Romantic evening in Paris
Romantic evening in Paris
Je me réveille vers six heures du matin, enveloppé par les petits bras de Betty. Celle-ci me serre dans ses bras, toujours endormie dans un profond sommeil. Ses paupières sont closes, ses belles mèches blondes tombent sur l'oreiller blanc en satin... Wow, elle est encore plus belle comme ça. Enfin, c'est Betty après tout, elle est toujours belle ! Sa jolie tête d'ange est posée sur mon torse-nu, ses bras enroulés autour de moi. Je suis vraiment très chanceux de l'avoir... Chaque jour, je me réveille avec cette jolie blonde à mes côtés. Je ne pourrais pas rêver mieux. Nous sommes ensemble depuis plus de quatre ans, et je veux passer le reste de ma vie à ses côtés... Je pense que c'est le bon moment, le bon moment pour lui faire ma demande.
Je m'extirpe délicatement de son étreinte, en prenant soin de ne pas la réveiller, puis enfile un de mes nombreux t-shirts S avec un simple boxer. Une fois habillé, je pars me préparer un café, avant d'aller le boire sur le balcon. La vue est vraiment incroyable... Nous sommes arrivés à Paris hier soir, vers vingt-trois heures, nous avons donc une semaine entière pour profiter de cette magnifique ville. J'ai décidé d'emmener ma douce Betty à Paris pour fêter nos cinq ans de couple. Cinq ans déjà... le temps passe si vite. Depuis toutes ces années, mes sentiments n'ont pas changé, au contraire. Plus le temps passe, plus j'ai envie de passer le reste de ma vie avec cette jolie blonde aux yeux verts-bleuâtres. Je veux fonder une famille avec elle...
Je sirote donc mon café du matin en admirant la magnifique vue que nous avons sur la Tour Eiffel. Nous sommes en plein été, les arbres sont donc fleuris, ce qui rend le paysage encore plus magique. Paris a toujours été ma destination de rêve, je suis très heureux d'être ici avec l'amour de ma vie. Du balcon, situé au troisième étage d'un hôtel plus tôt luxueux, je peux entendre les oiseaux chanter de bon matin, ainsi que voir les gens partir au travail de bonne heure. Comme nous avons dormi tard hier soir à cause du vol, Betty n'est pas prête de se lever avant au moins onze heures, ce qui me laisse environ quatre/cinq heures pour faire ce que j'ai prévu de faire aujourd'hui. Nous visiterons la ville qu'à partir de demain, le temps de se remettre du décalage horaire qui est de neuf heures. Ce soir, je compte bien emmener ma jolie blondinette dîner dans un restaurant chic de Paris.
Après avoir terminé mon café, je dépose ma tasse dans le lave-vaisselle, puis file sous la douche, en étant le plus discret possible pour ne pas réveiller Betty. Une fois douché et séché, j'enfile un pantalon noir plus tôt chic avec une chemise blanche à manches courtes. Pour une fois, je ne mets pas mon iconique bonnet en forme de couronne. Ici, nous ne sommes pas à Riverdale, nous sommes à Paris, la capitale française visitée par des touristes du monde entier. Il faut quand même que je m'applique un minimum dans ma façon de m'habiller, je ne voudrais pas faire tâche au milieu de cette ville pleine de magasins de luxe. Ici, avec mon vieux bonnet et mes vêtements habituels, je passerai pour un clochard.
Bref, une fois habillé, je prends une feuille de papier et un stylo, puis écrit un petit mot à Betty. Je lui écris :
« Betty, je suis parti en ville faire quelques courses, je serai de retour à ton réveil.
Jughead xx. »
Je dépose ensuite le petit mot sur mon oreiller, dépose un délicat baiser sur la tête de ma jolie blonde, puis pars en ville. En me baladant, je passe devant plusieurs restaurants, mais aucun de me convient. Enfin, aucun sauf un ! Celui-ci se nomme « La Tour d'Argent » et est assez luxueux et chic, tout ce que je recherchais. J'y entre donc, puis réserve une table pour dix-neuf heures trente. Je ne vais pas vous mentir, les prix sont plutôt élevés ! Mais pour ce que je m'apprête à faire ce soir, un restaurant luxueux est nécessaire. Et puis, je viens de faire publier mon roman sur le meurtre de Jason, ce qui m'a rapporté une certaine fortune. Sans ça, je n'aurais pas pu emmener ma douce Betty à Paris, ni dans ce restaurant, d'ailleurs.
