24. ALBAN
/!\ Scène à caractère sexuel !!!! ATTENTION !!!! Bonne lecture ;) Désolée s'il reste des fautes :/ /!\
Je prends l'avion à vitesse grand max, pour espérer arriver à l'appartement, avant que Ulrich et Bob ne débarquent. Depuis que je leurs ai demandé de la drogue, pour en faire tourner a plein régime, je leurs dois un paquet de fric, putain. Mais, j'ai une bonne excuse pour toutes ces merdes qui me font chier. Je venais de perdre Lucie et j'étais désespéré, complètement largué et accro au crac, et à elle surtout. Des choses beaucoup trop mauvaises pour moi. Sauf, que j'ai arrêté d'en prendre, quand Ulrich m'a annoncé que Victor, un ami depuis l'enfance, avait retrouvé Lucie dans la ville de Phoenix.
Depuis, j'ai cherché comme un malade, me contentant seulement de quelques verres d'alcool et de soirées trop arrosées. Puis, lorsque je l'ai retrouvé, c'est comme si tout était redevenu clair dans mon esprit.
Maintenant, il faut que je paye le prix de mes engagements. En plus, je sais parfaitement qu'Antoine ne rigole pas, et que si par malheur j'envisageais de foutre le camp pour espérer échapper à ce deal, il me retrouverait pour ensuite me liquider sans une once de regret et de compassion. Ce gars n'est fait que d'amertume et de rage, comme je l'étais avant.
Alors, que j'observe les nuages depuis le hublot, je repense à ma conversation avec Lucie. Mon esprit divague subitement, laissant place à un énième tourment, prêt à me lacérer le coeur, et à achever mon âme en peine.
Et si, elle voulait se débarrasser de toi, en restant chez son père ? Si elle t'avait menti, pour mieux fuir ?
Je me gratte légèrement la nuque, démanger par ces parasites qui ne cessent de s'emparer de mon esprit, lorsqu'une faille s'y creuse.
Et si elle partait avec ce garçon, Smith, celui avec qui elle est restée, pendant que tu étais dans l'ombre ? Si elle l'aimait plus que toi ?
Je fronce les sourcils, tout en essayant de modérer ma respiration devenue trop importante, et mes tremblements frénétiques. Mes narines se dilatent fortement, contraintes de laisser passer un trop-plein d'air. En même temps, mes poings se serrent, et mes dents dérapent. Tout en regardant autour de moi, je choisi de détacher ma ceinture, avant de rapidement prendre place dans une des cabines de toilette. Mon souffle est éreinté, et j'ai du mal à y voir clair. Ma vision est comme qui dirait, troublée. J'essaie de me retenir au lavabo, mais en voyant mes yeux se fermer peu à peu, mes mains glissent et tout devient noir. Ma tête heurte le sol. La douleur englobe mon crâne tout entier pendant plusieurs secondes. Puis plus rien.
Je me réveille dans un endroit assez sombre, la tête en bat, accroché au plafond par les pieds avec une corde. Mes mains sont liées dans mon dos. Je sens peu à peu, mon sang pulser dans ma tête, me donnant une migraine interminable. Je cligne plusieurs fois des yeux, avant d'observer — comme je peux — la pièce et les éléments qui m'entourent. J'aperçois une table au fond, où des verres sont disposés. Soudainement, j'entends des rires éclatés à l'autre bout, et des pas se rapprocher. Une grande porte s'ouvre devant moi, — qu'on coulisse, j'ai l'impression — faisant entrer de nombreux rayons de soleil, m'éblouissant.
Je respire un bon coup, en ouvrant grand les yeux, pour voir des silhouettes s'élancer vers moi. Je suis de nature un peu craintive, je l'avoue, mais je crois bien avoir reconnu des voix. Quelque chose de familier, qui sonne étrange contre mes tympans, qui grésillent. Mes yeux s'écarquillent d'effrois, lorsque je m'aperçois qu'il s'agit de Victor, accompagné de Bob et Ulrich.
— Comme on se retrouve, Alban, ricane Victor.
Je déglutit difficilement, pensant tout de suite au paquet de fric que je leur doit, en plus d'un coup de main monstre. J'aurai bien voulu que cette histoire n'ait jamais eu lieu, que Lucie soit restée à mes côtés. De toute façon, c'est lorsqu'elle est partie que ma vie s'est effondrée.
Victor s'approche de moi, pour pointer son doigt sur ma poitrine. Je frémis, en fronçant les sourcils. Un éclair de sadisme frôle chacune des fibres nerveuses, qui entrent en collision avec son regard sombre. Avec le sang qui borde ses pupilles, et son haleine qui pue l'alcool, j'ai l'impression que toute cette petite mise en scène va très mal se finir.
— Tout va se dérouler au mieux, mon pote. Mais à une seule condition, ricane soudain Victor.
