Chapter 55 | #BADBOY
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PRIAM | Je reste sans réactions visibles devant ce spectacle, que m'offre ma Princesse. Elle a choisi une lingerie à la fois osée et sage. Tout comme peut l'être ma belle brune. Tantôt audacieuse, à d'autres moments timides. Je lève ma main vers cette tentation, qui anime mon érection de façon significative. Mais avant d'aller plus loin, je m'assure de son consentement, je veux qu'elle soit sûre de la suite.
— Je peux te toucher ? Te caresser ?
— Oui, je n'attends que ça...
— Tu te souviens que tu peux me demander d'arrêter à tout moment si c'est trop pour toi ou si ça va trop vite.
— Je le sais. Tu me respectes bien assez pour que je sois assurée que tu ne feras rien que je n'accepte pas. Tu as toute ma confiance.
Me sentir légitime et validé par celle qui anime mon cœur, m'offre une bouffée d'oxygène qui m'étourdit légèrement, tant ses paroles sont puissantes et enivrantes à la fois. Mon index s'aventure sur son buste et se pose enfin sur ce sein à peine recouvert par ce tissu fin, soyeux et transparent. Juste son aréole est dissimulée sous une fleur en dentelle délicate. La pulpe de mon doigt retrace les contours de chaque pétale. Cette douce caresse permet à son mamelon de durcir et de pointer de plus en plus dans ma direction.
— Butine-le...
Ma bouche atterrit délicieusement sur cette fleur, qui attend que je récolte le fruit de son plaisir. Le gémissement qui passe la barrière de ses lèvres m'enflamme. Mes mains se plaquent contre ses omoplates, alors que sa tête par vers l'arrière. Ses paumes posées sur mes épaules, son buste mis en avant, elle ne me cache pas ce qu'elle ressent. Ma bouche se déplace de l'un à l'autre pour aspirer ses tétons, les sucer, les mordiller du bout de mes dents. Les mouvements incontrôlés du bassin de ma belle brune nous enflamment et attisent ce feu intérieur, qui nous consume.
— Ton boum-boum a perdu le rythme, il s'emballe.
— J'ai du mal à contenir le tumulte qui règne dans mon corps.
Je décale la bretelle de son si charmant soutien-gorge pour qu'elle glisse le long de son bras et l'abandonne quand elle arrive au pli de son coude. Le tissu ne recouvre plus cette partie si sensuelle, si excitante et envoûtante, que je m'empresse de reprendre en bouche. Quel délice je ressens chaque fois que mes lèvres aspirent ce bout de chair, qui tout comme ma Princesse ne cache pas son plaisir d'être au centre de mes attentions.
— Luciole...
— J'en veux plus ! Tu tiens à me voir mourir à petit feu ?
Ses doigts avides passent sous mon tee-shirt et elle me le retire en me laissant lever les bras à mon rythme pour ne pas trop tirer sur mon hématome. Il est de plus en plus visible et foncé, mais la pommade que m'a donnée Connor atténue en grande partie la douleur.
— Je peux ?
Ma belle brune est tout aussi respectueuse même si elle est bien plus empressée que je n'aie pu l'être.
— Oui, je n'ai presque pas mal.
Sa bouche se pose sur mes côtes avec une douceur infinie qui me chamboule. Tels des papillons, elle vole au-dessus de ma peau meurtrie.
— Je n'aurais pas supporté de te perdre.
— Je suis là, ne pense plus à ça.
Mes mains en coupe autour de son visage, je le relève pour l'embrasser. Celui-ci reflète toute la peur que nous avons ressentie la veille. Il s'emballe, se teinte de notre désir. Et le ballet de nos langues en témoigne. C'est un tango étourdissant dans lequel nous confrontons notre plaisir. À bout de souffle, je renverse le corps de ma Princesse sur le lit. Je la fixe et son regard lumineux m'accorde son assentiment. Ses mains m'attirent à elle et mon buste vient se coller au sien. À genoux entre ses cuisses, je la surplombe et la vue est à couper le souffle.
