Chapitre 1

Alors que l'avion commence son attérissage, je peux déjà sentir le climat changer.

Effectivement, nous sommes bientôt arrivée. Nous avons beau être à plus de quelques millier de mètres d'altitude, je peux voir d'ici l'environnement changeant.

Et que dire, c'est juste magnifique.

L'eau de la mer est d'un bleu turquoise encore plus resplendissant que certaines cartes postal. Je peux observer des tâches noir à travers le hublot, déduisant qu'il s'agit d'animaux marin.

J'en est déjà plein les yeux alors que nous n'avons même pas attérie.

Alors que je me réinstalle dans mon siège, une lumière qui clignote au dessus de moi m'indique d'attacher ma ceinture, prodiguant que l'avion va se poser au sol.

Des frissonnements commencent à me picoter la peau, signe qu'une fraicheur inabituel s'est installée dans l'appareil. Qu'ont-ils tous à mettre la clime à fond ?

"Mesdames, Messieurs, ici votre commandant de bord. Nous vous informons que le vol E1296 en direction du Bali va bientôt atterrir, nous vous invitons à attacher vos ceintures de sécurité, merci."

Quelques secousses se font ressentir. Mes yeux se crispent et instinctivement, j'agrippe mes doigts contre les accoudoirs se trouvant à chaque extrémité de mon corps, enfonçant mes ongles dans le cuir. 


Prendre l'avion est une de mes peurs, mais il me fallait de la surmonter, pour lui.

***

Ma valise à la main, je me dirige vers la sortie de l'aéroport, impatiente de voir le décor dans lequel je me trouve à présent.

Alors que les portes automatique s'ouvrent devant moi, l'air chaud et presque irrespirable s'écrase contre mon visage me faisant immédiatement regretter la clime qui me tenait au frais.

Mise à part ce point, l'aéroport ressemble plus à un parking qu'autre chose, et pour se rendre dans le centre, il faut embarquer dans un bateau de fortune qui nous fait quitter ce petit îlot.

Alors que j'attends patiement mon tour pour monter sur le cargo, j'observe les gens autour de moi. Ils semblent tous venir des quatre coins du monde. Des allemands, des asiatiques, des brésiliens...

Il vient ensuite mon tour, je grimpe alors sur le petit bâteau suivit d'autres touristes, et notre petite escale en direction du Bali démarre.

***

Arrivée au centre ville, je me ballade dans les rues à la recherche d'un hôtel un minimum décent. Non pas que j'aime la luxure, mais avoir au minimum une toilette ne serait pas de refus.

A première vue, on ne se croirai pas sur une île. Les rues, les voitures, les magasins... Tout laisse à penser que le Bali est un continent comme les autres.

Alors que je tourne sur une autre rue, une enseinge avec inscrit "hôtel" attire mon attention. De l'extérieur il a l'air plutôt cline, pas comme certain que j'ai vue avant d'arriver là.

De toute façon je n'ai pas le choix, la chaleur m'assassine et marcher au soleil pendant des heures ne va pas m'aider.

J'ouvre la porte qui me sépare de l'intérieur et referme derrière moi.

En entrant à l'intérieur,  je ne suis pas déçus. Le haule est plutôt vaste et propre et le plafond est incroyablement haut.

Je m'avance donc vers l'accueil et suis reçus part un jeune homme.

"Bonjour mademoiselle, que puis-je pour vous ?" Demande t-il un sourire sur le visage.

Je dépose ma valise au sol;

"Bonjour, je voudrais vous prendre une chambre, s'il vous plait."

"Bien sûr, combien de jours comptez-vous rester ?"

Voilà une question à laquelle je n'avais pas réfléchis.

"Une durée indéterminée."

Le jeune homme hoche la tête avant de taper je ne sais quoi sur son ordinateur;

"-ls nous restent une chambre de libre, au dernier étage. Vous avez de la chance, la vue sera magnifique", me sourit-il.

J'hoche à mon tour la tête positivement. L'hôte se lève et se retourne, attrapant une clé, certainement celle de ma future chambre, et se tourne à nouveau. Il interpelle ce qui semble être un majordôme, ce dernier arrive à ma hauteur, attrape ma valise et la clé au passage.

Tout ça sous mon regard interrogateur.

Je me suis toujours demander pourquoi les gens qui travaillent dans les hôtels nous traitent comme si nous n'étions capable de rien. Je comprends que cela doit être pour la bonne image de l'établissement, mais j'ai l'impression d'être manchot.

Qu'importe.

Je suis l'homme et grimpe dans l'ascenseur qui m'emmènera jusqu'à ma chambre.

La monté est plutôt génante, l'homme reste muet comme une tombe, et cela me met mal à l'aise.

Je pivote légèrement la tête vers lui et m'aperçois qu'un badge avec inscrit "Victor" est percé dans sa veste.

Alors que nous arrivons devant la chambre, le dit Victor dépose ma valise à mes pieds et me tend la clé avant de disparaitre dans les couloirs de l'hôtel.

J'ouvre ensuite la porte et entre à l'intérieur de la pièce.

Cette dernière est simple, juste un lit et une salle de bain s'y trouve, mais cette simplicité la rend assez convivial pour y passer plusieurs nuits.

Je dépose ma valise sur le matelat de mon lit et l'ouvre.

Un tour à la plage me fera le plus grand bien sous cette écrasante chaleur.

Je sors donc mon maillot de bain, qui ressemble plus à un bikini qu'autre chose, mais je n'aime pas ce mot.

Je me dirige ensuite vers la salle de bain et me change.

Une fois fais, je sors un sac de ma valise, j'y mets mon portable, mes écouteurs et un livre, puis je sors de la chambre.

***

Cela fait deux heures que je lézarde sur cette plage bomdée, ma musique et mon livre de Jane Austen ne me suffisent plus à présent.

Il doit être 17 heure maintenant, pourquoi ne pas aller se promener dans le centre ville ? De plus, la chaleur écrasante de tout à l'heure c'est apaisée, raison de plus.

Alors que je range mes affaires dans mon sac, ce qui semble être un ballon s'écrase sur l'arrière de mon crâne, m'arrachant un cris de douleur.

"Aïe !", je m'exclame en frottant ma main sur ma nuque.

"Désolé  !" Intervient une voix masculine derrière moi.

Instinctivement, je me retourne et observe mon interlocuteur.

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Hello!

J'espère tellleeeeeement que cette fiction va vous plaire haha, j'ai trop peur en vrai, bref.

Kiss kiss :*


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