30.LUCIE

/!\ AVERTISSEMENT : Chapitre contenant peu de dialogue, et assez violent dans les gestes /!\


J'ouvre les yeux, désorientée, toujours clouée au sol. Des sanglots silencieux se peignent sur mon visage, et je souffre. Je souffre le martyr, parce que je n'ai pas été capable d'ouvrir les yeux assez tôt. Parce que j'ai espérer si fort que Alban devienne la personne qui l'était avant de se transformer en monstre. Parce que j'ai repoussé Smith, alors qu'il était peut-être ce dont j'avais le plus besoin. Parce que je me trouve horrible et faible. Parce que ma mère est gravement malade et que je suis à des kilomètres d'elle. Parce que mon père souffre de nous voir le quitter, toutes les deux. Parce que c'est la fin.

Soudainement, je reprends le contrôle de mes membres et de mes muscles. Je me relève, pour m'asseoir, toujours sur le sol. Avec rage, j'essuie mes larmes, avant de souffler un bon coup. Aussitôt prête, je m'aide de mon lit pour me remettre debout. Tout à coup, mes cinq sens se mettent en alerte, et je détecte les mêmes rires se déchaîner dans ma tête et dans l'appartement, à quelques mètres de moi. Mon cerveau vrille, et je sors enfin de ma torpeur. La détermination boue dans mes veines, et je n'ai plus peur. Il faut que je sorte d'ici et vite. Peu importe si je n'ai pas de billet pour prendre l'avion loin d'ici, ou que je n'ai pas mon portable. Il faut que je me barre de cet espace, et tout de suite.

Respire un grand coup, et sors d'ici, je me récite comme un mantra et comme un but.

Je remets mes cheveux en place, et lisse mes vêtements sur moi, avant de débloquer le verrou. J'ouvre doucement la porte, et me glisse à l'extérieur. Les voix qui me sont inconnues deviennent plus fortes et plus nettes. J'arrive à compter deux personnes. Lentement, je marche et finis par me cacher derrière le coin du mur qui fait le bout du couloir. Je me risque à jeter un coup d'œil.

J'avais raison, ils sont deux, et bien installés sur le canapé. L'un d'eux ouvre soudain l'enveloppe pour en voir le continu, tandis que l'autre boit une grande gorgée de ce que contient la bouteille d'alcool dans sa main. J'ai un haut le coeur, quand j'aperçois le visage d'un des deux hommes. Il est immonde, et fait froid dans le dos. Celui qui tient l'enveloppe dans ses mains, dirige son regard vers l'endroit où je suis, mais par réflexe, j'arrive à me rabattre contre le mur. Un petit couinement m'échappe cependant quand ma tête heurte celui ci.

— Merde, il y a quelqu'un là bas, Bob.

La voix qui parle est rocailleuse et grognarde. Des frissons de dégoût m'emplissent le corps subitement, et sans réfléchir, je cours me réfugier dans ma chambre en mettant le verrou, une seconde fois. Des pas arrivent et se stoppent devant ma porte. Je grimpe sur mon lit, en prenant ma lampe de chevet dans une de mes mains.

— T'as raison, il y a quelqu'un là-dedans, Ulrich.

Je resserre ma prise sur le mas de la lampe de chevet, et vais vérifier discrètement que j'ai bien fermé la porte. Brutalement je sursaute, lorsque l'un des deux hommes donne un coup de poing dans le bois résistant. Je recule comme je peux, en faisant attention où je mets les pieds, et j'attends. J'attends qu'ils partent, même si je sais très bien qu'ils resteront ici tant qu'ils le voudront.

— C'est qui ? demande, la voix rocailleuse de tout à l'heure.

Je ne réponds rien, me forçant à garder mon calme et ne pas paniquer. Ce n'est pas le moment ni l'endroit de refaire une crise de panique. Je dois rester sereine, et être prête à riposter s'il se trouve qu'ils arrivent à défoncer la porte. Vu leurs carrures imposantes et importantes que j'ai pu observer tout à l'heure — de loin certes — ils n'auront aucuns problèmes à le faire, je pense.

— On ne te veut aucun mal, réponds bon sang.

