Expansion

Les Etats-Unis vont faire chauffer la planche à billets

Quand une banque centrale rachète (mua lại) des bons du Trésor (trái phiếu kho bạc) de son propre pays, cela équivaut à créer de la monnaie. La Fed (Cục dự trữ LB = NHTW) a décidé d'en acheter pour 600 milliards de dollars. De quoi stimuler (kích thích, động viên) le l'activité mais aussi l'inflation. Risquée (mạo hiểm), la mesure est bien accueillie.

La banque centrale des Etats-Unis a ouvert en grand (với quy mô lớn) les vannes du crédit en annonçant mercredi son intention (ý định, mục tiêu) d'injecter (bơm) 600 milliards de dollars pour soutenir la reprise et les prix, au lendemain d'un scrutiny (cuộc bỏ phiếu) ayant amené à Washington une majorité prônant (ca tụng) l'austérité (sự khắc khổ) budgétaire. Le billet vert se tassait (mọc dày, mọc chen chúc) à la suite de cette annonce, l'euro repassant au dessus de 1,42 dollar. Mais les bourses mondiales accueillent favorablement (thuận lợi) ces perspectives de relance. A Paris, notamment, le (chỉ số) Cac 40 bondissait de plus de 2% jeudi matin, au dessus des 3900 points. 

Après la conquête (chinh phục) de la Chambre basse (hạ nghị viện (Anh)) par les républicains (đảng viên cộng hòa), qui paralyse (làm tê liệt) les plans de relance du gouvernement, la Réserve fédérale (Fed) se retrouve seule en mesure d'aider l'économie sans délai. Elle a franchi le pas (quyết định làm 1 việc khó nhọc) en prenant des measures (tìm cách xử trí) d'assouplissement (sự tê dại) monétaire exceptionnelles dont les partisans (những người tán thành) les plus ardents (dữ dội, hăng say, nồng nhiệt) reconnaissent eux-mêmes qu'elles sont risquées. 

A l'issue de (kết quả của, kết cục của) deux jours de réunion à Washington, le Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) (ủy ban thị trưởng mở liên bang) a indiqué que la banque centrale avait "l'intention (ý định) d'acheter des obligations du Trésor à moyen et long terme pour un montant supplémentaire (bổ sung) de 600 milliards de dollars d'ici à la fin du deuxième trimestre de 2011". Pour le FOMC, le but de cette création de monnaie, dont l'annonce a précipité (hấp tấp, vội vàng, dồn dập) le dollar à la baisse sur le marché des changes, est double: "favoriser une acceleration (tăng nhanh, gia tốc) de la reprise économique" et faire remonter l'inflation, trop faible, à des niveaux acceptables. "Le rythme de la reprise de l'activité et de l'emploi continue d'être lent", explique le FOMC, jugeant que les progrès de la Fed vers son double objectif (plein emploi et stabilité (ổn dịnh) des prix) "ont été décevants (làm thất vọng) par leur lenteur". 

Une mesure courageuse pour le FMI

Le chef économiste (nhà kinh tế trưởng) du Fonds monétaire international, Olivier Blanchard, a salué jeudi l'injection (bơm) de 600 milliards de dollars de plus dans le circuit (chu trình) économique par la Fed."C'est une bonne mesure qui n'a pas été tentée (thử làm, tính toán) historiquement sur cette échelle (quy mô), donc c'est une mesure courageuse dont on ne connaît pas tous les effets et qui aura des effets positifs", a-t-il déclaré sur Europe 1. Ces effets ne seront toutefois "pas nécessairement" positifs pour les Européens", a-t-il cependant estimé (đánh giá), relevant que "cela dépend un peu de ce qu'ils décident de faire eux-mêmes". 

Concrètement (cụ thể là), la Fed compte racheter pour 75 milliards de dollars d'obligations d'Etat supplémentaires par mois d'ici à fin juin 2011, mais elle se réserve la possibilité d'ajuster (điều chỉnh, nhắm bắn) le tir en fonction de (chuyển biến theo) l'évolution de l'économie.

