Royal (ft. @Sweet_little_cerise)
(Betty = Sweet_little_cerise
Jughead = moi)
BETTY
Je marchais dans les couloirs du palais, quand soudain un portrait de ma famille attira mon attention. Je ne pus m'empêcher de soupirer légèrement en voyant l'austérité qui se dégageait du portrait. Sur le portrait, se trouvait toute ma famille ; d'un côté, se trouvait le duc et la duchesse de Cambridge, Kate et William ainsi que leurs enfants, Charotte, Louis, et George, d'un autre côté le duc et la duchesse de Sussex, Megan et Harry et leur fils, Archie, et puis au centre se trouvait ma grand-mère, Elizabeth II la reine d'Angleterre et moi à ses côtés.
Oui, vous avez bien compris, je fais partit de la famille royale d'Angleterre. Je m'appelle Elizabeth - oui comme ma grand-mère - mais tout le monde m'appelle Betty et je suis la fille de lady Diana et du prince Charles. Enfin, je regardais le portrait pendant encore quelques secondes, avant de me rendre dans la salle du trône qui était l'endroit où ma grand-mère se trouvait le plus souvent. Je voulais lui demander l'autorisation de pouvoir sortir avec des amies ce soir. Elle allait sûrement refuser, mais comme dit le proverbe : « Qui ne tente rien, n'a rien ».
En entrant dans la salle du trône, je voyais ma grand-mère qui discutait avec mes frères, Harry et William. Ils se tournèrent vers moi lorsqu'ils me virent et je partis les saluer. J'embrassais les joues de mes frères, puis je partais prendre ma grand-mère dans mes bras. Vous l'aurez sûrement remarqué, je ne suis pas aussi formelles que le reste de ma famille. Là où préfèrent la rigueur, je préfère la douceur. Là où eux préfèrent respecter le protocoles, je préfère l'enfreindre. Là où eux préfèrent des salutations formelles, je préfère les câlins et toutes ses choses.
- Qu'est-ce qu'il te faut, ma chérie ? me demanda ma grand-mère.
- J'aimerais sortir avec mes amies-
- Non ! Interviens fermement mon grand-frère, William, en me coupant la parole par la même occasion. Tu ne sortiras pas, Elizabeth.
Je soupirais en croisant les bras au niveau de ma poitrine. William se prenait pour mon père et se donnait toujours le droit de m'interdire de faire des choses. Il m'exaspérait tellement. Je ne demandais pas à ce qu'on me décroche la lune, je voulais seulement passer un peu de bons temps avec mes meilleures amies. J'en avais marre de me sentir prisonnière de cette famille et de ce palais. Je voulais sortir, rencontrer du monde, m'amuser, mais cela, ils ne le comprenaient pas. Eux voulaient que je me marie et que j'ai des enfants pour allonger la descendance de la famille royale. Je me tournais vers ma grand-mère, lui lançant un regard désespéré et suppliant. Elle soupira doucement.
- Grand-mère... S'il te plaît, laisse-moi y aller. Je ne te demande jamais rien, s'il te plaît...
- Désolée, ma chérie, tu ne sortiras pas ce soir, me répondit ma grand-mère d'un air désolé.
Je soupirai longuement, avant de quitter la salle en claquant furieusement la porte. Ils pensaient réellement que j'allais les écouter ? Ils pouvaient toujours rêver. J'avais décidé de sortir, alors je sortais. Je montais dans ma chambre, puis m'y enfermer. Je partais dans mon dressing, puis je commençais à chercher activement une tenue pour ma sortie avec mes amies. Cheryl et Veronica - mes deux meilleures amies - allaient sûrement me traîner dans une boîte branchée de Londres, j'allais donc devoir abandonner mes petites robes de couleurs pastel et les échanger un look un plus festif. Je cherchais pendant une demi-heure avant de trouver LA tenue parfaite.
Un pull noir - tout ce qu'il y a de plus simple -, une jupe de couleur verte émeraude, et pour compléter la tenue des sandales à talons hauts noires. Je partais prendre une douche rapidement, puis je séchais mes cheveux et appliquer mes crèmes pour les visages et le corps avant d'enfiler la tenue que je me suis choisie. Après ça, je me maquillais légèrement ; j'appliquais simplement un peu de blush et du gloss pour créer un effet de brillance sur mes lèvres. Me voilà prête ! Je prenais un petit sac en bandoulière noir dans lequel je rangeais mon téléphone et mon gloss, avant de quitter ma chambre. Je marchais - en faisant attention à ne pas être remarqué - jusqu'à l'entrée du palais, puis j'en sortais. Une fois hors du palais, je marchais jusqu'à la superbe Thunderbird rouge de ma meilleure amie, Cheryl. Comme promit, elle et Veronica étaient venues me chercher.
- Votre carrosse est avancé, princesse, me dit Cheryl en riant.
- T'es bête, Cher' ! Répondis-je en riant aussi.
Je montais dans la voiture aux côtés de Cheryl, puis je la serrais dans mes bras avant de faire la même chose avec Veronica qui s'était mise à l'arrière de la voiture. J'avais rencontré Cheryl et Veronica à Oxford, ma famille m'avait forcée à aller étudier là-bas, alors que je souhaitais aller faire mes études aux Etats-Unis, à Yale pour être plus précise. Enfin, une fois que je fus attachée, Cheryl démarra sa voiture, puis conduisît jusqu'à l'une des boîtes de nuit les plus branchées de toute Londres.
