Chapitre douze: Dérapage
Mon meilleur ami baisse la tête, un peu gêné ne sachant pas quoi dire.
-Je ne m'en serais jamais douté, que ce soit pour ton frère et même pour Lou. Tu sais, elle à beau être ma sœur par alliance, à la maison elle est un réel tabou. Mais ça ne me surprend pas qu'elle est aidé ton frère c'est dans sa nature même si elle le nie fortement.
-Elle a toujours été méfiante et mature comme ça ?
-D'une certaine façon, mais ces côtés de sa personnalité sont ressorti de façon exagérer après la séparation de ses parents. Que t'a t-elle dit d'autres?
-Rien, elle est partie. Mentais-je.
Quelques jours se sont écoulés et j'ai enfin eu le courage d'en parlé avec Loïc, mais je ne suis pas allé jusqu'à la discussion dans l'atelier. Nous nous apprêtions à aller manger lorsqu'une grosse masse vient s'effondrer sur mon dos.
-Salut, les garçons ça va ? Nous demande Laura en m'embrassant sur la joue, elle ne tarde pas à être rejoins par ses amies. Ça vous dit d'aller manger une pizza avec nous?
Depuis la fête Halloween, les filles ont pris l'habitude de manger avec nous le midi. La question c'est toujours de savoir quoi.Laura me supplie du regard mais le miens est déjà capté par quelqu'un d'autre et sans même réfléchir je me précipite vers elle. J'entends les plaintes et l'incompréhension du petit groupe derrière moi, mais je n'y fait pas attention.
-Lou, attend. L'interpellais-je.
Elle regard dans ma direction me sourit mais le baisse directement lorsqu'elle pose ses yeux sur les trois filles et le garçon qui lui accordent leurs regards méfiant. Une fois à sont niveau Lou regarde toujours intensément Loïc dans les yeux.
-Comment vas-tu? Dit moi ça de dirait de venir manger avec nous?
-Tu es sérieux? Dimitri, je ne crois pas que Loïc est très envie que je me joigne à vous. Et je connais à peine ces trois filles. Mais c'est adorable de ta part.
Contrairement à d'habitude elle garde une certaine distance, ce qui me dérange un peu. Ces derniers jours Lou a souvent été à la maison. Mon frère n'a rien a voir quand il est avec elle, il est plus docile et souriant. Mika a même eu le courage de parler à mon père. Celui-ci nous à surpris en nous avouant qu'il était déjà au courant, ma mère n'ayant pas pus grader ce fardeaux pour elle. Mais mon père était réellement ému et fier du geste de mon frère.
-Dim, tu viens? Hurle Mélanie.
-Oui, j'arrive. Répondis-je sans quitté Lou des yeux. Tu...
-Tu devrais les rejoindre, ils vont s'impatienter. Me conseilles ma petite brune avec un large sourire qui sonne faux.
-Oui, j'y vais. On se voit plus tard !
Elle acquiesce d'un mouvement de tête ,mais son dernier regarde n'est pas pour moi mais pour Loïc.
Nous sommes allé manger une pizza tout les cinq mais comme à chaque fois c'est comme si j'étais absent de mon corps, lorsqu'une question de Laura me fait revenir soudainement parmi eux.
-Depuis quand es-tu proche de Lou ?Elle sort avec ton frère ?
-On est pas réellement proche à vrai dire, je suis son tatoueur. Non, ils sont juste amis. Pourquoi?
-Elle est tatoué? Je n'avais pas remarqué, pourtant je suisse labo de chimie organique avec elle. Elle doit certainement les cacher. Personnellement, son côté petite fille parfaite n'agace. Mais elle est sympa, elle m'a aidé plusieurs fois quand j'étais au fond du trou en chimie l'année dernière. Intervient Britanie. Et j'ai l'impression qu'elle sait être à l'écoute.
-C'est vrai qu'elle a ça en elle, elle dégage une aura telle qu'on a l'impression qu'on peux tout lui dire. Rougis Laura en me regardant.
