Théodore descendit du taxi, son appareil photographique au tour du cou, il sortit sa carte de journaliste et sonna à la porte de l'asile d'aliénés. Il se présenta au médecin en tant qu'envoyer spécial d'un grand journal parisien et il expliqua qu'il devait faire un reportage sur l'asile d'aliénés. Il rentra dans un des nombreux couloirs au mur blanc de chaux, en passant devant une porte entrouverte où il colla son yeux dans l'entrebâillement et entraperçu Diana la tête dans les mains. Il eut l'impression que son cœur allait sortir de sa poitrine, devint rouge comme la tomate la plus mûre qui existent et dû se tenir au mur pour ne pas tomber. Une main masculine se posa lourdement sur son épaule , Théodore tourna la tête décontenancer et infirmier lui dit : " Diana n'aime personne et tu n'es pas le seul à l'aimer.

- qui d'autre l'aime ?

- tout le monde, moi et les autres infirmiers, les médecins et les fous, beaucoup on essayait de la séduire mais personne n'a jamais réussis.

- moi, je réussirais...puis-je la voir?

- oui mais vous repartirez détruit comme tous les autres.

- Diana de la visite.

- gromf, hurla-t-elle.

- bonjour Pénélope.

- pourquoi m'appelez-vous comme ça?

- parce que je vous connais mais vous m'avez aimé, regarde tu as la même bague que moi et tu te souviens pas de nos débats amours?

- oui, j'ai la même bague que vous mais je n'ai aucun souvenir de tous sa.

- Théodore se mit à pleurer, je me souviens qu'un homme t'avait enlevé à moi et que tu es enceinte de moi, tu te souviens?"

Pénélope tombe par terre en pleure, elle tend ces bras vers l'homme et lui dit : "Théodore, il est mort, elle s'évanouie à ses mots.

- qui est mort, dit-il en la serrant dans ces bras.

- l'enfant est mort."

Théodore la releva, il l'embrassa et ils partirent dans le dehors.