En décidant d'injecter des liquidités en masse (toàn bộ, toàn thể), la Fed, dont le taux directeur est quasi (gần như) nul depuis près de deux ans, renoue (thắt lại, nối lại) avec des mesures exceptionnelles dites "d'assouplissement quantitatif (sự mềm dẻo về số lượng)". En 2008-2009, période correspondant à l'après-pic (đỉnh) de la crise et au début de la reprise, la Fed avait en effet (quả nhiên) racheté pour environ 1.750 milliards de dollars de titres financiers sur les marchés. Sur ce total 1.450 milliards sont partis en titres émis par les organismes de refinancement (sự tái cấp kinh phí) hypothécaires (cầm cố) parapublics (khu vực bán công cộng) Freddie Mac et Fannie Mae. Seuls 300 milliards avaient été alloués (cho, cấp) initialement (ban đầu) à des rachats de bons du Trésor.

En triplant la mise mercredi, le FOMC veut abaisser (hạ thấp, giảm) encore un peu plus des taux d'intérêts déjà très bas pour stimuler (khuyến khích) l'investissement et la consommation. Il prend cependant un grand risque en s'aventurant (liều) dans "des eaux inexplorées (chưa thăm dò, chưa thám hiểm) ", de l'aveu (sự thừa nhận, sự tán thành) même de plusieurs partisans (người tán thành) de ce programme.

Dans une tribune (diễn đàn) à paraître jeudi, le président de la Fed, Ben Bernanke, a cherché à rassurer en affirmant que le plan du FOMC atteindrait ses objectifs et que la banque centrale serait en mesure de retirer en temps voulu les liquidités qu'elle s'apprête à injecter afin d'éviter un emballement (sự quá tải) indésirable de l'inflation, à terme, comme certains le redoutent.

Dans l'immédiat, estime Ian Shepherdson, économiste du cabinet HFE, l'annonce du FOMC devrait entraîner des "gains supplémentaires à la Bourse". Cela devrait, selon lui, "stimuler la confiance des consommateurs et des entreprises, et créer avec un peu de chance un cercle vertueux (có đạo đức) de confiance et de dépenses" susceptible (có khả năng) d'alimenter (duy trì) la croissance.

La reprise économique mondiale s'essouffle (làm cho quá mệt)

Le rythme de la reprise de l'économie mondiale a ralenti depuis le début de l'année, estime l'OCDE qui a revu ses prévisions de croissance à la baisse.

Angel Gurria, secrétaire général de l'OCDE

Le rythme de la reprise économique mondiale a ralenti depuis le début de l'année, et ce ralentissement est plus prononcé que prévu dans les pays de la zone OCDE, selon un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) (tổ chức hợp tác và phát triển kinh tế) publié mercredi 3 novembre.

"La reprise mondiale demeure fragile mais est globalement sur les rails", selon ce rapport publié dans la perspective du sommet du G20 à Séoul des 11 et 12 novembre. La croissance de l'activité et des échanges commerciaux s'est affaiblie depuis le début de l'année, en raison notamment de la diminution des incitations (sự khích động) fiscales, et dans la zone OCDE, ce ralentissement "est plus prononcé que prévu", souligne le rapport.

L'OCDE table (dựa vào, căn cứ vào) désormais sur une croissance de 2,5% à 3% pour sa zone cette année, de 2% à 2,5% en 2011 et de 2,5% à 3% en 2012. Dans ses dernières prévisions fin mai, l'organisation pronostiquait (dự đoán) une croissance de 2,7% en 2010 et 2,8% en 2011 dans la zone OCDE.

"Aux Etats-Unis et dans les pays disposant (có, tùy ý sử dụng) d'une marge de manoeuvre fiscale plus importante, ou davantage de liens avec les pays émergents, la croissance sera plus vigoureuse (mạnh)", mais seulement à compter de 2012, selon l'OCDE. Ainsi, l'Organisation prévoit dans ce pays une croissance comprise entre 2,5% et 3% cette année, 1,75 et 2,25% en 2011 avant une croissance plus forte en 2012, comprise entre 2,75% et 3,25%.