Une fois la table réservée, je poursuis mon tour de la ville, à la recherche d'un magasin en particulier. Après un certain temps, je passe devant une boutique Chanel. J'ai tout de suite été attiré par une bague disposée en vitrine. Cette bague est en or, sur laquelle est disposée une petite pierre de quartz rose. À côté de cette pierre sont déposés des petits diamants. Cette bague est vraiment parfaite ! La petite pierre rose conviendrait parfaitement à Betty, sachant que le rose est sa couleur, et les diamants lui montreraient à quel point elle compte pour moi. Ce bijou est vachement cher pour ce que c'est... Mais je veux vraiment lui offrir celle-ci. J'entre donc dans la boutique de luxe, le sourire aux lèvres.
- Bonjour, Monsieur, puis-je vous aider ? Me demande une femme, vêtue d'une jupe et d'une veste chic de couleur bleue.
- Bonjour, oui, je voudrais acheter la bague disposée en vitrine, celle avec les diamants et la pierre en quartz rose, répondis-je à la dame.
La dame part donc chercher la bague, puis me la dépose dans un écrin bleu roi légèrement pailleté. Heureusement que j'ai réussi – après plusieurs longues années – à publier mon roman sur le meurtre de Jason ! Sans ça, je ne pourrais jamais acheter cette bague. Elle coûte quand même deux-mille euros ! Nous passons donc en caisse, où je paye la somme demandée, tandis que la dame dépose l'écrin dans un petit sachet « Chanel ».
- La personne à qui vous allez l'offrir doit vraiment compter pour vous, souris la femme. Cette bague est l'une des plus belles et chers de ce magasin.
- En effet... La personne à qui je vais l'offrir compte énormément pour moi. Plus que tout au monde.
Je souris en même temps que la femme, puis la remercie avant de sortir du magasin. Betty va sauter de joie quand elle va voir la bague ! Comme vous l'avez compris, je vais enfin la demander en mariage ! J'ai décidé de le faire ce soir, dans le restaurant où j'ai réservé une table, à Paris. J'avais demandé la bénédiction à Alice il y a un moment déjà, mais je n'ai encore jamais trouvé le courage de lui demander sa main. Enfin, jusqu'à maintenant. C'est décidé, je vais le faire. Je n'en peux plus d'attendre ! Je veux qu'elle soit enfin ma femme, celle avec qui je veux passer le reste de ma vie et fonder une famille. Quoi de mieux que de faire ma demande dans la ville de l'amour ?
Après ça, je décide d'acheter quelques autres trucs pour clôturer la soirée... J'achète des pétales de rose, des bougies parfumées et une robe de soirée. J'ai acheté cette robe pour Betty, pour qu'elle la porte ce soir, au restaurant. Je sais qu'elle lui plaît, car nous sommes passés devant hier soir, en allant à notre hôtel. Elle la voulait par-dessus tout, mais elle ne voulait pas que je dépense trois cent euros pour ça. Il faut dire que cette robe est encore un vêtement de luxe, portant la marque Prada ! Cette robe est de couleur gris argent, faite de satin. Le derrière est un peu plus long que le devant, ce qui donne une impression de traîne à l'arrière. La robe n'est pas très décolletée, car Betty n'aime pas trop ça. Elle est vraiment parfaite, elle va lui aller à la perfection !