— Tu es si belle...
Ses doigts caressent mon torse puis se baladent sur mes abdominaux avant de longer la ceinture de mon jean. Je la fixe pour déceler le moindre doute, la plus petite réticence.
— Tu es sûre, Luciole.
— Oui.
Je la laisse agir afin qu'elle aille à son rythme. Pour qu'elle décide de ses gestes, de la vitesse à laquelle elle veut avancer. Ses iris brillent et me renvoient tout le désir qu'elle ressent. Je sens ses doigts déboutonner mon pantalon, descendre ma braguette et n'identifie aucune inquiétude ou peur. Au contraire, ma belle brune est déterminée. Elle baisse le haut de mon jean, mais dans cette position elle n'arrive à rien. Alors je me lève et je m'occupe de le retirer. Mac enlève son short et attend que je reprenne ma place entre ses cuisses.
J'ai besoin de me reconnecter à elle au plus vite tant son corps me manque. Elle doit ressentir la même chose, car ses lèvres se tendent vers les miennes pour me devancer. Notre baiser s'enflamme tout de suite. Nos langues s'enroulent, se délectent de l'envie de l'autre. Elle aspire mon piercing et sa satisfaction se lit jusqu'à son front détendu en me voyant frissonner. Ma paume se referme sur son sein pour le caresser et m'enivrer de la volupté qui gagne les iris de cette femme qui me sourit.
— Qu'est-ce qui t'amuse ?
— La façon dont tu vénères ma poitrine.
— Ils sont ronds, bien fermes. Et si je...
— ... Heureusement que mon plaisir se décuple quand tu les cajoles sinon je pourrais devenir jalouse.
— Je les adore...
Pour la faire râler, je suspends ma phrase le temps d'embrasser la courbure de ses seins pour mieux revenir sur sa bouche pincée.
— Mais pas autant que toi, ma jolie boudeuse.
Son poing cogne mon torse et alors que je souris face à son inefficacité elle tente de me retourner sur le dos.
— Tu m'énerves. Je n'arrive même pas à te bouger d'un iota.
— Tu n'apprécies pas ta position ?
En attendant sa réponse, qui risque d'être acerbe, je lui donne un baiser léger, puis dans son cou, avant de glisser entre ses seins. Je continue de descendre et relève mon regard vers le sien. Ma Princesse se mord la lèvre et en a oublié de se rebeller.
— Tes papillons volètent, Luciole.
— Tu devrais vérifier si je crépite, je m'occupe de mon boum-boum.
Ses doigts se faufilent dans mes cheveux et, visiblement, je n'effectue pas assez vite mon contrôle. Elle pousse sur ma tête pour que je migre vers son intimité, d'où flotte le doux parfum suave de son excitation.
— Priam...
Sa supplique est tellement sincère que je laisse ma langue flirter avec la bordure de son tanga qui est assorti au soutien-gorge. Elle veut me rendre dingue. Sa fente est juste cachée par une fleur en dentelle. Et tout comme je l'ai pratiqué sur son téton, je retrace chaque pétale avec la pulpe de mon index. Mac se cambre et ses gémissements restent contenus. Timides. Étouffés dans sa bouche.
Je relève mon regard et la découvre avec les joues rosies, les yeux pétillants. Sa langue navigue sur ses lèvres gourmandes alors qu'elle ne cesse de les mordre.
— Lâche-toi, Luciole. Ici, il n'y a que moi qui peux t'entendre.
— Tu as pensé aux oiseaux ? elle s'amuse en pouffant.
— Ils devraient s'en remettre, je lui souris. Et puis, ce ne sont pas les derniers. Écoute-les.
Cette discussion a permis à Mac de se détendre. J'embrasse son ventre, contourne son nombril avant de revenir vers son pubis. Et pour éviter qu'elle ne se crispe à nouveau, je tends mes mains vers ses seins et les cajole du bout de mes doigts. Les uns tournent, les autres pincent ses deux tétons en même temps. Celui de droite s'expose nu et celui de gauche est encore caché sous le tissu, les réactions de ma belle brune sont similaires et enfin elle se laisse aller pour pouvoir exprimer ce qu'elle ressent vraiment.
