Chapitre 18 : je t'aime
Oye oye
Ce chapitre à des contenus assez explicite. Cela a été censuré spécialement pour les personnes innocentes d'esprit
Pour les personnes qui ont l'esprit mal tourné bah... vous verrez par vous même ;)
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Vous allez me demander si j'ai connu un moment d'amour après ce calvaire, moi Benly si j'ai vraiment connu l'amour ? La réponse est oui. Même si moi et elle on a pris des chemins differentes. Je suis sortie avec Sandra. La soeur Jumelle d'Isabelle. Ces soeurs ne se ressemblent pas niveau apparence. On pourrait dire que ce sont de fausses-jumelles. Elle était du genre garçon manqué et aventuriere. Elle était toujours seule. Elle jouait seule à escalader sur les murs. C'était en Ce2 que j'ai fait sa connaissance. Elle était dans ma classe. Je me suis posé la question pourquoi une fille comme elle restait seule. Pourtant elle avait l'air heureuse comme ça. Je jouais le monstre avec elle parce que même si elle était heureuse comme ça moi je voulais qu'elle joue avec les autres. Cela veut dire que déjà à cette âge là j'étais mature. Et c'est à cette même époque que j'ai connu sa soeur Isabelle. A ce moment là je pensais qu'Isabelle était dans une classe au dessus.
Après la mort d'Isabelle je suis parti voir un psychologue. Depuis l'incident je suis resté muet. Mes parents me faisaient la misère quitte à me torturer rien. Je ne ressentit aucune douleur. Une fourchette planté dans ma peau ne me faisait quasiment rien. Traverser la rue sans regardait ni à gauche ni à droite ne me faisait rien. Je restais la plupart du temps dans ma chambre. Je ne mangeait point. Je me punissais de manger. Je ne méritais pas de vivre. Cependant j'avais d'excellentes notes à l'école. Des rumeurs en circulaient comme quoi j'avais tué Isabelle. Je me suis tue. Je les laisser parler.
Les filles m'insultèrent, les garçons m'agressèrent, et les parents d'élèves me reclamèrent le renvoie dans mon école.
_ Wow tout le monde te déteste. C'est bien ça ? me dit Sandra dans un couloir de l'école.
Je lui adressais un sourire, qui disait : que veux-tu, c'est la vie.
Je sortais de l'école et on me jeta des oeufs pourries même les parents ce sont mis. Ma famille à été harcelé. Personne parlait à ma famille. Le calvaire infernal que j'ai dû ressentir était interminable. Après tout c'est mon péché.
Je revenai chaque jour avec une blessure. Les journalistes ce sont mêlés mais des temoins ont vu la scène et ils ont riposté.
_ Arrêter de l'embêter !
Le calme est arrivé aussitôt quand la police s'en est mêlé pour la sécurité. Les parents ont arrêté de m'adresser la parole.
Je descendai tout seul séparé de mon frère et je vis Sandra qui m'attendait.
_ Tu me snobes tu ne me dis pas bonjour ? dit elle énervée mais je continuai la route.
Je suffoquai dans ce monde et j'essayai de m'accrochai a la vie. Mentalement j'avais dû mal à respirer. Je n'en pouvais plus. Celle-ci me poussa que je tombai par terre. Elle continua de me frapper me crachai et m'insultait. Mais même si je l'entendais j'étais sourd. C'est comme j'écoutai quelque chose mais mon attention est focalisé sur autre chose.
Puis elle craqua et elle pleura puis elle me serra très fort dans mes bras.
_ Pourquoi tu ne te défends pas ! Pourquoi tu ne me frappes pas ? Ce n'est pas toi qui a tué Isabelle. C'est moi ! Je l'ai poussé et la voiture l'a percuté, que je repris soudainement mes esprits.
_ Quoi ? parlai-je enfin. Comment ça ?
_ Je vais avouer à tout le monde que c'est moi qui a tué ma propre soeur. Tous ces choses ces méchancetés ne sont pas attribué à toi. Mais plutôt à moi. C'est moi la fautive et la coupable.
_ Je... je ne comprends pas pourquoi. Comment ça ?
_ C'est toi qui l'a tué ?
_ Oui donc je vais dire la vérité. A tout le monde.
_ Non... ne fais pas ça, la retenis-je. Tu ne sais pas dans quoi tu t'embarques.