Je frissonne, en pressant mes yeux, en les fermant.
— L'argent pour la coke, pour l'ecstasy, pour l'heroine , il est passé où ? Dis-moi que tu l'as sur toi, ou chez toi, Alban.
La voix ferme de Victor réveille chacune de mes cellules, tandis que je sens mon sang affluer le long de mon crâne. La chaleur imprègne mon visage, et je déteste cette sensation. En m'efforçant à rester sérieux, je pose mon regard dans celui de Victor, vitreux. Je me demande comment ils ont fait pour me coincer ; mais répondre à une question pour une autre n'est pas la meilleure des solutions. Je réfléchis, je respire. Bruyamment. Sans ménagement.
Je suis coincé.
Je dois avoir quelques billets qui traînent dans mes tiroirs, mais c'est loin de la somme qu'ils m'ont demandé. Putain de merde, je vais passer à la casserole.
— Je vais prendre ton silence comme une réponse négative, souffle la voix ferme de Victor. Je déteste qu'on me prenne pour un con, et tu le sais pourtant. Non seulement, j'ai réussi à retrouver ta petite chaudasse, mais pendant toutes ces années de merde, je t'ai aidé à survivre. On t'a aidé tout les trois. Mais nos services ne sont jamais gratuits, tu devrais le savoir.
Un silence s'installe, me glaçant le sang. Un moment, je crois qu'ils vont me laisser là. Mais brutalement Victor demande à Ulrich et Bob de me détacher. C'est ce qu'il font, me laissant tomber au sol comme un poids lourd. Je serre les dents, en sentant une douleur se faire sentir à mon épaule droite.
— Tu vas devoir payer tôt ou tard, Alban. Tu sais, je ne suis pas le plus méchant dans l'histoire. Je dirais même, que je suis peut-être le plus gentil, et que ma demande est très accessible, s'explique Victor.
Bob et Ulrich me ramassent à bout de bras, avant de me remettre sur pied. Par instinct, je pose directement ma main sur mon épaule, dont les muscles frétillent. J'arrive à tenir debout, mais ma vue se détériore au fur à mesure que j'essaie de marcher vers Victor. Je vois des milliers de petites étoiles se dessiner devant moi ; mon corps flotte aussi. Soudainement, je sens les effets de l'ecstasy remplir mes veines. Ces connards ont dû prendre mon verre, pendant que j'étais dans l'avion, pour y mettre la drogue. Ils étaient sûr de me coincer.
Mais, comment pouvaient-ils être dans l'avion avec moi ?
Je lève la tête vers eux, en colère, mais surtout dans un état second. Je tombe presque lorsque ma main essaie de s'accrocher au col de la chemise de Victor. Celui ci reste stoïque, en reniflant nerveusement, toujours un peu plus. Mon champ de vision se déforme pour laisser les murs s'étendre dans tout les sens.
— T'inquiète pas, on va bien s'amuser, me susurre Ulrich.
Alors que je tente d'envoyer valser mon poing de la figure de Victor, qui rigole maintenant à pleins poumons, mon bras se fait lourd. Je n'arrive plus à bouger mon bras, tellement il pèse sur moi.
— S'amuser comment ?
C'est à mon tour de rire comme un fou. Je ne ressens plus rien. Je ne suis plus moi-même. Brutalement, je sens mon coeur battre plus fort et plus vite, signe que dans moins de trente secondes, je serais sous l'effet direct de la drogue que mes amis voulaient me faire prendre. C'est exactement ce qu'ils le voulaient, si j'en crois leurs sourires grandioses, remplit de haine et de malice.
— Allez, on s'arrache les mecs ! s'écrit Victor, en me prenant par le bras.
La caisse de Bob est garée sur le trottoir, flambe en neuve. Mon esprit divague subitement, et je me demande ce que cela ferait si je cassais une à une ses vitres, pour ensuite m'attaquer au moteur, et terminer par le chauffeur lui-même. Un sourire satanique se dessine sur mon visage lorsque j'imagine le visage de ce bon vieux Bob, ensanglanté.
Ne voyant pas le haut du trottoir, je trébuche, pour me retrouver étalé sur la banquette arrière. Une chance que je sois tombé sur les sièges, au lieu de m'éclater la tête contre le sol. Après m'avoir vaguement attaché, Victor s'assoit à mes côtés, avant de passer son bras autour de mes épaules.
— T'as envie de baiser, hein mon gros étalon ?
Je pars dans un rire aigu, avant de secouer la tête et de me lécher les lèvres.
Baiser. Baiser. Baiser. Baiser. Baiser. Baiser. Baiser.
Lucie. Lucie. Lucie. Lucie. Lucie. Lucie. Lucie. Lucie.
