Chap.24
Tidiane : Tu veux bien m'écouter ?
Moi : Euh... d'accord, assieds-toi
On s'assoit l'un en face de l'autre et il prends la parole.
Tidiane : Je viens m'excuser du comportement excessif de Tahir, il a très mal agis en ce comportant comme ça envers toi et avec Oumaïma on lui a très bien fait la reproche et je pense qu'il a compris.
Moi : Alors si je peux me permettre si il l'aurait vraiment compris tu ne serais pas là à t'excuser à sa place surtout que tu n'y ai pour rien, quand on regrette un actes on vient de sois même voir la personne concernée et on s'excuse. Le seul responsable c'est lui et il n'est pas là actuellement
Tidiane : Oui je sais ta raison c'est pour ça que je me présente à sa place
Moi : Pourquoi faire ? Maintenant ça marche comme ça c'est ça ? Demain je vais commettre une erreur et c'est mi abuela qui va venir s'excuser à ma place sous prétexte que j'ai honte de voir la personne concernée ou parce que je n'assume pas ?
Lui : Non il ne sait pas que je suis venu te voir, et il ne m'a pas demandé non plus de m'excuser à sa place, Tahir c'est un gars il a trop de fierté il aura beau savoir qu'il a tord il ne va jamais s'excuser ou faire le premier pat c'est pour ça que-
Moi : Que tu viens le faire à sa place c'est ça ?
Lui : Oui
Moi : Il à quel âge rappelle moi ?
Lui : 27 ans, 28 ans dans quelques semaines
Moi : Hm... à cet âge là on se comporte comme ça dis moi ? Non mais parce que j'en ai 22 et j'ai l'impression de voir un padré se présenter à la place de son goss de 7 ans parce qu'il a fait une bêtise
Lui : rire, J'avoue j'avoue
Moi : On est d'accord ?
Lui : T'a pas tord mais qu'est-ce que tu veux que j'y fasse ? Cet imbecile refuse de mettre sa fierté de côté alors qu'il sait qu'il a tord en plus il a le seum de ouf parce qu'Oumaïma ne lui parle plus et parce que la boutique est fermée
Moi : Comment ça ?
Lui : De quoi ?
Moi : Comment ça la boutique est fermé c'est quoi cet histoire encore ?
Lui : Ah mais... Oumaïma ne ta rien dis ?
Moi : Non rien, explique
Lui : Oumaïma a décidé de fermer la boutique jusqu'à que tu te décide de revenir à cause du comportement de Tahir car elle n'a pas toléré ça de sa part surtout que cet imbecile a fait fuir tout les clients
Moi : Mais non elle n'a pas fait ça quand même ?
Lui : Si wAllah ! Ça fait une semaine que la boutique est fermé voilà pourquoi je viens te voir pour que tu reviennes por favor... tu n'est pas obligé d'accepter les excuses de Tahir mais reviens au moins pour tu Abuela, elle perds du chiffre d'affaire là ! Votre boutique est la meilleure de Cáceres et c'est dommage d'en arriver là...
Moi : ...
Lui : Hein ?
Moi : Je sais pas... je ne veux vraiment pas travailler avec ce Tahir, il est vraiment méchant et il est complètement malade ! Il est insolent et irrespectueux ! C'est un homme violent...
Lui : Écoute, c'est avec moi que tu va travailler ! Je travaille là-bas aussi, enfin pas vraiment mais je leurs file un coup de main quand il y'a beaucoup de travail à faire mais là je vais travailler en tant qu'employer du coup je serais tout les jours là-bas
Moi : Il y'aura ce Tahir ?
Lui : Oui sûrement mais tu sera avec moi, tu n'a rien à craindre il ne te fera plus rien et puis tu sais dans le fond il n'est pas du tout mauvais il a bon cœur et il est super bienveillant et gentil
Moi : C'est ton meilleur amis c'est normal que tu dis ça
Lui : Non même pas je dis pas ça parce que c'est mon pote, je dis ça parce que c'est la vérité ! C'est un gars en or et tu verra de toi même c'est juste que comme tout le monde il a ses défauts, tu sais on est pas tous parfait et lui son gros défaut c'est qu'il agis de mauvaise foix
Moi : ...
Lui : Alors tu veux bien revenir ?
Moi : hochant la tête, Hm
Lui : C'est vrai ? surpris
Moi : hochant la tête, Je veux pas que la boutique que Abuela a battit sois en faillite, je vais faire un effort à prendre sur moi et ne pas faire attention à ce Tahir
Lui : Non t'inquiète tu as ma parole que tout va bien ce passer, on va travailler ensemble et on va bien s'entendre 😊
Je réponds à son sourire puis il se lève.
Lui : Bon vu que j'ai réussi à te convaincre je vais y aller, je t'attends demain à 10h c'est bon ?
Je hoche la tête puis je l'accompagne à la porte.
Moi : Merci pour ta visite
Lui : Avec plaisir ! À demain miss
Je hoche la tête et il sort. Je ferme la porte à clef. Je retourne dans ma chambre et je finis de sécher mes cheveux puis je me change.
J'enfile un robe en Soie de Medine bleu, puis je met un hijab un Jersey vu la chaleur je risque de ne pas avoir chaud.
Je mange ce que mi Abuela à préparer puis je prends mes médicaments.
Je prends ensuite la liste des courses et l'argent qu'elle a posée sur la table et je prends un sac cabas puis je sors.
Je vais au marcher qui est à 5 minutes de la maison. Arriver là-bas il y'a énormément de monde, je regarde la liste et je commence à chercher les légumes.
Je fais mon petit panier puis je paye le vendeur de légume, j'achète quelque fruit de mer pour la préparation de la paella du riz et le reste des courses puis je commence à sortir du marcher.
Mujer : ¡OH LADRÓN! ¡ROBÓ MI CARTERA!
OH VOLEUR IL A VOLÉ MON PORTE-FEUILLE !
Je me tourne et je vois une vielle femme courir après un homme qui me rentre dedans, je tombe par terre.
Le voleur se relève d'aussitôt pour prendre la fuite, je regarde tout mes courses par terre.
Moi : PUTAAAAIIN !!
Je ramasse tout quand j'entends des coups de feu et je vois une foule de personnes se mettre à courir.
Les coups de feu persistent je me met à stresser je ne sais pas ce qui se passe, je me lève rapidement avec lescourses quand la foule me cours dessus, tout le monde cris me pousse m'écrase, j'essaye de courir aussi mais c'est impossible ! Tout le monde se bouscule, je regarde autour de moi puis je laisse tombé mon sac cabas des mains, j'ai la tête qui tourne... j'attrape ma poitrine.
Je vais faire une crise d'angoisse il faut que je sorte d'ici ! Avec cette chaleur et les gens qui te colle et te pousse je risque de faire un malaise ! Je vois tout flou et j'ai mal à la tête.
Je prends un grand souffle et je prends le sac cabas en tenant fortement ma poitrine quand on me tire par le voile.
Hombre (personne) : ¡Ven aquí tú!