_ Mais te voir comme ça ? Tu crois que ça me fait plaisir ?
_ Au moins toi tu me crois ça me va tout simplement, me relevais-je.
Mais au fond de moi je savais que j'étais l'unique responsable. Tout ça à cause de la radio. Je n'ai pas envie de mêler Sandra à cette histoire sinon elle risquerai de mourir.
_ Aller debout, l'aidai-je à le relever.
Elle se leva puis me serra très fort dans ses bras. Je pouvais sentir son coeur qui cogna de plus en plus fort. Je ne sais pas si c'est de la peur ou autres. Je le serra à mon tours puis je lui tapotai doucement le dos pour dire qu'il ne fallait pas s'inquiéter.
_ Sandra écoute moi. A partir de maintenant tu ne dois plus trainer avec moi, qu'elle me serra de plus en plus fort. Euh... tu m'écoutes quand je te parle ?
_ Si je t'abandonne j'ai plus l'impression de craquer. Plus je te vois comme ça plus ça me fait souffrir. Je dors très mal la nuit. Je veux... a mon tours te protéger.
C'est la première fois que depuis ce drame quelqu'un me dit qu'il veut me protéger. Mes larmes commencèrent à monter, puis le la serrai fort et je posais ma tête sur son épaule. Isabelle me manquait horriblement. Ma déclaration d'amour peut-il tuer des gens au final ?
Puis à partir de ce moment la on trainait de plus en plus ensemble. D'année en année. Les moments les plus magiques avec elle c'est le shopping.
_ Tu penses que si je mets ça le gars va craquer pour moi ?
A ce moment là j'étais trop jaloux. Le gars avait trop de chance mais elle ne réalisait pas que Sandra avait des sentiments pour elle. Plus elle m'en parlait plus ça m'arrachait le coeur. Mais je voulais que son bonheur.
_ Tu n'as qu'a lui demander ! boudai-je.
_ Pourquoi ? Tu es jaloux ?
_ Non mais tu me demandes mon avis.
_ Tu m'aimes ?
Je l'évitais du regard puis elle m'affrontait.
_ Bah réponds à ma question. Tu m'aimes ?
La question n'était pas juste. Je ne savais pas ce qui s'est passé je l'embrassai immédiatement. Ce baiser durer le plus longuement possible parce que j'attendai a ce qu'elle me donne une claque. Mais au lieu de ça elle prit mon visage et continua de m'embrasser. Je detachai aussitôt mon visage.
Tout le monde nous regardait.
_ Euh... salut tout le monde ! lachai-je.
Sandra me prit par mon bras puis m'enmena dans un coin tranquille et s'empressa de m'embrasser. Perso pour un premier baiser je ne sais pas comment ça marche je la laisser me guider. Mais beaucoup de question je me posais. Elle ne kiffait pas quelqu'un ? Pourquoi moi ? Quoi ? Hein ? Mais comment ? Hein ? Puis je l'arretai. On était un peu essoufflé. Surtout moi émotionnellement.
_ Tu en as mis du temps, dit-elle.
_ Comment ça ?
_ Depuis quelque temps je sais que tu me kiffes. Et ça m'amusait de te torturer.
_ Attends et l'autre garçon ?
_ Oh c'était du flan. Sinon je kiffe tes lèvres. On devrait faire ça plus souvent.
_ Mais depuis quand...
_ Que je t'aime ? Ça c'est un secret.
_ Non que tu me manipules comme ça ?
_ Attends je voulais être sûr que tu m'aimes. C'est pas évident.
_ Alors est-ce que tu m'aimes ? m'approchai-je mon visage contre le sien, qu'elle m'embrassa aussitôt.
_ Oui je t'aime gros bêta.
On est resté en couple pendant des années sans que personne ne le sache. Mais au fur et à mesure qu'on avançait dans le temps Sandra fréquentait d'autres gars. Cela ne m'a pas gêné puisque je la faisait confiance. Mais quand moi je parlais avec des filles elle piquait des crises. Quand j'ai découvert le poteau rose c'était quand on a fugué ensemble à nos 15 and, nouvelle vie, nouvelle aventure. Je continuai l'école par correspondance pour avoir un diplôme pendant que Sandra était serveuse. Je devais m'absenter pendant trois jours chez un ami mais je me suis souvenue que Sandra était trop bizarre depuis quelque temps. Au moment que je rentrai dans l'habitation, et que j'ouvris la porte j'entendis :
_ Oui vas y jouis-moi bouffon !!!