Ces mots résonnent dans ma tête, et mon cerveau brûle, se consume. Je continue à rire, tout en léchant l'oreille de mon ami, avec impulsivité. Je suis en proie à une excitation sans nom. Je distingue mal les choses, et mon coeur cogne à travers les veines de mon cou, de ma tête et de mes tempes. Le monde s'écroule et j'aime ça.
Nous arrivons quelques minutes plus tard, devant une grande maison, où j'entends de la musique s'y éclipser. J'ai l'impression qu'il est minuit, et ça doit être le cas, parce que le ciel est noir dans mes yeux. On se soutient avec Victor, lorsqu'on arrive à l'intérieur de la maison. Bob et Ulrich nous suivent, mais ils disparaissent hâtivement, repérant quelques proies à chasser. Bientôt c'est au tour de Victor de s'arracher de mon étreinte, bougeant vers une jeune femme blonde, au cul bien rebondi.
Je passe entre les gens qui se trémoussent sur la musique. A chaque fois que ma peau touche celle d'une autre personne, chacune de mes cellules s'embrasent, et mes pupilles se dilatent. Les murs tournent autour moi, jusqu'à ce que mes yeux se posent sur celle que j'ai toujours aimé. Lucie est là devant moi. Je n'ai plus qu'a tendre le bras, et je la toucherai. J'ai une folle envie de lui enlever ses vêtements et de lui faire l'amour pendant des heures.
Sans réfléchir, je me précipite vers elle, et je l'embrasse avidement. Je l'entends gémir, et prendre les commandes, en posant brusquement sa main sur ma queue qui est en train de durcir, dans mon caleçon. Elle caresse mon érection à travers le tissu, et j'explose. Je l'attrape avec rapidité et brutalité, pour la faire monter les escaliers avec moi. Je l'envoie dans la première chambre que je trouve, avant de la faire glisser sur le lit. Avec précipitation, je lui arrache sa jupe et son haut. Son string noir et son soutien-gorge en dentelle, font dresser un peu plus ma queue, qui implose instantanément.
— Je t'aime Alban, souffle t-elle.
Mon coeur se fend. Je la regarde attentivement, une envie gigantesque arrachant chacune de mes respirations, avant de me pencher sur elle, laissant ma langue se frayer un chemin sur ses belles jambes. Elle dessine maintenant les contours de son string, m'empêchant d'inspirer normalement. J'entends Lucie commencer à me supplier de la baiser, mais je préfère prendre mon temps, même si mon pantalon commence à me faire mal.
Après lui avoir jeté un rapide coup d'oeil, je lui arrache presque son string, et je lèche, suce, grignote ses petites lèvres, avec avidité et brutalité. Je lui mords la chair, parsemé d'encre noir. Son tatouage en forme d'étoile lui va à ravir. L'excitation monte d'un cran, quand je scelle ma bouche à la sienne, et nos langues se mélangent avec rudesse. Lucie défait ma ceinture et ma braguette avec force, avant de baisser mon pantalon et mon caleçon. Je les fais glisser en m'aidant de mes genoux, avant de les balancer à terre.
Je lâche un grognement rauque, lorsque Lucie empoigne mon sexe dans sa petite main. Elle le fait glisser contre sa peau, tout en continuant de m'embrasser avec audace.
— Prends-moi, je t'en supplie.
Je mords son cou et aspire sa peau, pour lui en laisser un suçon.
— Je t'aime tellement.
Sa voix est douce et sans encombre. Son souffle haletant se répand dans mon cou et dans tout mon corps. Je ne peux pas lui résister une minute de plus. Je la pénètre doucement, avant de commencer de lents vas-et-vient. Mes sens explosent, s'agrandissent. Ses mains sont partout me rendant fou ; ses pieds viennent s'appuyer sur mes fesses, pour que je la pénètre plus profondément. Je sens mes yeux se perdre dans les siens.
J'accélère le rythme en voyant son corps et ses formes se mouver contre moi. Elle respire, elle gémit, elle transpire, et elle finit par jouir avec moi. En union, nos souffles se mélangent en un seul.
— Je t'aime Lucie, je murmure.
En donnant un dernier coup, je m'écroule sur l'autre côté du lit. Lucie dépose ses lèvres sur mes joues, avant de disparaître. Elle me souffle son retour, puis referme la porte derrière elle. Celle ci s'ouvre quelques minutes plus tard, laissant apparaître Victor qui rentre, une bouteille de vodka à la main. J'en bois une grande gorgée au goulot, remontant les draps sur mon corps. Au bout de quelques temps, je le pousse et lui demande de partir parce que Lucie va revenir. Bientôt. Il me rit au nez, avant de déguerpir.
Avant même que je puisse la voir rentrer et s'allonger à mes côtés, le sommeil m'emporte avec lui. J'ai des frissons et je tremble de tout mes muscles. La pièce devient noire, et je tombe.
