Chapitre quatorze: Attraction


Ce chapitre comprend de scène pouvant heurté la sensibilité, vous êtes prévenu.

Enfin de compte j'ai réussi à m'endormir, non sans mal mais j'y suis parvenu.
Je suis réveil par le bruit d'une sirène de pompiers qui passe dans la rue. C'est alors que je réalise qu'une masse m'écrase le torse, les souvenirs embrumé de la veille me reviennent progressivement en tête. Et lorsque mon cerveau réalise enfin que c'est Lou, les premiers signaux de détresse apparaissent. Déjà qu'en temps normal je me réveil avec la goal mais avec une fille sur moi c'est inévitable. Je vous laisse imaginer ma gène si jamais elle s'en rendait compte en se réveillant. Elle doit sentir mon inquiétude et ma panique, car elle émet un petit gémissement et sa main posée sur mon torse se referme en me griffant légèrement au passage, ce qui me fait frissonner. Elle cherche a enfuir d'avantage sa tête dans mon torse et tout en gardant les yeux fermés descend sa main sur le long de mes côtes et remonte sa jambe, incroyablement douce, le long de la mienne.

-Pourquoi tu gesticule autant? Me demande t-elle à moitié endormi.

-Je t'ai réveillé? Désolé.

-Ce n'est pas grave, mais arrête de bouger s'il te plait. Murmure Lou d'une voix douce dont je n'ai pas l'habitude. Ferme les yeux et rendors toi, il est encore super tôt je suis sûr. Ajoute t-elle en cherchant la position idéal de sa tête sur mon torse.

-Hum... Acquisais-je en posant ma main dans ses cheveux et en les caressant.

-Ça fait du bien. Susurre t-elle satisfaite.

C'est tellement naturel, comme un vieux couple qui ce réveil doucement le week-end. Les faible rayons du soleil se faufilent timidement à travers les petites fentes de mes volées, ce qui donne des couleurs chaudes à la chambre. Tout est paisible et la respiration régulière de Lou endormi dans mes bras instaure un climat de confiance et de bienveillance. Une vague de bien être m'envahit, j'aimerais que ce moment dure éternellement. Je me délecte de cette atmosphère lorsque Lou fait volte-face et me regarde droit dans le yeux. Elle ne dit rien et me dévisage durant quelques minutes, je laisse le silence planer et la défi du regard. Ses yeux sont si tendre, la dernière fois que je l'ai vu avec ce genre d'expression s'était avec Cassandre sur le chemin pour la fête d'halloween. Ma main jusqu'à lors dans ses cheveux retombe sur son épaule. Lou se hisse légèrement et vient croiser ses bras sur mon torse pour poser son menton sur ses main, en prenant bien soin de me pas lâcher mon regard. À quoi pense t-elle?

Je m'avoue vaincu et baisse mes yeux sur ma main qui s'amusent à dessiner, doucement et du bout des doigts, des cercle sur son épaule dénudée.

-Tu n'arrive pas à te rendormir ? Demande Lou d'une voix rauque encore endormi.

-Non. Répondis-je simplement en continuant de faire le tour de ses bleus avec mes doigts.

Ses jambes sont toujours prisonnière des miennes ce qui ne semble pas la déranger, elle s'appuie alors sur son avant bras et de l'autre main elle relève délicatement les mèches rebelles qui me tombe devant les yeux. Ce geste est tellement gracieux et inattendu que je me sens rougir. Ses yeux verts me regarde toujours intensément au travers de ses long cils noir.

-Merci, pour hier. Chuchote Lou.

-Je n'ai rien fait, c'est mon frère qui t'a soigné. Avouais-je avec une pointe de regret. Comment te sens-tu ce matin? 

Elle ne répond pas et quand mon regard croise le sien, elle se cache en posant de nouveau sa tête au niveau de mon cœur.

-Tu ne pourra pas te cacher indéfiniment. Qui t'as fait ça Lou?

Je sais qu'en disant ça, c'est la fin de ce moment délectable entre elle et moi, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai besoin de savoir.