Je plisse les yeux, tout en respirant doucement. Inspire, expire. Les minutes passent et je crois voir qu'ils s'impatientent, puisqu'ils tapent de plus en plus fort sur la cloison, sur les murs et aussi sur la porte. Ils sont absolument partout, et ils réveillent le sang qui se glace dans mes veines. Je ne peux plus bouger, je ne veux plus bouger. J'en suis incapable.

Je n'ai jamais été confronté à une violation ou à une attaque de ce genre. Ils sont plusieurs et moi, je suis seule, comme un pauvre petit chaton sans défense. Et cette fois, je ne peux pas me laisser faire manipuler comme un vulgaire pantin, ou un objet.

— Ouvre, ou je te promets que tu vas le regretter, crie une voix gutturale.

Je souffle, en prenant mon temps. Je compte même jusqu'à dix, plusieurs fois, pour éviter de me lancer dans un état second. Sans réfléchir, je m'avance un peu vers la porte, et je colle mon oreille contre la paroi. Je les entends parler à voix basses, mais je ne comprends strictement rien. Pendant longtemps, je reste interdite, avant de me ruer vers ma valise.

Si je me souviens bien, juste avant de partir, j'ai vu mon père glisser une bombe lacrymogène dans ma valise. Sur le moment, je n'ai pas relevé puisque j'ai mis cela sur le fait qu'il s'inquiétait pour moi et pour ma sécurité. Maintenant, je le remercie profondément pour avoir pensé qu'elle me servirait.

J'ouvre et je fouille aussi vite que je peux. Lorsque je trouve enfin cette bombe, je la prends à pleine main, et sans perdre une minute, je m'avance vers la porte. Aussitôt, je pose ma main sur la poignée, décidée à les prendre par surprise. Heureusement, j'entends toujours leurs voix. Mais cette fois ci, leur conversation contient une troisième voix, comme s'ils étaient au téléphone. Je fronce instantanément les sourcils, me demandant à qui ils parlent.

J'arrive à entendre le bip sonore qui sonne comme s'ils avaient enclenché le haut-parleur. Apparemment leur interlocuteur a raccroché. Leur nouvelle conversation confirme mes dires. Cette fois, je prie pour que j'arrive à les envoyer tout les deux sur le tapis.

Je me mords nerveusement la lèvre, en essayant de me souvenir des mouvements que Smith utilisait pour vaincre ses adversaires à plat de couture. Instantanément, je ferme les yeux pour le visualiser sur le ring en face de Carter. Mais cette image est remplacée par notre échange glacial avant que je prenne l'avion pour New York. Il avait raison, j'aurai dû rester avec lui. On aurait peut être pu approfondir notre lien qui nous unit, pour commencer quelque chose de nouveau. Malheureusement, je n'en ai fait qu'à ma tête, comme je le ferai tout le temps, et je crois que maintenant, c'est fichu. J'ai bien peur qu'il ne veuille plus m'adresser la parole ou qu'il veuille voler à mon secours. A force, cela doit être fatiguant pour lui. Il mérite quelqu'un qui lui dise oui, et rien d'autre.

— C'est toi, Lucie ? demande la voix grave de tout à l'heure.

Je tremble des pieds à la tête. Comment connaît-il mon prénom ? Personne ne me connaît ici. Peut être qu'il s'agit d'amis à Alban, ou pire encore, ce sont peut être ses fournisseurs en drogue. Si c'est le cas, je suis fait. Ils viennent forcément pour leur argent. Oui, c'est exactement cela. Pourquoi ils auraient pris l'enveloppe sur la table autrement ?

Je passe mes mains dans mes cheveux, effrayée. Et si jamais ils en demandaient plus ? Et s'ils avaient kidnapper Alban ? Peut être qu'ils viennent pour moi, pour me tuer, et que tout cela n'est qu'une putain de mise en scène pour me rendre folle. S'il s'agit de cela, ils ont réussi. Je suis folle, et je crois bien que même si j'ai le pouvoir de sortir d'ici, rien qu'en ouvrant cette porte, ce sont eux qui ont le dessus sur moi.

— Alban vient d'appeler, il arrive, tu peux sortir.

