Chapitre 6

Point de vu Marcel

Je me réveille ce matin là dans une minuscule cellule salle. Je prends le livre posé sur ma table de nuit et je m'assois sur mon lit. Quelle heure est il? Je n'en ai aucune idée. Tous mes objets précieux ont été pris à l'entrée de la prison. Le gouvernement sait sûrement quelque chose à propos de F. U. S., je me demande ce qui est arrivé aux autres membres de la société secrète.

On toque à la porte enfer de la cellule et un plateau et glisser dessous. Je laisse la ma lecture et je prends mon maigre repas. Le plateau contient un bol avec de l'eau fumante et des oignons. Il y a aussi un Verre d'eau et une tranche de pain. Je regarde cette nourriture d'un mauvais œil puis, mort de faim, je me décide à la manger. Je repense aux plans volés et à mon arrestation. Je r réfléchis à qui pourrait être un espion du gouvernement dans FUS. Je pense à Tina Anderson, c'était la dernière à avoir rejoint notre organisation de la résistance.

Le bruit d'une clé dans la serrure de ma porte me tire de mes pensées. La porte s'ouvre sur un garde en uniforme qui me met une paire de menottes. Je le suis dans les couloirs étroits de la prison, et j'arrive dans une grande salle pleine de prisonniers. Il me donne un uniforme de prisonnier, puis il ouvre une porte en fer juste devant moi. « Entre » grogne-t-il. Je m'engouffre dans la minuscule pièce, et découvre une étagère avec un savon.

Un grognement se fait entendre, et une eau glacée me tombe dessus. Elle s'arrête et un instant et j'en profite pour enlever mes vêtements. L'eau continue un moment, puis s'arrête de nouveau. Je prend le savon et je me lave. Cela faisait depuis mon arrestation, deux jours plus tôt, que je ne m'étais pas douché. Quelques instants plus tard, l'eau reprend pour me rincer. J'enfile l'uniforme, puis je toque pour avertir le garde que j'ai terminé. Il ouvre la porte et je sors de la douche.

Il me conduit dans une grande cour extérieure, avec de nombreuses grandes tables, et des des coques de téléphone dessus. « Ryan! » appelle le gardien de prison. Un vieil homme au cheveux blanc arrive. « Montre-lui ce qu'il faut faire. » ordonne le garde. Il repart à l'intérieur du bâtiment il me laisse là avec le prisonnier. Celui-ci prends du papier en plastique posé sur la table et emballe la coque de téléphone avec. Il agrafe le papier, puis le pose dans un bac.

Je refais ces gestes, encore et encore. Une goutte de sueur perle sur mon front, bientôt suivie par une autre. Le soleil me brûle la peau, et je n'en peux plus de ce travail forcé. Je m'arrête un instant pour m'abriter à l'ombre d'un arbre, à côté d'une fenêtre. Je soupire, puis je m'assois.

Soudain, un gardien me hurle "retourne travailler toi!". Je lui obéis à regret, et je poursuis mon travail. Quelques instants plus tard, une sonnerie retentit et un autre gardien amène une énorme marmite ainsi que des bols. Les prisonniers font la queue, et le gardien donne un bol à chacun. Une fois que mon tour est arrivé, je découvre que la soupe à la couleur du béton, et sent affreusement mauvais. Je la pose là où les prisonniers ont posé leurs bols vides, et je continue ma tâche.

Ce soir là, je rentre dans ma cellule la nuit tombée, et je reprends mon livre. Cette journée était un vrai supplice, et je repense à F. U. S.. Je compte sur eux pour me délivrer, mais il faudra que j'attende un mois, ou plus.

Et la prison est très surveillée, ils ont peu de chances de me sortir de là. Sur cette pensée, je m'endors.

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