À toi, qui m'a donné la vie,

Chaque jours, je t'en remercie,

À toi, qui a fait resplendir

Sur mes lèvres, un beau sourire.

À toi, qui m'a félicitée

Même quand le combat je cessais,

À toi, avec qui chaque jours,

On peut ressentir notre amour.

À toi, ma maman, qui combat

Un maire boursouflé de mépris

Chère mère, toi qui te bat

Pour que ta fille aime sa vie.

Les disputes parfois prennent place,

Tensions orageuses dans l'air,

Mais une blague, un grimace,

Nous font effacer nos impairs.

Lutte incessante, omniprésente,

Charge mentale, enfants à gérer,

C'est souvent dur, remonter la pente,

En ne se laissant pas déborder.

À toi, pardon et merci, maman,

Toi qui nous aime tant à chaque instant,

Il est vrai qu'on te rend la vie dure,

Grâce à toi, on bâtit nos futurs.

Poème en ocotsyllabe, sauf pour les deux derniers quatrains, qui sont en énéasyllabe.

À ma mère.