Voilà le chapitre 4, désolée s'il n'est pas drôle et ultra-court, je vous promets que le chapitre 5 sera plus long !

Je me réveille à minuit 23. Oh non ! J'ai oublié de mettre mon réveil ! Aaaah... Je cours jusqu'à La baratte à beurre en prenant à peine le temps de mettre des chaussures, d'attraper mes clés et de fermer la porte derrière moi. J'entre dans le bâtiment, et... Oh, oh. Freddy n'est plus à sa place. Non, non, non, non, non... Et dire que j'ai oublié le pot de miel que je lui avais promis à la maison... Mais pourquoi est-ce que ce genre de choses n'arrive qu'à moi ?! Je me dirige vers mon bureau le plus vite possible, mais sans réussir à m'empêcher de trembler. Seulement, alors que j'y étais presque, l'ours arrive et se place devant moi.

<<-Alors, tu as mon miel ? Demande-t-il, des étoiles dans les yeux.

-Euh... Non... Je bredouille.

-Quoi ?! Mais tu avais promis que tu m'en apporterais ! Gémis-t-il, sur le point de pleurer.

-En fait, j'avais dis ça avant-hier, et je t'avais juré que je t'en apporterai le lendemain. Or, le lendemain c'était hier, pas aujourd'hui...

-Mais je veux du miel maintenant !!! Il hurle.>>

À ce moment, la couleur de ses yeux s'inverse. La partie blanche devient noire et vice-versa. J'ai un mouvement de recul, mais il s'approche de moi, me prend à bout de bras et s'apprête à me réduire les côtes en miettes. Je vais mourir... Mais je ne veux pas !

<<-Au secours ! Je crie.>>

Soudain, alors qu'il allait me broyer les os, j'entend une voix familière.

<<-Lâche-là.>>

Je me rends compte avec soulagement que Golden Freddy est réveillé et qu'il est venu me sauver. Le brun grogne.

<<-Mais... Je veux du miel !

-Tu es un animatronic. Tu n'as pas besoin de manger, et le miel collerait à tes circuits. Cela pourrait même te détruire de l'intérieur, tu comprends ?

-Mais alors, pourquoi est-ce que Chica passe son temps à avaler des pizzas ? Demande Freddy, désespéré.

-Parce qu'elle est trop rapide pour que je l'en empêche... Soupire l'ours doré.

-Et pourquoi j'ai faim ?! Se lamente-t-il.

-Ça, je n'en ai aucune idée.>>

Freddy me repose enfin par terre, et part en baissant la tête et en traînant les pattes... Pieds... Pattes... Et en traînant ! De mon côté, je retourne le plus vite possible dans mon bureau, suivie de près par mon ami et sauveur.

<<-Qu'est-ce que tu faisais dans les couloirs si tard ?! M'interroge-t-il sur un ton plein de reproches.

-Mon réveil n'a pas sonné... Je gémis.

-T'es vraiment pas croyable...>>