Comme presque tout les jours tu te dirigeas vers la cellule où étaient les ninjas de Suna. Quand Tsunade sera là, tu pourras les en faire sortir, avec beaucoup d'arguments, mais tu y arriveras.

Jiraya et Naruto étaient aller la chercher, tu étais extrêmement pressée qu'ils arrivent.

Tu rentras dans la salle où était enfermé Gaara et tu pris place sur une chaise.

«Salut Gaara! Ça va? Demandas-tu tout(e) souriant(e)

Beaucoup mieux depuis que tu es là.» Il t'accordas un sourire.

Oh mon dieu pourquoi il est si mignon?! Pensas-tu sans manquer de rougir.

«J'imagine que tu en as marre de rester enfermé entre quatre murs.

-Ce n'est pas vraiment ce que je voudrais.

-Tu voudrais sortir?

-Être avec toi.»

Tu ne répondis pas tout de suite, chamboulé(e) par cette réponse.

Tu baissas la tête pour cacher tes rougissement.

«Ç-ça tombe bien.. J'ai réussi(e) à obtenir une journée en dehors de cette prison. J'espère que tu es content... Désolé(e), il n'y aura pas ton frère et ta sœur ni Baki... Je n'ai réussi à les convaincre que pour toi, vu que tu t'étais dénoncé et que tu t'étais bien comporté selon les dires des gardiens... Mais tu devras porter une sorte de bracelet... Il indiquera tout tes gestes et s'il y'en a un suspect... Il t'assomme...

-C'est parfait.

-Mais c'est super dangereux! Tu es sûr que tu veux prendre ces risques?

-Sûr.»

~Ellipse~

Gaara et toi sortirent de la prison. Tu engageas la conversation:

«Où est-ce que tu veux aller en premier?

-N'importe où me va.

-Q-qu'est ce que tu dis d'un magasin de vêtements? Pour te débarrasser de cet uniforme de prison.»

Il hocha la tête et te prit la main.

Vous vous dirigèrent vers le premier magasin que vous trouvèrent et, à votre plus grande joie, il vous acceptèrent.

La propriétaire était une vielle dame très gentille qui ne se souciait pas de savoir si la personne qui rentrait était un prisonnier ou non.

«Euh... je... tu pourrais demander de l'aide aux vendeurs..? Je ne saurais pas quoi te proposer.

-Vous avez besoin d'aide? Demanda un vendeur en arrivant.

-Oui s'il vous plaît... Pourriez-vous aider mon ami à... choisir des vêtements.... plus appropriés?

-Bien sûr.»

Il l'aida pendant que tu étais sur une chaise à l'attendre. Quelques minutes plus tard Gaara sorti de la cabine.

Tu lâchas ton porte monnaie tellement tu étais estomaqué(e) par sa beauté. Tu tournas la tête et mis tes mains devant ton visage pour le cacher, étant devenu rouge pivoine.

«Qu'est-ce qu'il y'a? Ça ne me va pas? S'inquiéta Gaara.

-Je pense au contraire qu'elle/il te trouve magnifique. Répondit la propriétaire avec un sourire en coin.

-Euh! Oui. J-je... c'est.. tu es parfait! Je veux dire c'est parfait!»

Ton visage prit une teinte carmin, c'était tellement rouge que tu ne savais pas que ça existait.

(Nda: non mais c'est vraiment rouge, regardez sur internet)

«Je... tenez! Dis-tu en ramassant le porte monnaie et en sortant des billets.

-Je vous fait une petite réduction, 30€ (flemme de mettre en yen-_-) le tout.

-Merci énormément.»

Gaara la remercia aussi et vous partirent.

Vous marchiez dans les rues de Konoha, main dans la main, si personne ne savait qu'il était prisonnier, tout le monde vous auriez pris pour un couple.

D'autant plus qu'il semblait aussi embarrassé que toi. Mais aucun de vous ne voulait lâcher la main de l'autre.

Gaara resserra même son emprise.