-C'est normal, c'est parce qu'elle s'en fou. Les rumeurs, les autres, tout ça lui passe totalement au-dessus. Alors du coup on se sens plus libre parce qu'on sais qu'elle n'ira pas tout raconter au monde entier. Ajoute Mélanie.
-Ouai, enfin il y a pas mal de ragots qui ont circulé sur "madame futur major de promotion" l'année dernière.
-Quel genre de rumeurs ? S'inquiète Loïc, visiblement pas au courant.
-Comme quoi, elle ne serait pas si parfaite que ça.
-C'est à dire ? Demandais-je en fronçant les sourcils.
-Il paraîtrait qu'elle traine avec des junkies et que sa mère l'aurait jeter dehors parce qu'elle était violante avec sa sœur. Et j'en passe, des choses, plus horrible les une que les autres.
-En même temps, elle n'a jamais nier. Enchéri Laura timidement.
-Elle n'aurais jamais fait ça, et si tu vous croyez ces rumeurs vous n'êtes que des idiotes. Envoie sèchement Loïc avant que je n'ai le temps de dire quoique ce soit.
-Qu'est-ce qui te prend tout d'un coup? Demande Mélanie surprise.
-C'est ma demi-sœur mais également la première femme que j'ai aimé. Alors je la connais mieux que personne. Dit-il en me regardant fermement. Je vous affirme qu'elle n'aurait jamais fait de mal à sa sœur, car c'est la personne la plus importante au monde à ses yeux.
Loïc se lève brusquement, laisse de l'argent sur la table et s'en va sans même nous regardé. Je fais de même et me lance à sa poursuite, en m'excusant auprès des filles. Une fois qu'il est dans mon visuel, je l'aperçois au téléphone.
-Il faut vraiment que l'on parle, Lou ?Ça ne peut plus continuer. Oui, d'accord j'arrive chez toi dans dix minutes.
Mon ami raccroche et entame une marche rapide, je ne le suis pas. À quoi bon, je lui ai caché des choses moi aussi, pourquoi n'en ferait-il pas autant, c'est en quelque sorte le karma.
Je reprends la route de la fac, rongé par la curiosité. Qu'est-ce qu'ils vont bien pouvoir se dire? Loïc a un comportement étrange depuis que je lui est dit que Lou à dormi avec mon frère. Serait-il jaloux ? Et moi, pourquoi ça me préoccupe autant ?
Je suis en cours sans vraiment y être. Mes pensées brumeuse me font mal au crâne. Le cours de philosophie va bientôt commencer et je ne vois pas Lou devant la salle, elle va certainement sécher les cours pour faire je ne sais quoi avec Loïc. L'heure me paraît interminable, j'essaye de prendre des notes pour une fois, en me disant que ça fera passer le cour plus vite.
- Alors, j'ai regardé les travaux de groupe que vous m'avez rendu, et comme je n'y attendais vous être quasiment tous resté dans votre zone de confort. Continuez comme ça et vous ne validerez jamais ma matière. Et j'aimerais voir Monsieur Blake et Mademoiselle White, après le cour. Annonce le professeur.
Tout les étudiants quitte l'amphithéâtre en trainant des pied avec un air dépiter. Je m'approche du bureau de Mr philo, inquiet de ce qu'il peut bien me vouloir. Et Lou qui n'est pas là.
"-Mademoiselle White a encore séché le cour, je suppose. Soupire le professeur.
-Vous vouliez me voir monsieur ?Demandais-je un peu perdu.
-Oui, je voulais vous féliciter par rapport à votre travail. Il est vraiment excellent. Vous êtes un duo inattendu. Ma meilleure élève, bien que souvent absente et mon élève du fond qui n'a jamais montré grand intérêt pour ma matière. Je vous ai même surpris à prendre des notes aujourd'hui. Faite attention monsieur Blake, l'amour rend fou et le sage n'est jamais fou. Je ne dis pas que vos efforts doivent s'arrêter, mais...
-Elle m'a simplement expliqué les choses différemment et a donné un sens plus ou moins scientifique à la réflexion que l'on peut avoir. Ça m'a ouvert les yeux et m'a permis de mettre au clair plusieurs choses. Le coupais-je.
