OAV 2: Les badboys à la plage (2/3)
Les badboys à la plage
Quel moment inoubliable ! Alors que reprenais mon souffle après un second orgasme, je lorgnais sur les courbes de Lisanna de mes yeux encore embrumés. La lumière crépuscule éclairait sa chute de rein, le reste étant caché par les draps souillés du fruit de notre échange. Elle s'étira avec un petit gémissement et s'allongea sur moi, poitrine contre poitrine. Toute trempée de sueur, elle me déposa un petit baiser sur les lèvres que je lui rendis.
- Alors ? Tu as pris ton pied princesse ? me susurra-t-elle d'une voix dont je ne savais pas si elle était érotique ou romantique.
- Je crois que je n'ai jamais autant pris mon pied avec une femme ! Si toutes étaient aussi douées que toi, je pourrais définitivement me passer d'homme !
- Oh tu sais, je connais certaines choses qui compenseraient ce qu'un homme peut offrir.
- Oui ne t'en fais pas chaton, mais j'aime autant cette sensation en moi que ce que m'as proposé !
- J'ai jamais apprécié coucher avec un homme, je l'ai fait une fois mais j'ai immédiatement su que je préférai les femmes. Je me suis un peu forcé sur le coup, mais après avoir couché avec Sorano, ça m'a paru évident que j'aimais les filles.
- Ma foi, j'aime les deux, même si j'avais une terrible envie d'un moment entre filles !
- Et bien, j'espère t'avoir comblée à ce sujet !
- Plus que comblée ! Je me sens tellement bien, tu as des doigts de fée !
- Hihi merci beaucoup, j'ai pris beaucoup de plaisir. Mais tu manques encore un petit d'expérience pour déceler mes points sensibles ! Mais avec un peu de pratique, tu deviendras une véritable déesse !
- Si l'on se revoit un jour ma belle ! dis je en sortant du lit, à la recherche de mes sous vêtement.
- Tu pars déjà ? Cela à duré si longtemps ?? minauda-t-elle alors qu'elle connaissait la réponse.
- Et oui ! Mes amies m'attendent ! dis je en ramassant ma culotte et en l'enfilant devant la blanche.
- Ça va, tu es dans les temps ! répondit-elle en m'envoyant mon soutient gorge.
Je le réceptionnai en l'agrippant avec les dents d'un air coquin et sauvage, mes mains étant occupées avec ma culotte.
- Merci, petite friponne !
- Ne me dis pas ça avec cette air, ou je ne répond plus de mes actes, surtout quand je vois ta poitrine balloter ainsi !
- Tu leurs à porter bien assez d'attention ! gloussai je en montrant les fines traces de suçons sur ma peau et effleurant mes propres tétons qui pointaient encore.
- Je peux te retourner le compliment avec mes fesses !
- Je ne vois pas à quoi tu fais allusion ! minaudais je d'un faux air innocent !
- Allez princesse, assez parlé de nos parties intimes et hâte toi !
- Je me dépêche chaton !
En cherchant et enfilant mes effets, j'ai allègrement zieuté son string et porte jarretelle qu'elle avait enfilé avant notre partie de jambe en l'air avant de m'offrir un formidable strip tease. Je me suis dépêché et en partant je vis un petit mot écrit sur la table qui n'était pas là à notre arrivé. Vu qu'on a pas été discrètes, je m'attendais au pire, on avait rien entendu pendant nos ébats.
- Y a un papier sur la table ! dis je à haute voix pour qu'elle m'entende depuis la chambre.
- Ah ! C'est surement mon frère, tu peux la lire ?
- "Je pars avec Mira manger une glace, rejoins nous à Amorio quand tu auras terminer avec ta copine. Je ferais la lessive des draps une fois rentré, tu seras sans doute trop fatiguée pour le faire. Bisou et à tout à l'heure ma petite choupinette !"
- Hihi c'est gentil de sa part !
