Le renard à 9 queues
Nous étions en chute libre, tenant toujours Hypson, le Porc.
Je le frappais de toute mes forces durant la chute libre mais je pouvais l'entendre rigoler, à croire qu'il ne me prenait pas du tout au sérieux.
Frill :
--~~ Sphère Aurafique ! ~~--
Ma sphère le toucha évidemment de plein fouet. Nous n'étions plus qu'à 5 mètres du sol quand je le frappa avec un coup de patte retrouné qui lui fit augmenter sa vitesse de chute.
Notre atterrissage causa une explosion de fumée, de poussières ainsi que de fragments du sol.
Nous étions tout les deux indemnes, le Porc n'avait même pas l'air de souffrir.
Il se releva sans mal et recommença à rigoler.
Hypson : Tu me fais vraiment rire, je suis tellement gros que j'encaisse tout les coups. Petit minable !
Je le frappa à toute vitesse dans la nuque.
Il commençais à sentir de la douleur.
Frill : Et maintenant, as-tu enfin mal ? Ta nuque n'est pas couvert de gras, il faut réfléchir avant de donner son point faible...
Hypson : C'était voulu, je te manipule comme je manipulais ta famille et comme j'ai toujours manipulé tout le monde ! J'adore faire ça et je l'ai toujours adoré, je suis un pur connard et j'en suis fier ! Depuis tout petit je commençais à manipuler les gens ! Depuis tout petit je vendais des gens ! Depuis toujours je n'ai fais de ma vie qu'un grand business ! Je suis avide de manipulation, je suis avide d'argent et toi ! L'erreur de la nature, tu aurai du être le prochain à être vendu !
Je le reprenais par le col.
Frill : Où est ma famille ?
Hypson : Même si je le saurai je ne la donnerai pas à un raté comme toi.
Je commençais à vraiment m'énerver.
Frill : Où elle est ?
Hypson : Je ne te le dirai jamais ! Tu mérite ce qu'il t'arrive !
Je commençais à le secouer.
Frill : OÙ. EST. ELLE. ?
Hypson : Pas ici en tout cas ! Jamais tu ne la retrouvera ! Les erreurs de la nature comme toi méritent de vivre seul ! Tu est un connard, comme moi ! Un pur crevard ! Assoiffé d'une vengeance inutile ! J'ai vendu ta famille, ta famille de raté, ta famille de crédule, vous êtes tous des débiles, TOUS ! Tous autant que vous êtes ! Tu n'aurai jamais dû naître ! Tu es aussi hypocrite que moi !
Frill : Taisez vous !
Je le jetai alors de toutes mes forces devant moi !
Frill : Je ne suis pas comme vous ! Les seuls gens que je fais disparaître sont des gens comme vous, des connards que personne ne regrettera, je suis moins cruel que vous car je ne tue que les gens que tout le monde déteste sans les faire souffrir ! Je ne suis pas comme vous !
Je sentais mes membres doubler de taille au fur et à mesure que je parlais.
Frill : Je le répète...
Mon corps continuais à se décupler. Mes cheveux brillaient encore plus fort qu'avant, mon aura était elle aussi décuplée.
Frill : JE.
C'était comme une transformation, ou plutôt, une métamorphose...
Frill : NE.
Je sentais d'autres queues pousser à l'arrière de mon corps, j'en comptais 8 supplémentaires.
Frill : SUIS.
Je retombais à quatre pattes, ma métamorphose était quasiment complète.
Frill : PAS.
Mon corps était immense, je devais faire 8 mètres de haut, 20 de long et 8 de larges.
Frill : COMME.
Chacune de mes 9 queues devait faire 16 mètres de long et 4 de large...
Frill : VOUS.
J'étais maintenant un renard géant... où plutôt, un renard géant à 9 queues, j'avais l'impression de toujours l'avoir été.
Hypson était tout petit, je me penchais vers lui.
Frill : Je suis bien plus puissant que vous et je suis bien plus utile que vous, je me débarrasse des purs connards...
Il commençais à trembler.
Hypson : Je-je-je non ! Je-j'suis pa-pas un con-connard !
Frill : Tu a dit toi même que tu en était un ! Je vais soulager ce monde en te tuant !
Hypson : NON ! NE FAIS PAS ÇA ! Ta famille est dans le bâtiment le plus haut de Myxo ! Maintenant laisse moi partir !
Je reprochais ma tête de lui.
Frill : Est-ce que tu as eu pitié de ma famille ? Non. J'aurai la même pitié envers toi !
Le froussard commençais à courir de toute ses forces, je fis un pas ce qui étais suffisant pour le rattraper, je j'attrapais avec ma gueule, il ne cessais de demander pitié, je ne l'écoutais même plus... je penchais ma tête en arrière ce qui le fit descendre dans ma gueule jusqu'à ce qu'il atterrise sur un croc, je ferma ma gueule et je l'entendais crier de toutes la force qu'il lui restait... Je l'avais empalé avec seulement un croc. Je sentais son sang couler, ça faisais du bien de soulager le monde en tuant une personne qui n'aurait jamais dû naître. Je le mâcha encore longuement et le déglutit enfin Il avait un goût immonde, ce qui est logique quand on mange un vrai connard...
J'étais en partis soulagé, j'avais tué une des personnes que je détestais le plus et je pouvais enfin essayer d'aller sauver ma famille.
Mon corps commençais à rétrécir, mes queues disparaissaient, mon aura raptissait aussi jusqu'à ce que mon corps retrouve sa taille normale...
Une fois que je m'étais remis sur mes 2 pattes, je me retournais et je voyais mes amis qui étaient descendus et certaines équipes qui me regardaient, ils étaient tous impressionnés.
Rails : Mais... comment tu... ?
Je haussais des épaules.
Frill : J'en ai aucune idée...
La renarde à la fourrure violette s'approcha.
Kira : Je me suis trompée... tu n'es pas spécialisé dans la Projection, mais dans la Métamorphose ! Tu es l'héritier de cette spécialisation perdue ! Et ce que tu as fait, c'étais ton attaque ultime, une transformation...
Frill : La Transformation Véritable Forme du Renard Géant à 9 queues... ça sera son nom...
Kira : C'est classe ! Tu as débloqué ton attaque ultime grâce à un choc, ce qui fait que c'est une véritable attaque ultime ! Je me demande ce qu'il a pu dire pour te mettre dans cet état...
Frill : Je te raconterais tout plus tard, il a avoué où se trouve tout les prisonniers ainsi que ma famille, ils se trouvent dans le plus grand bâtiment de Myxo...
Kira : D'accord, mais on doit prévenir le boss qu'on sait où trouver les prisonniers.
Soudain un humain tomba depuis le QG, suivi par le boss qui l'écrasait de tout son poids.
Mékaino : Alors, ça parle de moi ?
Kira : Vous tombez bien, nous avons beaucoup de choses à vous raconter...
Mon quasi-sosie renard soupirais.
Nosiume : Eh ben, vous êtes pas des gens normaux...
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