Le salon était dessus dessous. J'entendais les grincements du lit depuis le salon.
_ Non c'est un cauchemard, j'ai mal entendu, dis-je.
_ Attends je vais planter mon excalibur au plus profond ! reconnus-je la voix du gars.
_ Dépêche toi de libérer ton pouvoir alors !
J'avancais tout doucement, les yeux grands ouverts, la porte était ouverte et oui, vous qui avait l'esprit mal tournée je vous laisse à vos fantasmes. Moi j'avais assez vu.
_ Alors c'est pour ça que tu allais mal ? criai-je.
_ Non Benly ce n'est pas ce que tu crois ! paniqua-t-elle.
Et le pire de tout ça ils étaient bloquer à une position que le gars ne pouvais même plus retirer son excalibur en elle.
C'était la chose la plus humiliante et dégoutante de toute ma vie. Attends stoplait ils ont fini à l'hopital. Pour cela je me suis bien vengé. Avant qu'ils partent à l'hosto j'ai invité tous nos potes pour les aider. Oui c'était pire qu'humiliant. Et le pire ca me satisfait même pas. J'avais l'impression qu'elle n'avait pas assez souffert. Mais le plus étonnant mon corps réagit à elle. Oui quand je la vois je vomis. Des amies à elle s'occupait d'elle pendant que moi je dormais chez des potes. Un mois plus tard on a eu une conversation sérieuse.
_ Je sais que tu ne me pardonnerai jamais, dit-elle. Mais comprends moi. L'amour que j'avais envers toi n'est plus la même. Tu me laisses traîner avec des garçons.
_ Parce que je te fais confiance. J'aimais que toi. Je pensais que tu allais jamais me trahir. Pourquoi tu ne me parlais pas de ça.
_ Je... je voulais jouir.
_ Donc tu as demandé à un collegue de ton travail de planter son excalibur juste parce que tu voulais jouir. C'est un truc qu'on doit discuter sérieusement. Tu aurais réagit comment si je demandai à une autre fille que toi de planter mon excalibur, pour qu'il se redresse dur comme un fer ? Tu aurais accepté ça ?
_ Non je m'en rends compte de la bêtise. Ça arrive de faire des erreurs. Oui ca arrive d'oublier un stylo. Ça arrive de faire des bêtises. Mais là c'est quoi ? J'aurai fait ça tu ne m'aurais jamais pardonné. Ne me fais pas croire le contraire !
_ Que dois-je faire pour que tu me pardonnes.
_ Deja tu peux baiser avec qui tu veux. On n'est plus en couple. Si tu veux qu'on se mette ensemble laisse moi planter mon excalibur avec chai pas combien de femmes pour trouver l'élue, devant toi et la on n'en parlera.
_ Tu... tu vas vraiment le faire ?
_ Tu me penses vraiment crétin pour le faire ???? Par ta faute j'ai perdu confiance en toutes les femmes. Je t'ai mis dans un pied destale.
_ Frappe moi ou je ne sais pas quoi. Mais je n'ai pas envie que tu m'abondonnes.
_ Quand je te vois j'aurai toujours cette vision d'horreur. J'espère que tu trouveras la personne qui te fera jouir. Je ne suis pas l'élue de ton coeur ni le véritable excalibur.
_ Mais tu peux arrêter avec ça !!! C'est bon je suis consciente je suis une bouffone. Tu m'as humilié avec les gens qu'on connaisse. Tu veux m'infliger quoi comme souffrance ?
_ Dis moi la vérité tu aurais fais quoi si je l'avais fait avec autre.
_ Je trouverai ça normal.
_ Non tu aurais tout fait pour tuer la meuf et mettre ma vie en enfer jusqu'à tu sois satisfaite. Je te connais. Tu ne peux pas me mentir. Et comme je n'ai pas envie d'être comme toi le mieux que je puisse faire c'est qu'on se sépare à tout jamais.
Des années plus tard on se parle toujours mais en ami seulement. Elle est maman. Moi aussi je n'ai pas compris pourquoi on se parle toujours.
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