-Je vois, j'en suis ravie. Alors continué comme ça. C'est également bien pour elle de vous avoir à ses côtés.
Je regarde monsieur philosophie surpris, en quoi ma présence à ses côtés et bénéfique, pour l'instant il n'y a qu'elle qui m'ai aidé.
- Ne me regardez pas comme ça, c'est juste que mes collègues et moi même, avons constaté que Lou ne fait que le strict minimum, Saviez-vous que son QI est largement au dessus de la moyenne mais au delà de ça manière de réfléchir est d'une logique implacable, direct et peu commune, ce qui fait qu'elle assimile très vite mais se confronte peu aux autres . Ce devoir est...
-Elle m'a avoué avoir lu ce livre plusieurs fois. Je ne pense pas qu'elle se contente du minimum, elle a juste d'autres priorités. Le coupais-je à nouveau. Je suis désolé mais je vais devoir y aller j'ai des obligations à tenir. Et merci pour votre soutien, j'en ferai part à Lou.
Je sort précipitent de l'établissement, j'ai l'impression d'étouffer. Pourquoi faut-il que tout me ramène à elle, il serait préférable que je prennes mes distances, c'est mieux pour tout le monde. Mais comment, elle viens demain pour se faire tatouer en plus. Comment pourais-je arrêté de penser à elle alors que je dois travailler sur le dessin qui va orné son bras à vie. Je me suis vraiment mis dans une mauvaise situation.
J'arrive au salon de tatouage pour travaillé sur ce fameux projet de cerveau et faire l'accueil si nécessaire. Le prochain clients de mon père est sagement assis à feuilleter les différents porte-folio. La fin de journée est tranquille j'ai pris un rendez-vous pour mon père et deux pour moi le mois prochain.
-Pa'?
-Oui?
-J'ai besoin de tes conseils ? Tu crois que je devrais ajouté du feuillage au niveau de la branche d'olivier? Demandais-je concentré.
-Non pas spécialement, mais peut être qu'ici tu devais ajouter de la profondeur. M'indique t-il.
Mon père et moi on s'est toujours bien entendu, que ce soit dans la vie, dans le travaille et même artistiquement. Et ce salon, ce que l'on en a fait, est un peu notre bulle à nous. La soirée ce termine dans la bonne humeur, son dernier client affiche un sourire radieux, ce qui nous rend d'autant plus heureux. Je ne sais pas si je pourrais faire ça toute ma vie mais pour l'instant ça me satisfait pleinement. C'est ma passion mais il y tellement d'autres domaines d'expression artistique à découvrir et la physique quantique a encore tant de mystère résoudre.
En rentrant, je croisse mon frère qui à l'air préoccupé. Mais je n'ose pas lui demandé pourquoi et monte directement me couché, c'était un journée bien trop épuisante. Mais au moment on je sens le sommeil venir, quelqu'un toc à ma porte. C'est Mika, il a l'une de ces têtes, on dirait un zombie.
-Reste pas dans l'encadrement de la porte viens. Lui dis-je.
-Désolé de te déranger, tu allais dormir ?
-Oui mais c'est pas grave, qu'est-ce qu'il y a ?
-Tu n'aurais pas vu Lou aujourd'hui, par hasard? Me demande t-il inquiet.
-Si, juste avant d'aller manger mais elle n'est pas venu en cours de philo, pourquoi ?
-Je sais pas, elle devait venir ce soir mais elle m'a appelé toute à l'heure en me disant qu'il fallait qu'elle prenne un peu de recul. Qu'elle serait toujours là pour moi mais que maintenant que ma famille me soutient elle pouvait lâcher du laisse.
-Elle à peu être raison. Dis-je sans trop réfléchir.
Et si son changement d'attitude était dû à Loïc ? Non, il n'aurait jamais nuit à mon frère.
