Le vingt août deux mille onze.

D'aussi loin que je me souvienne, je n'oublierais jamais cette journée. Le jour où j'ai du quitter la ville d'Amoris. Celle qui m'avais tant donnée mais aussi celle qui m'avais obligée à tout laisser.

Quand j'us connaissance de la nouvelle, de la mutation de mon père dans un autre pays, c'etais comme ci mon âme se déchirait pour ne laisser que de simple cendres, des feuilles ternes et sans vie, montrant toute ma tristesse.

Ce jours là, pour la première fois, la solitude était ma chance d'échapper, d'oublier, de m'évader de ce monde égoïste... Je ne savais pas encore comment j'allais leur annoncer, n'y comment ils allaient le prendre.
Mais une choses était sur, sa les briseraient comme moi je l'ai était.

Oui. N'entendre que de simple mots. Se simple son, peut détruire toute une vie.

Parfois je me demande, pourquoi moi ? Le saurait je un jour ? Je ne sais pas. Je ne sais guère si la vie m'offrira se souhait.

[ Flash back ]

Je venais à peine de rentrée des cours que mes parents m'attendais sur le pas de la porte. A cette instants-ci, mon âme toute entière me criait de partir loin, loin de cette nouvelle qu'ils voulaient m'apprendre.

Malheureusement ou heureusement pour eux, je n'avais plus le contrôle de moi-même. Voir le visage crispé de mon père et celui fatiguée de ma mère, me figée instinctivement.

"
- Elizabeth... Nous sommes désolé de te l'annoncer si soudainement, nous avons essayé de trouver une solutions mais nous avons échoué...

- Vous avez échoué dans quoi ? Et pourquoi trouver une solutions ? Je ne comprend pas.

- J'était était muté dans un autre pays...

"
Plus ses mots traversé la barrière de ses lèvres plus mon monde s'effondrer, ma mère quand a elle était restait muette.

Avoir foi en quelque chose était beau mais pour moi, ce n'étais qu'une simple façade. Je comprenais tous à présent. Leurs ballades nocturne, leurs petits mots et regards indiscret, leurs attitudes..

Au fond je le savais, je savais pertinemment que mon bonheur ne durerais pas, mais c'étais peine d'y croire. J'y avais cru pour au final être blesser.

"
- Bien. Prévenez moi, quand nous partiront.

"

Ces mots étaient les seules qui m'avait donné la force de parler sans m'écrouler en sanglot.

Ne vous inquiétez pas chère parents, je ne partirais pas, je vous le promet. Mais la haine qui jaillit en moi, je ne peut la consumer ... Pardonnez-moi.

[Fin du Flash Back]

Ce jour là, j'aurais du comprendre le sens caché de leurs mots. Mais trop têtue, je n'avais pas cherché à comprendre, quand réalité. Si nous déménagions, c'étais pour une bonne raison.

J'aurais dû comprendre ! Pourquoi m'ai -je tant voilé la face.. J'aurais pu la sauvée sans me mettre en danger.

Pour moi, la mort de ma mère était la fin du monde. Un monde égoïste, emplie de mal mourant. J'aurais préférer mourir à sa place que de voir celle qui m'a donné la vie rendre son dernier souffle..

Si mon père avait demandé à être muté c'étais pour sauver ma mère de cette maladie, qui la rongé de l'intérieur.

Moi, je ne comprenais pas. Trop naïve pour comprendre qu'il ne lui restait que très peu de temps. Idiote pour comprendre que ma mère allait mourir...

Au files des années, la douleur ne s'était pas atténuée mais grandissait. J'avais le cœur lourd, la mort de ma mère, ma rupture avec celui que j'aime et le fait que mon père soit de nouveau retomber dans les bras d'une autres femme, m'avait achevé.

En fin de compte, peu importe de qu'elle forme elle ai, l'amour fait mal. Pour moi c'étais l'équivalent de l'enfer. Le ciel m'était tomber dessus sans que je ne puisse le voir.