-Je n'ai pas envie d'en parler, du moins pas tout de suite, pourquoi ne peut-on pas rester juste comme ça, lover l'un contre l'autre? Me questionne Lou avec tristesse.

-Lou. Soupirais-je en serrant mes bras autour d'elle.

-Cette proximité ne te rends pas indifférent, en vu de ce que je sens contre ma hanche.

-Comment veux tu que je le sois, tu semble oublier que je suis un homme et que comme la plupart d'entre eux j'ai des désirs. Annonçais-je vexé.

Elle relève alors soudainement la tête vers moi et me sourit avec contentement.

-Devrais-je te rendre la monnaie de ta pièce pour la dernière fois. Jubile ma petite brune en m'enjambant et se redressent à quatre pattes au dessus de moi.

Elle tend sa main au dessus de ma tête et avant que je n'ai le temps de la tourner , elle affiche un sourire satisfait.

-Bingo, vous les hommes êtes tellement prévisible. Affirme Lou en brandissant fièrement des préservatifs.

-Heu... Attends Lou, je... Paniquais-je.

-Laisse. Murmure Lou en embrassant mon cou. Toi. Ajoute t-elle en entament une descente vers ma clavicule. Faire. Finit ma petit brune en me lançant un regard de triomphe au niveau de mon sternum. "

Le désire pris le contrôle de mon corps et je laisse Lou prendre possession de mon intimité en libérant mon érection de sa prison de tissus. Un grognement de soulagement m'échappe, je sens alors que les doigts de Lou viennent encercler mon penis et soudain, à mon plus grand étonnement une paroi humide et chaude viens se resserrer sur celui-ci en commençant des mouvements de va et vient. C'est tellement bon, j'ai chaud, à telle point que j'ai du mal à respiré. Lou utilise sa langue avec brio, c'est comme si elle lisait en moi et qu'elle savait exactement ce que je désir et ce qu'il faut faire pour me faire atteindre l'orgasme. Au moment où je sens que je vais jouir, j'attrape ses cheveux avec férocité pour la faire remonter mais elle résiste et ce fut l'apogée. Ma main toujours dans ses cheveux la sens relever la tête et retiré ses main de mon intimité. Je n'ai plus de force, Lou m'a totalement vidé de toute énergie.
Les yeux verts de ma petite brune refont surface de dessous le couette et ses lèvres affiche un sourire radieux auquel je répond niaisement.

-On est quitte maintenant. Me chuchote t-elle à l'oreille de façon sensuelle.

-Qu'est-ce que c'est sensée vouloir dire? Est-ce que maintenant que tu quitte la fac on ne se reverra plus?

-Ne fait pas ça, s'il te plait. Me demande Lou avec agencement.

Ce ton me prend de court et je me redresse en m'appuyant le dos contre ma tête de lit. Lou se redresse également et s'assoit en indienne sur mes jambes en me dévisageant tristement.

-Que je ne fasse pas quoi? M'énervais-je. Tu me fais tout un discours sûr le fait que tu voudrais apprendre à me connaître pour ta sœur et là, j'apprends que tu quitte l'université. Et en plus de ça quand je viens te dire bonjours, tu manques de me casser le bras. Des larmes de colère menace de couler. Tu as aidé mon frère ,peu importe les raisons, tu l'as fait. Et tu me reproches de vouloir en apprendre plus sur toi !

Elle baisse la tête et semble réfléchir.

-Qu'est-ce que tu veux savoir ? Lâche t-elle en relevant la tête.

-Qui, qui t'a fait ses bleus ? Dis-je d'un ton sévère.

Cette question l'a fait grimacer et elle prend une grande inspiration avant de répondre .

-C'est de la faute de mon père.

Et là, la phrase de mon frère me revint. "Je ressemble beaucoup trop à celui qui lui a fait ça". En quoi Mika ressemble t-il au père de Lou?

-Pourquoi Mika m'a dit qu'il ressemblais à ton père? C'est parce qu'ils se battent tous les deux? Demandais-je incrédule.