C'est un enchantement qui accompagne ma bouche, qui se pose sur sa fleur en dentelle. Je l'embrasse, puis du bout de ma langue, je retrace chaque pétale pour que Mac apprécie le contact contre son intimité sans que je ne touche directement à sa peau. Elle se cambre sous l'effet que lui provoque ma caresse. Mes doigts reviennent vers son tanga et le descendent tout doucement sans que je la quitte du regard. Elle hoche la tête pour m'accorder le droit de le retirer. Et j'accompagne le retrait de son sous vêtement en embrassant ses cuisses, ses mollets et ses pieds.
J'en tremble de bonheur de la découvrir entièrement nue.
— Tu es si belle, Luciole.
Elle coquelicote jusqu'à la racine de ses cheveux face à mon compliment qui la touche. Je suis le premier homme qui pose son attention sur son corps dénudé et je veux qu'elle sache ce que moi aussi je ressens.
Ma bouche embrasse son mont de Vénus pour un premier contact, elle épouse son petit renflement puis elles se décalent petit à petit vers son bourgeon. Je n'entends plus sa respiration haletante. Je relève le regard et Mac me fixe en ayant bloqué son souffle. Appuyée sur ses coudes, elle ne rate rien de mes caresses du bout de la langue sur ses lèvres.
— C'est tout doux.
— Je n'ai pas eu le temps d'effectuer une retouche, elle m'avoue un peu gênée. Je ne savais pas...
— Stop, ma Princesse. Tu n'as pas besoin de te prendre la tête avec ça. Que tu sois épilée, rasée, ou au naturel, ça me va. C'est à toi que ça doit convenir. L'autre jour, j'ai été troublé tant j'étais surpris en apprenant que tu avais agi ainsi pour me plaire.
— Tu n'as pas apprécié ?
— Si. Et à sa juste valeur, mais, j'aime aussi quand tes poils me chatouillent, comme là...
Pour le lui prouver, je passe ma langue sur ses lèvres, que je lape sans lui cacher l'excitation que je ressens, puis je m'insinue entre ses plis pour atteindre l'épicentre de son plaisir. Ma Luciole lâche un gémissement profond qu'elle ne retient plus face aux sensations qui la traversent. L'appui de ses coudes cède et elle se retrouve sur le dos, plaquée contre le lit. Ses poings se serrent sur les draps pour tenter de contenir les vagues qui la submergent. Ses jambes se replient tandis que ses talons s'enfoncent dans le matelas.
— Priam... Hum...
Je prends un plaisir inattendu et indicible à lécher ses lèvres, à goûter à son excitation et à sentir vibrer son clitoris si sensible. Ses gémissements se trouvent de plus en plus puissants jusqu'à ce qu'elle se retrouve à nouveau silencieuse pour laisser parler son corps et tout ce qu'elle ressent alors que son orgasme la frappe de plein fouet. Je m'abreuve de sa jouissance et je prends conscience que je n'ai jamais rien caressé d'aussi délicieux.
Je me redresse et m'allonge sur mon flanc valide aux côtés de ma magnifique Luciole le temps qu'elle reprenne ses esprits. Ses joues sont devenues si rouges et ses iris si brillants que je la bade, alors que ses membres sont encore tendus comme un arc. Je place ma paume sur son boum-boum, qui petit à petit retrouve un rythme un peu moins saccadé. Ma belle brune revient vers moi pour plonger son regard enflammé dans le mien.
— Tu veux te goûter ?