-Mais qu'est-ce qui vous arrive à la fin ? Vous êtes bizarre tout les deux. À vous écouter, on dirait que je considère Lou comme une béquille sur laquelle m'appuyer. Mais avant tout, c'est mon amie, et tout ne tourne pas autour de problèmes, on peut très bien manger tous ensemble dans la joie et la bonne humeur en parlant de futilité !S'énerve mon frère. C'est à croire qu'elle ne connaît plus ce qu'est la oisiveté.
-Je suis sûr qu'elle ne pensait pas à mal.
-Le gros problème de Lou, c'est qu'elle ne connaît rien au relations humaine. Elle pense que les gens l'appel uniquement pour lui demandé de l'aide ou des conseils. Mais la question que je me pose, c'est ,elle, sûr qui se repose t-elle quand elle à des problèmes ou des pensées sombres ? Surtout maintenant qu'elle n'est plus avec Dylan. Mon frère à le regard dans le vide, se lève de mon lit et sort de ma chambre sans rien ajouter.
Le lendemain, la matinée est assez compliqué je suis encore totalement dans le col tard, hier soir après l'intervention de mon frère, j'ai finalement eu du mal à m'endormir. Résultats, deux heures de sommeil mouvementée et une tête à faire peur. Bizarrement Loïc a fait comme si de rien n'était à propos d'hier, et l'ambiance est assez pesante. Le reste de la journée n'est pas très différent, j'ai rattrapé mon sommeil en retard en physique et en biologie, mais j'avoue que le faire de savoir que je tatoue Lou en fin d'après-midi me stress un peu. Je ne suis même pas sûr qu'elle vienne.
Quand j'arrive au salon, mon père ne remarque même pas ma présence, il est bien trop occupé a rigoler avec Lou. Je me racle la gorge afin d'attirer leur attention.
-Te voilà, je vais vous laisser alors. Et bon courage pour la séance ma petite Lou. Fait mon père avant de quitté la pièce en me faisant en clin d'œil.
"Ma petite Lou " depuis quand sont-ils aussi familier? Mes yeux se posent sur Lou mais les siens sont rivés sur ses mains qu'elle triture.
-Tu viens ? Où veux-tu que je te tatoue devant la vitrine ?
-Heu... Non. Je... je te suis.Bégaye t-elle.
Toujours en prennent soin de ne pas me regarder elle se dirige dans la salle que je lui montres. Elle s'assoit sur la table, les jambes dans le vide, et les pupilles focalisé sur le sol.
-Lou, quelque chose ne va pas ? Tu es au courant que si tu veux voir les améliorations que j'ai apporté au dessin tu vas devoir me regarde, d'autant plus que je vais normalement te tatouer durant trois longue heure si ce n'est plus.
Elle lève la tête le regard fuyant, ses joues se sont empourpré.
-Tu l'as vraiment amélioré ? Me demande t-elle timidement. Il était déjà tellement...
-Jette un œil et tu verras, peut être que lui tu oseras le regardé.
Elle s'approche telle un chat apeuré, pour voir l'étendue de mon travail. Elle reste quelques secondes sans rien dire, soudain elle se tourne vers moi et me dévisage.
-Tu es incroyable, il est... Je n'ai même pas de mots pour le décrire. S'extasie Lou.
En même temps, je me suis réellement investi. Lou a un projet assez précis sans l'être vraiment. Elle souhaite que je lui réalise une manchette de six voir sept pièce représentant des parties de l'anatomie humaine. On a commencé par le coeur avec l'araignée, maintenant on enchaine avec un cerveau sous cloche en verre avec une branche d'olivier.
-J'en déduis qu'il te plait. Et si on s'y mettait, j'ai pas mal de travaille.
-Oui chef.
La séance se déroule dans le plus grand des calmes, seul le doux son de ma machine et un léger font musical nous accompagne. Elle est allongée sur le ventre pour que je puisses tatouer l'arrière de son bras. Je crois même qu'elle dort, sa respiration et régulière, ses yeux sont clos et ses long cils sont comme posé sur ses pommettes. Cela fait maintenant deux heures et demi que je travaille, et comme la dernière fois je constate que Lou est vraiment une personne idéale a tatouer, elle ne bouge pas, normal vu qu'elle s'est endormi en dix minutes, mais l'encre adhère parfaitement à sa peau. Elle fini par ouvrir doucement les yeux et ne cesse de me regarder. Tout à l'heure je me plaignais qu'elle ne le fasse pas me là ça me trouble trop, à chaque moment où j'essuie le surplus d'encre nos regards se croissent.
