Pdv de Jack

On me jette dans une pièce où Hoodie m'attache les mains a une chaîne elle-même attachée au plafond. Puis il repartit en me disant de manière presque compatissante:

- Ce qui va t'arriver... Je ne le souhaite pas à mon pire ennemi...

- Et qu'est ce qui va m'arriver ?

- Tu as mis Masky très très en colère... il va se servir de toi comme d'un punching Ball.

- Okiiiiiiii !!! Je suis prêt ! Dit lui de se ramener !

- Tu ne devrait pas faire le malin... il est vraiment sans pitié. Même à moi il me fait peur quelque fois.

- Je n'ai plus rien à perdre... Jeff est en sécurité...

- Si tu le dis... adieu Laughing Jack.

Nous sommes interrompus par Masky qui arrive avec un sac de sport visiblement lourd.

- Qu'est ce que tu fais Hood' ?

- Je parle avec le prisonnier.

- T'en ai-je donné l'autorisation ?

- Excuse moi.

- Tu as de la chance que j'ai de quoi me défouler...

Je lance en riant.

- Hé Hoodie ! Quand il aura fini ramène moi un cachet d'aspirine ! Je vais vite en avoir marre de ses discours a la con !

Il me sembla entrevoire un petit sourire sous son masque si j'en juge par le mouvement des tissus. Il part en me laissant seul avec le Proxy.

- Alors Mas-kun par quoi on commence ?

- Ferme ta putain de gueule.

- Tu me prend pour qui ? J'ai pas d'ordres à recevoir d'un chien ! Aboie un peu pour voire ! Ouaf ! Ouaf !

Il me décrocha un coup de poing dans le ventre qui me fit serrer les dents.

- Je pense que t'as pas bien saisi le clown... j'ai champ libre tant que je ne te tue pas.

- M'en fous... dis-je les dents serrées.

- Serre les dents...

Il me donna un coup de pied plus puissant que le précédent suivi d'une dizaine d'autres plus fort les uns que les autres. Je me retient de crier pour qu'il n'ai pas le plaisir de me voire souffrir.

Il donne des coups toujours plus forts en visant mes organes vitaux. Je finis par vomir tout ce que j'avais dans le ventre sur le sol froid.

- Dégueulasse... comme toi. Regarde, tu as taché mes chaussures... et le sol est tout sale...

Il tira sur un levier pour faire descendre mes chaînes pour faire en sorte de pouvoir m'allonger sur le sol.

- Je vais me servir de toi comme d'une serpillière...

- Tu devrais plutôt te servir de ta langue petit chien. Wouf ! Wouf !

Il me donna un coup dans le crâne pour me mettre le visage dans le vomi. Il donne des coups dans tout les sens pour que mon visage essuie le sol.

Il saisi mes cheveux pour me faire redresser la tête. Il me présenta sa chaussure.

- Tu veux abréger les choses ? Lèche.

Je baisse les yeux et crache sur ses chaussures.

- Va crever. Jamais je lècherai tes pompes. Va demander à tes collègues, ils sont tellement lèche- cul qu'ils le feront avec plaisir.

- Tu es coriace... mais je peux t'assurer que d'ici trois jours tu me suppliera de lécher mes bottes.

- Plutôt crever.

- Ça peut se faire.

Il remonta mes chaînes et alla fouiller dans son sac. Il en sortit un pied de biche apparemment neuf, il a du l'acheter pour l'occasion. Il donna un coup dans une des barres de métal de la porte. Celle-ci se déforma nettement.

Je déglutis si le Dieu pour lequel se battent les humains existe qu'il me vienne en aide !

- Supplie moi de t'épargner.

- Épargne moi plutôt tes discours et frappe fort.

Il ne dit plus rien et me donna un coup dans le genoux. Je ne pus retenir un cris de douleur, mon genoux est cassé... ou plutôt tordu. Et ça ne lui suffit pas apparemment. Il retourne dans son sac pour en tirer un marteau.

Et merde...

Il me donne un coup dans le même genoux. Je hurle de douleur. Cette fois il m'a brisé la rotule.

- J'ai lu dans ton dossier que toi et Jason êtes les seuls de votre petit groupe a pouvoir vous régénérer à condition qu'on vous en laisse le temps. Jason n'en a pas eu le temps c'est pour cela qu'il est mort. Sally a détruit tout ses organes vitaux avant qu'il ne puisse se régénérer. Si je te laisse la nuit tu sera entier demain !

- Hélas...

- Tant mieux... on va jouer encore un peu.

- On a pas le même sens du mot "jouer"... tu veux pas faire une partie de jeu de l'oie plutôt ? Ou un cache-cache ? Une partie de 1,2,3 soleil même ?

- Je préfère jouer avec une piñata.

- Et je suppose que la piñata c'est moi...?

- Tout à fait !

Il me donna un coup de de marteau dans les côtes, je sentis celles-ci se briser comme des allumettes. Je hurle en sentant mes os appuyer sur mes organes tant le coup les a enfoncés.

Il alla derrière moi pour s'acharner sur ma colonne vertébrale et la réduit en miette en moins de cinq minutes. Puis il arrêta. Il posa son marteau et me regarda.

- Alors ? Demain ce sera encore pire...

- ... J'ai hâte d'être à demain...

- Je vais tellement te refaire le portrait que même Jeff ne te reconnaîtra plus.

- Crois moi si j'arrive à le baiser a nouveau il ne pourras que me reconnaître !

Il me donne un coup de poing en plein visage en me cassant deux dents.

- Tsssk... pitoyable clown... Je vais te laisser deux heures pour te régénérer. Ça devrait être suffisant, puis j'irais te raccompagner dans ta cellule.

- C'est pas ici ma cellule ?

- Nan. Ici c'est ma salle de jeux.

- Oh ? Cinquante nuances de Masky ?

- Tu regarde des films humains maintenant ?

- Je l'ai regardé avec le cirque. Les filles ont pleuré et les mecs ont bandé ! Ha ha ha !

- Très drôle... en ce qui me concerne mon film préféré est... voyons... Saw particulièrement le six et le trois.

- Cool, il faudra que je le regarde... sinon tu as vu "Ça" ?

- Ouais. Et franchement c'était de la merde. Mais n 'essaye pas de changer de sujet. Tu n'es pas le clown de Ça et je ne suis pas Jigsaw.

- Tu as raison, je suis bien mieux que ça. Et toi tu n'es qu'un tortionnaire de pacotille.

- Très drôle. On verra qui rira le dernier.

Il partit en me laissant seul. Je mis deux heures à me régénérer entièrement. Il revint deux heures et demi après. Il me détacha et me poussa jusqu'à ma cellule. Il me jeta dedans comme un vulgaire sac.

- Au fait, tu as un camarade de cellule. Vous vous connaissez déjà alors bonne nuit à vous.

- Bonne nuit a toi aussi ! Tu va dormir dans une niche ?

Pas de réponse.

Je remarque que le fond de la pièce est plongé dans le noir.

- Hé ? Tu as peur de moi ? J'vais pas te manger tu sais...

- Oh non... mais toi tu as peur de moi...

Offender sortit de l'ombre.

- Coucou mon petit Jack~

Vous connaissez la définition d'être dans la merde ?