Cette fois, la voix est plus douce. Sauf que je n'y crois pas une seconde. Il essaie de me manipuler et Alban aussi, par la même occasion. Immédiatement, je resserre ma prise sur ma bombe, que je tiens bien en main. Puis, je fonce vers la porte et je joue avec le verrou dans une vitesse éclair. J'ouvre celle ci, et je dégaine la bombe comme ci c'était une arme.

Les deux hommes tournent la tête vers moi, et s'avancent à grand pas. Ils n'ont pas l'air de voir ce que je tiens en main, et ce que cela représente pour leurs yeux. Tant mieux, l'effet de surprise est toujours là. J'appuie instantanément, en veillant à viser droit. Le premier hurle de douleur en se tordant comme un pauvre petit animal blessé. Sur ma lancée, je m'attaque à l'autre, en attrapant violemment sa main avec laquelle il se protège, avant de lui envoyer le spray au poivre en plein dans les yeux. Celui ci finit au sol, en jurant à pleine dent.

Je ne sais pas d'où me vient soudainement cette force et ce courage sans faille, mais j'en profite pour leur donner à tout les deux un coup de pied dans le ventre. Ils arrêtent de crier comme des chochottes. Au lieu de cela, ils me traitent de tout les noms, mais comme je suis assez pressées, je les laisse s'étaler à terre et se morfondre comme des bébés.

Je saute sur mes pieds, tout en arrachant l'enveloppe des mains de l'homme. Puis, j'attrape les clefs de l'appartement, pour refermer la porte derrière moi. En dévalant les escaliers, je tente de faire taire les tremblements qui me bercent toute entière. Je croise quelqu'un qui habite ici, et il me demande si je vais bien. Je ne réponds rien, j'ai un objectif principal. Je dois absolument partir d'ici. Je ne sais pas du tout où je vais aller, ni ce que je vais faire, mais tant que je suis loin de cet appartement qui n'a fait que foutre la pagaille et la tristesse dans ma vie, tout va pour le mieux.

Je pousse brutalement la porte de l'immeuble, et je commence à marcher dans la rue, d'un pas rapide. J'observe autour de moi, et je suis rassurée de voir que personne ne semble voir ma panique, et comprendre mon petit jeu. Sur quelques mètres, je continue de marcher. J'ai mal aux pieds, à la tête et aux jambes, mais je ne lâche rien.

En me retournant discrètement pour savoir si personne ne me suit, je perçois un homme de taille moyenne m'observer de loin, tout en me suivant. A ce moment précis, je regrette sincèrement de m'être enfuie pour la nuit, sans penser à prendre mon portable. J'aurai pu appeler Charlotte, ou Smith, ou alors mon père.

Pour vérifier qu'il me suit vraiment, je tourne dans une ruelle, dont je viens d'apprendre l'existence. Je reste calme, même si le sang pulse dans mes veines et l'adrénaline me bouffe de l'intérieur. Mon coeur ne va pas tarder à lâcher sous la pression et la tension, qui elles, continuent à faire leur petit bonhomme de chemin près de moi.

Après plusieurs minutes à marcher dans une direction que je n'ai jamais emprunté, je vois du coin de l'oeil qu'effectivement l'homme me suit. Mais il reste stratégique et malin. Il avance à une allure lente, sans me perdre des yeux. J'entre-aperçois la malice qui anime son regard sombre.

La ruelle dans laquelle je me trouve donne sur un cul de sac. Un grand mur se dresse devant mes yeux, et les pas calmes de l'homme deviennent de plus en plus forts et prononcés, contre les gravillons qui barrent le sol. Je suis sur le point de faire une crise cardiaque, lorsqu'une main se pose sur mon épaule. Je me croirais dans un mauvais thriller. Jamais je n'aurais cru que ma vie prendrait ce tournant, quand j'ai enfin pris le courage de quitter Alban.

