Invocation (Gilgamesh and Clarisse)
Le calme de la nuit planait dans la petite pièce, éclairé par de petites lucioles enfermé dans d'étrange plantes bleu aux pétales légèrement transparente pour laisser passer la lumière. Quelque meuble, comme une table, des poufs et des petites étagères, étaient poussé contre les murs pour laisser un grand espace vide au milieu de la salle. Au centre du dis espace créé, se trouvait un jeune femme, peut-être un peu plus que la majorité, de long cheveux châtain clair encadraient son visage fin et sa peau claire, ses magnifiques yeux pers suivaient attentivement les lignes du cercles qu'elle traçait du bout des doigts, d'une encre aussi rouge que les sceaux de commandement sur sa main droite. Le cercle terminé, la fille vérifia chaque centimètre d'encre pour s'assurer de n'avoir fait aucune erreur, avant de finalement se lever et se diriger vers la table coller au mur pour relire une dernière fois la formule d'invocation. Son grand frère lui avait expliqué que selon le mage, sa magie pouvait atteindre son maximum à une certaine heure, 23 heures pour elle et 22 heures pour son frère. Un coup d'œil à l'horloge accroché au mur lui permit de savoir que son grand frère avait déjà invoqué son servant et une boule de stresse se forma dans son ventre alors que l'heure de l'invocation approchait pour elle. Elle prit ensuite ce que son frère avait qualifier de relique, une peau de serpent vraiment ancienne, et la plaça près du cercle. Selon lui, elle lui permettrait d'invoquer un servant qui pourrait la protéger de tout et n'importe qui grâce à sa puissance.
Elle se plaça devant le cercle d'invocation et le doute s'empara d'elle. Et si elle échouait? Si le servant qu'elle invoquait ne souhaitait pas passer de contrat avec elle? Ou pire! Si il la trouvait trop faible voir la détestait et refusait du coup de lui obéir? L'heure approchait alors que de multiplie scénario tous plus catastrophique les uns que les autres se déroulait dans la tête de la jeune femme. Malgré le talent de son frère dans la magie, surtout celle de glace, elle, elle n'avait jamais cherché à l'utiliser ou à l'apprendre, si bien qu'elle ne connaissait que quelque sort mineur qu'elle avait appris car ils lui plaisaient bien, comme faire léviter de petit objet pour attraper le paquet de cookies rangé trop haut dans l'armoire, faire tomber un peu de neige parce que c'est bien la neige ou encore créé une petite boule de lumière qui la suit pour lire tranquillement la nuit ou aller pisser. Autant vous dire qu'elle n'était pas très emballé mais plutôt paniqué lorsque les 3 sceaux de commandement sont apparue sur sa main comme sur celle de son grand frère. Le lendemain matin, ce dernier avait déjà organisé un programme de remise à niveau pour qu'elle puisse un minimum se défendre et au moins invoquer un servant qui la protègerais si il n'était pas dans les parages.
L'horloge mural sonna 23 heure et la fille se crispa avant de finalement réciter la formule d'invocation aussi clairement qu'elle le pouvait malgré le stresse qui grandissait. Le cercle se mit alors à briller, forçant la châtain à se couvrir les yeux à la fin de son incantation, puis la lumière disparue pour laisser place à une épaisse fumée blanche aux reflets dorés. La fille observa la scène, effrayée mais curieuse de découvrir l'identité de son servant, espérant qu'il soit calme, gentil et compréhensif face à sa non-expérience. Le cœur battant à tout rompre, la fumée se dissipa assez pour dévoiler l'esprit invoqué, lui permettant de l'observer.
"Sont armure est trop grande et elle ne luis va pas..." fut la première chose que se dit l'invocatrice. Le nouvel arrivant observa la master de haut en bas avec un regard ennuyé, restant assis sur son trône sans rien dire, faisant stresser d'avantage la jeune femme avant qu'elle n'ose enfin briser le silence.
"-B-bonso-
-Je ne crois pas t'avoir autoriser à parler, femme. coupa froidement l'homme. Dis moi, es-tu la bâtarde ayant le culot de prétendre être le master du roi des héros?
-E-euh...j-je...je crois...? répondit-elle d'une petite voix tremblante et pas du tout sur d'elle.
-Comment ça "je crois"? Je déteste les personnes indécise... C'est oui ou c'est non!!
-C-crie pas s'il te plait...!
-Je fais ce que bon me chante mais soit, j'accepte de parler de moins fort si cela te permet de me répondre sans risquer un arrêt cardiaque... Et vouvoie moi la prochaine fois si tu ne veux pas en subir les conséquence. menaça le roi des héros. Bref, quel est ton nom, femme?