Je viens de dépenser plus de deux-mille euros en une seule matinée ! Heureusement que mon roman m'a rapporté, et que mon autre roman, sur le Roi des Gargouilles, vient d'être accepté par le même éditeur pour être publié le mois prochain. Une fois tous mes achats terminés, je passe à la boulangerie nous acheter des croissants et des petits pains au chocolat, avant de rentrer à l'hôtel. Heureusement pour moi, Betty dort encore. Je récupère donc mon petit mot que je lui avais laissé tantôt, puis cache mes achats dans ma valise, que je ferme avec un cadenas et un mot de passe à quatre chiffres. Après tout ça, je dépose les viennoiseries sur la table du balcon, avec un bol de chocolat chaud, puis pars dans le lit réveiller ma jolie blonde.
Je m'allonge à côté d'elle, puis replace une mèche de ses cheveux derrière son oreille, avant de venir délicatement déposer mes lèvres sur les siennes. Je la sens sourire, tout en répondant à mon baiser.
- Hey, me dit-elle doucement, d'une voix à moitié endormie.
- Hey, souriais-je. Bien dormi, princesse ?
- Dans tes bras ? Impossible de mal dormir.
- T'es mignonne.
Je souris, puis redépose mes lèvres sur les siennes, les emportant dans un long et doux baiser. Nous sous séparons pour reprendre notre souffle, puis je viens déposer un doux baiser sur sa tête, avant de me relever du lit. Je donne à Betty le t-shirt S que je lui ai donné, puis son shorty rose bonbon. Elle se lève donc du lit pour s'habiller, ce qui me laisse une jolie vue sur son corps nu, que je ne me gêne pas d'admirer.
- Bave pas trop, rit-elle en enfilant son shorty. Tu es un petit pervers, Jughead Jones.
- Juste pour toi, Betty Cooper, riais-je à mon tour. Bon, debout petite marmotte, je t'ai préparé le p'tit dej'.
Elle sourit, se lève du lit, puis part sur le balcon. Je m'assieds en face d'elle, l'admirant au soleil. Comment ai-je fait pour avoir une fille aussi parfaite ? Moi, Jughead Jones, le weirdo qui dégoûte toutes les filles. Enfin, toutes, sauf une, ma belle et tendre Elizabeth Cooper, très bientôt Elizabeth Jones ! Nous prenons donc le petit-déjeuner sur le balcon, en admirant la ville de bon matin, avant qu'elle n'aille se préparer. Quand elle ressort de la salle de bain, je remarque qu'elle porte une jolie robe blanche à fleurs jaunes, ce qui fait ressortir la couleur de ses cheveux. Wow... Elle est vraiment magnifique. Franchement, je suis l'homme le plus chanceux du monde ! Cette fille est parfaite, vraiment parfaite.
- Bon, on fait quoi aujourd'hui ? Me demande-t-elle en souriant.
- On pourrait aller se balader un peu pour profiter du soleil ? Il y a le Jardin des Tuileries pas loin et la Place de la Concorde. On pourra aller faire un tour au Musée du Louvre ensuite ?
Elle acquiesce en souriant, puis prend son petit sac à bandoulières, qu'elle met autour du cou avant que nous partions. Nous passons donc la journée à se promener, visiter un peu la ville et ses musées, notamment ceux du Louvre et de l'Orangerie, deux des plus connus de Paris. Nous n'avons malheureusement pas pu tout visiter à cause des touristes particulièrement nombreux et de la taille des musées. Ils sont tellement grands qu'on pourrait les visiter toute la journée ! D'ailleurs, c'est ce que nous avons fait !
L'heure montre enfin dix-huit heures, alors je décide de rentrer. Une fois arrivés à l'hôtel, Betty me demande :
- Jug, pourquoi on rentre à cette heure-ci ?
- J'ai une petite surprise pour toi ce soir...
Elle me regarde d'un air confus. Je pars alors chercher la robe que je lui ai achetée, en lui demandant de fermer les yeux. Une fois devant elle, je lui demande de les ouvrir. Je vois la lumière briller dans ses beaux yeux à la seconde où elle voit ce que je tiens dans les mains.
- Jug ! C'est la robe que je voulais ! Tu n'aurais pas dû, elle a dû te coûter une fortune... me dit-elle doucement.