L'homme ne prononce aucun mot, mais il serre sa prise sur mon épaule, si bien qu'il me pince la peau. Après, sa main glisse vers la mienne pour m'arracher l'enveloppe pour ensuite la cacher dans la ceinture de son pantalon. Je me mords l'intérieur de la joue, jusqu'à que je sente mon sang se verser sur ma langue. J'ai envie de vomir pour la seconde fois, et je regrette amèrement de ne pas avoir pris des cours de défense comme mon père me l'avait conseillé, il y a quelques années.

Je me risque à me retourner, doucement, avant de croiser deux yeux noirs comme la grande cape que porte la faucheuse, quand votre heure est venue. Je déglutis difficilement. Ma peur nourrit sa soif de plaisir, je dirais. Ses yeux brillent d'une lueur dangereuse et laide. J'aurai presque envie de lui cracher au visage pour qu'il range son sourire satisfait. Mais je suis paralysée. Je ne comprends plus grand chose.

J'avais enfin décidé de fuir cette vie qui n'en était pas une, prête à laisser Alban se guérir seul de ses péchés et de ses démons. La vérité c'est que je suis aussi maudite que lui. En voyant la tête de l'homme qui me fait face, à voir qu'une partie de sa satisfaction est remplit, et j'en tremble d'effroi.

La main de l'homme vient se poser sur ma joue, mais j'empoigne son poignet bien avant qu'il me touche. Son sourire disparaît pour y laisser une colère noire. Je fronce les sourcils, quand il arrive à me retourner, son bras sur ma gorge, appuyant lourdement sur mon larynx. Sans ménagement, il me plaque au mur, alors que j'essaie de me débattre du mieux que je peux.

Je nage en plein cauchemar, et je ne demande qu'une chose, que toute cette histoire sordide s'arrête pour de bon. Sauf que j'ai bien l'impression qu'elle ne fait que commencer.

— Je comprends pourquoi il voulait absolument te retrouver, maintenant, me souffle l'homme, d'une voix grave.

Il passe sa main dans quelques unes de mes mèches de cheveux, avant de mettre ma main libre contre mon ventre, et d'appuyer lourdement son corps sur le mien. Je crie lorsque je sens la surface piquante du mur s'enfoncer dans la chair de ma main et de ma joue. Avec mon oeil, j'arrive à voir qu'elle forme de plaisirs malsains, il prend à me torturer volontairement.

Je grimace subitement en le voyant jouer avec le devant de son pantalon, pour coller son sexe contre mes fesses. Le schéma se répète comme toujours, et je ferme les yeux, tandis qu'il bouge les bassin frénétiquement. Des larmes silencieuses coulent sur mes joues, tandis que j'essaie de bouger ma main coincée contre le mur. Je sens le sang couler sur le dos de celle ci quand je bouge, mais je n'y prête pas attention.

Enfermée dans un boucle sans fin, j'ouvre enfin les yeux lorsque je sens sa main se diriger vers mon intimité. Je tourne la tête dans un mouvement vif, avant de le cogner au nez en faisant basculer mon corps en arrière avec force. Il me traite de garce, et je trouve enfin le temps de faire diversion en le mordant fort à la main, celle qui me retient prisonnière de sa poigne. Comme je l'avais prévu, il me lâche tout en reculant.

— Tu m'as pété le nez, sale conne ! il lance brutalement.

Je ne l'écoute pas, je me mets à courir, mais malheureusement comme si quelqu'un m'en voulait et voulait me voir payer, il arrive à me rattraper et en prime, il me fait un croche patte. Je tombe sur les pavés et les gravillons, la tête la première. Un crac se fait sentir sur toute ma mâchoire, faisant vibrer chacune de mes dents. Je gémis, en me passant une main sur le front et sur le menton. Le sang s'incruste entre mes lignes sur ma paume.

Je n'ai pas le temps de faire quoique ce soit, l'homme me tire les cheveux, me forçant à me relever. Lorsque je suis enfin sur pied, il envoie valser son poing sur ma joue. Ensuite, il rit fière de lui, et secoue sa main main pleine de sang. J'observe son nez qui est cassé, avec satisfaction, tandis qu'il se plaque à moi, en veillant à bien enfoncer ses talons sur mes chaussures. Je me retiens de hurler sous son regard ombrageux.

