Chapitre 6

PDV JAY

Je me suis réveillé vers neuf heure, Alexis dormait encore paisiblement, puis je me suis dégagé de ses bras sans la réveillée et je suis descendu à la cuisine. Où je suis en ce moment.

Je prépare le petit déjeuner pour tout le monde et occasionnellement moi .

Je venais de finir de tout déposer sur la table à manger que je vis mon père dans les escaliers.

Il observe le déjeuner sur la table et sourit. Il sourit et me rejoins, non sans ébouriffer  mes cheveux. Au bout de dix minutes un craquement attira mon attention.

Alexis était à son tour dans les escaliers, les cheveux en bataille et les yeux encore endormis.

Je souri et lui désigna la chaise à côté de moi.

Un sourire s'étira sur ses lèvres lorsqu'elle vu les victuailles présentes. Elle s'asseye volontiers et attaqua aussitôt les tartines et le beurre de cacahuètes, elle retrouva le sourire, sourire qui avait disparu depuis hier soir.

A la fin, mon père annonça qu'il allait ranger et que l'on pouvait aller se promener.

On mit nos baskets et je passa un bras au dessus des épaules d'Alexis.

Mais une fois sortis sur le palier, plusieurs flashs nous assaillirent . Qu'est ce que?!

Je fronce les sourcils et tire Alexis vers moi, ses mains commencent déjà à trembler.

On réussi à passer les flashs et on courra loin de chez moi, on finit par les semer et on alla à Central Park.

On s'assit sur un banc et je rassura Alexis, morte de trouille.

-tout vas bien...chuchotais-je alors qu'elle trembler contre mon épaule.

-chut...chuchotais-je.

Je lui murmurais quelques mots rassurants qui l'apaise plusieurs minutes plus tard.

-maintenant il faut que tu me parle Alex, commençais-je sérieusement.

Elle hoche la tête.

-Tu n'a jamais eu peur de la célébrité, et hier soir tu avais l'air bizarre. continuais-je.

-j'ai besoin de savoir ce qu'il ne vas pas Alexis, c'est par rapport à la tournée? questionnais-je

Elle secoue la tête.

J'allais répliquer mais elle prit la parole:

-ce n'est pas à cause de ça Jay. Au contraire, je suis heureuse! Mais il y a des problèmes dans ma vie en ce moment, et il faut juste que je les règles, je m'en charge toute seule Jay, j'ai toujours réussi à m'en sortir, lâcha t-elle, elle rie nerveusement vers la fin.

-Alex...repris-je

-non, stop Jay! s'exclame t-elle.

-non, toi stop Alexis! répliquais-je.

-Arrête de toujours vouloir croire que tu peux tout faire toute seule! Tu n'es pas adulte, tu n'as que quatorze ans, et je pense que tu devrais m'en parler, sinon sa va virer au cauchemar, assurais-je.

Elle baisse les yeux vers ses mains.

-Alex, repris-je plus doucement, je suis ton meilleur ami d'aussi loin que je sache et tu est étrange depuis un certain temps princess , je m'inquiète merde. J'ai juste besoin d'explication,  complétais-je.

Elle hoche la tête et mords sa lèvre inférieur.

Je prends sa main dans la mienne et je la sert fort.

-je suis avec toi, ok? Pour toujours, rassurais-je.

-ça a commencé il y a plusieurs années, commence t-elle.

-On devait tout les deux avoir une dizaines d'années et mes parents commençaient à se disputer sans cesse, continue Alexis.

-Puis, tu sais..mon père devenait violent avec maman, il la frapper, soit c'est arce qu'elle avait mal fait à manger, soit il voulait passer sa colère sur elle. dit-elle, des larmes perlaient déjà au coin de ses yeux.

-je sais tout ça Alexis, la coupais-je, mon père est intervenu avant qu'il ne te fasse du mal à toi.

-mais tu ne sais pas tout, avoue t-elle.

Je commence à m'inquiéter, que peut-elle m'avoir caché pendant quatre ans?!

-continue, lâchais-je, sentant déjà mon corps devenir brûlant.

-et bien, sa avait commencé beaucoup plus tôt, quand j'avais huit ans, sauf qu'il ne passait pas ses nerfs sur ma mère, il les passé sur moi, il n'arrêtait pas de m'accuser de la mort de Aiden, que c'était de ma faute si il avait disparu, que j'étais une moins que rien et que je ne mériter pas de vivre, contrairement à Aiden qui avait un avenir tracé, avoua t-elle alors qu'un sanglot s'échappa d'entre ses lèvres.

Aiden, mon dieu, c'est vrai qu'elle était avec lui lorsqu'il était décédé. Je raconterais ça plus tard.

-puis, un jour, tout s'est calmé, il a arrêté de me frapper, de m'insultais, il devenais limite gentil et génial. Puis un soir, alors que ma mère était partie en garde de nuit -elle ne savait pas pour mon père-, il est entré dans ma chambre alors que je dormais, je me suis réveillée de suite et j'étais apeurée, je n'ai vu dans ses yeux que de la folie et de la colère, il n'était plus humain, il était devenu terrible, il a attrapé mon bras et ma posé un masque sur la bouche, je ne pouvais pas l'enlever et j'étais incapable de crier, je me suis débattue mais il me tenais fermement...continue t-elle mais de nouveaux sanglots suivis de crises de larmes s'en suivirent, mon corps bouillonnait de rage.

