C'etait juste une fois, juste un soir.
Une soirée plus que génial s'annonçait, la soirée de l'année, la fête d'Halloween.
Mon groupe d'amis et moi somme sur la route pour y aller, je suis tellement pressé, je suis déguisé en Dieu grec, le truc basique, drapé d'un déguisement qui ressemble plus à un drap blanc qu'autre chose, couronné d'un diadème fait de fleur d'argent et chaussé de spartiate, on es deux à être déguisé de la même manière, Louis et moi. On es frères, meilleur amis, alors on c'était dit que l'on pouvais se déguisé en "frère Dieux grec", pourtant nous somme tellement différent, lui et petit et moi grand, lui à les cheveux court et clair, et moi les cheveux long et foncé, lui à les yeux bleu et moi vert, lui es assez musclé et moi plutôt maigrichon. On est tellement différents, mais que physiquement, mentalement c'est la même chose, lui est un mec calme et moi j'ai le sang chaud des italiens, lui n'aime pas la violence, moi j'adore me battre. Bref tellement de différence que personne ne comprend comment nous pouvons nous entendre, mais moi je sais, on se complète. Nos différence nous complète, quand je suis trop énerver, c'est lui qui me calme, quand lui est trop intimidé, c'est moi qui me charge du connard. On se connais depuis qu'on ai gamin, il fait parti de moi.
-Haz ? Demande Josh.
-Yep ?
-Descend mec, on est arriver
Je tourne la tête vers la fenêtre et constate qu'on ai arrivé, je sort de la voiture en ricanant, trop dans mes pensés. Je tourne la tête à la recherche de Louis, puis fronce les sourcils en ne le trouvant pas, j'intercepte Nicolas.
-Il est ou Louis ?
-Accaparé par Sana
-Oh, rigolais-je.
C'était fini pour lui, Sana est amoureuse de lui depuis toujours, et malgré que Louis la remballe, elle ne veut pas lâcher le morceau. Alors quand elle arrive à l'attraper avant quelqu'un d'autre c'est fini. Il va passé une mauvaise soirée.
Je rentre dans la maison, c'est la maison la plus cool au monde, je suis y aller trois ou quatre fois pour des fêtes, et je sais qu'elle est géante, elle appartient au parent de Mickey, et a chaque fois, chaque fête, il n'y aucun meuble au rez de chaussé, ils doivent faire venir des déménageurs.
Je continue ma route direction la cuisine, pour un petit verre de bière, je cherche encore Louis du regard, je souris en le voyant sur la "piste de danse" bras baillant pendant que Sana se frotte a lui énergiquement, il me voit, et ferme les yeux, comme si il souffrait. Je lève mon verre dans sa direction en ricanant, lui me renvoi son majeur.
-Haz ! Hurle Dina.
-Harry, répondis-je.
-Ouais, comment tu va mon cœur ?
-Bien.
-Viens dansé ! Quémande-t-elle.
-Après, ouais je finis ma bière et je suis à toi.
-Ne m'oublie pas Haz.
-Harry !Gueulais-je dans sa direction pendant quel se faufilait pour trouver une nouvelle proie.
Il y a que ma famille et mes potes qui peuvent m'appeler comme sa, connasse.
***
J'enfile bière sur bière, vodka sur vodka, un joint par ici et par la, à deux heure du matin, je suis cuit comme une petite dinde à Thanksgiving.
J'entend des éclats de voix et reconnais celle de Louis. Je marche en zigzaguant, me tenant au gens pour traverser le salon. Une vision s'impose devant mes yeux, et sa me plais pas. Louis est entrain de se prendre un coup de point devant moi. Ha bon ?
Je pousse les gens, et attrape le mec qui à osé le toucher, j'ai beau être tout maigre, je sais me battre et j'ai de la force. Il va finir à terre.
On se bat comme des forcenés, tout les deux bourré, on doit ressemblé à deux grosses merde. Je finis sur lui à lui donner des droites comme il a jamais reçu, on me tire par l'arrière, criant ou me suppliant d'arrêter, je lève les yeux et remarque Louis et Nash. Je me calme, pour regarder Louis attentivement, l'alcool étant redescendu avec l'adrénaline de la bagarre. Je jure en le voyant saigné de la lèvre, il me tire vers les escaliers et nous les montons pour aller dans une chambre. Je rentre dans la première, et lui referme la porte derrière lui.
-Fait voir, demandais-je.
-Ça va. Sa saigne juste un peut, viens dans la salle de bain, toi aussi t'es blesser.
Je le suis dans la salle de bain, et m'assois sur la cuvette des toilettes, pendant qu'il prend une serviette et l'humidifie.
-Il faut que t'arrête de faire sa Harry, arrête de me défendre constamment, tout le monde va croire que je suis ta meuf.