(Viens ici toi)
Moi : NO SUÉLTAME ! SUÉLTAME !
(NON LÂCHE MOI ! LÂCHE MOI !) me débattant dans tout les sens en pleure
? : courant au loin vers nous, HEY ! ¡DÉJALA ! ¡NO LO TOQUES!
( HEY ! NE LA TOUCHEZ PAS !)
Moi : me débattant dans tout les sens, SUELTA MI HIJAB ! SOLTADME !
(LÂCHEZ MON HIJAB ! LÂCHEZ MOI !) en pleure
Hombre 2 : ¡Oye déjala ir, no es ella!
(Eh laisse là partir ce n'est pas elle!)
Hombre 1 : me poussant fortement par terre, Pff zorras !
Je me prends la tête contre une énorme pierre, je hurle en pleurant. J'essaye de me relever quand on me piétine dessus, les gens cours sans même regarder qui est à leurs pieds, on me marche dessus et on m'écrase le dos et mes jambes je n'arrive plus à bouger...
Je sent quelqu'un me porter, j'ouvre légèrement les yeux et je vois complètement flou... mes lentilles ont pris tout le sables, j'entends une voix puis je referme mes yeux en laissant ma main tomber....
DANS LA PEAU DE TAHIR
J'allume mon mégot en étant posé sur le capot de ma voiture en attendant l'arrivée d'Oumaïma.
Je la vois sortir de chez elle, elle passe devant moi sans me prêtant attention.
Moi : OH ! OUMAÏMA !
Oumaïma : ...
Je jette mon mégot et je cours la rattraper. Elle se retourne et elle me regarde.
Oumaïma : Que veux tu ?
Moi : Oumaïma t'entends pas j't'appelle ?
Elle : Et toi tu vois pas que je t'ignore ?
Moi : Depuis ce matin je t'attends ici et tu veux partir sans m'écouter
Elle : Je te rappelle qu'on est voisin, tu habite juste en haut de chez moi alors si tu veux me parler tu viens à la maison comme tu as l'habitude de faire
Moi : Tu sais très bien que je peux pas venir chez toi comme ça maintenant
Elle : Pourquoi ? Avant tu le faisais bien non ? Tu venais tout le temps mais là depuis que mi hija est venu habiter chez moi tu ne viens plus et pourquoi ?
Moi : ...
Elle : Tu as peur de la faire face c'est ça ?
Moi : Peur de tu hija ? Tu m'a bien vu ?
Elle : soupire, Bon je vais au boulot tu me soule
Moi : me mettant devant elle, Attends tend tend tu peux pas partir comme ça ! Arrête de me faire la gueule steupler et réouvre la boutique j'ai besoin de taffer là ça fait 1 semaine que tu me fais lerga comme ça tu sais très bien que je suis quelqu'un de dynamique j'ai besoin de bouger et puis j'aime pas quand t'es comme ça avec moi arrête steupler
Oumaïma : Tahir... est-ce que tu m'a bien vu ?
Moi : Si porqué ? En plus t'es trop belle je kiff ton petit chemisier fleurie il vient d'où ?
Elle : me frappant, Tais-toi tu me fais chié là ! En quoi ça va t'apporter d'où viens mes vêtements !?
Moi : rire, Mais j'te complimente, non plus sérieusement réouvre la boutique c'est pas bon pour notre chiffre d'affaires tout ça ! Surtout que ce matin il y'a plein de gens qui sont venu voir si c'était de nouveau ouvert et ils sont partie dégoûter
Elle : Écoute moi bien ! Tant que tu ne va pas t'excuser auprès de Firdaws et qu'elle accepte pas de revenir la boutique restera fermée ! Moi je m'en fiche moi qu'elles sois ouverte ou fermée je travaille toujours de côté mais par contre je n'accepte pas que mi hija vive un calvaire dans sa propre boutique parce qu'elle fait de la démarque ! Je ne veux pas qu'elle se sent mal alaise à cause de toi, je ne veux pas qu'elle subisse une fois de plus une humiliation. Je privilégie son bonheur et sa santé d'accord toi t'es un grand garçon maintenant pour trouver autre chose à faire. Et surtout j'espère qu'un jour ta conscience prendra le dessus sur ta maudite fierté car tu refuse de voir la vérité en face et d'assumer tes tords et malheureusement ça se retourne contre toi.
Elle s'en va. Je souffle et je met mes lunettes de soleil et je retourne dans ma voiture.
Je met ma ceinture et je démarre.
Je vais à mon bar habituel, quand je suis trop stressé je vais me détendre là-bas pour boire une boisson fraîche.
Sur la route il y'a trop d'embouteillages ce que je ne supporte pas surtout qu'ici en Espagne ça a tendance à vite éclater alors je prends un autre chemin quand je me retrouve bloqué près d'un passage piéton en voyant un monde de fou sortir du marché et courir sur la route ce qui bloque le passage.
Moi : Putain !! C'est quoi ça encore ! sortant ma tête de la vitre, EH DESPEJAR DEL CAMINO, klaxonnant
(EH DÉGAGEZ DE LA ROUTE)
Je continue à klaxonner mais ça ne fait aucun effet. Les gens veulent vraiment mourir ici ! Je sors de ma voiture quand j'entends des coups de feu ! Je me tourne et je vois encore plus de monde prendre la fuite.
Moi : Mais... ce n'est pas la petite fille d'Oumaïma ?
Je me rapproche eu peu de la foule et je n'arrive pas à bien voir si c'est elle.
Elle se fait bousculer par une cinquantaine de personne.
Je m'arrête et je pense pas que ça sois elle, elle est de dos je ne peux savoir. Je m'apprête à retourner dans ma voiture quand j'entends un cris plus fort parmis tout les autres.
Je me retourne et je vois la hija d'Oumaïma se faire agresser par deux hommes. C'est bien elle !
Hombre (homme) : ¡Ven aquí tú!
(Viens ici toi)
Firdaws : NO SUÉLTAME ! SUÉLTAME !
(NON LÂCHE MOI ! LÂCHE MOI !) se débattant dans tout les sens en pleure
Moi : courant au loin vers eux, HEY ! ¡DÉJALA ! ¡NO LO TOQUES!
( HEY LAISSE LÀ ! NE LA TOUCHEZ PAS !)
Firdaws : se débattant dans tout les sens, SUELTA MI HIJAB ! SOLTADME !
(LÂCHEZ MON HIJAB ! LÂCHEZ MOI !) en pleure
Hombre 2 : ¡Oye déjala ir, no es ella!
(Eh laisse là partir ce n'est pas elle!)
Hombre 1 : la poussant fortement par terre, Pff zorras !
Elle tombe par terre en se prenant la tête dans une grosse pierre. Je cours de plus en plus vite quand la foule se remet à remuer ! Tout le monde cours et l'écrase, la piétine wesh c'est un délire ! Ils sont en train d'écraser un être humain là !
J'arrive à sa hauteur et je la prends dans mes bras en m'accroupissant. Je pose sa tête sur mes jambes, elle saigne abondamment au crâne. Je lui tapote la joue.