Ses grands yeux s'écarquillent et l'interrogation se lit dans ses pupilles dilatées. Alors je presse mes lèvres contre les siennes sans approfondir mon baiser. Son sourire s'illumine. Elle plaque sa bouche sur la mienne en y ajoutant aussitôt sa langue pour m'entraîner dans une pantomime animée qui devient vite incontrôlable. Le plaisir résidant encore dans ses veines la rend aventureuse. Ses doigts naviguent sur mon torse et me poussent pour que je m'allonge sur le dos. Son regard pétillant m'assure qu'elle a envie de prendre les choses en main.
Au sens propre comme au figuré.
— Ceci est de trop, elle déclare dans une œillade mutine.
Elle passe ses deux index sous le bord de mon caleçon et sans jamais quitter mes iris, elle le descend en effectuant des mouvements lents. Ma queue se dresse sur mes abdominaux et ma Luciole s'en lèche les babines, rendant cet acte furieusement charnel. Son regard aguicheur déclenche un incendie dans tout mon corps. Les crépitements des braises embrasent mes reins. Tandis que ma Princesse se tient fièrement assise sur mon bassin.
Elle est terriblement belle.
Mac ne se cache pas, au contraire, elle met en avant ses seins si fermes et tendus, sa taille fine, où se posent mes mains, elle laisse ses hanches onduler et son sourire devient de plus en plus enjôleur. Elle se penche et je rêve déjà de retrouver sa bouche sur la mienne. Mais avant, elle se saisit du verre et avale une gorgée de jus de fruits. Ses lèvres s'approchent enfin de la mienne et elle m'embrasse avec gourmandise. Je les entrouvre et c'est à ce moment-là que je sens un liquide sucré couler sur ma langue. Elle est radieuse et heureuse de sa surprise.
— Tu en veux encore ?
— Ce n'est pas de refus.
Elle reprend une gorgée qu'elle partage avec moi et avant que je ne lèche ses lèvres, elle part à la conquête de mon torse. Je perçois un peu de ce nectar qui dévale mon épiderme, tandis que sa langue le récolte. Je me tends en la voyant descendre rapidement vers l'objet de tous ses désirs.
— Luciole...
Seul son sourire me répond, alors qu'elle gobe mon bout avant que je n'aie pu la retenir. C'est hallucinant de me sentir dans sa bouche humide. Elle laisse le jus de fruits s'écouler et sans attendre elle lèche chaque millimètre de la peau de mon sexe qui n'en finit pas de tressauter et de durcir. Quand elle revient vers mon gland, elle s'arrête et l'interrogation que je lis dans ses pupilles dilatées m'interpelle.
— Tu t'es rasé ?
— Il n'y a pas que toi qui peux agir ainsi.
— Mais, tu n'avais pas à...
— Tout comme toi, ma Princesse. Tu n'avais pas à t'épiler pour mon plaisir.
— Je te préfère avec des poils, elle se marre en papillonnant des cils.
— Et moi, j'apprécie ta chatte avec ou sans. C'est à toi de savoir comment tu te sens le mieux.
— Ok ! J'ai capté ! J'ai été ridicule sur ce coup-là, mais je voulais être parfaite.
— Tu n'as pas besoin de ça pour l'être à mes yeux.
Notre baiser reflète tout ce que nous n'arrivons pas à nous avouer. Je maintiens son buste contre le mien et me gave de toutes les sensations que me procure le contact entre sa poitrine et mon torse. Mes paumes caressent son dos tandis que ma belle brune entoure mon visage de ses mains. Je sais qu'elle peut lire tout ce que je ressens et je ne veux rien lui cacher de mes sentiments pour elle. Je ne maîtrise pas ce qu'elle a perçu, mais sa bouche longe ma mâchoire pour se retrouver près de mon oreille pour me confier dans un murmure.
— Aime-moi, mon Chevalier.
Pour accentuer ses mots, elle ajoute son geste en attrapant le carré argenté posé sur la table de chevet avant de me le donner.
— Je ne sais pas...
— ... Laisse-moi m'en occuper, ma Princesse.
