Chapitre 1
Mon maître, qui ne va plus l'être dans quelques heures, me força à entrer dans la cage qui se situe dans la cave où il faisait très froid. Je ne portais qu'une simple, longue chemise trouée, qui m'arrivait aux cuisses. Le froid se faisait très bien sentir ici, j'avais très froid et je tremblais un peu... Il faisait nuit donc, c'était évident à notre saison. Une fois dedans, il la ferma à clé. Il me regarda avec un sourire satisfait. Je m'étais assis au milieu de la cage, en boule.
Maître : Demain sera un très bon jour pour moi. Je vais me faire encore plus d'argents grâce à toi qui ne me sert plus à rien maintenant.
Je suis soi disant malade, pour lui, donc il ne voulait plus de moi. Et puis, qui veut soigner un esclave ? Personnes ! On ne le mérite pas apparemment. Je trouvais ça horrible mais comme on est pauvre, ont devient de vulgaires esclaves... Tout simplement... Les esclaves sont autorisé dans tout le monde.
Il rigolait en s'imaginant baigner dans une pyramide d'or, ce qui me répugne... Je serre fortement mes mains mais arrêtais, en gémissant de douleur, en sentant les douleurs de mes bras qui me faisaient horriblement mal... Pour se défouler, tous les soirs, il me frappa avec une ceinture ou autres choses objets que je ne connais pas.
A vrai dire je ne connais pas grands choses, lire, compter, écrire, certains objets,... On m'a enlevé de ma famille quand j'avais à peine cinq ans, le jour de mon anniversaire, ils sont venus me prendre, moi, et ma famille. Mes parents, qui n'étaient pas riche, avaient utiliser une partie de leur économie pour fêter mon anniversaire qui était rare dans notre famille... Depuis ce jour, je déteste mon anniversaire, ce jour maudit...
Pour ma famille, je ne sais pas ce qu'ils sont devenus, mes parents et mes deux frères... Quand j'ai demandé où ils étaient, il m'a lancé un regard froid et noir. De peur, j'ai plus redemandé depuis ce jour...
La nuit va être très longue pour moi, comme je ne dors plus trop la nuit à cause de mon cauchemar... Je revis encore et encore le jour où on m'a enlevé de ma famille. C'est tellement horrible de revoir tout ça... Les larmes de ma mère qui essayait de nous protéger et mon père qui hurlait de nous lâcher, des gens le tenant et ne pouvait rien faire...
Je vais me présenter avant que je vous raconte la suite de mon histoire. Je m'appelle Luca, il me semble que j'ai 18 ans, même ça je ne suis pas sûr... Je ne suis plus, non plus, mon nom de famille... Je fais 1m65 et je fais à peine 48 kg (on voit au moins un médecin tous les mois) J'ai de longs cheveux blancs, que j'ai pas pu couper, comme ma mère, avec des yeux rouge. C'est assez spécial, notre famille est comme ça. Voilà à quoi je ressemble en me décrivant à peu près.
Bon, je me réveillais après avoir encore fait ce cauchemar, j'avais du mal à reprendre ma respiration et j'étais en sueur... Je m'étais allongé, toujours en boule, pour essayer de dormir. Je devrais avoir des cernes à force de pas dormir assez et mes cheveux en pétard, mon corps remplis d'équipes et de cicatrices, et là je vais sûrement mourir de ma maladie inconnue à mes yeux. Mon maître me voyait souvent tousser fortement et j'avais souvent mal au torse.
Les heures défilée assez vite cette fois ci. J'entends une porte se fermer au loin puis des pas se rapprocher, c'était sûrement eux qui arrivèrent. J'ouvre les yeux et les voyais devant ma cage, mon maître et deux autres hommes.
Maître : Faites en sorte qu'il soit présentable et que quelqu'un veuille bien l'acheter
Premier et deuxième homme : Bien monsieur !
Un garde ouvrit la porte de ma cage et me tira de force pour me faire asseoir sur une caisse en bois qui se trouvait devant la cage. Un des deux hommes prit une sorte de boîte luxueuse, je ne sais pas ce qu'il allait me faire, j'avais peur... Toujours le même, posa un truc bizarre et doux sur mon visage, juste en dessous de mes yeux.
Premier homme : Ne bouge pas ! Je dois enlever ces cernes horribles !
On me tint pour pas que je ne puisse bouger. Une fois finit, l'autre homme se tint devant moi et regarda mes cheveux, il me semble.
Deuxième homme : C'est vraiment la pagaille dans vos cheveux ! Je vais remédier ça vite ! Je dois faire ça a un esclave, heureusement que je me lave juste après les mains.
Je voyais son regard dégoûté puis il commença à faire je ne sais quoi avec mes cheveux. Je fermais mes yeux à cause de la douleur quand il tira mes cheveux pour les coiffer... Après, je dirais, cinq minutes plus tard, il recula, j'avais ouvert mes yeux entre temps.