Moi : Loca ! Loca t'es avec moi !?
Elle ouvre légèrement les yeux puis elle les referme et laissant sa main tomber.
Moi : EH TU M'ENTENDS ?! POURQUOI TU BOUGE PLUS ! EH ! EH ! la secouant
J'écoute son pou qui est extrêmement faible. Je me lève et je la porte dans mes bras et je retourne en voiture. Je la pose en banquette arrière. Et je vais côté conducteur je démarre en direction de l'hôpital j'appelle immédiatement Oumaïma sur le chemin!
Oumaïma : Quoi Tahir je suis en plein réunion là ?
Moi : en panique, Ouma ! Tu hija est dans un état grave ! Elle s'est faite agresser au marché de Donduras !
Elle : QUOI ??? OÙ EST-ELLE ?!
Moi : Elle est avec moi ne t'inquiète pas je l'emmène à l'hôpital là
Elle : Non non non non surtout pas à l'hôpital ramène là à la maison je me charge d'appeler un médecin
Moi : Quoi ? Mais je viens te dire qu'elle est dans un état grave un médecin ne pourra pas la consulter
Elle : Fait ce que je te dis Tahir et dépêche toi !
Moi : Mais elle est inconsciente là ! Le mieux c'est de l'emmener à l'hôpital je suis en route toute façon
Elle : Désolé je dois m'en allait reportez tout mes rdv ! Au revoir parlant à moi, Tahir fait demie tours
Moi : Non je suis bientôt arrivé là
Elle : TAHIR PUNAISE FAIT CE QUE JE TE DIS RAMÈNE LÀ À LA MAISON
Moi : MAIS ELLE EST EN TRAIN DE MOURIR OUMAÏMA TU CROIS QUE C'EST UN SIMPLE DOCTEUR QUI PEUT LA RÉVEILLER OU QUOI ? ELLE EST INCONSCIENTE LÀ ! UNE FOULE DE PLUS DE 100 PERSONNES LUI ONT COURU DESSUS ! IIS L'ONT PIÉTINÉ PURÉE ELLE A LE CRÂNE OUVERT ELLE A BESOIN D'UN TRAITEMENT ! ELLE RESPIRE À PEINE !
Elle : MAIS C'EST RISQUÉ DE LA RAMENER À L'HÔPITAL ILS VONT L'A RECONNAÎTRE !
Moi : HEIN ? QU'EST-CE QUI EST RISQUÉ ET QUI VA LA RECONNAÎTRE ?
Elle : racle de la gorge, Tahir par pitié ramène là en mi casa maintenant ! Je veux pas que l'état de mi hija s'aggrave ! Ne pose pas de question et tu la ramène s'il te plaît !!
Moi : SAHA ALORS ÉCOUTE MOI BIEN ! SI ELLE MEURT OU SI SON ÉTAT SE DÉGRADE TU POURRA T'EN VOULOIR QU'À TOI MÊME !
Je raccroche et je jette mon téléphone.
Moi : tapant sur le volant en regardant la loca par le rétroviseur, Putain elle est en train de perdre trop de sang j'aurais dû arrêter l'hémorragie.
Je fais demis tour et je fonce rapidement dans notre résidence.
Je me gare et je descends et j'ouvre la porte de derrière. Je regarde mon siège tâcher de sang, vas-y c'est pas le plus important.
Je la porte dans mes bras et je ferme la portière avec mon pied puis je rentre a l'intérieur de la résidence.
Je sonne comme un ouf, Oumaïma ouvre la porte.
Moi : Vite laisse moi passer
Oumaïma : AAAAAAAAAAHH FIRDAWS ! OH MON DIEU SON VISAGE ! OH MON DIEU TAHIR EST-CE QU'ELLE RESPIRE ! HEIN ?
Moi : Calme toi, calme toi Oumaïma oui elle respire, où est le docteur ?? Vite elle fait une grosse hémorragie là !
Elle : Suis moi on va dans sa chambre
Je la suis et nous montons à l'étage puis nous arrivons dans sa chambre. Je la pose sur le lit et je regarde autour de moi.
Moi : Et le docteur ??? Il est où ?!
Elle : Euh il... il est en route il n'est pas encore arrivé
Moi : MAIS COMMENT ÇA IL N'EST PAS ENCORE ARRIVÉ ? TU M'AVAIS DIS QU'IL SERAIS LÀ !
Elle : Je l'ai appelé après qu'on est raccrocher il ne va pas tarder ! Je ne pensais pas que ça serais extrêmement grave !! Et arrête de me hurler dessus je ne vais pas te le répéter 100 fois t'arrête hein !
Moi : Putaiiin mais ! Mírala por favor ! Aaarrghh je supporte pas le sang ça m'rend paro ! faisant les 100 pats, il faut qu'on arrête l'hémorragie
Je regarde autour de moi et j'aperçois un paquet de mouchoirs, je prends une tonne de mouchoirs et je m'assoie près d'elle et j'appuie sur son crâne afin que le sang se stop.
Je regarde Oumaïma qui est au bord des larmes en train de serrer les mains de Firdaws.
WAllah je veux pas m'énerver contre elle mais là je comprends pas ce qu'elle fait !
Oumaïma : Pourquoi tout ça arrive à ma petite fille hein ? Pourquoi ? Comment sa mère réagir a-t-elle en voyant la façon dont je m'occupe d'elle
Moi : C'est sûr qu'elle t'en voudra fortement surtout que tu préfère la garder ici plutôt que de la ramèner à l'hôpital !
Elle : Commence pas Tahir s'il te plaît
Moi : Comment ça commence pas ?! Tu vois parfaitement son état ! Tu vois parfaitement qu'elle a des bleus de partout regarde son cou, regarde ses mains ! Elle s'est faite piétiné et agresser et toi tu reste ici à pleurer sur son état ! Purée Oumaïma qu'est-ce qui te prends ! Tu ne vois pas que c'est grave ?!
Elle : LE MÉDECIN VA ARRIVER ALORS CAILLATÉ ! JE SAIS CE QUE JE FAIS NE T'EN MÊLE PAS !
Moi : lâchant la tête de Firdaws, AH OUAIS JE NE M'EN MÊLE PAS !? TU M'INTERDIS DE L'EMMENER À L'HÔPITAL POUR QU'AU FINAL IL YA AUCUN MÉDECIN EN VUE LÀ TES EN TRAIN DE JOUER À QUOI LÀ ?! TU SAIS QUOI ? J'AURAIS DÛ LA LAISSER CREVER COMME ÇA ! EH C'EST TU HIJA MOI JE M'EN FOU SI ELLE MEURT HEIN ÇA NE VA STRICTEMENT RIEN CHANGER À MA VIE MAIS TOI VISIBLEMENT ÇA N'A PAS TROP L'AIR DE TROP T'AFFECTER SON ÉTAT
J'ai rien vu venir qu'elle m'envoie un bonne grosse gifle. Je la regarde la main sur ma joue la bouche ouverte.