- J'ai de l'argent depuis que mon roman a été publié, et je savais que tu voulais absolument cette robe, alors je te l'ai acheté. Tu as une heure pour te préparer, après nous allons au restaurant, souriais-je.
Elle sourit, puis me saute au cou en venant m'embrasser passionnément. Alors là, elle n'est pas au bout de ses surprises. Elle est déjà surexcitée parce qu'on va au restaurant, alors imaginez sa tête quand elle va me voir poser le genou à terre et lui demander de m'épouser... J'ai tellement hâte qu'elle se débarrasse de son nom de famille pour le remplacer par le mien ! Elizabeth Jones, c'est joli, non ? Bref, en attendant qu'elle utilise la salle de bain, je pars chercher la bague dans ma valise, puis la mets dans ma poche de pantalon.
Betty sort de la salle de bain peu de temps après y être entrée, habillée de sa magnifique robe grise à trois cent euros, d'une paire d'escarpins mi-hauts couleur argent, ses cheveux relâchés, frisés naturellement, et maquillé avec un simple rouge à lèvres rouge avec un petit peu de fard à paupières discret. Wow... Cette robe lui va à merveille et j'adore quand ses cheveux sont relâchés de leur queue-de-cheval habituelle, ça la rend plus... naturelle. Je la scrute du regard quelques secondes, avant de croiser ses beaux yeux verts-bleuâtres, remplis de joie. Je souris, puis viens l'embrasser tendrement.
- On y va ? Lui demandais-je doucement en lui prenant la main.
Elle hoche la tête, puis nous appelons un taxi, qui nous amène jusqu'à La Tour d'Argent, le restaurant de luxe dans lequel j'ai réservé une table. Betty écarquille les yeux à la seconde où elle voit le luxe de ce restaurant. Nous descendons du taxi, puis entrons.
- Bonjour, j'ai une réservation au nom de Jones, dis-je doucement à la dame qui s'occupe de placer les gens.
- Très bien, suivez-moi.
Nous la suivons jusqu'à une table, puis la remercions. Je tire la chaise de Betty pour qu'elle s'assoie, puis pars m'asseoir à la place en face d'elle. La table à laquelle nous sommes est une table pour deux, sur laquelle sont disposées quelques bougies, de quoi donner une ambiance plus romantique au repas.
- Jug, tu n'aurais pas dû... murmure doucement ma jolie blonde. Ce restaurant doit coûter une vraie fortune...
- En effet, mais ça vaut le coup, souriais-je. Je ferai n'importe quoi pour te faire plaisir.
- J'apprécie, Jug, vraiment, mais je ne veux pas que tu dépenses tout ton argent pour moi...
Heureusement pour moi, le serveur nous interrompt, ce qui m'empêche de lui répondre. Je ne savais absolument pas quoi dire ! Le serveur nous donne donc la carte, puis nous sert un verre de vin rouge grand cru de 1912. Après ça, il repart. Nous nous mettons donc à regarder la carte des entrées, des plats et des desserts. Wow, ce n'est pas donné, mais je veux que cette soirée soit absolument parfaite. Je commande donc du saumon en entrée, tandis que Betty commande une salade. En plat, je choisis des aiguillettes de homard au vin, quant à Betty, elle choisit des pâtes à la truffe. Nous mangeons donc tout en parlant de tout et de rien, quand vint enfin l'heure du dessert. Nous choisissons de partager un fondant au chocolat au coulis de fraise.
Une fois le dessert englouti, je décide de passer à l'acte. Je sors donc l'écrin de ma poche, puis me lève.
- Jug, qu'est-ce que tu fais ? Me demande Betty, intriguée.
Sans rien dire, je pose un genou à terre, puis ouvre l'écrin devant elle, sous les regards choqués des autres clients du restaurant. Je prends ensuite une grande respiration, puis me mets à parler.
- Elizabeth Cooper, tu partages ma vie depuis déjà cinq ans, et je n'ai jamais été aussi heureux de toute ma vie que pendant ces cinq dernières années. On a eu des moments difficiles dans nos vies, mais nous les avons toujours surmontés, ensemble. Alors aujourd'hui, dans ce beau restaurant parisien, je te le demande : veux-tu passer le reste de ta vie à mes côtés et me faire le plaisir de devenir ma femme ?
