Introduction
- Ey rouquine !!!
Je ne retournais pas et continué mon chemin, je savais bien que c'était moi qu'on appelait, mais j'en avais marre du five-girl un groupe de filles populaires, qui soi-disant, m'aimait bien...
- Et rouquinette attend !!!
J'accélérais le pas, mais elles finirent par me rattraper, Lydiana la fille la plus populaire du bahut ,grâce a son physique de rêve : cheveux long blond, des yeux bleu et une taille de mannequin. Posa sa main sur mon épaule et me retourna brusquement.
- Tu sais que tu es sourde comme une vieille peau, me crachat-elle au visage avec une voix qui voulait dire : la prochaine foi je t'en colle une, capiche !!! Bon là n'est pas la question, dit-elle avec une voix d'ange, avec les filles on c'est dit qu'on allait aller au cinoche, t'aurait pas style 40 euro à nous filer.
Je roulais les yeux.
- Désoler j'ai oubliée mon porte monnaie à la maison. Dis-je avec la tète qui allais avec.
Un éclaire de rage passa dans les yeux de Lydiana. Avec un ton a glacer le sang elle me lança :
- Et mocheté je crois que je me suis mal exprimé, Tu Me Donnes 40 Euro Tous De Suite.
Ses copines pouffaient discrètement. Quand à moi je restais limpide face à cette menace.
- Je N'Ai Pas D'Argent Sur Moi.
Elle leva la main et celle-ci s'abattie sur ma joue 5 fois d'affilé, je ramenais mes deux mains et les posaient délicatement sur mes joues, mes yeux se brouillèrent mais j'arriva à les retenir, j'avais l'habitude avec mon père après tout
- Fouillez son sac !!! Cria Lydiana.
Deux des filles s'exécutèrent. Lydiana me regarda et fut surprise de ne pas me voire pleurer mais seulement regarder par terre.
- Elle dit vrai Lydia elle n' a pas d'argent sur elle.
Elle me releva la tète me dos une autre gifle espérant me voire pleurer, mais dommage pour elle aucune larmes
- Demain je veux 400 euro ou sinon, elle colla sa joue contre la mienne et murmura de telle façon que personne ne puisse entendre ce quelle avait à dire. Sinon je ferais en sorte qu'un garçon te viole et t'enferme chez lui.
Elle partie suivi de sa troupe. c'est à se moment où je vis que la moitié du collège me dévisagé.
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