Note de l'auteur: Une bonne partie de l'histoire comprendra des pages du journal de Cristal. Je pense que c'est le meilleure moyen de savoir pourquoi elle est partie et ce qu'elle a vécu.

Désolé pour l'abandon de cette histoire, j'écris tellement d'autres histoires en parallèle que je finis par oublier certaines :). En espérant que la suite vous plaise. Bonne lecture.

------------------------------------------------------------------

"Chère journal, le journée fut longue et difficile aujourd'hui. Plus les années passent, plus les autres sont horrible. Il ne s'agit plus de simple insulte ou coup. J'ai mal et je n'ose rien dire. Un garçon, Nick, retourne tous le monde contre moi. Je n'ai plus beaucoup d'amis. Seul Lucie, reste avec moi. C'est une otaku et une geek comme moi. Elle me soutient toujours mais elle ne sait pas tous. La semaine dernière, Nick et sa bande m'ont couru après avec la ferme intention de me couper mes deux mèches vertes. J'ai fini attaché dans un hangar et ils m'ont mutiler le bras avec un paire de ciseau. Pourquoi je ne porte pas plainte? Parce qu'il me rattraperons toujours. Résultat, je ne porte plus que des habits à longue manche. Je suis plutôt doué pour mentir donc ni papa, ni Alfred, ni Lucie ne se doute de quoique se soit. Je vis avec. Mon visage affiche toujours le même faux sourire en permanence mais tant que ça marche c'est cool.

Hier, je suis allé près du port. J'aime bien trainer là-bas malgré que se soit dangereux à cause des nombreux criminels. Regarder la mer et le ciel étoilé me fait vraiment un bien fou. Les regards des autres ne me dérange pas. Certains viennent même m'adresser la parole. Soit il me demande ce que je fais là, soit il me propose à boire. Généralement, je refuse et parfois je bois un peu et on discute de tous et de rien. C'est bizarre de parler avec des criminels et que ceux ci ne tente pas de te tuer. Ils sont même plutôt gentil. Grossier mais sympas.

Parfois, un homme masqué vient me voir. Je l'aime bien lui. Il a l'air de me comprendre et souvent j'ai l'impression qu'il peut lire en moi comme dans un livre ouvert. Ce qu'il est le seul à pouvoir faire. Il ne me propose jamais d'alcool juste de bonne blague qui me font rire et me permette de relâcher la pression. Un bonne ami. Il ne parle pas beaucoup de lui. Une fois, il m'a dit qu'il avait cambriolé une banque avec un bus mais c'est tous. Il était au courant pour mes cicatrices. Au début, il avait ri à en pleurer. Puis, il avait dit: "Après on s'étonne que les gens devienne fou et que le nombre de criminel augmente." Il m'avait alors pris dans ses bras et m'avait dit de garder espoir. J'avais un peu pleurer et j'étais finalement rentrer chez moi.