Ses joues se parent de rouge. Elle redevient timide et gênée, contrastant avec celle qui vient de caresser de façon sublime mon érection avec sa bouche se couvrant elle aussi d'une teinte bien plus colorée. Dans un mouvement, je la renverse sur le dos et son sourire revient. Elle rayonne de bonheur, alors que je me place à genoux entre ses cuisses. Je m'active sur mon chibre sous son regard enflammé. Elle relève son buste pour m'apostropher.
— Eh ! Ça, je peux m'en charger. Laisse-moi te remplacer !
Elle se jette sur mon sexe et s'empare de lui comme si j'allais l'en empêcher. Sa main se referme sur ma queue et je suis subjugué par ses va-et-vient, qu'elle maîtrise bien mieux qu'elle ne le croit. Je me régale, mais je ne veux pas me mettre dans le rouge, je tiens à me réserver pour l'honorer et l'aimer.
— Luciole...
Ma belle brune a dû prendre ma supplique pour une invitation à continuer. Elle m'embrasse sans pour autant me lâcher. J'approfondis son baiser avant de la serrer contre moi pour l'entraîner afin qu'elle se recouche et arrête ses mouvements. Son regard perçant sait que c'est le moment. Celui pour lequel nous sommes venus ici.
— Tu es si désirable.
Mon index redéfinit son ovale, il serpente entre et autour de ses lèvres puis il redescend le long de son cou avant de redessiner les contours de ses seins. Il retrace le pourtour de ses tétons pour mieux dévaler sur son ventre, vers son nombril, puis son pubis. Il se balade à l'orée de son intimité et je sens ma brune se tendre. Je relève aussitôt mon regard et je la découvre avec les yeux fixés sur moi.
— Ça va ? Tu sais que tu peux me dire, non, et...
— ... Ne t'arrête pas.
— Tu es sûre ?
— Oui ! Je te veux, Priam.
Pour m'assurer de sa volonté, elle attrape le carré argenté pour me le confier.
— Tu m'apprendras ?
— Tu verras, ce n'est pas compliqué.
Son attention est accrue. Ma Princesse suit chacun de mes mouvements et affiche un sourire lumineux en me lançant.
— En effet, ça a l'air assez simple. La prochaine fois, je m'en occuperai, elle m'assure.
Mon cœur se gonfle d'amour en assimilant qu'elle envisage qu'il y ait d'autres fois sans même avoir vécu sa première.
Je me recouche sur elle pour l'embrasser. Un baiser tendre empli de tous mes sentiments. Je suis un peu nerveux. Visiblement bien plus qu'elle. Son sourire ne la quitte pas. Ses iris me dévorent tandis que ses mains s'agrippent à mon cou.
— Je vais être le plus doux possible, mais tu risques tout de même d'avoir mal.
— Je le sais... Aime-moi, Priam, elle souffle avant de m'embrasser.
Sa bouche reprend possession de la mienne pour un baiser qui nous emporte et reflète tout le désir que nous ressentons. Ma paume s'immisce entre nos deux corps pour vérifier que ma belle brune est prête à m'accueillir. Mes doigts glissent entre ses lèvres humides, ma Luciole gémit de bonheur tandis que je continue toujours plus bas et la pénètre de mon majeur.
— Oh ! Priam !
Ses yeux formulent tout le plaisir que ça lui procure une fois la surprise passée. Ses mains derrière ma nuque se verrouillent et elle recommence à m'embrasser, ne sachant pas comment gérer tout ce qu'elle éprouve. Mes va-et-vient ont l'air de la combler alors, je rajoute mon index et son excitation se révèle dans la volupté qu'elle exprime et qui la colonise. Je sens ses chairs se raffermir sur mes phalanges, c'est divin. Je n'ai qu'une envie, c'est de le ressentir sur ma queue. Je retire mes doigts, ce qui déclenche une réaction de ma belle brune.
— Priam !
— Patience, Luciole...
Mon érection coulisse entre ses lèvres pour la recouvrir de son jus avant de la positionner devant son antre. Ses yeux deviennent ronds en entrant juste un peu. Je veux qu'elle s'habitue à ma présence avant de progresser.
