Tu es assise sur la chaise, et la dernière chose qu'il t'a dite avant de passer dans l'autre pièce c'est : "régales toi". Tu ne voulais pas qu'il parte, tu voulais qu'il te prenne là, maintenant, contre cette grande vitre, alors tu t'es précipitée contre la porte, tu en as secoué la poignée, mais rien à faire, il l'avait fermée. Tu es donc presque seule, dans cette pièce avec pour seule compagnie une chaise. Depuis la chaise tu as une vue plongeante sur l'autre salle, tu y vois une table dont la surface n'est qu'un vaste miroir et, éparpillés un peu partout, des jouets qu'il a l'habitude d'utiliser sur toi. 

De l'autre côté, il est là, seul, jaugeant du regard les possibilités qui s'offrent à lui. Il se dirige en premier lieu vers la porte et fait entrer une femme que tu n'as jamais vue. Il se sourient puis il la conduit vers la table au centre de la pièce. Il l'allonge sur le dos et attache ses quatre membres, écartés en étoile de mer. Se saisissant du premier jouet, posé sur une tablette, il s'approche d'elle tout sourire et fait remonter les vibration le long de ses cuisses. 

Depuis ta place, tu es totalement impuissante et tu sens l'impatience te gagner, les nombreux scénarios que tu t'imagines te donnent envie de voir plus, de voir les réactions de cette femme qui est là, allongée à ta place. Les vibrations contournent de très près son mont de vénus et continuent de monter le long de ses hanches puis sur son ventre, butant sur chacune de ses côtes. 

Maintenant que les vibrations longent sa clavicule gauche, tu scrutes enfin le visage de votre partenaire. Elle porte un rouge à lèvres écarlate et un grain de beauté décore le haut de ses lèvres. Ses sombres yeux te fixent pendant que le jouet se presse sur ses lèvres impatiemment, étalant des traces rouges sur ses joues. Elle ferme brièvement les yeux puis ouvre la bouche pour permettre le passage rapide, presque violent de ce que tient Victor. Au bout de quelques vas et vient, tu vois surprise que sa main à laissé le jouet dans la gorge de le femme et qu'il est déjà occupé à verser du lubrifiant sur les parties intimes de la partenaire.

Sans vraiment l'avoir voulu, tu es maintenant collée à la vitre, ne quittant pas des yeux le spectacle qui se déroule sous tes yeux. les sensations que tu éprouves sont un mélange de la froideur de la vitre et d'une excitation grandissante qui te déstabilisent au plus haut point. 

Victor a maintenant laissés enfoncé des jouets dans tous les orifices de sa partenaire et tourne autour d'elle avec un collier à décharges électriques en main. Elle a les yeux écarquillés, tremble de tout son corps et baigne dans ses fluides corporels. Tu entends le bruit du collier qui se referme sur le cou de la femme ainsi que les bruits de salive accumulée dans sa gorge, peu de temps après, tu vois son corps parcouru de spasmes lorsque les décharges la traversent, de plus en plus violentes. 

A cet instant, entre les cris étouffés, les coups donnés contre la table  et les pas de Victor tu te sens envahie par une vague de plaisir intense qui te fait trébucher et te cogner contre la vitre. Sans avoir complètement reprit tes esprits, tu vois vaguement Victor qui desserre les liens de la femme, la libère et parle un peu avec elle, lui étalant de la crème hydratante sur le cou ; tu les entends se remercier rapidement puis la porte claque et une vingtaine de secondes après, des bras te soulèvent, l'odeur de Victor et de sueur t'entoure et tu entends sa voix douce rigoler et te dire qu'il ne t'a même pas touchée. 

Tu sombres dans un sommeil de plomb.