-Il t'a dit ça? Non, ça n'a rien à voir. S'attriste ma petite brune. Comment Mika peut-il penser une chose pareil ! Ils n'ont rien à voir.

-C'est parce que tu tremblait quand il te touchait pour te consoler hier durant tes cauchemars.

-Oh non! C'est ...Il ne faut pas qu'il pense ça. S'affole Lou.

La voyant dans un telle état de panique je la rapproche de moi et la serre dans mes bras pour la calmer.

-Lâche moi.

-Calme toi, tout va bien, ok? Tout va bien. Il ne t'en veux pas pour ça, j'en suis certain.

Je pris sa tête entre mes mains et la force à me regarder, ses yeux brillent et son regard me fend le cœur. Elle ferme ses yeux et essaye de reprendre une respiration régulière, elle pose alors sa main sur la mienne, la retire doucement en la maintenant comme un trésor. Elle y dépose alors ses lèvre sur le dos et la serre fort contre elle en tentant de reprendre ses esprits. Depuis quand avait-elle des crises de panique comme celle-ci? Elle paraît tellement forte, qu'il m'était impossible de l'imaginer dans de tels états. J'avais envie de l'embrasser, de la serrer d'avantage contre moi, de lui dire que tout irai bien. Mais elle est comme un loup que l'on ne peut apprivoisé et je crains sa réaction.

-Tu es quelqu'un de bien Dimitri, je l'ai tout de suite vu. Mais n'essaye pas de me changer! J'espère effectivement quitté cette université mais seulement parce qu'on m'a fait une proposition ailleurs, c'est une décision que je ne dois pas prendre à la légère. Et pourquoi ne plus me voir te dérange ? C'est mieux pour tout le monde, non? Et puis on se verra quand je viendrais voir ton frère même si ça ne sera pas aussi souvent.

-Je n'essaye pas de te ... Je ne finis pas ma phrase et repense à la discutions que j'ai eu avec Loïc devant le lycée.

-Qu'y a t-il ? Tu as l'air bizarre.

-Je viens de repenser à quelque chose. Loïc m'a également dit que j'essayais de te changer. Mais en réalité ce n'est pas ça. Quelques chose chez toi m'intrigue. Comment, alors que le simple fait d'imaginer que mon frère se sente mal à cause de toi, te fait avoir une sorte de crise d'angoisse, tu arrives à refuse tous sentiments extérieur?Demandais-je en passant une mèche de cheveux dernière ses oreilles. 

Son corps répond à mon geste en frissonnant, c'est clair qu'il y a une certaine attraction entre elle et moi. J'ai envie de la toucher et de la sentir contre moi, à tel point que je bande de nouveau alors que ce n'est pas du tout le moment.

-Tu ignore beaucoup trop de chose à mon sujet pour que je puisse répondre à ta question. Mais tu n'as pas tort, je suis comme ça. Il y a certain mot qui, à mon oreille, sonne comme la pire des insultes. Les relation humaine en tout genre ne sont pas mon truc. Et j'avoue ne pas n'y intéressé plus que ça. L'amitié est la seule chose que je peux réellement offrir et encore je ne comprend pas toujours comment ça fonctionne. Ce n'est pas que je les refuse, c'est que je ne les comprend pas et ne sais pas comment les accueillir. M'explique t-elle en toute sincérité. Cela m'épuise et honnêtement j'ai besoin de mes force pour bien d'autres choses. Ajoute t-elle d'une voix remplie de détresse, en appuyant son front contre mon épaule.

-Et moi , que suis-je pour toi? Un jouet, un ami , le frère d'un ami...

-Je n'en sais rien pourquoi mettre des étiquettes?

-Tu n'en sais rien! Mais qu'est-ce que tu ressens là maintenant ? Tu es dans les bras d'un homme que tu connais à peine, et qui t'accuse d'avoir un cœur de pierre. Tu dois forcément ressentir quelques chose? Dis-je en l'écartant légèrement .