Deuxième homme : J'ai fini. Vous en pensez quoi, monsieur ?
Mon maître se met en face de moi et me regarda puis sourit.
Maître : Parfait ! Vos primes sont sur la table du salon.
Ils partirent, aussi vite qu'ils sont venus, après avoir remercié mon maître. Les gardes me remettent dans ma cage.
Maître : On part dans quelques minutes. J'ai hâte !
Il repart, avec ses gardes. Je soupirais un bon coup et touchais un peu mes cheveux sans me décoiffer. Mon cœur bat très fort à cause du stress. Et si personnes ne m'achète ? Mon maître me battra-t-il encore ? Tout pleins de questions me trotte dans la tête. Que faire ? Je ne peux pas l'enduit. J'ai essayé une seule fois et j'ai failli mourir... A ce moment là, je ne voulais pas mourir car je me disais que j'avais encore pleins de choses à découvrir encore mais maintenant, le temps a passé, je suis soi disant malade, je ne sais plus quoi penser... Je crois que mon destin c'est ça. Mourir en tant qu'esclave...
On vient me chercher un peu plus tard et on me mit des grosses menottes reliées à une longue chaîne, et aussi un bandeau sur mes yeux. Ensuite on m'emmène à la camionnette, j'ai reconnu le bruit des portes que se referment une fois dedans. J'étais assis dans un coin pour ne pas trop bouger dans tous les sens mais c'était pas assez comme je sentais mes blessures, je grimace donc de douleur...
Je ne savais pas depuis combien de temps est passé depuis qu'on est parti, qu'il s'arrêta enfin. J'entendis peu de temps après les portes de devant se claquer puis celle de derrière, là où je me trouvais, s'ouvrir. On me tire hors de la camionnette et m'emmène je ne sais où. Sous les pieds je sentis de l'herbe puis du sable avec quelques petits cailloux qui me faisaient mal... J'ai du me faire mal, j'ai toujours marché pieds nus.
Un moment, on s'arrête, j'entends quelque chose grincer ce qui me donna des frissons horribles, dans mon corps. On me poussa, à ce que je peux remarquer, dans une autre cage... Avant de fermer la cage, un garde enlève le bandeau de mes yeux puis il ferma la porte derrière lui, avec le grincement... Mes yeux ont prit du temps à s'habituer à la lumière du jour que je n'avais pas vu depuis des jours. Ça me faisait du bien enfin façon de dire. Je ne voyais pas quand choses dehors comme un drap ou une couverture était sur la cage... Je voyais juste le sol... Des voix se font entendre, on parle de moi. C'était la voix de mon maître et d'autres, il me semble, que je ne connais pas.
Maître : J'espère qu'il va me rapporter gros.
? : J'espère pour vous.
Il n'arrêtait pas de dire ça, ils continuent encore et encore pendant un moment de parler, c'était insupportable. Je mis mes mains, avec difficulté, sur mes oreilles pour ne pas les écouter.
Maître : Ça commence enfin !
Le drap qui était sur la cage, s'enlève, j'ouvre les yeux et vois mon maître. J'ai pu enfin voir l'endroit où je me trouvais. C'était un marché, où on vendait toutes sortes de choses, mes parents m'y emmenaient autrefois. Pleins de monde se promènent dans le marché.
On venait me voir, j'étais terrifié par tous ses yeux fixés sur moi, c'est normal d'avoir peur, non ? Ils discutaient avec mon maître. Il vend d'autres choses mais j'étais sa plus grosse pièce, on peut dire...
Plus tard, en fin d'après-midi, un groupe de six garçons attira mon attention. Ils s'étaient arrêtés pas loin de ma cage mais j'entendais pas ce qu'ils disaient, on aurait cru qu'ils se disputaient. Celui qui était énervé, apparemment, me regarda. Son regard me fit peur. Je recule un peu et baisse la tête puis j'ai pu entendre.
? : A cause de vous, je lui ai fait peur !
Je sursaute. C'est de moi qu'il parle ? Je lève doucement la tête et les vis me regarder, tous les six, apparemment, c'était ça.
? : Laissez-moi aller le voir !
Il avançait tout seul vers moi sans me lâcher du regard.
"Au début, je ne savais pas que ma vie allait changer grâce à eux, grâce à lui."
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Salut mes p'tits loups ! J'espère que vous allez bien, moi je suis un peu malade mais rien de grave. J'ai écrit cette histoire en espérant que ça vous plaisent. Dites moi se que vous en pensez. Bonne lecture et a bientôt pour la suite. Kiss mes p'tits loups !
(Histoire écrit le 13 novembre 2019. Posté le 30 novembre 2019)
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