Après une petite demi-heure de route, nous arrivions finalement à la boite de nuit. Cheryl se gara devant la boite de nuit, puis nous sortions de la voiture. Je sentais que cette soirée allait être géniale. Nous entrions dans la boite après que le videur nous ait laissé entrer, puis nous partions nous installer à l'un des salons qui se trouvaient autour du dance floor. Je m'asseyais sur l'un des fauteuils, puis je posais mon sac à côté de moi.
- Alors ta grand-mère t'a laissé sortir ? Me demanda Cheryl.
Je rigolais légèrement.
- Non, pas du tout. Enfin, elle aurait pu accepter si mon rabat-joie de frère ne m'avait pas interdit de sortir.
- Laisse-moi deviner, intervient Veronica, le rabat-joie, c'est William ? Demanda-t-elle avant que j'acquiesce. C'est vrai que Harry est beaucoup trop sexy pour être rabat-joie.
J'éclatais de rire. Veronica avait développé un crush pour mon grand frère, Harry. Elle n'arrêtait pas d'acheter tous les magazines peoples qui écrivaient des articles sur lui. Une fois, elle m'avait même demandé de voler l'une des chemises de Harry ou l'un de ses objets personnels pour dormir « auprès de lui » Je savais qu'elle exagérait son crush sur lui, mais c'était hilarant.
Enfin, je riais avant de leur dire que j'allais nous chercher nos boissons. Je me levais du fauteuil sur lequel j'étais assise, puis je partais au niveau du bar. J'appelais le serveur, puis je commandais une Piña Colada pour Veronica, une Tequila Sunrise pour Cheryl et un Mojito pour moi. Je m'installais à l'un des tabourets du bar le temps que le serveur m'apporte les boissons. Je regardais autour de moi et je voyais un homme assis à côté de moi. Il avait des cheveux bruns en bataille et de magnifiques yeux bleus avec des lueurs de verts. Il était en train de manger le bout d'ananas qui se trouvait sur le bord de sa Piña Colada. Après quelques secondes, il releva son regard vers moi et me sourit. Je rougissais légèrement en comprenant qu'il avait sûrement senti mon regard sur lui.
JUGHEAD
J'entre dans l'une des boites de nuit les plus connues d'Angleterre. Qui suis-je ? Jughead Jones, un garçon de dix-sept ans. Vous devez vous demander comment je suis entré en boite de nuit alors que je ne suis pas encore majeur ? J'ai bien sûr utilisé une fausse carte d'identité qu'un ami m'a faite il y a peu. Disons que je ne suis pas du genre à respecter les règles, bien au contraire. Je dirige un gang dans un quartier mal-fameux, les Southside Serpents. Nous vivons dans des caravanes et volons des riches pour pouvoir survivre. J'ai toujours rêvé de devenir écrivain et d'étudier à l'université de Yale, aux États-Unis, mais je n'ai malheureusement pas eu cette chance. Mes parents m'ont abandonné quand j'avais quatorze ans car ils n'avaient plus assez d'argent pour nourrir trois personnes. Vous connaissez Hansel et Gretel ? Et bien c'est à peu près la même chose, à la seule exception que mes deux parents m'ont abandonné et que c'était dans la rue, pas dans la forêt. Et depuis plus de trois ans, je me débrouille comme je peux pour me nourrir, me loger et survivre dans ce pays.
Ici, il y a des personnes que je déteste plus que tout au monde : la famille royale. Ce ne sont que des gosses de riches qui ont eu la chance d'avoir une belle vie, alors que nous, on est pauvre et volons pour subvenir à nos besoins. La vie est injuste. Ces gens sont milliardaires, ils pourraient au moins donner ne serait-ce que quelques malheureux Livres Sterling pour nous, les pauvres ! J'envie les enfants et petits-enfants de la Reine, pff. Eux, ils ont grandi dans un palais, entourés d'argent et de serviteurs. Ils ont des centaines de vêtements hors de prix, alors que nous, nous n'avons à peine que trois tenues pour vivre.
J'entre donc dans la boite de nuit la plus branchée d'Angleterre, prêt à voler quelques porte-monnaies. Ce mois-ci, c'est vraiment la desh. On n'a plus rien, que dalle. Les flics menacent de nous expulser de nos caravanes si on ne paie pas les factures d'ici la fin de la semaine, je dois donc voler assez d'argent pour moi et mes amis. Notre gang n'est pas très grand, nous ne sommes pas plus de quinze, mais nous sommes soudés comme les cinq doigts de la main. En tant que chef, mon devoir est d'aider les autres. De toute manière, je suis un professionnel, si quelqu'un peut voler discrètement ici, c'est bien moi. Il ne manque plus que quelques victimes... Des riches qui auraient laissé leur sac à main au bar pendant qu'elles seraient sur la piste de danse... Je finis par aller m'installer au bar, sur l'un des tabourets.
- Bonjour, monsieur, me salue le barmaid. Qu'est-ce que je vous sers ?
- Une Piña Colada, s'il vous plaît.
