Point de vue de Luke

Un mois est passé, toujours aussi pire le jour présent que celui d'hier. Il est six heure trente, mon réveille vient de sonner. Je n'ai pas dormis de la nuit. Si je m'endors, le cauchemars s'empire.
Je prend à neuf heure aujourd'hui mais comme d'habitude, je me lève avant pour profiter de ma matinée. Le calme avant la tempête.
Je me lève, je prend un caleçon propre, un sweat kaki et un skinny noirs troué aux genoux. Je part en direction de la salle de bain de ma chambre. Je ferme la porte a clé derrière moi. Je commence à enlever mon sweat, mon jogging. Je me tourne et me regarde dans le miroir avec dégoût, haine. Les cernes sous mes yeux était de plus en plus voyant à cause de la fatigue. Je fais couler l'eau chaude et je me débarrasse de mon caleçon pour pouvoir enfin rentré sous la douche. L'eau chaude coulait le long de mon corps. Mes yeux dévisage le rasoir posé sur le petit rebord de la baignoire. Je le prend, puis je le sépare de ces lames. Je prend cette lame, cette fameuse lame puis je m'assois dans ma baignoire en allongeant mes jambes. Je me passe la lame sur le bras gauche une première fois. Un peu de sang sortait mais pas assez a mon goût alors je repasse une deuxième fois, un peu plus profond cette fois. Puis un troisième trait, un quatrième, un cinquième, et je continues tout le long de mon bras. Une fois se dernier remplis de cicatrice et de sang qui coulent le long, je ne perd pas de temps à ouvrir les cicatrices peu refermer sur mon bras droit je recommence les même mouvements. Les larmes de haines et de tristesse coulent le long de mes joues. Puis après avoir remplis ma mission du matin, je repose la lame sur le bord de la baignoire puis je me relève pour me laver.
Une fois sortit de la douche, les cheveux sec, j'enfile mon caleçon propre, mon sweat ainsi que mon skinny noir. Je redresse mes cheveux avec l'aide de ma main puis mes yeux se reposent sur la lame. Je l'a prend et l'a jette dans la poubelle. Je sors de la salle de bain, prend mon sac, mes écouteurs et mon portable en jetant vite fait un coup d'oeil sur l'heure. Sept heure cinq. Je descend les escaliers tout doucement afin d'éviter les jugement et les supplications de ma mère. J'enfile mes chaussures puis je part. Je n'arrive même plus a croiser le regard ma mère le matin, je n'arrive plus à lui parler gentiment et lui embrasser le front ou la joue avant de partir au lycée. Je n'y arrive plus car j'ai peur de la regarder dans ces yeux et d'y lire de la pitié et du dégoût de moi alors je préfère passer invisible.

Hello !
LA FIN APPROCHE.
MERCI POUR LES 4K😍😍
Bisous. ❤️