(04/10/18)

PDV Jimin :

Mais dans l'arrière salle, il y a un truc louche. Contrairement à ce à quoi je m'attendais, le renard est bien immobile. Le problème c'est la boîte que Freddy a déposée un peu plus tôt

On dirait qu'il y a une sorte de branche qui sort de cette fameuse boîte.

À y regarder de plus près, on dirait bien de tout petits bras, très fins. Et ce que je crois être la tête est en fait un espèce d'ovale tout blanc.

Je me concentre sur la tâche de cette fameuse créature et je remarque qu'elle trifouille les fils électriques.

Elle se retourne alors vers la caméra, vers moi, et semble me sourire. Enfin sourire, c'est normal sa tête est figée comme ça. J'en profite pour la détailler, elle porte un espèce de masque sur lequel sont visibles des traces bleues partant des yeux semblables à des larmes.

Je n'ai pas le temps de la détailler davantage que l'écran s'éteint. Je me retrouve dans le noir le plus complet.

Je suis sûr que c'était le but de la créature. Tout est contre moi ici, c'est décidé demain je démissionne.

Je reprends mes esprits lorsque j'entends des pas venant de l'extérieur du bureau, des pas lourds. Les animatroniques.
Je les ai complétement oubliées.

J'entends un petit clic provenir de la porte et je vois cette dernière s'ouvrir légèrement.

Oh non ! La porte devait être verrouillée grâce à un système informatique. Pourtant je l'ai fermée à clé !

Je me précipite vers la porte et y appuie de toutes mes forces pour la garder fermée.

Je peux entendre les animatroniques se déplacer dans la pièce d'à-côté. Je ne sais pas ce qu'elles me feront si elles rentrent et je ne tiens pas à le savoir.

Je jette un œil à l'horloge, il n'est que 18 heure 30 ! Je ne vais jamais tenir ! Pourquoi les animatroniques bougent encore ?! Le restaurant est fermé merde ! Foutu système informatique, les machines causeront notre perte.

Ma seule chance c'est de garder la porte bien fermée en espérant qu'elles m'oublient. Ou bien de sortir du bureau, d'atteindre l'arrière salle et de remettre le courant pour revenir me réfugier ici.

À suivre