J'avais tout perdu, sans que je ne puisse le comprendre. Mourir était égal à ça ? J'avais déjà tenter de me suicider mais rien n'étais de mon côté.

Comme ci, malgré toute la souffrance qu'il m'avais fait enduré pendant ses quatre longues années et plus encore, le ciel ne voulais pas que je le rejoignent.

Enfin bon, de l'histoire ancienne comme dirais iris. De l'histoire ancienne...

Cela faisait bientôt quelques heures que j'étais arrivé. Mais mon seule ressentit était le dégoût. Cette ville me rappelais beaucoup trop de mauvais souvenir. Mais malgré ça j'étais la pour un ans, il fallait que je mis fassent.

Avant que je ne foule de nouveau le sol de cette ville, j'avais contacter ma meilleur amie de l'époque. Celle avec qui j'avais essayé de gardé le plus de contacts.. Hélas, nous étions beaucoup trop occupé pour continuer.

"
- Elizabeth ! Que je suis contente de te voir !

- Moi aussi Rosa !
"
Elle m'avait sauté dans les bras. Son contacte chaud m'avais manqué tout comme Alexy, mon fidèle compagnon.

"
- Et moi, on m'oublie ? Ça fait du bien de te revoir Eli'

- Moi aussi, les amis... Moi aussi.
- Et si pour fêter ça, on allé au Snake room, se soir ! Le non n'est pas tolérable !
"

Avait dit Rosa. Elle n'avais pas changé sur se point, toujours aussi borné mais au moins sa me permettais de retrouvé certains repaire que j'avais perdu.

"
- Oui ne t'inquiète pas, je viens !

- Tant mieux ! D'ailleurs c'est quoi cette tenues, Eli'.

- Mes vêtements, pourquoi ?
"

A mes mots, ils se regardèrent choqué. C'est vrai que depuis le lycée mon style vestimentaire avait beaucoup évolué, c'était le cas de le dire.

Actuellement, j'étais vêtue d'un crop top en dentelle blanc, d''un jean taille haute à rayures blanche et noir, d'une veste en cuire et de mes fidèle Stan Smith.

"
- Vous allez bien vous d'eux ?

Je ris face à leurs réactions. Après quelques minutes choqué, c'est Alexis qui repris la parole.

- Si je n'étais pas gay je t'aurais directement sauté dessus.
"

À cette remarque Rosa se retourna furieuse contre Alexis.

"
- Et moi ! Dit Rosa, criant presque.

- Mais toi se n'est pas pareille Rosa, toi tu est unique en ton genre comme Élisabeth. Vous êtes toutes les deux mes meilleures amie, même si je n'étais pas gay comment pourrai-je vous sauter dessus, vous êtes comme des sœurs pour moi.
"

À ses mots nous nous présipitions dans ses bras, pour un câlins collectif. Ça m'avais tant manqué ses petits gestes. Cette amour qu'ils arrivaient à transmettre rien quand étant eux-mêmes, m'avais toujours autant fascinés.

Rosa reprit, aussitôt.

"
- Et si on allait boire un verre, comme au bon vieux temps !

- Ce n'est pas si loin que ça l'époque du lycée dis-je à Rosa.

- C'est vrai seulement quelques Années et des poussières !
"

Repris Alexis. Je ris à sa remarque malheureusement pour moi, je ne pouvais pas mais je leurs promis une prochaine fois. Si je n'allais pas rapidement m'inscrire à mes options, qui sais se qui resterais.

Et c'est ainsi que nous nous sommes dit au revoir, partant chacun de notre côté. C'est la boule au ventre que je franchit les portes de l'université.

Mes deux meilleurs amies m'avait dit plutôt, que certains était restés et que d'autres était partis de la ville mais que ceux qui était resté, du moin pas tous, était à Anteros Académie. Ce qui avait augmenter mon stresse de revoir d'ancien camarade de classe.

