Chapter 4

-Bon.. Maintenant.. Expliquez-moi !

La nuit est tombé. Ils vont dormir à la belle étoile ce soir. Heureusement pour eux que Yukino a prévu des sacs de couchages. Sting quant à lui, à allumer le feu, et actuellement il rajoute des bois pour que ça tiennent.

-De quoi tu parle ? Demande Sting les sourcils froncés.

-C'est évident ! Tous se qui vient de se passer aujourd'hui ! Se plain la rose assise.

-Nashi, c'est une longue histoire. Et tu va comprendre petit à petit... Dit Yukino d'une voix douce.

Sting commence à s'assoir à sa place et approche le lit de Yukino qui est assis dessus vers le sien. La blanche s'assoit entre les jambes du blond, et pose l'arrière de sa tête sur son cou. Pour ne pas tomber en arrière il pose ses mains derrière lui le lui servant de calle.

-Mais ce que tu doit au moins savoir, c'est que ces types, ne sont pas humains. Commence Sting en la regardant sérieusement.

Les yeux de Nashi s'écarquillent.

-Attendez, attendez... Vous voulez dire que se sont des.. robos.. Dit-elle en perdant de plus en plus sa voix.

Ils hochent tous deux de la tête tristement.

-Donc mes parents ils ne sont pas..

-Non ce n'est pas des malades mentales. Par contre toi, oui. Dit Sting. Croire une tel chose sur tes parents c'est que tu es une taré. Tu doit aller te faire soigner gamine.

Le blond se reçoit un coup de coude de la part de la blanche.

-Aïe ! Je te signal que t'es sur moi, là ! Mais si tu me donne un coup de plus, je t'éjecte ! Capish ? Préviens t-il.

-Au lieu de l'insulter, continue à lui expliquer ! Idiot ! Dit-elle en lui tapant le bras.

-Ok, ok ! Fit-il en lui attrapant la main. Nashi ?

Celle-ci garde les yeux écarquillé, debout immobile. Ce qui les surprends.

-Euh.. Nashi.. Je suis désolé.. Le blond gratte sa tête en s'en voulant.

-Non, Sting.. Tu a tout à fait raison.. Je n'ai pas eu confiance.. En mes propres parents.. Dit-elle en posant ses mains sur sa poitrine. Tout compte fait... Heureusement qu'ils ne savent pas ce que je suis devenues.. De savoir à quoi je ressemble, ou même de savoir si je suis en vie ou pas..

-Ils savent que tu es en vie, Nashi. Commence Yukino en se levant et s'approchant de la rose. Si se ne serait pas le cas, ils ne s'évaderons pas pour venir te sauver de ceux qui veulent en ta mort. Elle enroule ses bras autour des épaules de la blonde, et la serre contre elle en posant sa tête sur une de ses épaules. Aie confiance au moins une fois, en tes parents Nashi. Là ou on aura besoin de le plus vite possible, ils seront déjà là.

La rose verse des larmes. Et sourie à Yukino.

-Oui.. D'acco- Hein..? Argh ! Fit soudainement la rose, les yeux écarquillés. Elle positionne ses mains autour de son cou, en serrant de plus en plus.

-Nashi ! Hurle Yukino. Sting!

Celui-ci se lève brusquement en regardant la rose rester debout immobile en hurlant de douleur.

-Il faut attendre que ça s'affiche.. Y a pas d'autres solutions, dit-il en faisant reculer Yukino d'un pas en arrière.

-Mh..

-KYAAAAAAAAAAAH~ !!

-Regarde, ça commence. Dit-il en lui indiquant du doigt Nashi.

-Oui..

Un tatouage rouge s'illumine sur la cavicule de la rose. Une douleur insuportable lui fait perdre l'équilibre. Elle tombe à genou, en hurlant et ayant du mal a respirer.

-Ç... Ça brûle.. ! AA~!

-En même temps.. Commence le blond.  Après cette torture, la rose s'évanouit dans les bras de Sting. Le tatouge cesse de s'illuminait et devient noir. Tu n'es pas la fille de n'importe qui, Nashi. Dit le blond en regardant Yukino avec un rictus au coin de ses lèvres.

*

-Nashi ? Demande une blonde venant de se réveiller.