-il. t'a. fait. quoi. articulais-je.

-il..il a enlevé mon pyjama et il a commencé à me violer, je ne pouvais rien faire, je pleurais toute les larmes de mon corps, il n'avait aucune pitié, se justifia t-elle avant d'éclater en sanglots infinis.

Je l'ai aussitôt prise dans mes bras alors qu'elle tremblais de tout ses membres et que sa poitrine se soulevait et se baissait irrégulièrement. Merde, elle fait une crise de panique.

Je la détache aussitôt de mes bras et pose mes mains sur ses joues.

-Alexis ! crie-je

-ok...commençais-je, essaye de te concentrer sur ma voix, seulement ma voix, inspire..expire...conseillais-je

Elle ferma ses paupières alors que je caressais ses cheveux mais elle ne se calmais pas, au contraire, son cas s'aggravait.

-ok...j'ai besoin d'infos, est-ce qu'il t'a fait autre chose, demandais-je

Elle secoue la tête  vivement.

-sa marche...ok... essaye de te calmer, ralenti ton pouls, continuais-je.

Alors qu'elle essayer de se calmer un homme au loin vu ma panique et accourra vers moi, une femme sur ses talons.

Un coureur remarqua que quelque chose n'allait pas alors il se joignit à nous.

-qu'est ce qu'il se passe? demanda l'homme.

-elle...elle m'annonçais un truc important et ses nerfs ont lâchés, elle fait une crise de panique je crois, paniquais-je.

L'homme et le coureur prirent la relève et la femme prit ma main pour m'éloigner légèrement d'eux alors que je passais mes mains dans mes cheveux.

-chut..calme toi mon grand...susurra la femme.

Je ferma les yeux et lorsque je les rouvris j'aperçus une troisième personne à leurs côtés  puis une nouvelle personne avec une jeune femme à ses côtés, il est au téléphone.

La minute suivante je vis ma meilleure amie s'effondrait au sol, aussitôt je me débarrasa de l'emprise de la femme sur mon bras et glissa au chevet d'Alexis.

L'homme posa deux doigts dans son cou et annonça d'une voix calme mais autoritaire :

-elle n'a plus de pouls!

Ma tête se mit à chavirer, je ne sentais plus mon corps, mon sang ne fit qu'un tour puis l'instant d'après, j'étais ivre de rage. Alors que je vis mon père arriver en courant suivis de quatre personne et de l'ambulance ma rage augmenta. Et encore plus lorsque je remarqua que l'une des personnes était le père d'Alexis, alors lui.

Je m'avança à pas pressé vers Carl, les poings serrés et le visage rouge, l'homme s'arrêta et fronça les sourcils, mon poings fendit l'air pour venir s'abattre sur la joue de ce violeur de merde!

Il tomba au sol, une main sur son nez ensanglanté, j'ai oublier de dire que mon poing a dérivé aussi contre son nez.

Alors qu'il se releva, un air menaçant sur le visage je lui renvoya un nouveau coup dans les côtes, il répliqua avec un coup de pieds dans ma jambe. Mais plus rien ne pouvait m'arrêter, il a osé la toucher et la battre, il vas payer de ma main.

Je hurle ses défauts haut et fort sans scrupules et m'élance contre lui, il tombe au sol et je le cogne aussi fort que je peux.

-T'A OSE LA TOUCHER CONNARD! crie-je

Nouveau coup de poings.

- CA T'A PAS SUFFIT D'AVOIR DÉTRUIRE SA VIE HEIN?! hurlais-je.

Nouveau coups.

- TU MÉRITE DE MOURIR SALOPARD! crachais-je

Alors que j'allais lui porter un nouveau coup deux personnes musclés m'attrape et m'oblige à reculer mais j'arrive à m'échapper et le pousser à nouveau au sol.

- TU VAS FINIR EN PRISON SALE VIOLEUR! hurlais-je hors de moi.

Ce n'est qu'à ce moment là que je remarque que tout le monde me regarde et que les policiers tente désespérément de m'empêcher de le tuer.

Je crache sur lui et un policier me plaque au sol, réussissant à me maitriser, enfin.

Je sens l'herbe fraiche contre ma joue et les menottes en fer gelées se plquait contre mes poignets, il sert les menottes et me relève aussitôt. Je me débat mais je commence à me calmer.

Malheureusement pour eux je découvre l'ambulance qui démarre avec ma meilleure amie à l'intérieur et sa mère ainsi que mon père.

Je reconnais aussitôt l'homme en face de moi.

-bonjour Jay, salua l'homme.

-bonjour Grand père, saluais-je à mon tour.

Il hoche la tête alors que je bombe le torse, en le provoquant. Si ils ne font rien je me tue.

-embraquez le, je vais lui parler, ordonna le général de la police national et député de FBI.

Il me considéra longuement.

-comment tu en ai arrivé ici... chuchote t'il.

-On ne touche pas à ma famille, répliquais-je sèchement, et encore moins à Alexis.

On me fait monter dans le véhicule entre deux ^policiers, mon grand père monte côté passager et un gendarme monde côté conducteur, alors qu'il démarre, je remarque le nombre de personens qui me considèrent pour la plupart avec compassion. Certains font des doigts d'honneur aux policiers et je découvre plusieurs journalistes qui vont se faire un plaisir d etout balancer demain.

Putain dans quoi je me suis encore fourré.

***********

alors?

Beaucoup de révélations je sais^^

d:

So'

OVER

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top