-Sérieux je m'en fou, pourquoi il te touche d'abord ? Tout le monde sais que je supporte pas, et que je me battrais directement. C'est eux ils cherchent.
-Mais laisse moi me défendre !
-Mais tu rigole ou quoi? Aie Louis putain ! Hurlais-je quand il appuyas durement contre ma lèvre enflé.
-Il faut que tu me laisse me défendre, et si un jour tu n'est pas la et que je suis face à un mec qui veut ma peau ?
-Je serais toujours la.
-Non Harry, tu arrête.
-Louis... Je supporte mal qu'on te touche, je veux te protégé.
-Des fois je me demande si on est pas gay tout les deux, on dirait un couple putain ! Rigole-t-il.
Je rigole avec lui, en me disant que ses lèvres était appétissante, je regardais son corps voyant qu'il ne lui restait pas grand chose sur lui, sa robe étais déchiré, et il était tout rouge au niveau de la poitrine, j'avais envie de posé mes lèvres la. Pour le guérir.
J'ouvrais la bouche de stupeur face a mes pensés, détourné les yeux en rougissant, putain les pensés malsaine qui m'on parcouru l'esprit me font honte, avec un mec. D'autant plus que le mec c'est mon meilleur ami. Je relevé les yeux vers Louis, qui lui me regarde aussi dans toute les coutures.
-Tu me mate la ? Demandais-je choqué.
-Je-je-ouais, non, je
-Je te plais ? Demandais-je.
Il me regarda en souriant puis me lance un " va te faire mettre Styles".
-Par toi ? Osais-je.
Il me regardas choqué par mes propos, je baissais les yeux sur son corps et descendis petit a petit, je vis qu'il bandait dans sa robe. J'en reviens pas, il es excité par moi.
Je me relevais, pour me mettre face à lui, il me regardais la bouche entre ouvert, attendant la suite. On se regardas dans les yeux quelque secondes avant qu'il s'attaque violemment a mes lèvres, je le tiras plus près de moi, glissant sa langue dans ma bouche, je m'assis sur la cuvette des toilettes une seconde fois, et l'assis sur moi, je sentis sa verge sur la mienne, et sa me fit bander comme un gros connard. C'est tellement bizarre d'embrasser un mec, mais c'est doux, et sa langue dans ma bouche m'excite à un point inimaginable. Il commence à se frotter contre moi, ce qui me fait gémir, c'est tellement bon, je lui attrape les fesses, les serres et rapproches ses hanches plus près des miennes, il commence à m'embrasser sur les joues, puis descend sur ma mâchoire, ma gorge, de sa langue il titille ma pomme d'Adam, et putain sa va me faire jouir. Il détache ma robe de Dieu, je me retrouve le torse découvert, il me caresse, et je suis étonné de sa douceur, j'essaye moi aussi de lui retirer ce qui lui reste sur lui, je baisse son calçon légèrement, dévoilant son gland, rose et gros. Je pris le bout entre mes doigt caressant son extrémité de mon pouce, je l'entendis gémir de plaisir ce qui renforça mon excitation.
Je ne serais pas dire comment nous nous sommes retrouver allonger sur le lit, tout nu. Mes jambes sont croisé derrière son dos, nos deux membres se touche, et je n'aurais jamais cru qu'une sensation aussi merveilleuse était possible entre deux hommes, il donna des coups de reins, frottant violemment nos queues ensembles, je tire durement ses cheveux, tellement c'est bon.
-Putain, grogne Louis.
-Je vais venir, Dis-je.
Il me regardas dans les yeux puis emprisonna mes lèvres, redoublent c'est coup de hanche, ce qui fit frotter deux fois plus vite nos deux sexes ensemble, et je viens sur nos deux torses collé plein de sueur.
Louis continua ses assauts avant de lui aussi venir entre nous en gémissant mon prénom. Il m'embrassa une dernière fois avant de se relever et d'enfiler son calçon.
Je restais allongé dans le lit, essoufflé essayant de reprendre mes esprits, j'avais presque couché avec Louis, avec mon putain de meilleur pote. Je n'osais pas me retourné, de peur de voir quelque chose comme du dégoût dans ses yeux, moi j'avais vraiment apprécié et j'ai peur que cela ne soit pas pareil de son côté.
-Haz ? Demande Louis.
Je le regardais, les larmes au yeux attendant la suite.
-Je-Hum, écoute on a bu ok ? On est pote, je suis pas gay d'accord ? Et toi non plus mec ! Donc euh, on va faire comme si rien ne s'était passé, hum ?
-D'accord, dis-je d'une voix chevrotante.
-C'était juste une fois, juste un soir, finis-t-il la conversation.
Il partir dans la salle de bain, pour sûrement se nettoyé, puis il partit de la chambre sans un mot ni un regard pour moi.
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