Moi : COMMENT OSE TU DIRE ÇA ? JE N'AI PAS L'AIR AFFECTÉ LÀ !? J'EN AI PAS L'AIR ?! RESPECTE LES GENS MALPOLIS !
QUÉ CREES ? QUE SOLO HARÉ ESTO PARA MATAR A MI NIÑA ¿ES ESTO? HEIN ?!
(QU'EST-CE QUE TU CROIS ? QUE JE FAIS ÇA VOLONTAIREMENT ÇA POUR TUER MA PETITE FILLE C'EST ÇA ?)
Moi : sous le choc de la gifle
Elle : J'AI MES RAISONS ! JE SUIS EN DROIT DE PROTÉGER MI HIJA QUITTE À PRENDRE DES RISQUES SUR SA VIE ! QU'EST-CE QUE TU SAIS TOI HEIN ? TU PARLE SANS SAVOIR ! MAIS ÉCOUTE MOI BIEN TAHIR C'EST LA DERNIÈRE FOIS QUE TU ME MANQUE AUTANT DE RESPECT ENTIENDO ? NO SOY TU AMIGA RESPETAME !
La porte s'ouvre sur Tidiane avec un médecin. Je me lève et je me dirige vers la sortie quand Tidiane m'arrête.
Tidiane : posant sa main sur mon épaule, Tu va où ? Reste !
Je retire sa main de mon épaule et je sors de chez elle. J'ouvre ma voiture et je vois le sang sèche sur le siège arrière. Je monte côté conducteur et je démarre.
Arriver dans un lavage auto je paye la somme qu'il faut pour qu'ils nettoient ma voiture au complet de l'intérieur à l'extérieur.
Je patiente à l'extérieur en fumant un gros mégot, je me pête la gueule en fumant tout en cogitant sur mon sors....
FLASH-BACK : Quelques années en arrière
- : Quoi ? Ta peur c'est ça ?
Moi : Refuser de le faire est un signe de faiblesse ?
- : Je pensais que pour moi t'étais prêt à tout faire.
Moi : ...
- : Même les pires des crasses.
Moi : Je pensais que tu me connaissais mieux que ça. Pourtant tu en a pas l'air
- : Moi ? C'est à moi que tu dis ça ?
Moi : À qui d'autre ? Parce que tu sais que je vais peut-être le faire que tu me dis ça. Ce n'est pas de la peur que je ressens mais un doute.
- : Tu doute de moi ? Tahir t'es mon frère ! T'es le seul en qui j'ai vraiment confiance c'est pour ça que je te demande de le faire pour moi
Moi : Si j'étais vraiment ton frère tu m'aurais écouté et tout ça ne serait pas arrivé. Et là tu me demande d'aller récupérer cette merde que tu dois signer pour te pourrir la vie ! Comment pourrais-je faire ça !
- : Ca ne va pas me pourrir la vie bien au contraire... je pourrais viser plus grand dans l'avenir, avoir des belles maisons, des belles voitures offrir un monde meilleur pour mes parents et ma petite sœur et pour toi mais bon avant ça je dois effectuer cette tâche !
Moi : Alors tu n'aura pas mon soutien.
- : Ah ouais ?
Moi : On est censé se soutenir dans les bon moment, je ne peux te soutenir dans cette décision là ça serais de l'hypocrisie et ça prouverais que je ne veux pas ton bien.
- : D'accord... je comprends j'irais seul alors. Tu sais que je prends un grand risque surtout avec ce que j'ai en ma possession. C'est la seule chose qui me maintient en vie et je ne peux pas m'en décoller et si ils savent que je suis la personne qui le détient ils ne vont pas m'hésitiez à m'abattre.
Moi : C'est pour ça que je ne veux pas que tu te mêle à ses affaires. Parce qu'après je vais devoir m'en mêler et nous savons très bien comment ça va se terminer.
FIN DU FLASHBACK
Il faut que j'arrête de penser au passé ça va me nuire plus que je ne le suis.
Homme : Monsieur votre voiture est désormais prête vous pouvez la récupérer
Moi : ...
Je vais voir ma voiture puis je regarde à l'intérieur et tout est clean. Plus aucune trace de sang, je me sent beaucoup mieux.
Homme : Excusez moi, j'ai oublié de vous dire qu'en nettoyant la voiture nous avons retrouvé ceci.
Il me tends une pochette puis ils s'en va. Je monte dans ma voiture puis j'ouvre la pochette et il y'a une clé de moto accroché d'un porte clef qui est une photo de moi et de mon meilleur amis... avec cette tache de sang qui est rester depuis plus de 4 ans...
FLASHBACK : Quelques années en arrière.
- : TAHIR ON VA SE FAIRE BUTER ! ON VA PAS LEURS ÉCHAPPER LONGTEMPS !
Moi : JE T'AVAIS PRÉVENU ! JE T'AVAIS DIS DE TE TENIR HORS DE ÇA ! TU NE M'A PAS ÉCOUTÉ ! TU NE M'ÉCOUTES JAMAIS DE TOUTE FAÇON ! TU TE FOURE DANS LA MERDE PUIS COMME UN BOUFFON J'ARRIVE À TA RESCOUSSE !
- : ARRÊTE DE ME FAIRE DES REPROCHES CE N'EST PAS LE MOMENT ! REGARDE LA ROUTE ET ACCÉLÈRE ENCORE !
Moi : NON JE VAIS CARTONNER SINON !
- : PUTAIN ILS SE RAPPROCHE DE PLUS EN PLUS !
Moi : AARGH ! ACCROCHE TOI !
- : TAHIR ILS VONT M'AVOIR !
Moi : NON JE NE LES LAISSERAIS PAS TE-
PPPOOOOOOOOOOOOO 💢
C'était un coup de feu, je me tourne et je le vois tomber de la moto je m'arrête immédiatement et je vois les personnes concernées prendre la fuite.
Je retire mon casque et je cours vers lui en lui retirant son casque. Il a été toucher dans le dos, je le prends dans mes bras et je le soulève par le dos.
- : T... Tahir
Moi : en panique total, Je suis là ! Je suis là ne t'inquiète pas je vais arrêtez l'hémorragie hein ! Ne panique pas !
- : essayant de se redresser, Je... je vais bien c'est toi qui... qui est en... en panique je- aaargh !
Moi : NE BOUGE ! ARRÊTE DE BOUGER LA PLAIE VA S'AGGRAVER !
- : Oh les fils de pute dit-il en riant, ils... ils m'ont eu là... je... je vais pas mourir ! Non ! Si... si ils pensent que... qu'ils vont... qu'ils vont réussir c'est... c'est qu'ils me connaissent pas
Moi : Arrête de parler tu t'affaiblis, je vais appeler une ambulance d'accord ? Tiens le coup frérot je suis là
- : m'attrapant la main, Attends ! A... avant ça je veux que... que tu me pardonne
Moi : Te pardonner ? Arrête de dire n'importe quoi laisse moi appeler l'ambulance
- : me tirant la main, Tahir ! Je fais trop le con je sais mais... mais pardonne moi... ta tellement fais pour moi que... que tousse, que je toussant énormément
Moi : Arrête de parler s'il te plaît ! J'ai rien à te pardonner parce que je ne t'en veux en rien ! Et sache que je serais toujours là dans n'importe quel galère d'accord ?