- Il à l'air surtout gaga de sa soeur, ça fait plaisir une famille compréhensive ! J'aurais aimé avoir pareil... Bon bah, peut être qu'on se reverra un jour !
- Qui sait ? conclut-elle.
***
- Je paries qu'elle va être en retard d'au moins 10 minutes ! dit Erza.
- Juvia mise plutôt sur 20 minutes ! L'appétit de Lucy ne serrait être rassasié en si peu de temps ! ajouta-Juvia.
- Et moi je pense qu'elle ne sera pas en retard ! fit Levy.
- Moi je dis que les deux perdantes payent l'addition plein pot ! pouffa Erza.
- Pari tenu ! dirent mes deux amies en choeur.
Impatiemment et le sourire aux lèvres, elles regardèrent leurs téléphones scrutant l'heure fatidique. Alors qu'il restait qu'une poignée de seconde à les entendre crier '' DIX, NEUF, HUIT SEPT... '' je me suis dépêchée de prendre place devant l'air médusée de Juvia et Erza.
- Vous avez encore parié sur mes performances sexuelles ? soupirai je, mi exaspérée mi amusée.
Dire que j'avais pris le temps de me doucher avant de venir afin de pas sentir le phoque et je me fais vanner !
- Oh oui ! Et j'ai gagné ! Je savais que t'allais arriver à l'heure ! s'écria Levy toute jouasse.
- C'est bon hein ! Fallait bien s'occuper ! Alors t'as couché avec qui cette fois ?! demanda la rouge curieuse.
- Enfin Erza ! Ce n'est pas une question que l'on pose comme ça ! Lucy nous parlera de sa coucherie si elle le désire ! Vous devriez faire comme Juvia et davantage respecter la vie intime de notre amie !
- Rho ! Juju comme tu y vas ! Mais c'est vrai, on en parlera plus tard ! Commandons à présent ! répondis je sur un ton étrangement énergétique.
- Et bien tu pètes le feu Lulu ! pouffa Levy. C'est plutôt rare que ce soit à ce point là après le sexe !
- Quoi ? Tu veux dire que je tire la tronche habituellement ?
- Non, habituellement tu es juste apaisée. Là tu as simplement l'air heureuse !
- Je suis toujours heureuse après m'être envoyé en l'air pourtant ! dis je le plus sérieusement du monde.
- Oui je sais, mais j'ai une impression différente aux autres fois ! Tu sembles épanouis ! Aurais tu trouver quelqu'un avec qui tu as envie de faire autre chose que de t'envoyer en l'air ?
Cette réflexion me fit gamberger. J'ai toujours eut du mal à rester fidèle longtemps, avant certains autres événements. J'ai toujours rompu franchement avant d'aller voir ailleurs mais je ne me sentais pas encore mature pour me poser avec quelqu'un.
- Rien qui s'approche de prêt ou de loin à de l'amour ! J'avais juste un gargantuesque appétit à satisfaire, et ma conquête m'a satisfaite comme pers...
- BON ! tonna Erza. Navrée d'interrompre votre conférence de sexologie mais... Vous avez vu la taille des fraisiers dans ce resto !?? s'écria t-elle la bave aux lèvres et pointant le menu.
Nous éclatâmes toutes de rires et prirent commandes enfin de passer une agréable soirée. Après avoir combler nos appétits plus ''commun'', nous réglâmes l'addition et partirent nous promener. Le soleil glissait lentement mais surement vers la mer, teintant les nuages d'un doux orange. Alors on attendait le rayon vert avec impatience, je sentis des bras se resserrer sur ma taille.
- Alors poupée ! On a changé d'avis ? me demanda Sting qui avait mis son plus beau costard et tenait un bouquet de rose.
- Non pas du tout ! J'ai toujours pas envie de baiser avec toi ! Alors bouffe tes roses ou mets les toi dans le cul si tu veux mais fous moi la paix !