Il reste un moment à me contempler, tout en faisant glisser ses ongles crasseux sur ma peau tuméfiée par ses coups de brute. Il se noie même dans mon sang et l'admire couler sur sa main tel le psychopathe qu'il est. Il me sourit de toutes ses dents, alors que je sens mes gencives se gonfler et mon coeur se réveiller dans chacune d'elles. Puis le sang fait irruption sur mes dents, faisant naître une bile au fond de ma gorge.

— Avec tout ça, s'il ne me donne pas l'argent, il est mort.

Sur ces paroles, il enroule un bras possessif autour de ma taille. Je proteste, mais il me fait taire immédiatement en me plaquant une seconde fois au mur près de nous. Il pose brusquement sa main sur mes lèvres et m'intime de faire profil bas, d'une voix forte et menaçante. Il me demande si j'ai bien compris, et je secoue vigoureusement la tête pour lui faire signe que oui.

— Maintenant, on rentre bien sagement à la maison.

Il m'entraîne et je le suis sans faire de bruit, tout en baissant la tête. A chaque pas que j'effectue, je ressens une douleur au creux de mon ventre et le long de mes jambes. Mes genoux vibrent et j'ai l'impression que le sol va se dérober sous mon corps frêle.

Après quelques minutes difficile, nous rentrons dans l'appartement, où ils retrouvent ses amis — si j'en crois leur façon de saluer — assis sur le canapé. Ils me jettent tout les deux un regard mauvais auquel je ne réponds pas.

— Où est Alban ?

— Je crois qu'il s'est barré en laissant seulement la moitié de la somme qu'il te doit Victor, enfin qu'il nous doit, explique un des deux gars.

Sa prise se contracte autour de ma hanche, et je sens la colère monter en lui. Il me jette un regard en biais et fait signe à ces acolytes. Je reste immobile, tandis qu'ils s'approchent.

— Il va forcément revenir.

— Bas, t'en sais rien.

Ledit Victor soupire fortement. J'ai compris son petit manège, il veut m'utiliser comme appât, pour que Alban revienne ici, et pour qu'ensuite ils aient leur argent.

— Lucie, il est obsédé par elle. Réfléchissez bande d'abrutis, il va forcément revenir pour elle, et alors, on pourra prendre l'autre moitié du pactole. Pour ça, il va falloir qu'on attende ici. Mais avant, on l'appelle et toi, reste avec nous.

Victor me jette sur le canapé, pendant que l'un des deux autres appelle Alban et met sur haut-parleur. Je tremble de tout mes muscles, serrée entre eux. Mon calvaire prend une tournure, que je n'aurai jamais imaginé.

***************************

Coucou tout le monde ! J'espère que vous allez bien aujourd'hui ?

Alors voici le fameux chapitre 30 et j'avoue qu'il me fait un peu peur pour la suite sur le côté Lucie. La question est : est-ce que Smith va arriver pour la sauver ? Va t-il arriver à temps ? Vous avez confiance en lui pas vrai ? Alors, continuez !

Je ne sais pas si vous avez lu mon petit message sur Wattpad ainsi que sur Instagram, mais tout compte fait, j'ai prévu de faire 33 chapitres ! En comptant les trois parties du chapitre 25, normalement j'arrive à 35 chapitres comme je le voulais. Alors tout baigne ! Du coup, je pense que j'aurai fini ce deuxième tome très bientôt, dans les jours à venir, j'espère que vous êtes satisfait(e)s de ce deuxième opus, même si j'avoue qu'il est compliqué à comprendre et dramatique et dur aussi. Le troisième tome devrait vous apaiser :) Autrement deuxième info, je vais faire donc cinq tomes pour l'histoire de Smith et Lucie comme je l'avais prévu, mais des tomes suivront après. En tout, la collection fera 8 tomes, si bien sûr vous voulez continuer sur d'autres personnages de cette série. Alors à votre avis, sur qui va porter le tome 6 ? Le tome 7 ? Le tome 8 ?

Bon, j'espère que vous avez aimé ce chapitre même s'il était violent et sombre pour Lucie ? J'attends vos commentaires, c'est très important pour moi !!!

Bisous, S.

Plus que trois chapitres ! Nianiania !

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top