Le Cours Forrest du mardi 12 septembre 2017. Rubrique Fait divers.

À la Une, aujourd'hui :

Une partie de chasse pas comme les autres.

Ce lundi 11 septembre petit au matin, les habitants de Cours-la-forêt ignorent encore qu'un terrible drame a eu lieu tout près de chez eux.
Alors qu'une terrible dispute éclate au domicile de la famille Fauves le dimanche soir, personne ne se doute de son dénouement funeste.
À 2h21, le SAMU reçoit un appel d'urgence de madame Jeannette Fauves affirmant qu'elle vient de tuer son mari. Norman Fauves, âgé de soixante-cinq ans, est retrouvé mort dans son salon. Abattu de quatre balles dans le dos, il aurait succombé à ses blessures en quelques minutes.
À l'aube, la gendarmerie emmenait madame Fauves, qui a reconnu son acte, pour l'interroger.
C'est maintenant Sabine Fauves, la fille aînée du couple, qui crie à l'innocence de sa mère et avoue le meurtre de son père, tandis que Francine, la benjamine de la fratrie est portée disparue.
Le village, d'habitude si paisible, est bouleversé par les événements et les forces de l'ordre mettent tout en œuvre pour dénouer cette histoire.
Affaire à suivre.

B. Canteloup.

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Le Cours Forrest du mercredi 13 septembre 2017. Rubrique Fait divers.

À la Une, aujourd'hui :

Coupables en série.

Du nouveau dans l'affaire Fauves.
Pour rappel, Jeannette avait alerté les services d'urgences dans la nuit de dimanche à lundi, expliquant qu'elle avait tiré dans le dos de son mari à quatre reprises avec son fusilde chasse. L'homme âgé de soixante-cinq ans avait rapidement succombé à ses blessures.
Lundi matin, c'est sa fille aînée qui s'est dénoncée à la gendarmerie en s'accusant de l'homicide.
Les deux femmes ont ensuite été interrogées toute la journée et chacune maintient sa version des faits.
Charline, la deuxième fille de la fratrie a elle aussi été entendue par les gendarmes, mais elle souhaite pas s'exprimer pour le moment.
À cette heure, la dernière fille du couple, Francine, est toujours recherchée. Rien n'indique qu'il ait un lien avec le drame, mais une question subsiste : qui est vraiment coupable dans cette affaire ?

B. Canteloup.