Je ne sais si ces mots suffiront à apaiser la lueur de douleur qui hurle tout son désespoir à l'intérieur de mon âme, en ces temps difficiles. Mais je sais, qu'au fond, ce que mon cœur a perdu, personne ne pourra le retrouver, ni le remplacer. Ô toi...source de mon chagrin. Ô, toi, mon unique lueur d'espoir, réduite à néant, éteinte par les ténèbres vicieuses, qui m'étreignent de leurs caresses mortelles, et qui m'entraînent vers le trou noir du désespoir ultime...

De temps à autre, un maelstrom de douleur m'emporte, et sans prévenir, se déferlent les torrents de ma souffrance, des torrents qui forcent le barrage de ma résistance, et qui inondent mon irrécupérable face.

En moi, ténèbres, néant, et mort dans l'âme.

Pour toi, bonheur, joie de vivre, et que cette sérénité ne te soit pas retirée, sous peine de subir ma malédiction...