Le barmaid part donc me préparer une Piña Colada : un cocktail à base de rhum, d'ananas et de noix de coco, puis me le ramène avant de partir servir d'autres clients. Après quelques minutes, je remarque que trois filles entrent dans la boite de nuit. L'une d'elle est rousse, ses cheveux sont longs et bouclés, elle porte une robe rouge qui m'a l'air d'être en satin. L'autre fille, une brune aux cheveux mi-longs, porte une robe noire qui lui arrive aux genoux. Quant à la troisième, celle-ci est blonde et porte un simple pull noir avec une jupe verte émeraude qui lui arrive un petit peu au-dessus des genoux. Ces trois filles sont les cibles parfaites ! Elles m'ont l'air d'avoir de l'argent, vu leurs tenues.
La fille blonde parle une minute avec ses amies, puis vient commander des cocktails au bar : une Piña Colada, une Tequila Sunrise et un Mojito. Elle, c'est elle la cible parfaite. Elle m'a l'air d'être un petit peu timide et facilement manipulable. Le serveur part donc préparer les cocktails qu'elle a commandés, tandis que celle-ci s'assied sur le tabouret à côté de moi. Je peux sentir son regard sur moi, et quand je tourne la tête vers elle, elle s'empresse de rediriger son regard vers le bar, les joues légèrement rosées. Ça ne va pas être très compliqué de lui voler son fric, je pense déjà avoir une touche avec elle.
- Pourquoi tu me regardes fixement ? Finissais-je par lui demander.
- Euh... J-Je suis désolée, euh...
- Calme-toi, je ne vais pas te manger. Quoi que...
- Q-Quoi... ?
- Détends-toi, je plaisante, riais-je. Dis-moi, comment tu t'appelles, belle blondinette ?
- Euh... J-Je m'appelle Betty... Et toi... ?
- Jughead. Ravie de te connaître, Betty.
QUINZE MINUTES PLUS TARD
Betty est assise sur le lavabo des toilettes, tandis que je suis installé debout entre ses jambes, enroulées autour de ma taille. Nos langues se battent pour la domination, alors que nous nous embrassons passionnément, les yeux remplis de luxure. Nous avons discuté un court moment, avant de décider de s'extirper du bar... Bon, je dois avouer que les toilettes publiques d'une boite de nuit ne donnent pas très envie de baiser, mais bon. Cette blondinette est extrêmement naïve, comme je l'avais deviné. Le plan, c'est de coucher avec elle : un simple coup d'un soir, puis de lui voler son porte-monnaie pendant qu'elle dormira, épuisée après l'activité très physique qu'on prévoit de faire par la suite.
Je viens maintenant embrasser sensuellement son cou, en y laissant quelques suçons par-ci par-là. Elle gémit sous mes mouvements, tout en serrant ses jambes autour de ma taille, me faisant me rapprocher d'elle. Mon érection frôle maintenant son intimité, ce qui l'a fait gémir d'avantage.
- Ça te dirait qu'on s'extirpe de cette boite de nuit et qu'on aille quelque part ailleurs ? Lui demandais-je tout en continuant d'embrasser son cou.
- Oh, oui... gémit-elle. Mais on ne peut pas aller chez moi, mes p-parents sont là...
- Je connais un endroit où aller, suis-moi.
J'emmène Betty dans une chambre d'hôtel, un hôtel plutôt luxueux situé en face de la boite de nuit. J'ai volé discrètement la carte d'une chambre un jour. Nous entrons donc dans la chambre, je referme la porte derrière moi, pousse Betty dans le lit recouvert de draps en satin, puis viens rapidement au-dessus d'elle. Nos lèvres ne se détachent pas une seule seconde, et nos vêtements commencent à voler dans la pièce. Je retire fougueusement la jupe de Betty, la laissant en sous-vêtements. Finalement, elle n'est pas si mal... Je veux dire, elle est mignonne, je ne dirais pas le contraire. Bref, je retire ses sous-vêtements après avoir obtenu son approbation, puis viens m'installer entre ses jambes, les soulevant. Je viens ensuite embrasser l'intérieur de ses cuisses, en remontant petit à petit vers son intimité.
- Hmm... Jug... gémit-elle en passant ses mains dans mes cheveux. Dépêche-toi, j'en peux plus d'attendre...
Je rigole légèrement, puis poursuis mes baisers vers son intimité, que je ne tarde pas à atteindre. Rapidement, je dépose ma langue sur son bouton de plaisir, ce qui lui provoque un petit gémissement. Je commence donc à faire des cercles avec le bout de ma langue, tandis qu'elle tire délicatement quelques mèches de mes cheveux, tout en gémissant mon nom.
- Plus vite... gémit-elle à nouveau.
J'obéis, puis accélère mes mouvements. Je ne tarde pas à venir la pénétrer délicatement avec mon index. J'y vais doucement, ne voulant pas la blesser, puis commence à faire de délicats va-et-vient. Elle est vraiment serrée, je donnerai ma main à couper qu'elle est encore vierge. Bon, peu importe. Elle le veut après tout, c'est son choix. Après plusieurs minutes, Betty atteint finalement son apogée, son point culminant. Je l'entends gémir mon nom de toutes ses cordes vocales, ce qui m'excite énormément...
BETTY
Je pris quelques secondes à me remettre de l'orgasme que Jughead venait de me donner. Mon premier orgasme. Oui, j'étais encore vierge. Il fallait dire que les gens ne m'appréciaient pas vraiment,, ils pensaient tous que parce que je faisais partie de la famille royale, j'étais une fille qui [pétait plus haut que son cul] se croyait supérieur à tout le monde. J'avais eu de la chance de rencontrer Cheryl et Veronica, qui avaient rapidement compris que je n'étais pas comme les gens me voyaient. Enfin, une fois remise de cette orgasme ravageur, je me contentais de regarder bêtement Jughead.