Elle me regarde, choquée. Les larmes coulent maintenant le long de ses jolies joues.
- Jug... Oui, oui, oui, mille fois oui !!
Elle pose ses mains sur mes joues, puis m'embrasse fougueusement, tandis que les gens autour de nous applaudissent, eux aussi ayant les larmes aux yeux. Je lui mets ensuite la bague au doigt, puis elle me regarde.
- Je dois aussi te dire quelque chose... me dit-elle doucement. J-Je suis enceinte...
Je suis – à mon tour – choqué. Je ne m'y attendais pas du tout... Alors là, nous ne sommes pas prêt d'oublier cette soirée ! Je la demande en mariage, tandis qu'elle m'annonce qu'elle est enceinte ! C'est le plus beau jour de ma vie ! J'enroule ensuite mes bras autour d'elle, puis l'embrasse fougueusement à nouveau. Après ça, je pars payer la maudite somme de deux cent euros, puis nous repartons à l'hôtel.
- Je vais aller me changer... dit-elle doucement en m'embrassant rapidement. Je t'aime !
Sur ces mots, elle part s'enfermer dans la salle de bain. Je l'entends pleurer de joie et appeler Alice, qui était déjà au courant. Enfin, elle ne savait pas quand j'allais le faire, mais elle savait que j'avais prévu de le faire un jour ou l'autre. J'entends ensuite qu'elle appelle Veronica. Pendant ce temps-là, j'allume quelques bougies dans la pièce, ferme les rideaux, puis dépose des pétales de rose sur les draps bancs en satin et sur le sol. Après une vingtaine de minutes, ma jolie blonde ressort de la salle de bain, les yeux rouges à force de pleurer, habillée de son pyjama. Des nouvelles larmes coulent de ses yeux à la seconde où elle voit les pétales et les bougies.
- Jug...
Elle fond en larmes, alors je cours vers elle et la serre dans mes bras. Je me mets également à pleurer, de joie... Je suis tellement heureux... Après nous être pris dans les bras quelques minutes, je dépose mes mains sur ses douces joues, puis l'embrasse tendrement, en la poussant délicatement dans le lit. Elle tombe sur le matelas en laissant échapper un petit rire, faisant voler les pétales de roses tout autour d'elle. Je me retrouve rapidement au-dessus d'elle. Nos vêtements ne tardent pas à finir sur le sol, bientôt suivis de nos sous-vêtements. Une fois totalement nus, je regarde Betty dans les yeux, dépose un doux baiser sur ses lèvres, puis viens embrasser sensuellement son cou, en y laissant quelques marques d'amour par-ci par-là.
Je descends ensuite sur sa clavicule, puis sur ses seins. Je prends l'un de ses tétons dans ma bouche, puis travaille sur le reste de sa poitrine, que je couvre de baisers avant de descendre sur son ventre. Je ne peux pas croire qu'à l'intérieur de son petit ventre, il y a une graine, qui grandira et deviendra ensuite notre enfant... C'est incroyable. Après avoir recouvert son ventre de doux baisers mouillés, je descends petit à petit vers son intimité. Une fois arrivé là où je voulais, je viens déposer délicatement ma langue sur son bouton de plaisir, avant d'y dessiner des cercles à l'aide du bout de ma langue.
- Hmm... Jug...
Elle gémit tout en venant poser ses mains dans mes cheveux, les tirant légèrement. Je continue de travailler sur sa partie intime à l'aide de ma bouche un long moment, avant d'entrer délicatement mon index dans la partie la plus intime de son corps. Elle est déjà toute mouillée, rien que pour moi. Je commence donc à faire de doux va-et-vient à l'aide de mon index, tandis qu'elle gémit mon nom en tirant une mèche de mes cheveux. Je viens désormais mordiller son clitoris, ce qui lui provoque un violent gémissement. Après quelques minutes, je sens qu'elle se rapproche du Septième Ciel. Je fais donc rentrer un deuxième doigt, en continuant mes doux va-et-vient et mes coups de langue réguliers.