- : Merci... tousse, putain j'ai... j'ai d'la chance de... tousse, de t'avoir tousse très fortement tiens sortant son porte clef de sa poche, regarde... regarde ce que je porte tout le temps sur moi
Je prends son porte clef et il y'a une photo de nous deux accroché. J'ai les larmes qui me monte aux yeux. Il se met à tousser fortement il m'attrape la main dans laquelle j'ai son porte clef.
- : Prends en soin... garde... garde là toujours près de toi toussant fortement
Moi : Frérot ?!
- : Toussant gravement !
Il se met à gigoter dans tout les sens tout en vomissant du sang de sa bouche.
Moi : EH FRÉROT !! FRÉROOOOOOT !
Je sors mon téléphone en tremblant et j'appelle le SMU.
Moi : ALLÔ OUI ? MON MEILLEUR AMIS EST EN TRAIN DE MOURIR dis-je en pleurant, IL EST EN TRAIN DE MOURIR JE VOUS EN SUPPLIE VENEZ VITE À... À regardant autour de moi
SMU : Calmez vous Monsieur ! Nous allons vous localiser si vous ne savez pas où vous êtes ! Nous allons vous en envoyer une équipe de secours mais surtout ne bougez pas et laissez votre téléphone allumé.
Moi : Je vous en supplie faite vite je ne veux pas le perdre !
Ils raccroche et je le regarde. J'attends quelques minute en le serrant dans mes bras. Il ne bouge plus... j'écoute son pou et je n'entends rien...
Moi : Non... non tu m'entends pas vrai hein ? Tu n'est pas en train de me laisser n'est-ce pas ?
- : ...
Moi : le secouant, FRANGIN ? FRANGIIIN !!??? NOOOON ! NOOOONN le secouant en pleurant à flo
- : ...
Moi : RÉVEILLE TOI !!! RÉVEILLE TOI MERDE ! À QUOI TU JOUE !! À QUOI TU JOUUUUUEE BORDEL le secouant en le serrant dans mes bras, NOOOOOONNNN JE SUIS SUR QUE TU N'EST PAS MORT ! J'EN SUIS SÛR !!
- : AAAAAAAAAAARGH POURQUOI !? POURQUOOOII !!!!
? : alarme ambulancière, Monsieur ! Monsieur !
Je me retourne et je vois un camion d'ambulance avec plusieurs ambulances dont un qui me tire de l'emprise de mon meilleur amis
Moi : LÂCHEZ MOI ! LÂCHEZ MOOOOOI ! JE NE VEUX PAS LE LAISSER ! JE VEUX RESTER PRÈS DE LUI ! II M'AVAIT PROMIS DE NE PAS MOURIR !
Ambulancier : Calmez vous jeune homme, calmez vous ! Nous allons tout faire pour le sauver rapidement rien est perdu calmez vous ! Parlant à ses collègues, RAPPROCHEZ LE BRANCARD ! LA VICTIME PERDS BEAUCOUP DE SANG ! AGISSONS RAPIDEMENT !
Ils se prenne à 4 pour le mettre sur un brancard je me joins à eux et je montent dans le camion et je m'assoie sur son lit et je pose sa tête sur mes jambes en le serrant dans mes bras en pleurant.
Moi : pleurant comme un ouf, JE T'EN PRIS RESISTE ! RESIIIIISTE D'ACCORD ! JE NE TE LAISSERAIS PAS MOURIR ! JE NE TE LAISSERAIS PAAAAAS ! JAMAIS !! TU AS COMPRIS ?! TU AS MA PAROLE !
FIN DU FLASHBACK.
Je serre le porte clef dans la pomme de ma main puis je ferme les yeux pendant quelques seconde.
Je me demande comment j'ai fais pour détruire nos vies...
DANS LA PEAU DE YASSINE
Bakary : Non Yassine c'est risqué je te dis !
Moi : J'ai besoin d'être rassurée ! Je le sais qu'elle va pas bien ! Je sais que quelques chose s'est passé !
Bakary : Écoute hbiba s'accroupissant face à moi, je suis persuadé qu'elle va bien parce qu'elle est avec belle mère Oumaïma, et même si quelques chose s'est passé elle est en sécurité avec ta mère ! Elle ne va pas la laisser. Je te rappelle qu'elle a grandit avec ta mère aussi elle l'a considère comme toi, alors ne t'en fais pas d'accord ?
Je hoche la tête en le serrant dans mes bras même si je ne suis pas convaincu.
J'ai pas mal à la poitrine pour rien. Tout mes enfants sont près de moi sauf Firdaws et quand je pense à elle j'ai mal à la poitrine. J'ai un mauvais pressentiment et c'est pas bon signe....
J'ai besoin d'être rassurée.
Bakary : Mon cœur ?
Moi : Hm ?
Lui : Je te jure que je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour protéger notre famille, je ne laisserais rien vous arriver surtout pas à notre enfant que nous venons d'avoir.
Moi : Oui je te fais confiance mais... je n'arrive pas à comprendre pourquoi Firdaws enquêter sur Toufik fin... je sais pas il n'y a pas de raison qu'elle le fasse ! Surtout en compagnie de ses garçons ! Elle n'est pas comme ça il y'a quelques chose qui se passe ! Après tout ce que Nayra et Kaïs nous ont raconté par rapport à l'archive de Toufik ça me perturbe et je me pose des questions et je ne veux pas douter de ma fille parce que je lui fais vraiment vraiment confiance !
Lui : Moi aussi je lui fais confiance et je sais que si elle est derrière tout ça si elle a agis de la sorte c'est pour une raison mais... nous ne savons pas laquelle...
Nayra : arrivant au salon, Nous le saurons très bientôt.
Nous levons notre tête et nous la regardons. Elle arrive à notre hauteur avec deux carnets dans ses mains.
Nayra : Ce journal... c'est le journal intime de Firdaws...
Moi : Son journal intime ? Là où elle écrit tout ses moments ?
Elle : Oui elle l'a oublié ici, à l'intérieur il y'a écrit tout ses moments, ses péripéties sa vie quoi... je pense que si nous le lisons nous en saurons eu peu plus sur l'archive de Toufik et nous saurons brièvement qu'est-ce qu'elle pensais tout bas qu'elle n'arrivait pas à nous dire, à quoi elle pensait et ce qu'elle essaye de protéger
Je prend le journal et je le regarde longuement. Firdaws était comme moi quand j'étais plus jeune. Elle encaissait tout sans rien dire par peur de nous inquiéter. Je sais qu'à l'intérieur de ce journal elle écrit tout ses moments vécu que ce sois positivement ou négativement.
Et je n'ai pas envie de casser son intimité en lisant ce qu'elle a écrit mais je n'ai pas d'autre choix que de le lire pour nous et la protéger de ses gens qui la pourchasse.