«Tu sais, j'avais été autorisé à reprendre mon ancien argent. J'aurais pu payer.

-Non. Je tenais à te faire un cadeau.

-Je t'en ferais un aussi.

-Non! Vraiment, pas besoin.

-J'insiste.»

Il y'eu un petit silence que tu décidas de briser:

«Tu veux aller où, en suite?»

Il ne répondit pas et s'arrêta brusquement.

«Ferme les yeux.» t'intima t-il.

Tu t'exécutas. Il t'emmena doucement et prudemment à l'intérieur d'une boutique.

Tu frissonnas à cause du froid qui régnait dans la pièce.

Plus tard vous ressortiez de la boutique.

Il t'emmena un peu plus loin et bientôt, tu n'entendis plus les bavardages de la rue commerçante.

Gaara te fit t'asseoir. Il te prit le poignet et t'attacha quelque chose autour.

«C'est bon tu peux les rouvrir.»

Tu le fis donc. Par réflexe tu regardas ta main pour voir ce qu'il avait accroché. Tu restas bouche bée en trouvant sur ton articulation un beau bracelet avec au centre le signe infini et des diamants en forme de cœur qui le décorait. C'était un bracelet vraiment magnifique.

Tu rougis et regardas chaque petit détails et chaque diamants comme si chacun était différent et tout aussi important. Pendant ton silence admiratif Gaara te dit tendrement:

«Je voulais te donner ce bracelet pour te dire quelque chose d'important.»

Tu retins ton souffle. Il prit sa main et caressa ta joue. Il s'avança doucement et tendrement, ses lèvres vinrent rencontrer les tiennes.

Quand vous vous séparèrent il détourna son regard, comme honteux. En t'empourprant tu t'avanças et fit la même chose qu'il avait fait quelques instant plus tôt, c'est à dire l'embrasser.

Vous étiez tous les deux cramoisis et gênés. Gaara finit par faire un geste vers toi: il passa sa main dans tes cheveux et t'enlaça. Tu lui rendis son étreinte, si heureu(se)x.

Devant vous, l'eau d'une rivière s'écoulait lentement et des oiseaux gazouillaient. C'était tellement parfait.

Tu n'avais jamais eu autant de chance depuis que tu étais arrivé(e) dans ce monde. Tu venais d'un monde différent et te voilà maintenant dans les bras de la personne que tu aimais.

Tout était agréable à ce moment là. Mais Gaara t'écarta de lui et te regarda dans les yeux.

Pendant quelques secondes tu ne parvins pas à détacher ton regard du siens.

Ses yeux étaient tellement magnifiques... Ils étaient bleus-vert et ils t'apaisaient étrangement quand tu les regardait. Les traits de ses yeux coordonnaient tellement avec ceux de son visage. Et ils étaient si doux!

«Je t'aime.»

Il l'avait murmuré, presque si bas que tu crus avoir rêver. Mais il continua sur sa lancée.

«Je t'aime tant. Tu es la personne la plus belle, gentille, douce, incroyable et extraordinaire qu'il m'est été donné de rencontrer.

-Je t'aime plus encore... Je t'ai toujours aimé, depuis la première fois que je t'ai vu jusqu'à aujourd'hui. Et je t'aimerais encore dans mille ans. Je t'aimerai jusqu'après la mort. J'ai besoin de toi pour vivre.

-Tu es la seule raison pour laquelle je me suis dénoncé. Tant que tu seras dans ce village ou qu'il y'aura des personnes qui compte pour toi à l'intérieur, je le protègerais. Je me battrais toujours à ses côtés et au tiens. Je t'en fais la promesse.

-Je te protègerais toi, ton village et ta famille aussi longtemps que tu les aimeras. Jamais je ne vous laisserais tomber, jamais je te laisserais tomber. Je serai toujours là pour toi. Je te le promets.

-Je te rattraperais toujours quand tu tomberas, au pris de ma vie.»

La dernière phrase avait été prononcé en chœur, chacun tenant la main de l'autre.

«Je t'aime.»