-J-je m'appelle Clarisse... E-et v-
-Je n'ai pas dis que tu pouvais me questionner. Hors de question d'avoir un serviteur aussi agaçant... la coupa-t-il une nouvelle fois."
La dénommé Clarisse commençait à désespérer. Il était où son calme et gentil servant?? Un peu agacé par son manque de respect, elle décida d'un peu plus s'affirmer à leur prochaine échange plutôt que de tout de suite s'écraser. Le servante regarda la pièce dans laquelle il se trouvait, toujours avec son regard ennuyé mais avec un froncement de sourcil en plus.
"-Pourquoi m'as-tu invoqué dans une pièce aussi laide...?
-Elle est pas moche... Elle manque juste un peu de déco parce qu'elle est ressente... se justifia Clarisse.
-Tu ne réponds pas à ma question, femme.
-C'est Clarisse...
-Pardon?
-Mon nom est Clarisse, pas femme...
-Tu préfère peut-être que je t'appelle bâtarde alors...
-D-de...dans ce cas se sera vous tromper.
-C'est à dire...? questionna l'esprit héroïque, l'agacement dans sa voix commençant à se faire entendre.
-Je ne suis pas né hors mariage ou à la suite d'une infidélité, m'appeler bâtarde serait donc une erreur de votre part. expliqua simplement la master.
-Ne m'énerve pas avec tes définitions! Et je te trouve bien stupide de croire en l'amour sens faille de tes parents... On fini toujours par trouver et essayer mieux. informa le roi.
-Vous ne semblez pas comprendre... Je n'ai pas de parents, je suis...ce qu'on pourrait appeler un bébé éprouvette! Créé en laboratoire pour...je ne sais quelle raison en faite...
-Créé en laboratoire... répéta l'esprit, semblant enfin s'intéresser à son interlocutrice plutôt qu'a la couleur noire du pouf contre le mur qu'il n'aimait pas."
Le roi des héros prit enfin la peine de vraiment regarder la jeune fille qui, bien qu'elle ne soit pas incroyablement belle dans l'actuelle, la lueur innocente et un peu perdu dans son regard lui plaisait beaucoup. Elle semblait avoir été épargner par tout les vices du monde, pure de toutes corruption. Il n'avait qu'une hâte, remplacer cette pureté et cette innocence par le désespoir. Cette idée le fit doucement sourire, autant que l'idée de jouer avec un être créé dans un laboratoire. Il se demandait ce qu'elle aurait de plus ou de moins par rapport aux autres femmes rencontré au cours de sa vie ou de ses autres invocations et surtout, combien de temps elle tiendrais avant de se briser. Sa décision prise, l'esprit héroïque se leva de son trône et marcha vers la jeune femme avec un sourire malsain mais amusé.
"-Tu peux t'estimer heureuse, j'ai changer d'avis, j'accepte que tu me serves!
-Euh....mais c'est moi le master normalement...non?
-Tu as vraiment crue que moi, Gilgamesh, roi d'Uruk et roi des héros, allait me plier aux ordres d'une vulgaire femme comme toi? Tu devrais être honoré que j'accepte de converser avec toi!
-Alors vous vous appelez Gilgamesh? J'aime bien la façon dont ça sonne! dit gentiment Clarisse, déstabilisant un peu le dis Gilgamesh.
-Euh...merci?"
Le roi d'Uruk regarda sa master un peu étonné par son compliment et le fait qu'elle avait très certainement arrêté de l'écouter au mot "Gilgamesh", vue son sourire. Qui complimente le prénom d'une personne? Le sourire mignon et innocent de la fille le déstabilisa un peu plus mais son attention se porta sur un autre détail; son aura. Il avait quelque chose d'étrange, de très apaisant et malgré son manque de respect, il n'avait aucune envie de s'énerver contre elle. Plus il restait avec elle et plus l'aura avait un effet sur lui, et ça, il l'avait très bien sentit. Il voulait à la fois s'éloigner d'elle, ignorant si s'était dangereux ou non, et en même temps rester avec elle pour la surveiller, être sur que personne d'autre à par lui ne lui fasse du mal. S'était à lui de la briser, pas un des ses bâtards insolant.
"-Et si vous me suiviez Gilgamesh? Je vais vous faire visiter! proposa Clarisse, le sortant de ses pensées.
-Ne m'appelle pas Gilgamesh... siffla le roi des héros alors qu'il suivit sa master hors de la petite pièce. J'espère que l'endroit qui te serre de maison sera moins laid que cette pièce.
-Je vous ai dis qu'elle était ressente... On pourra toujours la redécorer plus tard!
-On?
-Comme ça je suis sur qu'elle sera à vos goûts et vous arrêterez de râler.
-Je ne râle pas, je constate.
-Ouais, vous râlez quoi.
-Tsss..."
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