Moi : Je... je vais le lire toute seule si ça ne vous dérange pas
Bakary : C'est ce que j'allais dire la seule qui peut lire ce qu'elle cache et son intimité c'est toi.
Nayra : Je vais jouer avec Kahyl et Sidiq d'accord ? On te laisse eu peu tranquille je me charge de tout d'accord
Moi : Merci beaucoup
Je monte dans ma chambre. Je m'allonge puis j'ouvre son journal....
DANS LA PEAU D'ILYAN
Moi : ADRIÁN !? ADRIÁN ?!
Adrián : ...
Moi : Purée elle est où ma sacoche !
Je fouille toute ma chambre et je la trouve pas. Je vais dans le salon retrouver l'autre.
Moi : Oh t'entends pas quand je t'appelle ?
Adrián : J'étais au tel, qu'est-ce t'a ?
Moi : Elle est où ma sacoche ?
Lui : Laquelle ?
Moi : J'en ai dix mille des sacoches ou quoi ? La gucci
Lui : Ah elle est là là sur le bord du canapé , elle était par terre
Moi : Comment elle s'est retrouvée par terre alors que je l'avais posé sur mon porte manteau
Lui : Wesh Ilyan j'sais pas arrête de me casser la tête et part là ça y est elle est là prends là et ne me casse pas les couilles !
Je prend ma sacoche et je regarde que rien ne manque. Tout est normal mais j'ai l'impression qu'il manque quelque chose...
Je me rappelle que ma sacoche était plus lourde que ça... et là elle est grave légère...
Je lève ma tête vers Adrián qui est à fond sur son téléphone.
Moi : J'espère que t'a pas toucher à ma sacoche.
Adrián : J't'ai dis d'arrêter de me casser les cou*lles ! Y'a quoi dans ta sacoche de merde de l'or ? De l'argent ? Il te manque de l'argent c'est ça ? Viens pas m'accuser moi comparer à toi j'me fais de l'argent proprement et légalement alors viens pas m'embêter
Moi : FERME TA GUEULE ! MOI COMPARER À TOI J'AGIS PAS COMME UN POINTEUR ENVERS LES POTES DE MON FRÈRE D'ACCORD ! ALORS FERME TA GUEULE !
Adrián : Mdrrrr change de disque. Tu m'en veut toujours pour ça là ? Ça date hein tqt ta petite Firdaws je l'ai pas graille même si j'te cache pas que quand je la vois elle me fait bander
Moi : lui jetant la télécommande à la gueule, FERME TA GUEULE SALE FILS DE CHIEN VA ! PARLE PAS D'ELLE RESPECTE LÀ ESPÈCE D'ENCULÉ VA ! GROS POINTEUR VA ! TU ME DÉGOÛTES ! J'SAIS PAS POURQUOI JE T'AI COMME FRÈRE J'TE DÉTESTE MAMAN ET PAPA SERAIT DÉÇU DE VOIR COMMENT TES DEVENUE ET QUEL GENRE DE FILS T'ES !
Lui : riant, Ouais allez ! Tu agis comme ça parce que t'a jamais pu te l'avoir ! Tu crève d'amour pour elle je le sais tu crois quoi ?! Tu la kiffais depuis le début que tu l'a connu mais vu qu'elle était intéressée par Daouda t'a jamais osé porter ce qui te serre de cou*lles pour allez lui avouer
Moi : T'es complètement paro, j'ai jamais vu ça ! Maintenant tu m'invente une vie ?
Lui : T'es qu'un faible ! La preuve tu fais l'ignorant, cette meuf tu la veux dans ton lis mais dommage Daouda est arrivé en premier cette p*te là dit-il en riant
Je me jette sur lui et je lui rentre une grosse droite.
On s'est mis à se battre comme des fous.
Moi : RESPECTE LÀ ! LA SEULE P*TE ICI C'EST TOI ! SALE SALOPE VA !
Je me lève de lui la bouche en sang, il m'à n*qué la bouche et le nez ce chien.
Adrián : Tu veux faire le fou à me frapper mais au final tu finis en sang sale con arrête de vouloir te battre avec moi si ce n'est pas pour assumer !
Moi : Je préfère me faire niqué et avoir raison que le contraire ! Mais tu sais quoi ta raison ça sert à rien que je me salisse les mains pour une p*te comme toi ! Sale crasseuse à 30 piges tu cours toujours derrière les petites de 17 ans tu verra je vais te dénoncer au près de la police gros pedophile va ! Un clochard le truc
Adrián : Quand ta finis ta crise tu peux y'aller, j'te montre pas la sortie tu la connais déjà
Moi : Sale merde.
Je prend ma sacoche et je ferme en claquant la porte.
Ça fait des années qu'on est comme ça ! On se déteste enfin c'est moi qui le déteste depuis que j'ai appris qu'il faisait des avances déplacer envers Firdaws je ne l'ai jamais pardonné, parce que ce chien en est toujours fière.
Ce n'est pas la première fois qu'il agis comme ça envers les femmes beaucoup plus jeune que lui, je ne peux plus m'le voir.
L'étrangler de mes propres mains et mon seul souhait...
DANS LA PEAU D'ADRIAN
Il sort en claquant la porte.
Je m'empresse d'aller fermer la porte à clef puis je sors d'en dessous du canapé les documents que j'ai trouvé dans sa sacoche.
Je sors mon téléphone qui était toujours en appelle.
Je reprends la discussion.
Moi : Alors tu me crois maintenant ?
Daouda : Hm... je pensais pas que toi et Ilyan était toujours en mauvais terme. N'empêche tu m'a prouvé que tu ne me mentez pas... sauf qu'il y'a un truc qui m'a dérangé dans ce que tu as dis.
Moi : Par rapport à Firdaws ? Tout ce que j'ai dis c'était pour le pousser à bout je ne le pensais pas... je sais que c'est une femme droite. La seule chose dont je pense réellement est qu'Ilyan est amoureux d'elle depuis le début
Lui : Je sais. Je l'ai toujours su mais comme tu as dis je suis arrivé en premier et puis... malgré tout ce qui s'est passé avec elle, le meurtre, notre séparation et ce qui en suis, je l'aime toujours et sache que vis-à-vis de ça je ne te fais absolument pas confiance après ce que tu as fais auparavant.
Moi : Daouda... tu crois que c'est le moment de m'en vouloir par rapport à ça ?! Si je t'ai contacté ce n'est pas pour parler amour et trahison mais AFFAIRE. Je sais que ce qui t'intéresse sont les archives qu'Ilyan à volé n'est-ce pas ?
Daouda :
Moi : Tu voulais une preuve que je te disais la vérité et que je ne suis pas complice avec moi frère. La voilà. Moi et Ilyan on se déteste. Toi aussi tu le déteste.
Lui : Non je ne le déteste pas. Je déteste personne si je fais tout ça c'est pour me préserver moi et ma famille. Le reste qu'on soit meilleur amis ou pas pour sauver ma famille je suis capable de bien pire que de les poignarder dans leurs dos.