Il devait me prendre pour une idiote. Je décidais de faire quelques chose, trouvant cela gênant de le regarder dans les yeux. J'inversais nos positions, me retrouvant au dessus de lui, puis je venais m'installer entre ses jambes. Je posais mes mains sur les ourlets de son boxer, puis je lui demandais du regard l'autorisation de le retirer. Il m'autorisa, je commençais donc doucement à baisser son boxer jusqu'à l'avoir entièrement retirer. Je le lançais dans la pièce, afin qu'il aille rejoindre de vêtement que nous avions en nous déshabillant plus tôt.
Après ça, je commençais à regarder son membre. Wow, il est...gros! Je n'étais même pas sûre que ma main puisse en faire le tour. Je continuais de le regarder avant d'enrouler - difficilement - ma main autour. Je commençais à faire de légers vas et viens en augmentant la cadence au fur et à mesure que le temps passait.
Plus mes mouvements s'accéléraient, plus le membre de Jughead grossissait et plus Jughead gémissait. Après plusieurs minutes, je pris le membre de Jughead dans ma bouche. Je titillais le bout rose de son pénis avec mes dents avant rouler ma langue autour. Ensuite, je commençais à faire des vas et viens avec ma bouche. Plus le temps, plus je sentais le membre de Jughead pulser dans ma bouche et plus les gémissements de Jughead emplissaient la pièce, après plusieurs secondes, Jughead atteignît son apogée et une chaud liquide salé se déversa dans ma bouche. Ne sachant pas vraiment quoi faire je me contentais de me relever et d'avaler le liquide. Wow, c'est vraiment très étrange!
- C'était génial, Betts, me dît Jughead tandis que je souriais face au surnom qu'il venait de me donner, mais est-ce que tu es sûre de vouloir continuer?
- Euh o-oui..., répondis-je timidement comprenant que dans quelques minutes je perdrais ma virginité.
Jughead me regarda en souriant, puis il m'attira sur lui avant de m'embrasser. Nous nous embrassions pendant plusieurs secondes avant que Jughead inverse nos positions, se retrouvant ainsi au dessus de moi. Je commençais à stresser légèrement, mais je faisais à confiance et je savais qu'il allait être doux. Il me demanda l'autorisation du regard, que je lui donnais, avant qu'il n'entre doucement en moi. Aïe! Ca fait mal, et la sensation est très étrange. Comment est-ce que les gens pouvaient-ils aimer ça? Cheryl et Veronica n'arrêtait pas de me répéter qu'il y avait rien de mieux qu'une bonne partie jambes en l'air, mais je me sentais à présent obliger de les contredire. Ca n'est pas du tout agréable et ça fait mal.
- Tout va bien? Me demanda Jughead qui était à présent entièrement en moi sans faire de mouvements.
- Oui...enfin ça fait un peu mal...mais c'est normal...
Il ne me répondît pas et se contenta de me lancer un léger sourire rassurant avant de poser sa main sur ma joue et de la caresser légèrement avec son pouce. Il m'embrassa tendrement et je répondis à son baiser en souriant. Je préférais largement ça. J'aimais beaucoup la tendresse. Enfin, après plusieurs secondes le plaisir vînt se mêler à la douleur alors j'autorisais Jughead à faire des mouvements, rompant au passage le contact de nos lèvres collées les une aux autres. Il commença bouger doucement, en me regardant sûrement pour vérifier que cela ne me faisait pas trop mal.
- Hum..., gémissais-je timidement.
- N'aies pas peur de gémir, Betts. D'ailleurs, tes gémissements sont très mignons, me sourît-il.
Je rougissais légèrement face à son compliment, tout en continuant de pousser de légers gémissement. Au fur et mesure que les minutes passaient; les gémissements fusaient de plus en plus dans la pièce, les coups de reins de Jughead s'accéléraient, et ma douleur disparaissaient. Je retirais ce que j'avais dis plus tôt, les sensations étaient exquises. Je n'avais jamais - de toute ma vie - ressentis un plaisir aussi fort et intense. Les muscles du vagin commençaient à se resserrer autour du membre de Jughead, ce qui indiquait que j'allais bientôt atteindre ma limite.
Je sentais que c'était la même chose du côté de Jughead qui gémissait de plus en plus. Après plusieurs secondes, nous atteignons notre apogée en même temps et gémissant nos noms. Jughead sortît de moi et s'installa à côté de moi en me prenant dans ses bras. Je posais ma tête sur son torse et l'embrassais tendrement en souriant.
- C'était merveilleux, lui dis-je en souriant.
- Je confirme, Betts.
Je souriais, puis m'installais correctement dans ses bras avant de doucement sombrer dans le sommeil, sentant le regard de Jughead sur moi.