•••••
J'ai la sensation d'avoir avalé une guêpe, qui continue à me marteler de coups dans la tête, comme si elle était encore vivante. Ou peut-être bien, que j'ai mangé un marteau-piqueur dans la gueule, et que je ne m'en rappelle pas. En tout cas, ma tête me fait un mal de chien. Mes jambes, quant à elles, sont clouées aux draps. Je n'arrive pas à me relever. Énervé, agressif, je grogne, en me frottant les yeux. Des tâches sombres apparaissent dans ma vision, qui n'empêche de bien voir.
Brutalement, mes muscles se mettent à trembler, accompagnés de quelques gouttes qui tombent sur mon front. Je transpire à grosses gouttes alors que je n'ai pas fait de sport, ni de cauchemars. Mes battements sont toujours aussi grands et rapides. Avec force, je me lève, pour tomber au sol. Mes yeux se posent sur des centaines de clichés, accrochés au plafond. Je plisse les yeux, pour voir qu'il s'agit de moi. Moi en train de baiser une fille. Une fille qui m'est inconnue. Une fille qui n'est pas Lucie.
Tout à coup, des flashs me reviennent en tête. Lucie me dit combien elle m'aime et je lui fais l'amour. Mais soudain le tatouage en forme d'étoile se reflète sur mes rétines, et j'envoie valser l'air d'un coup de pied dans le lit près de moi. Mes mains viennent se plaquer contre mon visage, et mes ongles se mettent à me griffer. Je deviens complètement fou.
Tout en criant le plus fort que je peux, pour extérioriser ma colère et ma douleur d'avoir été dupé et trahit ; mon regard sombre se pose sur une feuille posée sur le drap rouge qui surplombe le lit. Je me précipite, entendant mes muscles se déchirer. Il s'agit d'une énième photographie de moi et cette fille, quand je pénètre en elle. Je me hais. Je veux me tuer en voyant ce que j'ai fait à Lucie.
Subitement, une écriture attire mon attention. Je lis attentivement les mots qui ont été couché sur le papier pour moi.
— On veut l'argent dans quatre jours, sinon tu sautes...avec ces photos qui je suis sûr, feront plaisir à Lucie. —
Mon sang pulse dans mes veines. Sur le coup de l'impulsion, j'attrape la lampe de chevet sur la petite table pour l'envoyer dans un miroir au fond de la chambre. Je m'attaque ensuite à un meuble que je laisse lourdement tombé sur le sol. J'aime entendre le bruit du verre qui se brise. Mes yeux brillent de haine, ce qui me pousse à retourner toute la maison sans dessus-dessous. Mes mains saignent abondamment, mais il m'en faut plus.
Il m'en faut plus, parce que je suis foutu. Lucie va me détester, me fuir comme elle sait si bien le faire. Les larmes coulent d'elles-même sur mon visage, et brouillent ma vision. Maintenant, je n'ai plus qu'une chose à faire. Trouver de l'argent, et mettre Lucie en sécurité.
Je m'habille en vitesse, et déterminé, je sors de la maison. Du sang coule le long de mes mains, laissant des traces dans la rue. Le ciel est noir, et la rue est déserte. Je ne sais pas quelle heure il est, ni quel jour nous sommes. Les effets de la drogue ont agit sur ma mémoire. Soudain, je panique. Je me demande ce que fait Lucie, seul à Phoenix. Des visions d'elle et de ce Smith, m'apparaissent et me nouent le ventre.
Je bifurque à droite au bout de la rue, avant de me laisser traîner jusqu'à mon immeuble, qui par chance n'est pas très loin. Après avoir fait le code de sécurité, je monte les escaliers, en respirant fortement. Lorsque j'arrive devant ma porte, je fouille dans les poches de mon pantalon pour les retrouver vides, comme celles de ma veste. Je grogne en tapant du poing plusieurs fois sur ma porte. Personne ne vient à mon secours. Je suis seul.
Indéfiniment seul.
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Coucou à tous !! J'espère que vous allez bien ?
Ouah, je contente de voir que vous êtes nombreux à me soutenir et à soutenir cette histoire. Je vous remercie, parce que vos gestes me font un bien fou. C'est vraiment très très gentil de votre part. Je n'aurai jamais cru que FIGHT FOR US prendrait un si grand tournent ! Mais j'en suis très heureuse. N'oubliez pas, écrire c'est devenir libre. C'est grâce à vous que je continue. Enfin, j'espère que vous avez aimé. Le chapitre prochain sera consacré à la journée que Lucie et Smith passent tout les deux, et les choses vacillent un peu, vous allez voir. Du bon ou du mauvais côtés ? A vous d'imaginer.
PS : Je m'excuse pour ne pas avoir pris le temps de répondre à vos commentaire...Le Bac approche à grands pas...
Bonne fin de week-end !
Sarah.
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