-On t'a déjà dit que tu es beau quand tu es concentré comme ça.
Je m'arrête net et la fixe les yeux écarquillés par la surprise de ses mots.
-Quoi? C'est vrai, tu fais plus homme. Tu dégages un telle assurance.
Je me sens rougir, et sans que je ne sache pourquoi cette remarque a fait accélérer mon rythme cardiaque. La demi heure qui suit j'ai un mal fou à me concentrer, je n'arrive pas a éviter son regard c'est comme si elle lisait en moi et que j'étais désarmé.
-Bon, ça devrait être bon pour aujourd'hui, je penses. Tu veux voir?
-Oui bien sûr !
Je l'a fait se lèver doucement puis elle se dirige vers le miroir en sautillant.
-Whoua ! Il... il est...
Elle se retourne brusquement et me saute dans les bras.
-Doucement, tu as failli nous faire tomber. Dis-je en plaisantant.
Sa tête est logé dans mon cou et elle m'enlace fort, elle est si petit.
-Merci, infiniment. Tu ne sais pas à quel point c'est important pour moi. Me murmure t-elle à l'oreille.
(Attention scènes pouvant choquer ou l'alerter autrui, Je suis responsable de ce que j'écris mais pas de se que vous lisez.)
Ces mots chargé de sincérité font frissonner mon corps remplie de désir.
Elle relâche son étreinte et relève légèrement la tête, l'espace d'un second qui m'a semblé être des heures, nos regards se sont heurté. Nous sommes ci proche, mes yeux ne se l'anguillesent pas des ses lèvres. Je sens mes bras se resserrer autour de sa taille, et sous le contrôle de mes pulsions sauvage je réduis notre espace vital à zéro.
Mes lèvres effleurent les siens, puis avec plus de brutalité j'en prends pleinement possession. À mon plus grand étonnement elle ne me repousse pas, et répond à mon baisé avec autant d'ardeur qu'une tigresse. L'une de mes mains vient ce loger dans ses cheveux et fini par les agrippé férocement. Je sens son corps contre le miens et ses main sur mon torse. Ce baisé fougueux me fait perdre la raison, et avant de réaliser quoique ce soit, je l'ai déjà poussé et fait tomber sur la table. Nos lèvre se sont lâchés mais les miennes se baladent le long de sa clavicule et parcours son cou. La respiration de Lou est saccadée et dans un soupire elle essaye tant bien que mal d'attirer mon attention.
-Dimitri, on ne devrait pas ... murmure t-elle avant de laisser échapper un petit gémissements.
Je m'arrête et toujours au-dessus d'elle, plonge mon regard dans le sien, mais que suis-je entrain de faire.
-Tu essaye de me demandé d'arrêter ? Mais ton expression et ton corps me dise tout le contraire. Alors que suis-je sensé faire? Parce que je ne supporterais pas que tu m'ignore ou que tu n'oses plus me regardé comme tout à l'heure! Si ça doit se reproduire dès que tu quittes cette salle alors laisse moi profiter de se moment encore un peu, laisse moi être l'homme avec de l'assurance que tu n'as pas quitté des yeux, laisse moi prendre soin de toi l'espace d'un instant ! M'énervais-je.
Ce corps et ses lèvres qui m'obsèdent sont enfin à porté de main, dans ma tête Lou est déjà entièrement nu et moi en elle. Mais jamais je ne ferais l'amour avec elle du moins pas ici et encore moins ce soir, je le sais et cela me rend fou. Car si je ne savais pas ce que Lou représente pour moi, maintenant c'est très clair. Je la désire! Pas comme on pourrait désirer tendrement un être aimé. Je veux qu'elle soit à moi, je la désire sexuellement et la seule pensée qu'elle soit avec un autre n'est insupportable. Mais je suis là, à quatre pattes sur elle, à m'imaginer des scénarios tous plus pervers les uns que les autres.