Et de le revoir lui... Pour Nath, je n'avais pas eux le courage d'énoncer son nom. La peur peut être, mais la lueur dans leurs regards me disait que ce n'étais pas le bon moment. Je ne sais pas si je pourrais un jours le revoir mais je l'espère de tout mon cœur.

Arrivée dans se qui me semblait être l'amphithéâtre, je me dirigea vers un homme de taille moyenne qui devait sûrement être celui qui s'occupe des options et des chambres, enfin je l'espère.

"
- Bonjour-

- Oh non, encore un élève ! Que j'ai hâte de passé mes vacances à Hawaii, loin des agitations de ses jeunes et de leurs demande incessantes !

- Euh..

Il n'y avait pas à dire, cette homme était vraiment bizarre, il me rappelais Mr. Boris. Je ris doucement.

- Pourquoi rigolé vous ? Encore un de ses étudiants idiot !

- Je ne vous permet pas ! Maintenant si vous avez l'obligeance de m'inscrire à mes options et me donné ma clé de chambre. je vous en serait reconnaissante, merci.
"

Cette homme si je puis-je dire, m'avait énervé. Depuis quand, les enseignants ou quelque soit d'autres avait le droit de nous parlé sur se ton ! Nous ne sommes pas des animaux ! Encore moi des objets ! Si nous leurs devons le respects que sa soit réciproque !

Ne le saluant pas, je partis en dehors de l'amphithéâtre pour prendre l'air.

"
- Qu'elle galère pour un premier jour.
Dit-je en soupirant.

- La princesse soupire déjà ?

- Castiel ?
"

Je n'avais pas vu Castiel depuis la fin du lycée, et pour dire vrai, c'est blagues à deux balles m'avais manqué.

"
- En chair et en os ! T'es revenu quand en ville ?

- Ce matin et toi ?

- Et moi ? T'es sérieuse ? J'ai jamais bougé moi au moin !
"

Quand on m'a annoncé que j'allais pourvoir revenir dans cette ville, la première pensée que j'avais eu était qu'ils allaient m'en vouloir, je ne me suis pas trompée. J'ai posée une question idiote et il m'a répondu.

"
- Je-... Je suis désolé je n'aurais pas du dire ça.
"

Il semblait désolé. Il y avait de quoi, lui au moin il n'avait pas vécu se que moi j'ai subi. Personne ne savait, à quoi bon le dire, c'est du passé.

"
- C'est bon. Je dois y allé Salut.
"

Je n'attendais pas qu'il me répondre, ses paroles m'avait déjà assez blessées. Ma seul envie actuellement était d'être dans mon lit au chaud, sans personne pour me déranger. D'être avec lui. Non, c'étais de l'histoire ancienne, je devais passais à autre choses, mais comment ?

Sans plus attendre je me dirigea vers les dortoirs, il ne me restait plus qu'à espérer que je n'aurais pas quelqu'un de détestable en tant que colocataire.

Arriver à destination, devant la chambre 231. Je sortis mes clés et ouvris la pièce qui me servira de nouveau logement pendant une année entière.
A première vue, la pièce était sombre et la lumière tamisée. Se qui ne me déranger pas en soi.

À vrai dire, depuis la fin du lycée j'étais devenue la lune au lieu du soleil. Moin joyeuse; plus calme et moins curieuse. L'inverse de moi à cette époque.

Malgré mon changement j'aimerais qu'on ne me pose pas de question dessus, j'ai tourné la page, qu'ils en fassent autant. Après ses mots je m'installa et passa le reste de l'après midi dans ma chambre à lire et écouter de la musique.

Ma colocataire n'étais pas encore arrivée , j'étais donc seule, pour l'instant.

Vers dix-neuf heure, mon téléphone sonna :

[ Début de l'appel ]

"
- Allo, Eli'?
- Rosa?