LE LENDEMAIN MATIN
Je me réveillais doucement en baillant légèrement et en tapotant la place à côté de moi pour savoir si Jughead était encore à côté de moi, il ne l'était pas. Je me redressais alors dans le grand lit King Size de la chambre d'hôtel tout en frottant mes yeux pour qu'ils s'habituent à la lumière du jour. Une fois mes yeux habitués à la lumière du jour, il cherchèrent Jughead du regard, le trouvant assis à l'une des chaises d'une table qui se trouvait près de la grande baie vitrée qui laissait une vue imprenable sur tout Londres. Il était en train de taper frénétiquement contre les touches de son ordinateur tout en sirotant un café et en avalant un croissant. Il est craquant!
Je sortais du lit, couvrant mon corps à l'aide du drap en soie qui recouvrait le lit puis je ramassais mes sous-vêtements et le t-shirt qui se trouvaient au sol avant de les enfiler. Après ça, je partais rejoindre Jughead puis j'enroulais mes bras autour de sa nuque par derrière tout en embrassant sa joue.
- Hey! Tu as bien dormi? me demanda-t-il en quittant des yeux l'écran de son ordinateur durant quelques secondes.
- Hey! Oui et toi?
- J'ai mieux dormi que jamais en t'aillant dans mes bras, princesse.
Je lui souriais tendrement, puis je venais m'installer sur lui en lui laissant assez de place pour qu'il puisse continuer d'écrire ce qu'il écrivait sur son ordinateur. Je prenais un croissant puis je me servais une tasse de café avant de commencer à déjeuner. Une fois que j'eus terminer mon petit déjeuné, je reportais mon attention sur Jughead qui n'avait pas arrêter de taper contre les touches de son ordinateur. Que pouvait-il bien écrire? Et comment cela se faisait-il qu'il ait son ordinateur avec lui? Était-il aller le chercher ou l'avait-il déjà avec lui?
- Qu'est-ce que tu écris, Jug?
- Un livre, répondit-il en sauvegardant sa page avant de la fermer.
- Tu écris des livres? C'est génial!
- Oui, c'est ce que je compte faire une fois que j'aurais terminer le lycée.
Pardon!? Est-ce que j'avais bien entendu? Il était encore au lycée? Wow, j'espère qu'il était pas trop jeune parce que je suis majeur, et à partir d'un certain âge, ça n'est pas très légal de coucher avec un mineur. La majorité sexuelle en Angleterre est de seize ans, j'espérais donc qu'il avait plus de seize ans.
- Tu as quel âge exactement si tu es encore au lycée?
- Dix-sept ans, répondit-il simplement. Pourquoi cette question? Tu n'es pas au lycée toi?
- Non, je suis à la fac et j'ai dix neuf ans...je voulais juste m'assurer que tu avais la majorité...sexuelle...
- T'inquiète pas, je l'ai, rît-il légèrement avant de m'embrasser.
Nous nous embrassions pendant quelques secondes avant que je lui propose de l'aider à devenir écrivain, lui racontant que ma famille connaissait plusieurs maison d'éditions qui seraient ravies de l'accueillir. Dans un premier temps, il refusa mon offre disant qu'il se débrouillerait seul mais à force de persuasion j'avais réussi à le convaincre d'accepter mon offre. Je regardais l'heure sur l'ordinateur de Jughead et je remarquais qu'il était dix heure. Merde!
Le déjeuné a été au palais il y a déjà heures, ils devaient donc savoir que je m'étais absenter hier soir. J'allais me faire tuer, surtout si William l'avait appris. Je me levais précipitamment de sur Jughead puis je retirais son t-shirt avant d'enfiler mes vêtements.
- Je suis désolé, mais je dois vraiment y aller. Mes parents vont me tuer.
Je prenais un papier et un stylo avant d'écrire rapidement mon numéro de téléphone dessus et de le donner à Jughead en lui disant de m'appeler. Je récupérais rapidement mon sac à main avant de me diriger vers la porte de la chambre d'hôtel que j'ouvris rapidement avant de me tourner vers Jughead.
- Bye! A bientôt j'espère, je t'aime, dis-je rapidement avant de me rendre compte de ma connerie.
Merde! Je lui avais dis que je l'aimais. Quelle idiote! J'écarquillais les yeux avant de sortir de la chambre d'hôtel, honteuse. Il devait me prendre pour une idiote, voir même une folle. Lui dire je t'aime alors que nous nous connaissions depuis hier et que nous avions simplement coucher ensemble. Qu'est-ce que je pouvais être conne! Je n'étais même pas sûre de l'aimer. Est-ce que je l'aimais? Non, je le trouvais juste incroyablement; sexy, drôle, beau, intelligent. Oh merde, je l'aimais. Je n'avais jamais trouver autant de qualités à un homme. Comment avais-je pus tomber amoureuse en une seule nuit? C'est dingue! Enfin, je rentrais rapidement jusqu'au palais et une fois à l'intérieur du palais, je vis William qui m'attendait impatiemment.
- Ou est-ce que tu étais? me demanda-t-il fermement.
- En boite. Et puis ça te regarde pas, je suis majeur, donc je fais ce que je veux!
Habituellement, je ne me serais jamais permise de parler comme ça à mon grand frère, mais le fait d'avoir dis "je t'aime" à Jughead comme ça m'avait mise sous pression. Je m'excusais rapidement auprès de William de lui avoir parler comme ça, puis je montais dans ma chambre pour pester contre moi-même, me répétant à quel point j'étais stupide.