Alors quelle voulu lever sa main pour se frotter les yeux, quelque chose l'en empêcher. Elle tourne sa tête brusquement en voyant quelle à été menoter. Elle se trouve les deux mains écarté, une menote chacune cloué au lit, et deux autres dans chaque pied tout aussi cloué. Une lumière blanche aveuglante se trouve juste au-dessus de ses yeux. Elle les fronce en comprenant que quelque chose de mal va se passer. Elle tire sur les menotes essayant tant bien que mal de s'en défaire, mais sans cesse. Rien à faire. Ça ne se retire pas. La blonde regarde autour d'elle cherchant un moyen de s'enfuir. Elle vit un seul couteau posé sur une table en fer roulante. Elle ferme ses paupières et les réouvres soudainement en laissant apparaître douze étoiles dans ses yeux. Douze miniscule étoiles formant un cercle dans un fond violet brillant. L'objet se met à trembler subitement. Le bout commence à flotter dans les airs, jusqu'à ce que ce soit le couteau entier qui vole. Celui-ci se dirige lentement vers la blonde, puis descent doucement vers les menotes. Vers la visse précisément, et dévisse l'unes des menotes situé sur ses mains. De la sueur dégouline au front de la blonde. Elle réussit à en retirer une, ce qui lui fait lâcher un rictus puis effacer soudainement en entendant des pas venant d'un couloir. Des pas se rapprochant. Elle essaie de libérer sa deuxième main le plus vite possible, ce quelle réudsit avec succès.

-Tous les deux, venez avec moi. Dit-une voix derrière la porte.

Les yeux de la blonde s'écarquillent. Elle lâche le couteau de vue, et à la place fait trembler la table en fer roulante. La poignet de la porte se met à gigoter de haut en bas, jusqu'à ce quelle s'ouvre sur le vielle homme au cheveux blanc, les sourcils froncés avec un sourire au coin accompagné de deux hommes les mains jointes devant eux.

-Alors, Mlle-

La table vient soudainement dans la face de ce directeur.

-Argh !

Ils se retrouve moitié à terre avec le nez en sang, en regardant la blonde essayant de retirer les deux chaînes de ses jambes les sourcils froncés, au coin de l'œil. Il tourne son regard vers ces deux gardes du corp essayer de l'aider, en colère.

-Vous attendez quoi !? Stoppez là !

-Oui, chef !

Ils s'approchèrent précipitemment vers la blonde, celle-ci fixe le couteau précédent, et le fait voltiger pour ensuite le faire pénétrer dans la jambe d'un des deux hommes.

-AAH ! Il tombe à terre, apeuré de retiré le couteau de sa jambe. Gnnh !

L'homme suivant le retint les bras. Celle-ci dilatent les yeux. Elle essaye tant bien que mal de se défaire de son emprise mais rien à faire. Celui-ci le plaque contre le lit, alors que celle-ci continue à se débattre. Soudain, de la chaleur venant dans les chevilles de la blonde se fait ressentir. De la chaleur douce quelle cru ne plus jamais ressentir depuis toute ses années. Cette chaleur provient des menotes. Ils deviennent en feu. Des goutes de fer brûlant atterissent au lit. L'homme la tenant fermement devient soudainement en feu, entièrement en feu, et hurle de douleur.

-AAHH~ !!

Il pose ses mains sur sa tête en continuant de hurler. Il sort part la porte de sortie en hurlant dans tous les couloirs.
La blonde sourie. Les menotes se fendent enfin. Elle murmure un "merci" et retire les poussières sur ses pieds, et se met debout sur le lit. Le vielle homme se met à fixer la blonde apeuré. Il regarde à côté de lui précipitemment et trouve un bouton rouge près de lui. Avant d'appuyer dessus il se ressoit un tourne visse dans l'épaule.

-GYARGH !

La blonde finit par descendre du lit et marche en sa direction. Elle assome l'homme se trouvant à genou, avec le couteau toujours planté profondément dans sa cuisse, en lui mettant un coup de pied dans la nuque. Puis prend son arme attaché à sa ceinture.
Elle marche en regardant le vielle homme face à elle avec un bref regard. Elle recharge le pistolet en fixant le vieux.

-Où sont mes équipements ? Demande la blonde sèchement, en envoyant ses long cheveux derrière elle.

-Je.. Je ne te le dirais pas.. Dit-il d'une voix tremblante. Je préfère mourrire ! De toute façon, tu aura pas l'audace de me-

-Suffit de demander... Elle tire soudainement dans la jambe de cette homme. Et une autre dans son épaule. Elle continue à tirer en évitant les points viteaux de celui-ci, en lui lançant un bref regard, alors que lui hurle devant elle.

Après quelques minutes elle se stoppe et s'approche de lui, puis pose un genou à terre, et l'autre accroupis. Elle le prend par le colle les sourcils froncés.

-Maintenant, dit moi où sont mes équipements. À moins que tu préfère être torturer jusqu'à la fin ?