-Tu dit ça mais tu es bien trop gentil pour faire cela, à ton meilleur ami. Lache t-elle avec un air de défi.
-Malheureusement, tu te trompe, je ne suis pas si gentil que ça! Dis-je avant d'emprisonner ses lèvres avec les miennes"
J'entends à peine son gémissement de surpris, et lui mord énergiquement la lèvre inférieure pour demander l'accès à sa langue. Ses mains passe sous mon tee-shirts et viennent caresser mon dos. L'une des miennes fait de même et prend place en se glissant le long de ses côtes, jusqu'à atteindre l'un de ses seins sous son soutien gorge. Notre baisé s'approfondit et ma mains commence un massage tout en effleurant son téton avec l'indexe. En réponse à cette stimulation Lou frisonne et me lacère le dos, me fessant alors grogner tel un animal sauvage.
-Dim ? Vous avez bientôt fini, on va pas tardé à fermer. M'anonce mon père dernière la porte.
-Oui, ne t'en fais pas. Répondis-je en me redressant par réflexe et en posant ma main sur la bouche de Lou
Lou pouffe de rire sous ma main, et se redresse également. On entend les pas de mon père s'éloigner dans le salon et le temps que je reprenne mes esprits Lou est déjà debout.
-J'en ai pas fini. Lui chuchotais-je tout en serrant son dos contre moi et en asseyant son cou de petits baisés.
-Dimitri, ton père...
-Et loin. La coupais-je. Tu n'as cas pas gémir trop fort. Lui conseillais-je en glissement ma main le long de son bas ventre jusqu'à sa dentelle. C'est chaud, nous sommes dans le même état, mais je ne te laisserais pas partir sans avoir pris le temps de prendre soin de toi.
Lou tentes de se tournée vers moi pour m'embrasser et venir palpé mon équivalent. Mais je l'en empêche, la position actuelle est idéal, je suis derrière elle appuyé contre la table de tatouage. Ma main prendre le contrôle de son intimité par dessus ses sous-vêtements. Et mes doigts viennent masser circulairement cette zone sensible. Lou est totalement a ma merci, elle s'appuie d'avantage sur moi en posant basculant sa tête sur mon épaule. Je prends ça pour un signal, mes doigts enjambent sa lingerie et entre en contact avec son clitoris. Ils jouent avec jusqu'à ce que deux d'entre eux viennent se glisser en elle et commence une danse endiablée. Lou me laisse entendre de doux gémissements de plaisir, c'est délectable.
-Dimitri, non... susurre t-elle en pleine apogée de l'extase.
Au moment où je commence à sentir la paroi de son vagin se contracter, je plaque ma main juste à temps sur la bouche de Lou. Le son de son orgasme étouffer me fait frissonner. Ses jambes tremble et ne la porte plus. Je la retiens, la fait s'assoit sur la table et l'embrasse tendrement sur le front. Mon front et contre le sien et nous essayons de récupérer notre souffle.
-On devrait rejoindre ton père, non?
-Oui, on devrait. Mais j'ai oublié quelque chose. Affirmais-je.
Et avant qu'elle ne proteste je lui immobilise les épaules et viens lui sucer ardemment la peaux de la basse du cou.
-Maintenant, on peut y aller.
Lou me regarde choqué toute rougissante et la main posée sur ma marque. Le suçon que je viens de lui faire est énorme.
Mais qu'est-ce que j'ai faire, comment je vais expliqué ça à Loïc et mon frère? Est-ce réellement une bonne idée de leurs en parler? Moi qui voulait prendre mes distances, j'étais à mille lieux de me douter que ça finirait comme ça. Et comment tout ça va évoluer ?
Nda:
C'est un chapitre un peu long et contenant une scène un peu érotique, je n'ai vraiment pas l'habitude d'écrire ce genre de scène alors si vous de conseils je suis preneuse.
Avez-vous de pronostiques pour la suite ?
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