JUGHEAD
Attendez, attendez, attendez. Ai-je bien entendu ? Elle a dit « je t'aime » !? Oh, là, là... Je suis dans la merde, réellement. On a couché ensemble, cette nuit était vraiment magique... Ce n'était bien sûr pas la première fois que je faisais ça, mais... d'habitude, c'est juste un coup d'un soir, alors que cette fois-ci... Je ne sais pas, j'ai vraiment apprécié et... Putain, je crois que je l'aime. Finalement, j'ai décidé, ce matin, d'abandonner le plan. Je ne pouvais pas lui voler son porte-monnaie, pas après tout ça... Betty est si différente des autres filles, elle est vraiment géniale... Oh ! Je me rappelle qu'elle m'a laissé son numéro de téléphone ! Sans plus attendre, je prends le papier sur lequel elle l'a écrit, puis rentre le numéro dans mon téléphone. Je finis par décider de lui envoyer un message :
« Betty, hey ! C'est Jughead... J'espère que tu te souviens de moi... Bref, je voulais te demander si tu voulais venir manger avec moi ce midi... ? Je t'invite au restaurant... Dis-moi quoi :) »
J'appuie ensuite sur le bouton « envoyer », puis me rhabille avant qu'on remarque que je n'ai pas payé cette chambre luxueuse. Je récupère donc mes vêtements éparpillés à travers la pièce, puis sors rapidement avant de retourner dans ma vieille caravane. Je préférais la chambre de luxe... Bref, je m'installe dans mon vieux canapé troué, puis repense aux événements de cette nuit... Alors que je suis perdu dans mes pensées, mon téléphone vibre.
« Hey ! Je ne peux pas venir, je suis désolée... J'ai des trucs à faire, peut-être une prochaine fois. »
Merde... Je soupire, laisse tomber mon téléphone dans le canapé, puis m'allonge dans celui-ci. Évidemment, ce n'était qu'un coup d'un soir. Je finis - après plusieurs minutes à penser - à aller sur mon téléphone regarder les actualités locales. Tiens, un article sur la famille royale. Pff, ces gosses de riches, je les haïs ! Je clique donc curieusement sur cet article « Megan et Harry attendent un autre enfant » Argh, encore un !? Pff, un de plus qui va grandir dans un palais plein d'argent. Tiens, il y a une photo de cette famille royale de mes deux. Attendez... La fille de Lady Diana... Elle ressemble énormément à Betty...
En zoomant sur la photo, je remarque que... Oh mon Dieu. Ses belles boucles blondes, ses beaux yeux verts-bleuâtres que je reconnaîtrais entre mille... Putain ! Betty est en réalité Elizabeth ! J'ai couché avec la petite fille de la reine !? Putain de bordel de merde, c'est pas possible !
« Betty, viens tout de suite au parc de Sunnyside, je dois te parler, c'est important. »
Je lui envoie ce message, puis attends sur les marches de ma caravane.
BETTY
J'étais dans ma chambre en train de lire ce que racontait les magasines peoples sur moi et ma famille quand soudain un article attira mon attention, il parlait de moi et de Jughead. Sur la photo, nous étions en train de marcher main dans la main dans la nuit, tout en nous embrassant. C'était hier soir, lorsque nous nous sommes rendus à l'hôtel où nous avons fait l'amour. Merde, merde, merde! Ma famille ne va pas tarder à apprendre la nouvelle et elle ne va pas être ravie. En tant que membre de la famille royale, je me dois d'être irréprochable et coucher avec un mec que je ne connais pas, ce n'est pas considérer comme être irréprochable.
- Elizabeth Cooper, peux-tu m'expliquer ce que c'est que ça? me demandèrent Cheryl et Veronica en cœur en entrant dans ma chambre. C'est pour ce beau mec que tu nous a abandonné hier soir?
- Exact!
Elles vinrent s'installer dans mon lit près de moi en me demandant des détails sur cette nuit passée avec Jughead. Je leur racontais donc la soirée dans les moindres détails jusqu'au moment où j'ai quitté la chambre d'hôtel en avouant à Jughead mon amour pour lui. Elles se mirent à rire.
- Dis-moi que t'as pas fais ça, me dit Veronica. Tu me dirais, c'est ça l'amour!
- Mon dieu! Comment il a réagit?
- Aucune idée, je suis partie avant de voir sa réaction...mais il m'a envoyé un message y'a pas longtemps. Il disait: « Betty, hey ! C'est Jughead... J'espère que tu te souviens de moi... Bref, je voulais te demander si tu voulais venir manger avec moi ce midi... ? Je t'invite au restaurant... Dis-moi quoi :) » mais j'étais beaucoup trop gênée pour le voir donc je lui ai dis que j'étais pas dispo.
- Uhm au moins c'est bon signe qu'il t'ait renvoyer un message, ça veut dire que tu ne le laisses pas indifférent, me rassura Cheryl.
Cheryl n'a pas tord, enfin je crois. Si je ne l'intéressais pas, il ne m'aurait pas renvoyer de messages après que je lui ai dis "je t'aime". Je soupirais de soulagement. Tout n'était peut-être pas perdu finalement. Je lui renverrais un message plus tard, pour lui demander si son invitation à déjeuné tenait toujours. En vérité, j'y serais aller volontiers, mais le revoir après ce matin va être extrêmement gênant. Surtout que Jughead est plein de confiance en lui, alors il n'hésitera pas à me le rappeler. En parlant de Jughead, le voilà qui m'envoie un message.