-C'est.. C'est bon.. Ils sont dans mon bureau.. À mon armoire..

-Merci, dit-elle avec un sourire en se levant avant de lui envoyer un coup de genou à la tête pour quil soit assomé. De toute façon, vous allez mourrire.

Celle-ci ouvre la porte et envoie une dernière fois ses long cheveux derrière elle.
Elle se dirige vers le bureau du vielle homme avec un bref regard.

Elle rencontra un ou deux gardes dans le chemin, et réussi sans difficulter à les mettres à terres. Elle arrive enfin devant la porte et l'ouvre. Elle tourne son regard vers l'armoire et s'approche de lui. Elle voulut ouvrire la porte, mais malheureusement un cadenat y est enchainés sur les poignet. La blonde soupire en baissant sa tête, tout en sortant l'arme et le pointant vers le cadenat.

-C'est dommage.. Il était plutôt jolie. C'est du gâchis. Puis elle tire deux ou trois coups dessus, et finit par céder.

Elle finit donc par ouvrire l'armoire et sourie.

-Ce crétin n'a pas menti.. Facile à berné.

Une mitraillette, deux pistolets, un couteau, des brassars, un débardeur, un short, une ceinture, tous se trouvant à l'intérieur de cet amoire.

Alors qu'elle commençait à reprendre tous ses affaires s'y trouvant, un homme pénètre dans la salle. Il écarquille les yeux en voyant la blonde ici, lui lançant un bref regard. Elle ferme ses paupières et les réouvres en faisant apparaître les douze étoiles avec un fond viollet brillant. La porte tremble et se referme soudainement à clée sous nez d'un des gardes qui hurlait "elle est là!". La blonde retira les vêtements blanc qui lui ont été donné depuis toute ses années, et à la place enfile son débardeur noir, laissant voir son imposante poitrine,  un short jean, plié à partir des cuisse le rendant plus court qui ne l'est déjà, et enfile des bottes noir à talons ainguilles lui allant jusqu'au genou. Après ça, elle ouvre une mini ceinture marron, et l'attache autour de sa cuisse droite. Elle y place un mini couteau dans la poche qui y est situé. Elle met un brassar noir dans chaque bras, à son coude, et un autre dans sa main gauche. Elle continue en enfilant une ceinture tombante d'un côté en mettant deux pistolets dans chaque poche des deux deux côtés, et finit en prenant la mitraillette qui est dedans une ceinture en l'enfilant à partir de son épaule droit, et descendant au bas de son torse. Ce qui place la mitraillette en hauteur sur son dos.

Elle sourie et se regarde dans un miroir.

-Ça me fait tellement du bien de me retrouver comme ça.. Oh ?

Quelques unes de ses longs cheveux blond son caché derrière son dos sur la mitraillette. Elle les retires en douceur et les envois derrière son dos, et descende jusqu'à ses cuisses.

-Ils ont poussé, dit-donc. Je ne vais pas les couper.

Soudain, la porte s'explose. La blonde se retourne en voyant tout une armée de garde.

-Ils sont pas allé de main morte. Elle sourie.

Elle fait quelques pas en arrières jusqu'à être collé contre les géantes vitres en verres, allant au sol, jusqu'au toit. Elle regarde à travers les vitres et voit le vide total. Simplement des autoroutes, et des habitats.

-Eh beh... Tout à changé..

Des hommes pointes leur armes face à la blonde alors que elle leur donne dos, en coninuant à regarder toute ces choses nouveaux.

-Ne bougez plus ! Ordonne un homme en tête du groupe.

-Ok, ok.. Soupire la blonde en levant les mains, en leur donnant toujours dos. Mais avant...

Elle casse la vitre avec son genou, puis se retourne et le casse avec ces deux coudes. Elle regardes les hommes avec le sourire en leur faisant un signe d'aurevoir.

-Bye, bye !

Puis elle se laisse jeter en arrière. Tous ce précipitèrent vers la vitre, essayant de la viser mais rien à faire.

Pour le moment, elle se laisse emporter par le vent en rigolant. Elle se donne face au sol avec le sourire. Elle ferme ses paupières puis les réouvres, et des étoiles apparaîssent à nouveau. Avant que sa tête ne touche la première le sol, celle-ci ne bouge plus. Elle lâche un rictus, et se redresse dans les airs, puis se met debout sur le sol. Elle salue les gardes situé au dernier étage, puis tourne les talons et se met à courrire.

-Enfin libre. Je vais vous retrouver, mes chéries.. Chuchotte-elle en sprintant.

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