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 - C'est moi. Dit-je en rentrant dans la cuisine.

 - Bonjour Zalda. Me dit ma mère. Ta sœur, ton père et moi nous allons au restaurant. tu resteras toute seule se soir . Puis elle partie vers le salon.

 Moi je n'étais jamais rentrais dans un restaurant, jamais. Je n'avais jamais mis les pieds dans un cinéma, dans un parc d'attraction, une bibliothèque,...sauf dans la maison, l'école et les magasin de vêtements et de chaussures ce qui était rare et quand ils emmenaient Zita quelque part mamie venait me garder mais elle ne s'occupe plus de moi depuis mes 9 ans elle est tombée dans le coma puis est morte... Elle était la seule à éprouver de l'amour pour moi. Certes j'ai des amis, deux, Ami une japonaise qui est repartie au japon il y à deux mois, on se téléphone de moins en moins souvent et Simon mon petit cousin de 5 ans il est adorable.

 - Tien salut mocheté ca va. Dit Zita.

 Zita a les cheveux blond comme notre mère et yeux bleu comme papa, quand à moi rousse à croire que c'est le mélange du blond de maman et du brun de papa et les yeux vert sans doute aussi un mélange de maman brun et de papa bleu. A croire que je viens pas de cette famille.

 J'avais bien compris que ce n'était pas une question elle voulait juste me dire quand je répondrais : tu sais ce n'est pas une question ce que tu est débile. Voyant que je ne répondais pas elle s'assit et me dit.

 - Ce soir je vais au restaurant avec pa et mam.

 - je sais, dis je. Maman me l'a dit, ne t'inquiète pas il n'y aura ni inondation, ni incendie.

 - Ha ha, rigola-t-elle avec un faux rire. Très drôle.

- Ce n'est pas sensé l'être.

Elle rougis de honte devant ma tète sérieuse.

***

 Ils venaient tous juste de partir, ils ne rentreraient pas avent minuit. Je montais les escaliers et me dirigeaient vers ma chambre.

 Je m'arrêter net devant la salle de bain, la porte été ouverte et je pouvais distinguer mon reflet dans le miroir.

 Cheveux longs et roux, yeux vert même très vert foncé, je n'avais aucune tache de rousseur, je mesuré 1m65 et j'allais encore grandir, j'étais fine et pesait 48 kilos. Suis-je vraiment si moche que a ?

 D'un coup j'eu plaint de flashback des flashback du passé. Je m'écroulais par terre. Je venais de me rendre compte que j'avais été mal traiter par mes parents, toute ces claques, les jours où on m'enfermait durant un jour entier, les jours où on me battait avec un fouée tous ca parce que j'avais soi eu une mauvaise note ou que j'avais cassée quelque chose sans faire exprès et ma sœur elle on ne lui avait jamais fait ça même si elle cassait des choses et si elle avait des mauvaises notes ils lui disaient : "c'est pas grave tu feras mieux la prochaine fois" et moi et moi...et puis au  collège je mange toujours seule depuis que Ami est parti, les autres élèves qui me dévisage à cause des fausses rumeurs, l'argent que je doit donner chaque jour au five-girl, les claques et les avertissement si je ne ramène pas l'argents.

 Je relevais ma manche et regardais les marques laisser par mon père d'il y a 3 jours.

 - Ce que je vie n'est pas une vie, ce n'est pas une vie. murmurais-je avec la voix qui craqua à la fin.

 J'en avais mare, dès que mes parents et ma sœur partaient je montais dans ma chambre et pleurais mais la j'en est mare, il y a bien une chose que j'ai pensée faire et je me suis dit pourquoi pas, on en avait parlé un jour au collège, c'est ce qu'arrivé au élève persécuté ou harcelé. Il était temps pour moi de faire comme eux, s'en est assez.

 Je bondie sur mes pieds et plongea ma main dans le tiroir où été rangé ces médocs. Je sortie des pilules je ne pris pas le temps de lire ce qui était écrit j'ouvrais la boite et avalé tous ce que la boite contenait. 

 Je m'écroulais par terre.

 Ouvrer les yeux autant que je pouvais.

 Puis d'un coup le noir le noir éternel.


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