« Betty, viens tout de suite au parc de Sunnyside, je dois te parler, c'est important. »
Il m'inquiétais avec son message. S'il m'envoyait un message alors que je lui avais que je n'étais pas disponible, ce que ce devait être effectivement urgent. Je commençais à stresser légèrement. Que pouvait-il bien vouloir me dire d'important? Oh je sais! Je crois me souvenir qu'il n'avait pas mis de préservatif lorsque nous avions couché ensemble, peut-être qu'il voulait me prévenir? Je lui répondais rapidement que j'allais venir le plus tôt possible avant de reporter mon attention sur mes deux meilleures amies.
- Je dois y aller! Jughead veut me parler, il dit que c'est important.
- Oh et il t'a dit ce qu'il voulait? Me demanda Cheryl.
- Non, mais je pense qu'il va me dire qu'il a oublier de mettre une...capote lorsqu'on a couché ensemble.
- Bientôt on m'appellera tatie Ronnie!!
Je riais face à l'excitation de Veronica, puis je leur proposais que l'on quitte le palais ensemble pour qu'elle rentrent chez elles, tandis que j'irais rejoindre Jughead à Sunnyside. D'ailleurs je ne sais même pas où que cet endroit est, pourtant que je connais Londres comme ma poche. Je quittais ma chambre avec Cheryl et Veronica, mais nous quittions ensuite le palais. Nous nous serions dans nos bras avant qu'elles montent dans la voiture de Cheryl tandis que je prenais en main mon téléphone pour trouver la localisation de Sunnyside. Attendez, cet endroit se trouvent dans le Southside. C'est étrange!
Comment Jughead avait-il pu payer l'hôtel dans lequel nous avons couché si il vient du Southside. Les gens qui vivent là-bas sont pauvres et ou membres de gangs. Enfin, j'enfilais mes lunettes de soleil, pour être moins reconnaissable aux yeux des paparazzis et je me dirigeais vers le Southside, mon téléphone en main. J'enfilais mes lunettes de soleils, pour être moins reconnaissable aux yeux des paparazzis.
Après plus d'une demi-heure de route, j'arrivais finalement dans le Southside, à Sunnyside pour être plus précise. Une fois arrivée, je commençais à chercher la caravane de Jughead. il vivait donc dans une caravane en plus de vivre dans le Southside. En voyant le nombre de caravanes que comportaient Sunnyside, je comprenais que j'allais en avoir pour un petit moment à trouver la caravane de Jughead. Note à moi-même, parler à ma grand mère de ce côté de la ville pour qu'elle trouve un moyen pour qu'ils ne vivent pas dans des caravanes. Ne pas avoir d'argent, c'est une chose, mais être contrains de vivre dans des caravanes, s'en ait une autre.
Alors que je cherchais, trois personnes m'arrêtèrent. Super, pensais-je ironiquement, moi qui voulais passer inaperçue. Parmi le trio qui m'a arrêter se trouvaient deux garçons et une fille. L'un des garçons étaient extrêmement, il devait faire au moins un mètre quatre-vingt dix, l'autre était de taille normale, quant à la fille, elle était assez petite.
- On peut t'aider? Me demanda le garçon le plus grand.
- Euh je sais pas...je cherche Jughead Jones...est-ce que vous le connaissez?
- Jughead? Oui, bien sûr. Tout le monde le connait ici, me répondit la fille. Je t'emmène à sa caravane, si tu veux?
- Je veux bien.
La fille commença à avancer, après avoir dit à ses amis qu'elle les rejoindrait au White Wyrm dans quelques minutes. Qu'est-ce que le White Wyrm? J'interrogeais la fille à propos de cet endroit et elle me répondit qu'il s'agissait d'un bar. Après ça, elle se présenta. Elle s'appelle Toni et est la meilleure amie de Jughead depuis très longtemps. En parlant de Jughead, je le voyais au loin, assis sur les escaliers de sa caravanes.
Je disais à Toni que j'avais repérer Jughead donc elle me salua avant de partir rejoindre ses amis, tandis que j'allais rejoindre Jughead qui n'avaient pas l'air ravi de me voir. Je m'installais à côté de Jughead.
- Pourquoi est-ce que tu voulais me voir?
- Quand est-ce que tu comptais me dire que tu faisais partie de la famille royale?
-Je ne sais pas et puis c'est pas important.
- Si, c'est important!
C'est quoi son problème? Pourquoi est-ce qu'il me parle comme ça. Je n'avais rien fais de mal...du moins pas que je sache. Peut-être l'avais-je contrarié lorsque nous étions ensemble plus tôt dans la matinée.
- En quoi est-ce que c'est important? Ma famille ne définit pas ce que je suis...crois moi, je ne suis pas comme eux.
- Betty, dit-il en soupirant, crois c'est important. Toute ma vie, je vous ai détester toi et ta famille. Vous vivez dans un château luxueux alors que moi et mes amis, on vit dans des caravanes et on est obligés de voler pour vivre!
Je ne répondais pas, ne sachant pas quoi dire. Sa colère était justifiée, il avait raison. Toute sa vie, il a du se battre pour avoir un toit sur la tête et de la nourriture dans son assiette...tandis que je vivais une belle vie dans un château. C'est injuste! Après, il fallait dire que la vie dans un château n'était pas idéale. Toutes ces règles, ces contraintes, ces interdictions...les seuls droits que nous avons sont de sourire aux paparazzis et d'assister aux communiquer de presses. Jughead, lui, pouvait profiter de toute sa liberté...je l'enviais pour ça...