- Ah enfin j'arrive a te joindre ! Ça fait une heure qu'on t'attend devant le Snack Room! Tu va bouger tes fesses parce que si je viens tu va souffrir ma cocotte !
"
[ Fin de l'appel]

Aux paroles de Rosa, je ne pus m'empêcher de rire. Après ça elle raccrocha et je me leva de mon lit douillet pour me préparer. Étant donné que j'étais suffisamment en retard je pris une douche rapide et pris quelque vêtement aux pif.

C'est-à-dire, un pantalon en cuire noir, une chemise à carreaux et des basket noir. C'étais largement suffisant. Je pris par la suite mon sac, mon téléphone et mes clés.

Rosalya m'avait rapidement indiquée le lieu où se trouvé se fameux bar mais comme à son habitude, ses indications était vraiment minime.

Sans que je ne puisse le comprendre je me retrouva devant un café du nom de " Cosy Bear Café". Original comme nom, enfin bref. Je continua m'as route après avoir appelé Rosa parce que je m'étais perdue.

En même temps, depuis que j'étais partie, la ville avait complètement changé. Je ne reconnaissais plus rien.
Arrivé à destination je me fis sermonner par Rosa pour avoir pris autant de temps mais en même temps, ils auraient plus venir me cherché !

"
- Fermé les yeux Eli', ont a une surprise pour toi.
"

Avait prononcé Alexis pendant que Rosa me guidé à travers le bar.

"
- SURPRISE !!!
"

Quand j'ouvrais les yeux, je vis mes anciens amies du lycée, j'en avais les larmes aux yeux mais je n'arriverais pas à pleurer. J'étais comme bloqué. Au lieu d'être heureuse je me sentais triste. Quand je les voyais je pensais à Nathaniel.. Nous étions unis, une vrai bande d'amis mais à se que je vois, il n'y est plus.

"
- Que se passe t'il, tout va bien Elizabeth ?
"

Me sortant de mes pensée triste, Priya me rassura en posant sa main sur mon épaule.

"
- Oui, tout va bien les amies, je suis heureuse de vous revoir !
"

Pendant la soirée, nous avions beaucoup parlé de l'époque du lycée, même si moi même je ne parlais pas, ils arrivaient à me faire sourire. C'est vrai que l'époque du lycée on était les meilleur année de ma vie mais c'est loin tout ça a présent. A quoi bon ressasser le passé.

"
- Je pense que je vais rentrée, je suis heureuse de tous vous avoir revu.
"

C'est vrai. Je suis heureuse de les avoir revues, après tant d'années; mais je sens comme une distance entre nous, comme ci je n'avais plus vraiment ma place, ici.

"
- Nous aussi, nous sommes heureux de t'avoir revu Princesse.
"
Je leurs souris avant de quitter la table et de prendre le chemin du retour.

Sur le chemin du retour, j'avais préférer prendre un raccourci, m'éloigner de la lumière aveuglante des lampadaires. Me retrouvais seule avec moi-même.

Mais parfois, seule, je me demandais, qu'es-qu'il y avait dans se monde de si important, que le ciel lui même me refuse l'accès ? En tout honnêter, je ne savais pas, j'étais perdue, perdue dans mes pensées quand tout à coup.

Une voix, d'un ton rauque, peut être celle d'un homme bourré ? m'interpella.

"
- Hey, ma jolie ! Ne voudrait tu pas, passé le reste de ta soirée avec nous ? Nous te promettons de satisfaire toutes tes envies les plus profonde, même celle inavoué...
"

Honnêtement, je n'avais aucunement l'envie de leurs répondre. Qu'importe, à quoi ça me servirait ? Me rabaisser, puisque je ne l'était déjà ? Je ne sais pas.

A se moment la, je ne savais se qu'ils avaient recentis, tout ceux qu'ils l'avaient vécu.. A vrai dire, je ne le réaliser pas encore. Tout se que je savais, à cette instant précis, c'est que mon voeu pourrais peut être s'exaucer.

"
-Lâcher-la..
"
Ou non.