nourrir. S'il te plaît...

Il tourne la tête vers moi puis se relève. Je m'approche et je m'assois à coter de lui. Il prend un gâteau et le mange je fais pareil quand il passe ses bras autour de ma taille.

Didier : tu m'a fait peur tout à l'heure.

Moi : désolée je ne voulais pas.

Didier : j'aurais pas supporter de perdre mon frère et de perdre ma femme le même jour.

Je ne répond pas à cette phrase et l'embrasse. Je me sers contre lui puis nous nous allongons sur le lit pour nous endormir dans un silence total.

5 jours plus tard

Nous sommes au cimetière de Bayonne pour l'enterrement de Philippe. Je suis à coter de Didier qui me sers fort la main. Oui je suis avec la famille.

Au début je ne voulais pas sachant que comme je ne suis pas marié à Didier cela ferait jaser. Mais tout les trois ont dis qu'ils s'en fichait que je fessait parti de la famille depuis que Didier et moi sommes ensemble.

Alors j'ignore complètement les regard de dégoût de certaines personnes présente. Je vois Ginetre et son fils qui leur lance des regards plus que noir.

Le prête nous demande d'avancer et nous rend des roses. J'en prend une sous les regards bienveillant des Deschamps et la dépose sur le cerceuill.

Puis je me replace au côté de Didier. Je remarque qu'à Marcel, Tiana Xavier et même Bixente sont venu. Se dernier prend Didier dans ses bras et lui dit une phrase en basque.

La cérémonie se termine et nous déposons des fleurs que grâce à mon pouvoir ne gelerons pas. Nous rentrons. Didier lui reste dehors à regarder le paysage enneigé. Je m'approche de lui et me sers contre lui.

Moi : ça va aller d'accord?

Didier : je le sais parce que tu est la ma chérie.

Je sourit et lui embrasse la joue quand une idée le vient à l'esprit pour lui redonner le sourire. Je côtés dans la maison chercher se quil me faut sous le regard interrogateur de mon petit amis.

Je reviens quelque minute après avec une carotte, 3 morceaux de charbons, des branchettes et deux branches. Je souris à Didier qui lui aussi sourit sans comprendre.

Je lui tend tout se que j'ai qu'il prend dans ses bras puis je me tourne vers la neige. Je commence à agiter mes mains, la neige s'envole et commence à former se qui autrefois me redonner le sourire.

Didier : olaf...

Oui olaf. Je me tourne de nouveau vers lui un grand sourire sur mes lèvres.

Moi : a toi de le décorer maintenant.

Il sourit et commence à décorer olaf. Je remarque qu'il manque une branchette. Alors que je commence à la chercher je revois une boule de neige. Je me tourne vers mon copain mort de rire.

Ah il veut jouer à ça et bien allons y. J'agite mes mains et une grosse boule de neige apparaît au dessus de ma tête. Je regarde Didier qui fait moin le fiers.

Didier : non elsa.

Moi : ta voulu jouer amour et bien jouons.

Et je lui lance dessus en riant à plein poumons. Le voilà tout recouver de neige. Il reforme une boulu puis nous voilà parti pour une bataille de boule de neige.

Quand nous sommes tout les deux couvert de neige et que nous rions à plein poumons je sens des lèvres sur les miennes. Il est pas possible. Je répond à son baiser et me Calle contre lui.

Didier : merci mon cœur de m'avoir redonner le sourire.

Moi : mais derien mon amour. Si tu veux chaque Noël nous feront un olaf pour Philippe.

Didier : comme une sorte de tradition.

Moi : oui.

Didier : je veux bien. J'ai vraiment de la chance que le destin m'es fait croiser ta route ma Elsa.

Moi : et moi que cette lumière mes amener à toi.

Il prend mon visage dans sa main et m'embrasse. Le vent commence à se lever alors nous décidons de rentrer. Je regarde une dernière fois le olaf que nous avons fabriquer et j'ai eu l'impression qu'il me fessais un clin d'œil. Enfin ce n'était qu'une impression.

A suivre...