- Sting ! dit un homme que je devinai être Rogue. Arrête ton cirque ! Tu vois bien qu'elle a dit non !
- Boucle la Rogue ! Elle passe son temps à baiser ! Pourquoi tu refuses ma proposition j'suis sur que t'as écarté les cuisses pour moins que ça !
- T'as un point que t'as pas compris ! Y a une énorme différence entre toi et tout les mecs, et les meufs, avec lesquels j'ai couché !
- Ah ouais ? C'est quoi ?
- Eux me respectaient. Ils me plaisaient, je leur plaisais, ils voulaient coucher, je voulais coucher. Il n'y avait aucun jugement de valeur dans tout ça, chacun y trouvait son compte, sans oublier le plaisir de l'autre. Et par dessus tout, on se respectait mutuellement, peu importe ce que nous faisions de nos parties avant.
- J'ai pas de leçon de respect à recevoir d'une pute comme toi ! dit-il en levant le bras pour me frapper.
Alors que j'allais bloquer le coup, Rogue lui attrapa le poignet.
- Arrête ça ! T'es frustré d'être puceau mais t'as pas à avoir honte de ça ou de te forcer à vouloir baiser !
- J'suis pas puceau ferme la !
- C'est ça ouais ! Je te connais depuis des années ! Arrête de jouer les durs ! Assumes un peu et arrête de faire chier le monde !
- Parle moi mieux où je t'explose la gueule !
- Non j'vais pas la fermer ! En tant que meilleur ami, mon devoir est de te mettre le nez dans ta merde quand tu vas trop loin ! Et là ça fait plus d'un an que tu fais chier le monde ! Alors tu vas redescendre ton taux d'hormone et tu vas revenir sur terre !
Sting se débattu et fini par avoir raison de la poigne de son ami. Il ronchonna et partit son demander son reste en lâchant et un juron. Le brun soupira et nous adressa un sourire bienveillant.
- Je suis désolé qu'il vous importune à ce point...
- Il lui arrive quoi ? Il est vraiment frustré d'être puceau ? demanda Erza.
- Hélas oui. Un type au cheveux rose a eut une mauvaise influence sur lui. Depuis qu'il l'a entendu déblatérer des conneries du style ''Un vrai mec ça doit niquer des gonzesse et une fille qui couche avec plus qu'un mec c'est une pute'' et autre truc con... Bref...
- T'es gay ? demandai je sans trop de ménagement.
- Ahah, on me fait souvent cette remarque ! Non pas surtout, juste que le sexe ne m'intéresse absolument pas. Une relation avec seulement des bisous et des câlins ça me va très bien ! Dès qu'il faut passer au stade plus horizontale d'une relation... Voilà je déteste ça !
- T'es carrément mon opposé !
- Faut de tout pour faire un monde ! pouffa Rogue. Bon, j'vais aller le chercher et j'ai pas envie de vous déranger ! Passez de bonne vacance !
Il s'en alla, un petit sourire tranquille aux lèvres.
- J'sais pas comment il fait pour supporter ça ! Etre asexuel c'est parfois gênant dans certaine situation !
- C'est sur qu'à sa place t'aurais déjà exploser de frustration ! ricana Levy.
- Ah ça je te le fais pas dire ! dis je en l'enlaçant et manquant de l'étouffer avec ma poitrine, plus ou moins volontairement.
Enfin nous avons pu être tranquilles, autour de nos cornet de sorbet, nous vîmes le rayon vert fuser du soleil. Nous soupirâmes de soulagement et continuâmes de papoter, accoudées à la rambarde.
***
- Alors sa glace préférée est menthe chocolat, son plat est les lasagnes aux épinards, sa boisson le Earl Grey, elle se recoiffe souvent de la main gauche, son sein droit est légèrement plus mince que l'autre, ses fesses ne roulent que très peu quand elle marche... pensa Léon en épiant quatre jeunes femmes, un carnet la main.
To be à suivre
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