En 2012, la croissance des pays de la zone euro n'atteindrait que 1,75% à 2,25%, selon l'OCDE. Celle du Japon serait encore plus faible, comprise entre 1% et 1,5%.

L'OCDE s'alarme par ailleurs des dettes et déficits publics, qui ont atteint, selon elle, des "niveaux insupportables". "La simple stabilisation des niveaux de dettes dans la plupart des pays va exiger un effort historique de réduction compris entre 6% et 9% du produit intérieur brut (PIB)", a souligné le secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurria. "Mais en réalité il faudra consenter (cho phép, đồng ý) un effort encore plus important pour ramener (đưa) la dette à des niveaux acceptables", a-t-il ajouté.

Les jeunes, premières victimes de la hausse du chômage pendant la crise

Le taux de chômage en France des moins de 30 ans a augmenté de 4,3 points de la mi-2008 à la fin 2009. Un rythme deux fois plus rapide que celui de l'ensemble des actifs.

La hausse du taux de chômage en France a été près de deux fois plus rapide pour les jeunes que pour tous les actifs de mi-2008 à fin 2009, note une étude du ministère de l'Emploi, précisant que la forte crue du chômage des jeunes a touché les principaux pays européens, sauf l'Allemagne.

Sous l'effet de la degradation (suy thoái) très rapide de la situation économique, le taux d'emploi des 15-29 ans a reculé de 1,3 point à 46,4% et le taux de chômage a augmenté de 4,3 points de la mi-2008 à la fin 2009, selon la direction des études et statistiques (Dares) des ministères de l'Emploi et du Travail.

"L'augmentation du taux de chômage a été plus rapide pour les jeunes que pour l'ensemble de la population active" (+2,3 points), phénomène "habituel" en phase de crise, note l'étude, selon laquelle la part "importante de contrats temporaires dans les emplois occupés par les jeunes contribue à expliquer la surréaction du taux de chômage de jeunes à la conjoncture".

Dans la tranche d'âge des 15-29 ans, 56% étaient présents sur le marché du travail en 2009, dont 47% en emploi et plus de 9% au chômage. "La forte dégradation de la situation économique ne semble pas avoir incité les jeunes à prolonger davantage leurs études", note la Dares.

Dans les banlieues, le taux de chômage des jeunes atteint 30%

La proportion de chômeurs parmi les jeunes actifs a augmenté (+3,4 points en un an) à 16,9% en moyenne en France sur l'ensemble de l'année 2009. Le taux de chômage des moins de 30 ans a même bondi à 17,3% fin 2009, "niveau jamais atteint depuis 1975", selon l'étude. Les jeunes restent cependant "moins longtemps au chômage que les adultes de 30 à 49 ans".

Dans les zones urbaines sensibles (ZUS), le taux de chômage des jeunes actifs a frôlé les 30% en 2009. "La probabilité d'un jeune actif d'être au chômage plutôt qu'en emploi est environ deux fois plus forte en ZUS que pour l'ensemble de la métropole, sans variation significative entre 2003 et 2009".

"Le chômage des jeunes a fortement augmenté dans l'ensemble des principaux pays européens, à l'exception notable de l'Allemagne, la France se situant dans la moyenne des évolutions", souligne aussi l'étude. La proportion des 15-24 ans au chômage en France (23,4% au quatrième trimestre 2009) en 2009 a ainsi été équivalente à la moyenne de l'Union européenne à 15 et seulement supérieure de 0,6 point à la moyenne de l'UE à 27. Quant au taux de chômage des 25-29 ans, il a égalé la moyenne de l'UE à 15.

Seuls quatre pays de l'UE-15 (Espagne, Italie, Belgique, Grèce) ont un taux d'emploi des jeunes plus faible que la France, où la proportion de 15-24 ans en emploi est "faible" en raison d'"une formation initiale assez longue et d'une faible proportion de jeunes qui travaillent pendant leurs études".