- Désolé d'avoir hausser la voix, princesse, dit-il en me regardant l'air désolé.
- C'est rien...je comprends...ça n'a pas du être simple tous les jours pour toi...
Il ne répondît rien et se contenta de passer ses bras derrière mes épaules avant de le faire poser la tête sur son épaule. Je souriais, tandis que Jughead embrassait le haut de ma tête. Je me sentais tellement bien dans ses bras. C'est ça l'amour, d'après ce que m'a dit Ronnie plus tôt dans la matinée. D'ailleurs, en parlant d'amour, Jughead ne m'avait pas reparlé du moment où je lui ai accidentellement dit: "je t'aime". Peut-être, qu'avec un peu de chance, il avait oublié ou il n'avait peut-être simplement pas entendu. Cela serait génial!
- D'ailleurs, Betty...je t'aime aussi..., dit-il nerveusement, ouais, je t'ai entendu ce matin...
- Oh...tu dois me prendre pour une folle à t'avoir dit ça après une nuit, riais-je légèrement.
- Oui, un peu, ria-t-il à son tour, mais je te l'ai dis après une nuit et une matinée, ce n'est pas mieux.
- C'est vrai.
Nous nous mettions à rire ensemble, comme si nous nous connaissions depuis toujours, puis nous nous regardions droit dans les yeux pendant quelques secondes, avant que je dépose mes lèvres sur les siennes. Il répondît à mon baiser en l'approfondissant. Rapidement, il m'entraîna jusque dans sa caravane avant de me pousser sur son canapé et de venir sur moi. Je vous laisse deviner la suite...
A FEW HOURS LATER
Après que Jughead et moi ayons couché ensemble, je lui ai dis que je devais retourner chez moi, afin de parler à ma grand mère. Il avait fait une tête bizarre lorsque je lui avais parler de ma grand-mère, mais il n'avait rien dit et c'était contenter de m'embrasser tendrement avant que je parte.
Si je voulais parler à ma grand mère, c'est parce que je comptais lui demander d'aider financièrement les habitants du Southside. Enfin, j'entrais dans le palais avant de fermer la porte derrière moi, puis je partais jusqu'à la salle du trône, afin de m'entretenir avec ma grand-mère. Je la trouvais sur son trône, en train de relire "orgueil et préjugé", l'un des plus beaux chef d'œuvre littéraire de tout les temps. Je toussotais légèrement afin d'attirer l'attention de ma grand mère, ce qui fonctionna vu qu'elle leva les yeux vers moi.
- Elizabeth, ma chérie, qu'est-ce qu'il te faut?
- J'aimerai te demander une faveur..., demandais-je timidement, j'ai un ami...qui vit dans le côté sud de la ville...et qui à des difficultés pour subvenir à ses besoins...est-ce que tu pourrais faire quelques chose pour aider les southsiders à avoir une meilleure vie...?
- Oui, bien sûr.
Je lui souriais rapidement avant de la remercie, puis je commençais à partir avant de me stopper. J'avais une dernière chose à lui demander...une chose qui me concernait...
- Une dernière chose...j'aimerais...pouvoir déménager d'ici, me prendre un appartement en ville...vivre normalement quoi...et ne plus être obliger d'assister à tout les évènements politiques et tout ça...est-ce que cala te dérangerait...?
- Non...si cela te rend heureuse...fais le.
A FEW MINUTES LATER
Une fois sortie de mon entrevue avec ma grand mère, qui m'avait faite promettre de venir lui rendre visite le plus souvent possible, j'avais décidé de retourner dans le Southside, pour rendre visite à Jughead, qui me manquait déjà, même si je l'avais vu il y a très peu de temps. Je pouvais déjà être sûre que dans moins de deux semaines, il aurait marre de moi et de mon côté affectif. Une fois arrivée dans le Southside, je partais directement à sa caravane et j'allais toquer à la porte. Il fût surpris de me voir lorsqu'il ouvrît la porte.
- Hey, toi. Je pensais pas que tu reviendrais me voir aujourd'hui.
- Uhm j'avais un truc à te dire, dis-je tandis qu'il me fit signe d'entrer ce que je fis, comme tu le sais, j'ai parler à ma grand mère et je l'ai convaincu de faire en sorte que les Southsiders aient de quoi vivre correctement.
- C'est gentil, tu étais pas obliger, tu sais?
- Je sais, oui, mais ça me faisait plaisir.
Il sourît et m'embrassa tendrement. Je répondis alors à son baiser en enroulant mes bras autour de sa nuque en souriant. Je lui racontais ensuite la seconde chose que j'avais demandé à ma grand mère et il me félicita pour la liberté acquise aujourd'hui même et à force de discussion, Jughead m'avait demandé d'être sa petite amie officielle et j'avais accepter. Nous avions ensuite décider que lorsque Jughead finirait le lycée, je quitterais Oxford, afin que nous allions tout les deux étudier à Yale aux Etats-Unis. Je sentais que nous rester ensemble très longtemps lui et moi!
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Heyy! Oneshot co-écrit par Sweet_little_cerise ! L'idée vient de moi, je la referai autrement une prochaine fois ! (en deux parties) Bref, on espère que ça vous aura plu ! ❤️
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