La rencontre... ( suite )

- Où veux-tu que je me cache, Sans?

- Derrière cette lampe, là...

Frisk pensait que c'était complètement débile, mais c'était la seule solution rapide de se cacher de se maniaque d'humain. Alors, il se plaça derrière cette lampe et il remarqua qu'elle faisait sa forme de corps à point. Aucune démarcation de lui fût visible.

Papyrus  arriva à ce moment là. C'était lui aussi un squelette beaucoup plus grand que Sans avec une cape rouge sur les épaules et une armure... différente des autres qu'il avait vu dans des livres. Son visage avait lui la forme d'un squelette normal tandis que Sans avait un visage beaucoup plus large. À première vue, il ressemblait d'un gars quand même intelligent, mais avec la description que Sans a fait de lui, ça nous prouve le contraire...

Papyrus regarda son petit frère dans les yeux, visiblement contrarié.

- Sans! Tu m'avais dit que l'humain était de l'autre côté, mais il y était pas! cria-t-il.

- Ouais mais ce n'est pas de ma faute si tu n'as pas bien regardé, car je l'ai vu de l'autre côté!

- La seule personne que j'ai vu de l'autre côté était le petit dinosaure jaune qui n'avait pas de bras! Tu m'as encore menti, Sans! Tu le sais que mon rêve c'est de faire partie de la garde royale. Undyne en fait partie, alors je veux lui ramener l'humain!

- Je n'ai pas encore rencontré l'humain, Papyrus. Je ne sais pas exactement où il est, alors, je ne peux pas t'aider. Vas voir au village te renseigner et si je trouve des informations concernant celui-ci, je t'en donnerai des nouvelles...

- Promis??

- Parole de squelette!

Et Papyrus repartit vers le village. Frisk, en entendant cette conversation, ne bougea pas d'un poil, alors quand Sans lui dit finalement de sortir de là, il était ankylosé...

- Sans, demanda Frisk, on s'en va vers le village, n'est-ce pas?

- Ouais... Mais inquiète toi pas, si tu restes avec moi, tu n'auras rien à craindre! Parole de squelette!

Frisk se donna plus confiance et continua sa route avec Sans. Il repensait calmement aux paroles de Papyrus. Il a parlé d'une certaine Undyne... Qui est cette fille? Fait-elle partie de la garde royale? Est-elle dangereuse?

- Sans, qui est Undyne? demanda Frisk.

- Ah, c'est la chef de la garde royale.

- Est-elle dangereuse pour moi...

- Le monstre qu'il ne faut absolument pas que tu rencontres en ce moment, c'est elle! Quand elle a su qu'il y avait un humain ici, elle a immédiatement demandé à Papyrus de partir à ta recherche. Si tu veux mon avis, tu aurais du rester avec Toriel.

- Pourquoi l'a-t-elle demandé à Papyrus? se questionna Frisk tout haut.

- Parce que c'est Undyne qui entraîne mon frère pour qu'il entre dans la garde royale. Il n'y arrivera jamais, elle me l'a expliquer l'autre jour.

- Et pourquoi?

- Parce que Papyrus n'a pas les compétences nécessaire pour pouvoir entré dans la garde royale. Tu as vu ce qui était capable de faire tout à l'heure. Il le sait qu'il faut jamais me faire confiance, mais il le fait quand même...

- Attend... qu'il ne faut jamais te faire confiance? Qu'est-ce que tu penses que je fais depuis le début? Sans, tu me déçois!

Frisk partit en courant dans la forêt. Il voulait absolument partir de cet endroit. La question: mais comment? Il courut jusqu'aux portes de chez Toriel et se mit à frapper. Il frappa et cria son nom:

- Toriel!! Toriel, ouvre moi! S'il te plaît Toriel... Toriel...

Il s'écroula à genoux et pleura. Il pleurait de peur et de déception. Comment allait-il se sortir de là? Pourquoi s'avait-il trop approché du ravin? Pourquoi avait-il lancer son ballon et a-t-il essayer de le rattraper? Il se trouvait idiot. Imbécile même...

- Frisk, mais que fais-tu là?

Sans l'avait rattrapé. Il l'avait cherché partout et se demandait pourquoi il avait fuit de la sorte. Il avait dit des paroles incensées et il voulait s'expliquer maintenant...

- Frisk, je vais t'expliquer...

- Sans, si tu veux me capturer, fais le maintenant. Je ne veux plus souffrir dans ce monde. Je veux juste être libre et avoir la paix...

- Je ne veux pas te capturer, Frisk. Je veux juste t'expliquer que je me suis mal exprimé. C'est Papyrus qui ne doit pas me faire confiance, pas toi. Toi, tu es mon ami. Je ne te ferai jamais du mal. Viens, parce qu'on va être en retard pour le dîner...

- Je peux vraiment te faire confiance, Sans?

- Oui... Viens maintenant. Je vais t'amener dans un bistros au village.

- Ok... dit-il finalement en entendant son ventre gronder.


                                                                 À suivre...











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