— Ça va ?
— Oui...
Sans lâcher son regard, une seconde, je commence à la pénétrer. Centimètre après centimètre. C'est impossible de mettre des mots sur ce que je ressens tant c'est merveilleux de partager ce moment avec ma Princesse. La voyant se détendre, je ressors un peu pour revenir sans pour autant avoir passé cet endroit, qui va sans doute lui provoquer des douleurs.
— C'est toujours ok ?
— Oui, tu peux continuer.
Je l'embrasse avec fougue. Elle est magnifique avec ses joues rouges, son émotion se reflétant dans ses iris et son sourire, qui irradie sur tout son visage. Je progresse jusqu'à ce que je perçoive une résistance. Je n'ai pas le droit de la laisser ressentir la peur qui me tenaille. Je dois me montrer sûr de moi pour que ce moment douloureux, le soit le moins possible. Les yeux dans les yeux, nos doigts entremêlés de chaque côté de sa tête, je force ce passage en un coup de reins incisif afin que cet instant déchirant soit de courte durée. La grimace qu'elle exprime me tord le ventre. J'aurais tant souhaité ne pas lui infliger cette douleur. Je dois pourtant continuer pour qu'elle n'imprègne pas trop longtemps l'esprit de ma belle brune. Je progresse en elle dans une poussée lente, mais soutenue de sorte qu'elle s'habitue à ma présence en elle.
— C'est terriblement bon, elle me souffle quand je me stoppe, alors que je la remplis entièrement.
— Ça n'a pas été trop...
— Si un peu, mais...
Son bassin se met à onduler et elle répond à mon interrogation muette.
— Continue. Je veux te sentir aller et venir en moi.
— Tu es parfaite, ma Luciole.
Je l'embrasse avec toute la fougue que je ressens et commence à évoluer dans de longs mouvements. Les premiers passages lui arrachent des froncements de sourcils qui se dissipent au fur et à mesure pour être remplacés par le désir et le plaisir qu'elle éprouve. Ma belle brune ne me cache rien de ce qu'elle vit et j'en fais de même soulagé d'avoir franchi ce cap.
La volupté est plus forte que tout et emporte avec elle nos peurs pour laisser la place à l'osmose de nos deux corps.
Ses yeux emplis de milliers de lucioles, elle me fixe alors qu'elle est balayée par cette vague de jouissance, qui la submerge et m'entraîne avec elle.
C'est à l'unisson que nous soufflons sur les lèvres de l'autre, notre premier « Je t'aime. »
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➥ C'est ici que se sont achevés les chapitres de la première version en laissant nos deux amoureux à leur première fois. Un merveilleux moment qu'ils nous ont partagé où Priam a su se montrer tendre, doux et à l'écoute de sa Luciole. On n'en attendait pas moins de lui, n'est-ce pas ?
➥ Donc, à partir de demain, ce ne seront que des inédits. Pour l'instant, j'ai écrit 53 chapitres de plus et leurs aventures ne sont pas encore terminées. J'espère que cela vous plaira tout autant que la première partie de leur histoire...
➥ Je savais bien que leur romance avait besoin de plus de moments pour s'exprimer en y incorporant plus de participation de la clique. Je peux vous dire d'ores et déjà qu'on y retrouvera même des points de vue concernant les jumeaux, Connor, James, et aussi des guests surprises...
➥ Vous me connaissez maintenant, tout ne sera pas tout rose ni sans vagues...
➥ J'espère que vous êtes prêts et prêtes pour la deuxième partie de leur histoire que je vais continuer à écrire en même temps que je la publie. Donc je ne sais pas encore si j'arriverai à maintenir la cadence d'un chapitre par jour, on verra bien au fur et à mesure...
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✨ Demain matin à 11 h 00, on retrouvera MACKENZIE.
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🥰 Bonne journée, mes Infinity Love, gros bisous 😘
🖤 Kty.Romance 🩷
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