Autre phénomène notable pour l'emploi des jeunes en France: les formations en alternance (contrats de professionnalisation et d'apprentissage) et les emplois aidés financièrement par l'Etat dans le secteur non marchand ont représenté "une part croissante de l'emploi des jeunes en 2009", note la Dares.

La croissance américaine accélère au 3e trimestre

Le PIB américain a augmenté de 2% pendant l'été, contre 1,7% au printemps. Cette croissance n'est cependant pas assez vigoureuse pour faire baisser le chômage.

La croissance économique des Etats-Unis s'est légèrement accélérée au troisième trimestre. Le produit intérieur brut américain a augmenté pendant les trois mois d'été de 2,0% en rythme annuel par rapport au deuxième trimestre, a indiqué le département du Commerce. Ce chiffre est conforme à la prévision de croissance médiane (giữa) des analystes.

L'été a marqué le cinquième trimestre consécutif de hausse du PIB américain depuis le début de la reprise économique ayant suivi la récession terrible qui s'est achevée officiellement (chính thức) en juin 2009. Le ministère note que l'accélération de la croissance n'a été que "légère" par rapport au printemps, où l'activité économique avait nettement marqué le pas (giậm chân tại chỗ), le PIB n'ayant alors augmenté que de 1,7% en rythme annuel.

A 2%, la croissance reste très inférieure (thấp, dưới) au potentiel de croissance du pays, ce que signifie que l'économie n'est pas assez vigoureuse pour permettre une baisse du taux de chômage américain, qui, à 9,6%, était fin septembre proche de son plus haut niveau en une génération.

L'amélioration du taux de croissance reflète en premier lieu "une nette décélération des importations, et une accélération de la production stockée et de la consommation des ménages", écrit le ministère. Ces contributions (thuế) positives à la croissance ont été oblitérées (xóa mờ) en partie (1 phần) par un recul de l'investissement des ménages dans le logement, et une décélération nette de l'investissement des entreprises et des exportations.

Vers un nouveau plan de relance?

Moteur traditionnel de l'activité américaine, la consommation des ménages a crû de 2,6% au troisième trimestre (après une progression de 2,2% au printemps), apportant 1,8 point de croissance au pays. Le commerce extérieur, qui avait fait perdre 3,5 points à la hausse du PIB au printemps, n'en a effacé que 2,0 au troisième trimestre.

La hausse des stocks des entreprises a fourni 1,44 point de croissance. Revers (mặt trái) de cette forte contribution de la production stockée: les ventes finales n'ont augmenté que de 0,6% au troisième trimestre, contre une hausse, déjà faible, de 0,9% au printemps.

L'économie a encore été soutenue par les efforts de relance du gouvernement. Les dépenses publiques ont augmenté de 3,4%, apportant 0,7 point de croissance, soit un peu moins que le trimestre précédent (0,8).

Signe préoccupant, la contribution de l'investissement des entreprises, qui avait fortement tiré la reprise jusque-là (cho đến đấy (nơi đấy, lúc đấy)), a fortement baissé: elle n'a été que de 0,9 point de croissance, contre 1,5 au deuxième trimestre.

A quelques jours des élections législatives du 2 novembre, l'annonce de l'accélération du PIB arrange le camp démocrate (phe dân chủ) du président Barack Obama, à la traîne (kéo theo sau) dans les sondages face à l'opposition républicaine.

Avant la réunion de politique monétaire de la banque centrale devant s'achever le lendemain des élections, le ralentissement de la demande finale et de l'investissement devrait donner des armes à ceux de ses dirigeants qui plaident (biện hộ) pour de nouvelles mesures de relance monétaire exceptionnelles afin de soutenir la reprise.

La Chine menacée par les déséquilibres mondiaux

L'économie chinoise va croître de 10% en 2010 selon la Banque mondiale. Sa croissance devrait cependant ralentir dans les prochaines années en raison du ralentissement de la demande mondiale.