Moi : Alors... ces archives tu les veux toujours ?
Lui : Je te rappelle demain pour te fixer le jour et l'endroit du rendez-vous.
Il raccroche. Je pose mon téléphone en souriant.
Un point pour Adrián ! La balle est dans mon camp maintenant.
Pff quel con Ilyan. Il n'a même pas remarqué qu'il avait en sa possession le double des archives qu'il avait donné à cette fameuse Nayra qui est la "sœur" de Firdaws mmh... je ne sais pas ce qui contient cet archive mais il peut-être d'une grande utilité pour moi.
J'ai entendu que Daouda voulait avoir la main je n'ai pas hésiter une seule seconde à le contacter après tout ce que j'avais entendu.
Dommage pour eux ! Mes oreilles ont écouté indirectement leurs conversations de l'autre jours...
FLASHBACK : Une semaine avant
Ilyan : ADRIÁN ? ADRIÁN T'ES LÀ ?
Moi : ...
Je souffle et je me lève du lit prêt à le rejoindre au salon quand en arrivant devant ma porte je vois dans le couloir Kaïs et une fille. Je m'arrête directement et je tend l'oreille.
Ilyan : Il doit dormir je pense bon venez
...
La fille : Je ne connaissait pas du tout le père de Firdaws du coup il y'a rien de louche, rien qui me parait anormal mis à pars les documents habituels d'une voiture
Ilyan : Ça date de plus de 10 ans quand même, pourquoi ils les archives toujours ?
Kaïs : Surtout qu'il est mort maintenant ils sont censés s'en débarrasser on garde pas ça comme ça
La fille : J'en sais rien... seule Firdaws sait ce que représente vraiment ses documents...
Ilyan : En vrai... qu'est-ce que Daouda aurait-il pu faire avec ? Il y'a rien d'accablant
La fille : C'est vrai mais il y'a son ancienne adresse dessus et quelques informations personnelles ils auraient pu les utiliser pour faire pression sur nous ou je sais pas peut-être que quelqu'un d'autre loge actuellement à son ancienne habitation ils auraient pu y aller et se renseigner eu peu plus que Toufik surtout qu'à l'époque il était connu comme un homme très dangereux
Kaïs : Ouais c'est vrai... l'essentiel maintenant c'est qu'on les a empêcher à avoir des documents.
La fille : Hm... je vais les montrer à Yassine et Bakary en rentrant inshaAllah ils saurons quoi faire
Ilyan : Je pense aussi
Alors comme ça Firdaws est dans ses affaires louche ? Pas étonnant après qu'elle ai commis un meurtre et pris la fuite...
Je pense que si je récoltais des informations au sujet de sa cavale et de certain chose qui pourrait intéressée Daouda en échange d'un gros pactole de fric je ne me gênerais pas pour espionner Ilyan...
À voir maintenant si Daouda accepte 🤷🏻♂️. Je sais qu'avec des hommes ils recherchent Firdaws en plus des informations qu'ils veulent je pourrais bien faire affaire avec eux...
FIN DU FLASHBACK.
DANS LA PEAU DE FIRDAWS
J'ouvre tout doucement mes yeux et je remarque je suis dans ma chambre. Je regarde autour de moi et je suis branché à un engin respirateur.
Je me redresse tout doucement et j'enlève le masque à oxygène et je me débranche. Je retire la couverture de me jambes et je me tourne et je reste assise sur mon lit.
Je regarde mes jambes et je suis en pyjama et en pull manche longue.
Je ferme les yeux et toute les scènes resurgissent. Le faite qu'ont m'a pousser au point où je me suis ouvert le crâne et qu'on m'a piétiné. J'ai mal aux côtes et à mon dos...une forte douleur au crâne me trouble.
Je relève la tête et je descends de mon lit et je me dirige difficilement vers la porte qui est déjà ouvert lorsque je glisse et je tombe sur les bras de quelqu'un.
Je lève la tête et c'est ce Tahir. Il me regarde en faisant les gros yeux.
Moi : AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !!
Lui : AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !!
Je le pousse de toute mes forces hors de ma chambre et je ferme la porte à clef. Je prends mon voile et je l'attache immédiatement !
Moi: Oh mon Dieu il m'a vu sans le voile !
Abuela : QU'EST-CE QUI SE PASSE ?! QUI A CRIER !?
Moi: Abuela...
Abuela : Ma chérie tu est réveillée ?!! Ouvre moi !
J'ouvre la porte et Abuela rentre directement. Elle prend mon visage avec ses mains.
Elle : Qu'est-ce qu'il y'a ça va ? Tu te sent mal ? Mais pourquoi tu es débranché ?!
Moi : Non... cava... cava j'ai très mal aux côtes et au dos et à la tête mais c'est supportable. J'ai eu peu de mal à me déplacer
Elle : Le médecin a dis qu'à ton réveille tu devais manger quelque chose de chaud pour atténuer tes douleurs. Ne t'inquiète pas il t'a examiné et tes côtes vont te faire mal pendant quelques jours mais ça passera et ton crâne a été fortement amorti par la pierre mais il a dit que ce n'est rien de grave sauf si la douleur persiste alors tu devra faire une radio... du coup tu dois te reposer d'accord ? Je m'occupe de donner à manger puis tu prendra tes médicaments hm ? J'ai eu tellement peur pour toi ! Quand j'ai vu dans l'état que tu as été amener ici j'ai failli faire un malaise wAllah
Moi : Qu'est-ce qu'il fait ici.
Elle : De qui tu parle ?
Moi : Ce Tahir. Il est rentré dans ma chambre et il m'a vu sans le voile.
Elle : Je lui avait demander d'aller voir si tu étais réveillée mais-
Moi : Il m'a vu sans le voile ! Abuela comment tu peux le laisser rentrer en nuestra casa como esta ? Je te comprends pas après tout ce qu'il m'a fais ? Parce que j'ai dis oui que j'allais retourner travailler que ça veut dire qu'il peut se permettre de venir à tout va et de venir dans ma chambre ?!
Elle : Non ne pense pas ça ! J'ai complètement oublié pour ton voile vu que tu t'es voilée récemment. Et Tahir je lui en veut toujours. Je me suis même disputé avec lui tout à l'heure mais si il est là actuellement c'est parce qu'il venu s'excuser auprès de moi car il m'a parler grossièrement. Et je me suis excusé aussi parce que je l'ai gifler alors que je n'avais pas à le faire mais bon ce n'est pas ça le sujet. Je l'ai pardonner. Et tu te demande sûrement ce qui s'est passé pourquoi il est venu dans ta chambre c'est parce que c'est lui qui ta trouver en plein milieu du marché au bord du gouffre.
Moi :
Elle : C'est lui qui t'a sauver la mise et qui a tout fais pour que tu maintienne en vie voilà pourquoi il est là et que je ne peux pas l'interdire de venir ici car je suis reconnaissant par ce qu'il a fait et qu'il reste mon fils.
Moi : Il a... vraiment fait ça ?