- Hmm... Jug, je vais...
Je continue donc tous mes mouvements, alors qu'elle atteint l'orgasme. Après plusieurs secondes supplémentaires, je retire mes doigts de son intimité, puis les dirige vers ma bouche pour en avaler le liquide blanc. La seconde d'après, Betty m'attire contre elle, puis m'embrasse tendrement avant de se déplacer entre mes jambes. Elle vient enrouler sa main autour de ma masculinité, avant d'y faire des légers va-et-vient doux et fermes. Oh putain... elle est vraiment douée avec ses mains. En fait, elle est douée dans tous les domaines. Ma bouche commence donc à émettre des faibles gémissements, avant que Betty ne prenne mon membre dans la bouche. Elle s'attarde sur le petit bout rose, y donnant de puissants coups de langue, avant de le prendre entièrement dans la bouche.
Mes mains ne tardent pas à rejoindre ses doux cheveux blonds, les tirant légèrement tandis que mes gémissements s'accentuent. Oh, là, là, elle sait y faire avec sa bouche. Qui aurait cru que Betty Cooper, la fille parfaite d'à côté ferait un jour ça ? Personne, pas même moi. Mais je suis heureux que ma chère et tendre ne soit pas si innocente que ce que l'on pensait. Betty commence donc à faire des va-et-vient à l'aide de sa bouche, sur toute la longueur de mon membre. Je ne peux pas m'empêcher de jeter la tête en arrière et de gémir sans pouvoir me retenir. Peu de temps après, j'atteins l'orgasme à mon tour. Betty se relève donc, essuie sa bouche à l'aide du dos de sa main, puis me regarde en souriant.
- Maintenant, je veux que tu me fasses l'amour, me dit-elle sensuellement à l'oreille. Toute la nuit...
Je souris, puis la retourne afin de me retrouver au-dessus d'elle. Nous nous regardons droit dans les yeux, le sourire aux lèvres, tandis que j'écarte ses jambes à l'aide de mon genou. Une fois ses jambes assez écartées, je me faufile entre elles puis la pénètre délicatement. Une fois entièrement en elle, je me fige une minute pour lui laisser le temps de s'habituer à la taille imposante de mon membre, avant de commencer à faire de légers va-et-vient. Oh, elle est super serrée ! Je ne vais pas tenir longtemps, et elle non plus d'ailleurs...
Betty passe ses mains dans mon dos, le griffant légèrement, avant de passer ses mains dans mes cheveux, en gémissant mon nom.
- Plus vite, Juggie... gémit-elle sensuellement à mon oreille.
Sans plus attendre, j'accélère légèrement mes coups de reins. Wow... c'est tellement bon... Je ne me lasserai jamais de cette sensation. Ce n'est pas seulement une histoire de sexe, c'est tellement plus. C'est aussi de la confiance, de la complicité et du plaisir. Nous avons mis plus d'un an pour arriver où nous sommes maintenant. Au départ, nous ne faisons rien d'oral, mais avec le temps, nous nous sommes fais confiance puis avons essayé. Et depuis, on ne peut plus s'en passer. Il ne faut pas négliger les préliminaires, c'est quelque chose de très important lors des relations sexuelles. Les préliminaires donnent encore plus de plaisir que l'acte en lui-même et permettent de partager un vrai moment de confiance et de complicité.
Après un laps de temps, Betty et moi atteignons l'orgasme en même temps.
- Encore... dit-elle doucement en enroulant ses jambes autour de ma taille, me faisant glisser plus profondément en elle.
Nous continuons donc de célébrer cette soirée en faisant l'amour, toute la nuit...
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J'espère que ce looong Oneshot vous plaira, car j'y ai passé au moins 5 heures (c'est pas une blague) 😭❤️ Perso je l'adoooore ! Tell me what ya think abt it! ❤️ ~ 4 000 mots ~
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