L'économie chinoise va croître de 10% en 2010 et ses perspectives restent bonnes, mais elle est exposée aux conséquences des déséquilibres mondiaux, selon un rapport de la Banque mondiale publié mercredi 3 novembre.

Malgré la fin des mesures de soutien à la demande intérieure (cầu nội địa) prises (mắc kẹt) après la crise financière et les nouvelles mesures pour éviter une surchauffe (tình trạng căng thẳng) du secteur immobilier, "nous révisons notre prévision de croissance à 10% pour l'ensemble de l'année 2010", contre 9,5% auparavant, selon le rapport trimestriel de la Banque. La hausse du Produit intérieur brut (PIB) s'est élevée à 11,9% au premier trimestre, à 10,3% au deuxième et à 9,6% au troisième, un chiffre toujours "étonnamment élevé", selon la BM, pour laquelle les perspectives "restent bonnes".

Pour 2011, la Banque mondiale prévoit une croissance de 8,7% du PIB chinois. "Après la très forte croissance que nous avons observée récemment, la Chine devrait pouvoir passer en douceur à un taux de croissance plus facile à soutenir en 2011 et à moyen terme", a déclaré à la presse Louis Kuijs, principal auteur du rapport.

"Le ralentissement attendu de la croissance mondiale et des importations va probablement affecter (tác động đến, ảnh hưởng đến) les exportations chinoises", prévient aussi l'institution qui insiste (nhấn mạnh) sur la nécessité de rééquilibrer la croissance vers plus de demande intérieure, alors que Pékin est accuse (bị buộc tội) par les Etats-Unis et l'Europe de maintenir le yuan artificiellement (nhân tạo, giả tạo) bas pour favoriser ses exportateurs.

Nécessité de rééquilibre la croissance chinoise

"Un échec à rééquilibrer le modèle de croissance chinois est l'un des risques majeurs (lớn) à moyen terme, à la fois (đồng thời) pour la Chine et l'économie mondiale", selon ce rapport publié une semaine avant le sommet du G20 à Séoul, durant lequel les principaux pays riches et émergents de la planète tenteront d'éviter une "guerre des changes".  "La combinaison (sự phối hợp) d'importants excédents des comptes courants (tài khoản vãng lai) dans certains pays, dont la Chine, et d'importants déficits dans d'autres, notamment les Etats-Unis, présente des risques économiques et financiers" pouvant déboucher (lan rộng ra) sur des mesures "controversies (tranh luận, bàn cãi)", souligne la BM.

Certaines banques centrales sont intervenues au cours des derniers mois pour faire baisser le cours de leur monnaie et des économistes craignent que ces mesures débouchent sur un retour du protectionnisme. En Chine, "l'excédent commercial devrait continuer à croître en 2011 et à moyen terme", selon la BM qui ajoute que "l'excédent des comptes courants devrait croître encore plus" à cause des revenus des investissements chinois à l'étranger, qui devraient augmenter rapidement.

Le G20 Finances en Corée du Sud fin octobre s'est conclu par un appel aux Etats à limiter les déséquilibres des comptes courants et les Etats-Unis s'étaient déclarés en faveur d’ (xét đến) un objectif de 4% du Produit intérieur brut à ne pas dépasser. Alors que le gouvernement chinois arrête actuellement les objectifs pour son prochain plan quinquennal (5 năm) (2011-2015), le besoin de rééquilibrage est plus fort qu'auparavant "car l'économie chinoise, son rôle dans l'économie mondiale, ses excédents externes (ngoài) sont nettement plus importants qu'il y a cinq ans".

Enfin, la Banque mondiale considère que le risque inflationniste est faible en Chine, malgré une hausse des prix à la consommation à 3,6% en septembre, le plus haut niveau depuis deux ans. "Nous ne pensons pas qu'il y ait un risque important que l'inflation s'accélère (tăng lên)", a encore déclaré M. Kuijs, pour lequel des taux de 3% à 5% ne posent pas de problème "dans un marché émergent comme la Chine".

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