Elle : Oui ! Attends je vais l'appeler TA-
On entend la porte d'entrée se claquer.
Abuela : Il est partie. Mais voilà tu le sais maintenant et malgré tout ce qui s'est passé il n'a pas hésité à te secourir. Il n'est pas si mauvais que ça...
Moi : Tu m'aide ?
Elle : Oui allons-y.
Elle m'aide à descendre puis elle me sert à manger. Je mange correctement puis je prends mes médicaments.
(...) Je vous passe quelques jours, je me sent beaucoup mieux. J'arrive à marcher eu peu correctement malgré que mes côtes me font toujours mal, mon dos ça va mieux mais mon crâne me fait toujours aussi mal mais c'est supportable.
Le médecin passe tout les jours pour m'examiner il a dit que je vais beaucoup mieux et pour que j'ai moins mal je dois bouger régulièrement alors j'ai décidé de reprendre le travail.
Je suis actuellement en train de marcher pour aller à la boutique avec Abuela.
Abuela : T'es sûr que tu veux reprendre le travail aujourd'hui ?
Moi : Oui je te dis, arrête de t'inquiéter je serais avec Tidiane de toute façon il m'a dis qu'il me formerais etc...
Elle : D'accord alors si tu commences à avoir des maux de crâne incessant tu rentre d'accord ?
Moi : Oui
Elle m'embrasse le front puis elle va a l'agence et moi je rentre à la boutique. Je vois Tidiane et Tahir en train de discuter. Je racle de la gorge ils se tournent vers moi, Tidiane viens à ma hauteur.
Tidiane : Hey quel surprise !
Moi : sourire gêner,
Lui : Comment tu va ? Désolé j'ai pas pu te rendre visite j'étais super débordé
Moi : Ça va mieux merci.
Lui : Ok nickel. Bon alors on commence ?
Moi : Ok hochant la tête en souriant
Il explique tout le fonctionnement du magasin en me montrant comment faire etc... il m'explique qu'est-ce qu'est la tête de gondole, comment marche la livraison, la relation avec les fournisseurs etc... tout ses explications nous ont pris une bonne trentaine de minutes.
Tidiane : Bon maintenant que les explications ont été comprise place à la pratique. Ce que je vais te demander de faire c'est que tu me fasse un mini inventaire de ses deux rayons histoire que je regarde combien d'article on a en rayon si les codes barres correspondent et les prix c'est bon ?
Moi : D'accord
Lui : Je vais en caisse si tu as une question n'hésite pas à me demander à moi ou à Tahir
Il me souris et il va à la caisse. Je prends une feuille une plaquette et un stylo et je me met au boulot.
Je prends bien mon temps pour ne pas me tromper surtout que les rayons sont grands. Je finis l'inventaire des deux rayons au bout de 1h30 ! J'ai les pieds en compote carrément.
Je vais ensuite prendre ma pause avec Abuela à la cafétéria et Tidiane puis nous retournons à la boutique.
Tidiane me demande de prendre en photo les articles manquants dans les rayons et de les noter sur un carnet afin qui puisse passer une commande auprès des fournisseurs.
Je prends toutes mon après-midi pour faire ça tranquillement et correctement puis une fois finis je vais poser tout ça dans le bureau, Tidiane s'occupe de la fermeture de la boutique.
En sortant je tombe sur Tahir qui tente de rentrer dans le bureau et moi y sortir.
Je le regarde en attendant qu'il se décale du passage mais il ne bouge pas.
Moi : racle de la gorge, Vas-y me décalant de la porte.
Il rentre dans le bureau et moi j'y sors quand quelque chose m'en empêche. Je regarde derrière et je vois mon bracelet accroché au pull en maille de ce Tahir.
Je fais les gros yeux et j'essaye de tirer ma main quand il m'attrape par le poignet.
Tahir : Bouge pas.
Il s'approche de moi et il retire les files accroché à mon bracelet.
Il finit par réussir puis il se retourne en continuant ses occupations.
Moi : Merci
Lui : ...
Moi : Je voulais te remercier pour la dernière fois que tu m'a-
Lui : Je ne l'ai pas fais pour toi. Et n'importe qui l'aurait fait.
Il prends ses documents et il sort du bureau.
Je me retourne en le regardant de travers.
Moi : Tsss implolie ! le regardant partir, Ta bien raison ! Tu ne mérite pas des remerciements sale type ! Tchiiiiiiippp !
Je m'apprête à sortir quand j'entends un téléphone sonner. Je me tourne et je regarde sur le bureau et il ya un petit téléphone pas tactile.
Je le prends et je regarde le numéro qui commence par +33, ça provient d'en France ça.
Je le pose parce qu'il m'appartient pas mais ça persiste toujours.
Je soupire et je prends le téléphone et je sors du bureau, je vais voir Tidiane.
Moi : Tidiane ce téléphone ne fais que de sonner c'est le tiens ?
Tidiane : Non pas du tout le miens il est là en plus c'est un p'tit bigo ça, qu'est-ce que ça fait ici ?
Moi : Il était posé sur le bureau en dessous des documents et le numéro qui appelle c'est un numéro de France alors je me suis dis que-
Sans m'y attendre je me fait retourner par le bras par ce Tahir et il m'arrache ensuite le téléphone de mes mains.
Tahir : Où ta trouver ce téléphone ?
Moi : Sur la table du bu-
Lui : Ne touche plus jamais à mes affaires.
Tidiane : Tahir tu recommence ?! Tu recommence ta race !?
Lui : J'aime pas qu'on touche à mes affaires et tu le sais ! Surtout que ce téléphone je le cherche depuis longtemps et tu sais ce qu'il signifie
Tidiane : Oui mais t'es pas obligé de l'attraper comme ça et de lui parler comme ça wesh détend toi !
Moi : Lâche moi...
Il me tenait toujours le bras. Il me lâche en raclant la gorge. Son téléphone se remet à sonner quand il regarde celui-ci en fronçant les sourcils puis il regarde Tidiane.
Tidiane : Qu'est-ce t'a ? C'est qui ?
Tahir : Je... je reviens, que personne ne rentre dans le bureau sans que je ne sorte avant.
Il s'en va limite en courant s'enfermer dans le bureau. Je regarde Tidiane.
Tidiane : wAllah excuse pour son comportement grossier
Moi : C'est bon, je vais bien devoir m'y habituer de toute façon
? : AAAAAAAAHHHHHHH bruit de casse
Moi : sursaut, Qu'est-ce que c'était ?!
Tidiane : C'est Tahir ! Ça provient du bureau !
Nous nous dirigeons vers le bureau quand on entend les cris incessants de ce Tahir, Tidiane ouvre la porte et nous voyons le bureau complètement en pagaille tout les documents sont éparpillés par terre avec les vases en miette.
Je regarde ce Tahir qui est complètement dévasté qui n'arrête pas de crier au téléphone tout en cassant la première chose qui est sur son champs de vision....
Tahir :
À suivre...
Votez pour avoir la suite.
👻sublymaa
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