-J'ai un cœur de pierre. Se répète ma petite brune comme si elle venait d'apprendre que le père Noël n'existait pas. 

Deux larme se mettent a couler sur les joues de Lou, et je me sens terriblement mal. Je la trouve magnifique à ce moment précis. Elle passe sa main sur sa joue et le contact de sa peau avec l'eau lui procure un hoquet de surprise. À croire qu'elle n'a jamais pleuré de sa vie.

-Je suis désolé Dimitri, je devrais partir. S'excuse t-elle avant de tenter de sortir du lit.

-Non, Lou reste s'il te plaît. La suppliais-je en lui tenant la main.

Je l'attire doucement vers moi et quand ses yeux encore brillant se posent sur moi je fond total. Je l'approche jusqu'à que je sente sa poitrine contre la mienne, elle est dressé sur ses genoux au dessus de moi. Mais j'attrape sa chevelure et d'un mouvement vif, je réduit à néant l'espace qui nous séparent. Ses lèvres sont tellement douces, elle se laisse totalement abandonner et emporté par la vague de désir qui nous submerge. Rien à voir avec les premiers baisés que l'on a partager, celui-ci et chargé de tendresse et de douceur, je la serre fort conte mon torse et sens ses côtes contre mon avant bras qui les encercle. Ses mains sont nichées l'une dans mes cheveux et l'autre dans mon cou. Il n'y a plus que elle et moi, nos lèvres se détachent, mais ce n'est pas fini et nous le savons tous les deux. Mes doigts parcours son dos comme des explorateurs en terrain inconnu, puis sans crier gare je fait passer son teeshirt par-dessus sa tête, elle ne montre aucune résistance. J'admire avec haine le travaille de son père et comme pour effacer son œuvre je dépose une multitude de petits baissés sur les surfaces bleuâtre qui ornent sa clavicule et ses côtes. Un gémissement lui échappe et en remontant je rencontre la marque presque effacé que je lui ai fait quelques jours auparavant, ce qui me fait sourire.
Ses sous-vêtements sont la seule barrière qui nous sépare de l'état primitif. Ma tête est logé entre ses seins appuyé contre son sternum et des grognements d'insatisfaction viennent percuté sa peau. Elle m'enlace fort de ses bras menu et dépose un chaste baissé sur le sommet de mon crâne. Nous sommes toujours assis l'un sur l'autre, je pose mes mains sur ses fesses et les approches délicatement de mon érection. Elle lit en moi et avec de petit mouvement de bassin se frotte allègrement contre elle. Si seulement elle n'avait pas ses sous-vêtements! Nos respirations s'accélèrent en harmonie, Lou me tendent alors l'un de préservatifs de toute à l'heure, c'est le signal, elle accepte que je la prenne, que l'espace d'un instant elle soit mienne. Elle se soulève légèrement pour que je puisse nous protéger, de mes mains je fais glissé légèrement sa culotte le long de ses cuisses. Et dans un position entre le cheval à bascule et la fleur de lotus, je la fais redescend le long de ma verge. Je ne sais même pas comment vous décrire cette sensation, on est serré l'un contre l'autre dans les bras de chacun, moi en elle, elle vient donner des petit coup de bassin laissant échappe des petits gémissements de plaisir. Je n'avais jamais envisagé que faire l'amour avec quelqu'un puisse être aussi tendre, elle parsème mon cou de petit baissé et je sens venir en moi la jouissance. Au bout de plusieurs minutes de plaisir intense je ressens, dans un dernier coup de bassin, les parois chaude de son vagin tremblé et se resserrer autour de mon intimité, ce qui me fait atteindre l'extase aussitôt. Quant a elle, elle a étouffé son orgasme en me griffant le dos et me mordant l'épaule.

Nous l'avions atteint en même temps.

Nda:

Je viens vers vous pour savoir ce que vous pensé de ce chapitre :)

Et j'aimerais savoir si vous vouliez que je fasse un chapitre du point de vue de d'autre personnage ?

Voilà voilà j'attend vos impressions avec impatience ;)

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