A toi qui est parti,
Je ne peux pas dire merci.
Tu as laissé en moi un gouffre,
Qui fait que chaque jours je souffre.

De toi je ne garde,
Que des souvenirs empreints de douleur,
J'ai créer des fantômes qui montent la garde,
En se nourrissant de ma peur.

En moi coule une rivière,
Faite de mon intarissable colère,
Car je ne peux accepter,
Que la mort m'interdise de te retrouver.

A toi qui est parti,
J'écris ces quelques mots,
Priant pour qu'ils apaisent mes maux,
Qui me consument petit à petit.

Et malgré moi ton absence,
M'empêche de sourire avec aisance,
Car chaque soirs,
J'espère te revoir.

A.